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22/04/2020

CQFD



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Résumé de la situation du point de vue naturopathique.

16/04/2020

Synchronicité des astres... (rétrogradation estivale)

On sait que tout a commencé à prendre forme avec la conjonction Saturne Pluton en Capricorne le 12 Janvier dernier.

Depuis lors ces deux planètes se sont un peu éloignées (6°) et Saturne est entrée en Verseau (le 22 mars).

Le 26 Avril Pluton va interrompre sa marche apparente en avant et devenir rétrograde
De son coté Saturne deviendra rétrograde pour revenir vers Pluton, le 11 Mai. Le jour choisi pour le déconfinement.
Il repassera en Capricorne le 2 Juillet.
Ces deux planètes resteront rétrogrades plusieurs mois (en mai juin juillet aout septembre)
Saturne reprendra très doucement sa marche directe le 29 Septembre et Pluton le 4 Octobre.
Enfin Saturne repassera en Verseau le 17 Décembre (conjointe à Jupiter).

Cette période de double rétrogradation devrait symboliser:
-une période d'interrogation et de bilan sur ce qui s'est passé de Janvier à Avril (leçons à tirer, révélations, comptes à rendre).
-un certain nombre de destructions pour préparer le renouvellement.C'est le moment de se libérer de tout ce qui n'est pas nécessaire pour évoluer vers un autre chemin.

***


La symbolique du confinement est typique de Saturne (emprisonnement, rigidité, concentration, ascèse, approfondissement) avec Pluton conjoint, on sent la présence de forces occultes (le pire: complots de Bigpharma et de la finance ou le meilleur: message et coup de pouce céleste pour une prise de conscience vitale).


>>> Le calendrier astrologique indiquait que 2020 serait la plus sérieuse crise du siècle et l'astrologie ésotérique des cycles précisait qu'il s'agissait d'un changement de paradigme crucial pour passer du matérialisme progressiste des 5 derniers siècles à une période plus ouverte à l'Esprit.

Le capitalisme prédateur (la spéculation ayant remplacé l'investissement) avec son système économique mondialiste (aux industries polluantes) est clairement désigné.
Cette crise le concerne en priorité, l'épidémie banale de Coronavirus a été amplifiée artificiellement et instrumentalisée pour servir de prétexte et d'alibi à la crise économique travestie et retardée par les banquiers en plein déni.
On constate aussi que Bigpharma en profite pour essayer d'imposer sa vision transhumaniste vaccinale sécuritaire/alarmiste (puçage, tracking) , en lien avec une supervision mondialiste "esclavagiste" (OMS, FMI, BRI, FED, la City, etc.).
>>Voir la vision d'un gouvernement mondial "complotant" de Valérie Bugault. C'est le pire futur qu'il nous faut éviter, bien sur.

La vidéo d'hier de Wodarg nous rappelait que le virus corona est toujours présent dans l'environnement comme dans nos organismes et qu'il apparait chaque hiver dans 15% des grippes environ.
Diverses infos semblent indiquer que cette version nouvelle dite covid19 du virus est déja présente un peu partout (80% des cas positifs sont asymptomatiques, et par ailleurs, les tests ne sont valides qu'à 65%).
Science et Avenir relaie cette info dans un article ainsi que la question de l'épidémiologiste Tom Jefferson:
"Ces chiffres suggèrent que le virus est partout. Si ces résultats sont représentatifs, alors nous devons nous demander: Pourquoi nous confiner ?"

D'autres infos recoupées (mais parfois contradictoires) pourraient laisser penser que ce virus covid19 a circulé depuis Septembre 2019 au moins aux USA, en Italie, en Ukraine, en Iran , donc probablement un peu partout.
C'est le propre des virus que de se propager et ils sont généralement assimilés par les systèmes immunitaires.
Les Chinois, en Janvier, l'ont traité comme un tueur et l'ont traqué chez leurs malades (grippes, pneumonies) de la province Hubei (province assez rebelle politiquement, très polluée avec 40000 antennes 5G en Décembre).
Par le biais de ces tests PCR, indirects et vite abandonnés, car trop peu fiables, puis par des radios pulmonaires (peu spécifiques).
Les asiatiques (Corée, Taiwan, Hongkong) ont réussi par la méthode masques-tests-soins à juguler ...
A juguler quoi?
Probablement pas grand chose, ce qui est apparent c'est qu'il n'y a pas eu de panique ni de désorganisation par là-bas.
Ils étaient mieux préparés.
Soit pas d'épidémie, soit la méthode masque-test enraie la peur et rassure. (Peut-être comme la chloroquine à Marseille).
Les médias (mais aussi les réseaux sociaux !) ont relayé et amplifié cette étrange épisode paranoïaque totalitaire en Chine.
Mais beaucoup moins les cas rassurants.
Russie, Afrique, Allemagne, Suède, Asie.
La plupart des pays pauvres semblent mieux s'en sortir que l'Occident et l'Europe de l'Ouest.

