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28/01/2021

Carré Taureau Verseau


La pleine lune en Lion de cette semaine (ce jeudi) devrait renforcer encore le coté contestataire potentiellement violent que symbolisent les divers carrés entre Taureau (Mars sur Uranus) et Verseau (Saturne, Soleil, Jupiter).

On peut déja constater des mouvements de révolte (Danemark, Pays-bas, Israël, Espagne, Liban, etc..) contre la dictature sanitaire délirante (qui n'en finit plus de se ridiculiser aux yeux de la postérité).

La presse alignée en témoigne
Ouest France : Covid-19. « Nous nous dirigeons vers une guerre civile » : en Europe, le ton monte contre le confinement.

Les Echos :Troisième nuit d'émeutes aux Pays-Bas pour protester contre le couvre-feu.

ainsi que les réseaux sociaux:
COVID19 : au Danemark , aux Pays-Bas ou en Espagne , le durcissement des restrictions fait monter la colère. Tweeter ici et là.

En Italie de nombreux restaurants ont rouverts de force ou clandestinement(Ici Ici )et le président a du donner sa démission.

Aux Etats Unis aussi ça chauffe... (Le point)

Episode quasi révolutionnaire encore, en Inde, pour d'autres raisons assez