Ces médias ont ainsi propagé la peur, voire la panique, en assimilant des morts testés positifs au virus à des morts causés par le virus, ce qui d'après les chiffres officiels n'a lieu que dans 0,8 % à 1,5% des décès.

Cette mystification a été instrumentalisée par divers groupes de pouvoir
(jouant sur les émotions, la peur, la culpabilisation):
-Big pharma, y voyant l'opportunité d'engranger des sommes colossales a tout fait pour faire durer l'épisode infectieux hivernal (refus de la chloroquine, confinement fortement suggéré aux gouvernements, etc...) afin d'avoir le temps de préparer un vaccin/jackpot.Les médecins corrompus ou stipendiés ont défilé avec la plus parfaite mauvaise foi, vu le contexte.
-les gouvernements trompés par leurs conseillers médicaux (pour la plupart achetés eux-aussi par les laboratoires omniprésents) ont profité de l'opportunité d'instaurer un confinement (après les précédents chinois puis italien ) pour faire taire la contestation (maximale en Décembre), réclamer l'unité , la solidarité , faire passer des décrets liberticides (travail, 5G, sécurité, traçage) et tester le degré de soumission des populations (avec les autorisations écrites ubuesques).
-les banquiers et autres décideurs économiques ont participé à ce récit fictif d'une pandémie ravageuse pour faire de cette épidémie le bouc-émissaire de la crise économique , monétaire et financière qui avait déja commencé avant le prétexte de cette pseudo-pandémie.

Cette période de rétrogradation (Mai à Septembre) semble très favorable à l'émergence de nouveaux paradigmes et à la déconstruction des anciens systèmes et dogmes devenus obsolètes. (Pasteurisme, matérialisme, mécanisme, industrie, polluantes, capitalisme spéculatif).
Favorable également à des retours de bâton et effets boomerangs (pour certains qui auront abusé de leur pouvoir).
Le transhumanisme est la prolongation telle quelle de ces anciens dogmes dans le Futur. Ce virus farceur et paradoxal montre à la fois le futur que nous devons éviter (ultrasécurité par la technologie, régime policier infantilisant, vaccination et puce, etc.) et celui que nous pouvons construire (solidarité, ciel pur, créativité, écologie, commerce local).

A nous de choisir...

*

NB Les infos que je relaye ici vont en sens inverse de ce qu'affirme l'Inserm (qui s'est largement déconsidéré durant cette crise) ou l'Imperial College de Londres (ultra-alarmiste et financé par Bill Gates) qui évaluent l'immunité collective (acquise par contact) en France inférieure à 6% (d'après une estimation théorique.Les exemples concrets dont on dispose semblent plus proches de 20 à 40% (divers paquebots, IHU de Marseille, etc.).
Les recherches du Pr Gupta à l’université d’Oxford estiment par exemple que 50% de la population pourrait avoir été infectée et immunisée. A suivre.

Appendice 1:
Le Pr Isaac Ben Israël affirme que quelques soient les mesures prises (confinement ou pas), le nombre de nouveaux cas du virus dans une région atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours. Ici
Prétendre constater l'effet du confinement au bout de 40 jours serait en ce sens une "escroquerie" que la réalité des contre-exemples met en lumière (on retrouve pourtant dans ce genre d'affirmation: l'Inserm , l'OMS ou l'Imperial College de Londres).

Appendice 2:
La surveillance en France de la grippe saisonnière par le Réseau Sentinelles en semaine 11 (celle du 9 au 15 Mars) annonce 46% de cas positifs à la grippe Influenza et 5% au Covid19.
La grippe est en phase descendante et le réseau abandonne sa surveillance. Les cas de Covid explosent. Le 17, le confinement est décidé.
Les cas de grippe Influenza , qui ne sont plus recherchés donc plus détectés d'un seul coup, n'ont-ils pas été transférés, confondus et attribués au Covid19 (qui a connu un pic cette semaine précisément)?
Quand tout un système en place "décide", volontairement ou non, consciemment ou non, d'exagérer un phénomène, les biais sont nombreux.

Ajout du 18 Avril:
Chiffres de l'INSEE sur la mortalité en France:
Les chiffres de mortalité comparée pour le premier trimestre de 2015 à 2020.

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On voit que la mortalité en France durant ce premier trimestre 2020 est la plus basse depuis 2015.
On est loin des 250000 à 500000 décès qu'annonçaient les conseillers alarmistes du pouvoir (Imperial College de Londres, par ex).

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Cependant pour le mois de Mars à lui seul, il n'est inférieur qu'à 2018.
Cela est surtout du à 2 régions touchées : l'Est et l'Ile de France.
Ailleurs, même en incluant la première semaine d'Avril, c'est calme ou en baisse (pour 29 départements).
- Et même en baisse pour 53 département si on ne considère que la population de moins de 65 ans.

L'INSEE a modifié après coup ses premiers chiffres du 21 Mars au 6 Avril ce qui fait apparaitre désormais une hausse de presque 20% sur 2017 et même 7% sur 2018.
Mais la courbe semble déja redescendre (vers le 6 Avril) après un pic de 2 à 3 semaines, donc cela ne devrait impliquer qu'Avril et ne pas changer grand chose pour les deuxièmes trimestres.
A suivre...

Euro momo stats pour les pays européens (très divers).

>> Neil Ferguson (de l'Imperial college) conseiller ultra alarmiste du pouvoir (Macron, Boris Johnson) escroc a l'origine du confinement. (1/2 million de morts prévus pour la France et pareil pour le Royaume-uni c'est lui.)

15/04/2020

Wolfang Wodarg

Un "cousin" du Dr Raoult ?
Un look assez voisin, une sérénité aussi apaisante mais un discours plus radical puisque pour lui l'amplification de l'épisode infectieux annuel vient de la généralisation des tests (et de la dramatisation initiée par les Chinois).

Voici l'éclairage du Dr Wolfgang Wodarg, éminent responsable politique de la santé en Allemagne et spécialiste des poumons.
Il dénonce la campagne de désinformation qui sévit et propage la peur.

"Il y a surtout une épidémie de tests." (sic!)


Ce qui advient cette année a lieu chaque année, mais jusqu'ici on ne focalisait pas là dessus et on ne faisait pas de test corona sinon on aurait déja trouvé environ 15% de cas positifs parmi les infections grippales hivernales.
Ces grippes annuelles ne sont pas liées à un seul virus mais à un panel de virus, mutant chaque hiver. Jusqu'à présent on ne recherchait que le plus important: le virus Influenza et ses variétés.


Les virus circulent , mutent et se propagent en permanence. Il y a des pics épidémiques tous les hivers.
Pour cet hiver 2020 la mortalité est plutôt en baisse.
(Chose confirmée depuis clairement en France par les chiffres de l'Insee* et ce, globalement ainsi que pour une majorité des départements).
-A noter que les pays sans confinement global s'en sortent mieux. (cf)-

Il dénonce la pression des fabricants de vaccins (à l'origine de cette mystification) et un pouvoir sous influence.

"En réalité, il n'y a aucune raison d'avoir peur".






*
Mortalité enregistrée par l’INSEE en France

08/04/2020

Futurs possibles


Je suis optimiste car c'est, in fine, la stratégie la plus efficace.
Cela n'empêche en rien la lucidité et le réalisme.

Je suis à la fois révolté par cette dérive totalitaire hallucinante, sidéré surtout par le consentement obtenu mais confiant malgré tout dans une issue heureuse à venir, de façon encore imprévisible (mais symbolisée par les bénéfices lmmédiats déja spectaculaires 1).

Nous vivons actuellement le début d'un changement de paradigme*.
Astrologiquement, cela est une absolue certitude à l'échelle du siècle or, dans ce siècle, sur le papier, nous vivons bien actuellement " le moment clef ".
Nous sommes sensés tourner le dos peu à peu au vieux monde, c'est à dire au monde bourgeois capitaliste matérialiste mécaniste déterministe, tissé sur la planète depuis 500 ans jusqu'au mondialisme ultralibéral prédateur des dernières décennies (dans l'idéal: à la pollution, la spéculation, la 5G, Bigpharma, etc.).
D'ici 2024 des orientations pourraient donc clairement aller dans cette nouvelle direction.

Pourtant le futur qui se dessine aujourd'hui (avec le recours injustifiable à des méthodes de dictature, le confinement global en particulier) relève plus d'une dystopie transhumaniste ultrasécuritaire que d'un monde plus ouvert à l'esprit, au respect de la nature et à l'autonomie des individus.
Le corps y est vu comme une machine, une mécanique.Les libertés comme un paramètre ajustable, non essentiel.
L'esprit est nié.
Des hommes intelligents mais athées déclarent que voir un sens (un message) dans une épidémie est une absurdité, une superstition archaïque, que tout cela n'est que le produit du hasard.
C'est justement ça le souci, le concept desséché que l'on doit dépasser: cet aveuglement face au sens et cette "religion" du hasard.

Contrairement à l'article que je relaie ci-dessous, je ne crois pas que les bénéfices écologiques de la crise actuelle (et du confinement) relèvent d'une vision superficielle, je pense qu'ils sont consubstantiels à cet épisode planétaire et ont valeur d'exemple, de ce vers quoi pointe le doigt. Qu'ils sont des germes semés dans l'imaginaire collectif et vont faire leur chemin de façon paradoxale.

Je ne sais pas comment pourra émerger concrètement, cette sortie positive alors qu' on voit fleurir, ici ou là, le zèle sadique de certains policiers pour faire appliquer des mesures ubuesques, la collaboration, une solidarité de pacotille, la culpabilisation, la délation ou la résignation, comme autant de pousses vénéneuses.
En parallèle, la prise de conscience grandit malgré tout. Un certain éveil. Et c'est ce degré de conscience en hausse qui pourrait provoquer de façon inattendue les corrections de trajectoire, faire bifurquer certains choix et renverser la dynamique que certains pouvoirs en place (trop confiants) essaient d'orienter vers Bigbrother et l'ultrasécuritaire.

Ci-dessous l' article (de Reporterre) dont je partage (au premier degré) le constat alarmant, même si je persiste à penser que ce n'est qu'un mauvais moment à passer (voire peut-être même le premier d'une série, jusqu'en 2022 ou un peu plus).
Ceci dépendant, je crois, de la rapidité de la prise de conscience.

Ce qui se joue dans les esprits et sur le terrain c'est juste de quoi sera fait le futur de la planète.
Vivre dans un monde ultrasécurisé , aseptisé et technologique, sans liberté réelle, ou résister et bifurquer vers autre chose à définir et à créer.


* Les ultralibéraux et les transhumanistes parlent aussi de changement de paradigme, mais ce n'est pas le même, c'est l'inverse.A mon sens, une hérésie historique, une chimère non viable, un cauchemar.


***


Le monde qui vient n’a rien d’une utopie, c’est un cauchemar

27 mars 2020 / Michel Lepesant

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« Ce qui est en train de se passer est une expérimentation totalitaire dans laquelle la fin affichée – “sauver des vies” – justifie tous les moyens », écrit l’auteur de cette tribune. Alors que le confinement dure et que la pandémie perdure, ce qui vient n’est « ni l’insurrection ni la grève générale, c’est une dystopie ».
Michel Lepesant est « (p)artisan de la décroissance ». Il anime le blog Décroissance, où va-t-on et est l’auteur de Décroissances, où va-t-on ?, aux éditions Utopia, 2013.

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Michel Lepesant.

Une analyse superficiellement écologiste pourrait trouver dans cette pandémie des raisons d’espérer : réduction des transports inutiles (tout particulièrement aériens), prévision d’un ralentissement de la croissance et donc prévision d’une baisse des pollutions (par exemple, la chute de l’activité en Chine a diminué en février les émissions de gaz à effet de serre de l’équivalent de la production annuelle des Pays-Bas)…

Une analyse superficiellement critique pourrait même se réjouir que le confinement va donner à chacun le temps et l’occasion de se poser la question du sens réel de la vie qualifiée « auparavant » d’ordinaire, au point peut-être de se mettre à espérer déboucher sur une critique réveillée du consumérisme quotidien : rien de plus bizarre aujourd’hui que de consacrer quelques minutes à regarder des publicités télévisées dont les contenus si peu « essentiels » sont si évidemment en décalage avec la situation vécue.

On pourrait même croire, à écouter par exemple Sibeth Ndiaye évoquer « un changement de paradigme », que ces temps de crise sont en train de fournir la preuve « par le fait » qu’un changement de cap est possible. Mais quand le premier exemple concret qu’elle fournit est celui d’une relocalisation de l’industrie automobile des pièces détachées, comment ne pas penser qu’on part de très loin... et qu’aucun horizon d’utopie ne semble en réalité se profiler.

Ce qui est en train de se passer est une expérimentation totalitaire


Tout au contraire, ce qui vient n’est ni l’insurrection ni la grève générale, c’est une dystopie. Au 19e siècle, les socialistes les plus utopiques voyaient dans les expérimentations minoritaires les semences de la transformation sociale.

Mais ce qui est en train de se passer est une expérimentation ni minoritaire, ni majoritaire, mais totalitaire, dans laquelle la fin affichée – « sauver des vies » – justifie tous les moyens. Quand on se souvient à quel point dans les temps précédents le gouvernement français a déjà fait preuve d’insensibilité, on peut s’attendre à ce que la suite lui donnera tout le temps d’accentuer sa violence économique, sociale et politique.

C’est la dystopie économique qui vient : trop tard pour réviser une politique antérieure (RGPP) qui aujourd’hui – par faute de moyens – détermine une stratégie d’improvisation. C’est même l’occasion, sinon l’aubaine, pour accélérer les processus de dématérialisation des activités : télétravail, téléconsultation, la culture en 1 clic, la web-école… Que penser d’une société qui maintient le « travail » tout en interdisant de partir en vacances ?

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C’est l’occasion, sinon l’aubaine, d’accélérer les processus de dématérialisation des activités.
La dystopie sociale s’installe sous le nom de « distanciation sociale », car c’est d’isolement individuel qu’il s’agit. Et en traitant aujourd’hui d’« imbéciles » les réfractaires au confinement, Castaner continue dans cette logique sociocidaire de la réduction de toute responsabilité à sa seule dimension individuelle que toutes les réformes récentes du gouvernement tentent d’imposer : de la réforme des retraites à celle des lycées, en passant par la réforme de l’assurance-chômage… Que penser surtout d’une société qui ne semble capable de penser le confinement que sur le modèle de l’emprisonnement (il va sans dire que c’est évidemment dans les lieux d’enfermement que les situations sont les plus inhumaines : prisons, Ehpad…) ?

La dystopie politique se renforce quand se multiplient ces listes qui inventorient les lieux, déplacements, activités, comportements autorisés : tout ce qui n’est pas permis devient interdit. Que penser d’une société dans laquelle cette inversion du permis et de l’interdit semble ne susciter aucun débat public ? Et après ?

Bien loin des scénarios d’effondrement ou de décroissance choisie, comment ne pas constater qu’après 2001, 2008, chaque crise a été l’occasion d’une accélération des formes les moins humanistes de la vie en commun ? Comment osent-ils ? Mais « ils » oseront. Et « nous » que ferons-nous ?

Après la crise, viendra le temps des factures. Qui peut croire qu’un seul gouvernement dans le monde en profitera pour imposer un prélèvement sur les plus grandes fortunes ? Par exemple, de façon « exceptionnelle », sur cinq ans, un prélèvement de 20 % sur les patrimoines au-delà d’un milliard d’euros : faisons au moins le calcul, histoire de rêver. Mais qui peut croire qu’à l’occasion de la pandémie, c’est l’utopie qui viendra ? Et pourtant nous devons l’espérer.

source Reporterre



***



Nouvelles du front, liens intéressants.


-La dernière vidéo de Raoul, pardon du professeur Raoult.

-Le blog de Liliane

-G Delepine contre le confinement dans Agora-vox

-Le live de Casasnovas. >>> Sur le confinement.

-Histoire de masques.

-Passage en force de la 5G (pétition)

-Falsification des chiffres (Dr Bukacek USA)

-Dr Wolfang Wodarg décrit la mystification

- Insee comparaison mortalité mars 2019/2020

-la suite des 12 étoiles de Néo santé (7 à 9)

ajout du 15 avril : - la fin des 12 étoiles.

06/04/2020

Regardez les stats. Soyez réalistes!


Il est assez paradoxal de reprocher à des gouvernements ou à des experts d'avoir sous-estimé cette épidémie, car ce n'est pas un bon argument*.

Ils ont certes révélé un peu plus leur bêtise, leur incompétence, leur compromission et la noirceur de leur âme, mais ça on le savait déja.

L'épisode contagieux 2020 n'a pour le moment rien d'exceptionnel.

C'est la panique planétaire engendrée qui est exceptionnelle, la calamiteuse gestion de crise et les mesures restrictives, administratives, punitives qui ont suivi.
Rien d'autre.

(Peut-être aussi le consentement des populations. Hélas!)

Il est vain de rentrer dans le jeu de la peur, il n'y a aucune catastrophe mondiale virale en cours mais juste une mystification à laquelle vous participez, si vous croyez qu'il y a un souci autre que politique (incompétence, panique, désorganisation, corruption, abus de pouvoir) économique (crise mondiale de la fausse monnaie, système libéral prédateur) européen (molle dictature technocrate) ou médiatique (info spectacle et propagande).

(Il y a bien une catastrophe planétaire mais elle est écologique. La pollution de l'air , de l'eau et de la terre est critique.)

Les chiffres officiels des stats européennes de la mortalité sur ces dernières années montrent que 2020 est plutôt en dessous de la moyenne , même chez les gens âgés (sauf Italie/Espagne où il y a un pic hivernal similaire à 2017).Ce virus s'il est contagieux n'est pas un tueur à lui seul, c'est surtout un facteur aggravant. Des gens meurent (la plupart déja malades chroniques) et sont testés positifs, la nuance est importante.

Voilà ce que répètent en vain depuis 2 mois pas mal des meilleurs spécialistes, indépendants d'esprit (dont Raoult, mais pas que...).

J'ai vu que deux ou trois journalistes attentifs commençaient aussi à se poser des questions.


Les stats:

Par tranche d'âge:

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Par pays:

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https://www.euromomo.eu/

*On peut leur reprocher d'avoir démantelé les services publics et supprimé des lits et transformant ainsi un pic de mortalité hivernal en crise sanitaire localement aïgue.
Ou d'avoir suivi les conseils d'experts inféodés aux marchands de médicaments et vaccins, plutôt que ceux préconisant un traitement efficace et presque gratuit.
D'avoir manqué de réactivité pour les tests et les masques (dont l'exemple asiatique semble avoir montré l'efficacité)
D'avoir confiné ensemble bien portants et malades "sans les tester ni les traiter".
D'avoir privilégié l'irrationnel et la peur à la liberté de circuler.
D'avoir manqué de cohérence et cédé à la panique en ayant suivi d'abord les conseils des uns, puis des autres qui annonçaient 500.000 morts en France.
Et surtout d'instrumentaliser la situation à leur profit.


Vidéo allemande sur cette mystification

Gouverner par la RUEP

Article de 2011, toujours d'actualité. Nous sommes en plein dedans, avec cette fois des proportions inédites.
Les politiques et les lobbies ont ça d' inscrit dans leur logique.

*

Faire peur pour gouverner


Manipulation de l'opinion publique

La politique de la peur consiste, pour un gouvernement, à provoquer la peur au sein de sa population pour faciliter l'adoption de lois sécuritaires. En réduisant ainsi la liberté individuelle, il espère pouvoir assurer son maintien. Les citoyens, quant à eux, en échange d'une hypothétique sécurité sont conditionnés pour renoncer progressivement à leurs libertés.

Le journaliste et critique américain, Henry Louis Mencken (1880-1956) constate, dès le début du XXe siècle, cette tendance : "le but de la politique est de garder la population inquiète et donc en demande d'être mise en sécurité, en la menaçant d'une série ininterrompue de monstres, tous étant imaginaires".

Selon Dan Gardner [1], l'efficacité des politiques de la peur serait due au fait que l'évaluation des risques et les façons de s'en protéger ne résultent pas d'une attitude rationnelle, mais d'un comportement émotionnel entretenu par les hommes politiques. C'est un corollaire de l'explication donnée par Edward Bernays [2] pour qui la mentalité collective est guidée par l'impulsion, l'habitude ou l'émotion et non par la pensée.

Irene Khan, secrétaire générale d'Amnesty International, a souligné ce phénomène à l'occasion de la sortie de son rapport 2007 : "En adoptant des politiques à court terme qui encouragent les peurs et créent la division, certains gouvernements sapent l'Etat de droit et les droits humains, entretiennent le racisme et la xénophobie, divisent les populations, augmentent les inégalités et sèment les germes de nouvelles violences et de futurs conflits".

Si l'on a pu considérer la "politique de la peur" comme l'une des caractéristique des dictatures, l'emploi de cette expression dans une démocratie sous-entend que les hommes politiques instrumentalisent des craintes avérées ou non de la population pour atteindre leurs objectifs. Il s'agit-là d'une forme de manipulation de l'opinion, de manière indirecte ou subliminale, qui réveille les pulsions les plus abjectes de la xénophobie et du racisme. Les discours alarmistes et anxiogènes ainsi que la désignation d'ennemis intérieurs servent alors à légitimer des mesures disproportionnées qui portent atteinte aux droits fondamentaux, dans le but de mieux contrôler la population.

La classe politique, impuissante devant l'oligarchie financière qui dirige l'économie mondiale, a besoin pour rester au pouvoir d'agiter le chiffon rouge de la peur pour détourner l'attention du peuple. Concentrée sur des "guerres perpétuelles", méfiante et divisée, l'opinion publique mondiale n'est plus tentée par la remise en cause du système politiquo-économique en place.

Quelques exemples d'instrumentalisation de la peur :






































Peur Décryptage
Le "péril jaune" (fin du XIXe, début du XXe siècle) Garder les colonies occidentales en Asie.
La "Guerre froide" Politique d'armement au profit de grands groupes industriels, renforcement de la politique hégémonique des Etats-Unis.
Le terrorisme islamique après les attentats du 11 septembre 2001 Légitimer la guerre en Afghanistan, mesures sécuritaires, maintien de l'hégémonie de l'Occident, soutien aux dictatures des pays arabes.
Les armes de destruction massive de Saddam Hussein Guerre contre l'Irak, politique d'armement au profit de grands groupes industriels.
Le virus H1N1 Au profit des laboratoires pharmaceutiques.
Les "marées d'immigrés" déferlant sur la France, la montée de l'islam Politique sécuritaire.
Prendre des voix au Front national, séduire les retraités.
Agressions sexuelles par des récidivistes Politique sécuritaire.
Lutte contre un prétendu laxisme des juges.
Le risque de dégradation du AAA Faire admettre des mesures d'austérité pour les plus démunis et les classes moyennes.


1 - Dan Gardner : "Risque : La science et les politiques de la peur", Editions Logiques, 2009
2 - Edward Bernays "Propaganda (1928), traduit en français sous le titre Propaganda, Comment manipuler l'opinion en démocratie, Zones, 2007.
source

Pierre Tourev, 11/12/2011

20/03/2020

JL Bonnamy

J'ai trouvé un article qui redit en d'autres termes ce que je pense et ce que tout homme de bonne foi, sans peur et sans oeillères n'a pu que constater au fil de Février et Mars, sur les errements de la gestion de crise du pouvoir en France en comparaison avec les pays asiatiques, notamment la Corée du Sud.

***


Extraits:

"La crise du coronavirus est le révélateur des fragilités stratégiques de la société française. Procédons à une rapide comparaison. La Corée du Sud, géographiquement proche de la Chine, a été l’un des pays les plus précocement et les plus massivement touchés. Cependant, la maladie y est désormais contenue, le nombre de nouveaux cas quotidiens décroît nettement et la mortalité est extrêmement faible (moins de 0,8 %). Et pourtant, la Corée du Sud a refusé le confinement et n’a pris aucune mesure contraignante. Même les restaurants sont ouverts. S’inscrivant dans le même schéma, le Japon, Hong-Kong, Taïwan et Singapour affichent un bilan spectaculaire dans leur lutte contre l’épidémie sans sacrifier ni leur économie ni les libertés fondamentales.

Pourquoi la France ne réagit-elle pas comme la Corée? Il nous faut regarder la vérité en face: la Corée, qui était en 1950 un pays du Tiers-Monde, encore plus pauvre que bien des pays africains, est aujourd’hui un pays développé. La France ne l’est plus./...

.../Les Français sont confinés chez eux car notre système de santé est à bout et n’a pas les capacités d’accueil suffisantes pour gérer l’afflux des nouveaux malades.

La stratégie gagnante de la Corée du Sud face au Coronavirus passe avant tout par des tests massifs: dépister le maximum de personnes infectées, les soigner, les isoler. En Corée du Sud, vous serez testé même si vous ne présentez aucun symptôme. En France, au contraire, même si vous présentez tous les symptômes du coronavirus, il sera très dur d’être testé, car les moyens de dépistage sont insuffisants. D’ailleurs, il n’y pas que face au coronavirus que les Coréens nous surclassent. /...

.../Examinons nos fragilités les plus criantes. Première faiblesse: notre système hospitalier. Si les Français sont aujourd’hui confinés chez eux, ce n’est pas à cause de l’épidémie en elle-même, dont le taux de mortalité est très faible. Mais c’est parce que notre système de santé est à bout et n’a pas les capacités d’accueil suffisantes pour gérer l’afflux des nouveaux malades. Désorganisé par le double effet des 35 heures et des restrictions budgétaires, notre hôpital est déjà saturé en temps normal. Il n’est donc pas surprenant qu’il ne puisse gérer un stress imprévu.

Notre pays peut offrir seulement six lits d’hôpital pour mille habitants, contre neuf en 1996, soit une baisse de 30 %. Au contraire, la Corée du Sud affiche un ratio de 14 pour 1 000, un chiffre qui n’a cessé d’augmenter puisqu’il a été multiplié par sept en 30 ans. Les Coréens ont donc 2,3 fois plus de lits d’hôpital par habitant que les Français. Autre chiffre alarmant: la France dispose seulement de 5 000 lits équipés d’un ventilateur, l’Allemagne, elle, en compte 25 000. En janvier, avant la crise actuelle, 1 000 médecins hospitaliers, dont 600 chefs de service, avaient symboliquement remis leur démission pour protester contre le manque de moyens./...

Jean-Loup Bonnamy (philosophie politique)
source

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Je partage cette analyse. Le confinement n'est pas lié au coronavirus, il n'était ni nécessaire, ni inévitable mais une réaction paniquée ("Sauve qui peut!" camouflé en "Soyons unis et faisons face !") devant le constat tardif du fourvoiement complet de "la" politique de santé, illustré par la désorganisation et le manque de moyens des services hospitaliers et du système sanitaire, confrontés à une crise moyenne "facilement" maîtrisée ailleurs (Asie).
D'un jour à l'autre, par décret et par peur, le gouvernement et une majorité de français (affolés donc manipulés et consentants) ont changé d'avis et leur fusil d'épaule.
-Principal inconvénient de ce confinement global, amplifier la peur et le stress, ce qui exacerbe aussi les tensions dans la population.
-Un tel confinement favorise la dissémination géographique de la contagion qu'il prétend enrayer en provoquant un exode hors des villes et des foyers de contagion (5 millions de Chinois ont fui Wuhan, et près d'un million de parisiens se sont mis au vert, y emmenant leurs éventuels virus).
-Le confinement familial sans dépistage va augmenter les cas graves, tardivement soignés.
-Il favorise la constitution d'un réservoir de virus, pouvant provoquer une deuxième vague, plus redoutable quelques mois plus tard (Novembre).

Je crois donc que ce type de confinement est inefficace (c'est aussi l'avis d' experts reconnus dont le Dr Raoult, par expérience), punitif et abusif (infantilisant et totalitaire).

Il est déplacé et incohérent d' interdire les pêcheurs à la ligne isolés , les joggeurs isolés, les randonneurs isolés, les surfeurs isolés.Ils ne présentent aucun risque concret. Ils sont au contraire de "bons" citoyens qui renforce leur immunité et participent de ce seul fait à une meilleure santé collective.
Que des gens qui ne se préoccupent jamais de leur santé , les culpabilisent ou les insultent pour manque de civisme sur les réseaux sociaux montre le niveau de confusion , d'incohérence et d'ignorance qui régne en temps de peur.


Autre remarque importante:
Il est abusif de penser que le coronavirus est responsable de toutes ces morts, alors qu'on sait très bien que c'est un facteur additionnel venant s'ajouter à une série d'autres maladies ayant endommagé le système immunitaire.
Il n'est donc que partiellement responsable des morts (à 10% ou 20% ici, à 30% là , ailleurs à 50%) mais comme il est la goutte d'eau finale qui fait déborder le vase, tout lui est attribué.
Or il me semble qu'il n'a tué à lui seul aucune personne en bonne santé, presque toutes présentaient des risques importants (cancer, diabète, hypertension, obésité, tabagie, alcoolisme, coeur, poumon, etc ...) ou avait affaibli leur système immunitaire par la prise d'anti-inflammatoire (genre ibuprofène, aspirine ou même paracétamol, etc.).
C'est en tous cas le constat des premières études (à confirmer).
Pour faire court, si la même personne sans maladie avait été contaminée, elle n'en serait pas morte, alors que sans coronavirus sa maladie restait chronique et raccourcissait son espérance de vie.
Lors de cette épidémie, le virus n'est pas seul en cause.

L'âge est un facteur de risque dans la mesure où les maladies y sont statistiquement plus nombreuses et où l'immunité y est moins forte.
Mais plusieurs centenaires atteintes en Chine en ont guéri.
La clef est toujours l'immunité.

Dernière observation: Confiner toute une population, n'a rien d'égalitaire comme semblent le penser certains. C'est l'inverse, pour les uns ce sont des vacances, pour d'autres c'est punitif et stressant au point d'affaiblir notablement l'immunité. Et puis on se doute bien qu'être enfermé dans un studio dans une barre d'immeuble, ou dans une villa avec parc et jardin, ce n'est pas identique.

Bien que très opposé à cette mesure a priori (pour moi extravagante et injustifiée), je constate paradoxalement qu'elle a déja (hors du champ sanitaire qui était sa justification) de nombreux effets positifs individuellement et collectivement, indirectement, par ricochet ou retournement.
Moins de pollution, moins d'accidents, convivialité en famille, créativité, prise de conscience à tous les niveaux, révélations en tous genres.

Comme dans ces contes zen, où un malheur apparent provoque un grand bienfait.
Donc à ce titre je m'en réjouis.




11/03/2020

Bonne nouvelle




Le gouvernement suspend la privatisation d'Aéroports de Paris.

Les conditions de marché, liées au coronavirus, ne sont «pas du tout favorables», estime le gouvernement.
Le coronavirus a réussi là où le référendum contre la vente a montré ses limites
même s'il a réuni plus d'un million de signatures.


Pour atteindre l'objectif, il fallait (c'est un peu se foutre du monde) recueillir 4,7 millions de signatures allant dans ce sens. L’échéance était fixée au jeudi 12 mars à minuit. Le quota n'a pas été atteint puisqu’au dernier comptage le 4 mars, seules 1,2 million de signatures avaient été recueillies.Ce qui est quand même pas mal vu le manque de clarté et de publicité du processus.

C'est détail dans le contexte, mais plutôt positif.

NB Lors d'une conférence de presse en avril 2019, Emmanuel Macron avait déclaré (bizarre) qu'il souhaitait abaisser ce seuil de signatures à un million. En cette forme, la pétition aurait donc recueilli suffisamment de signatures.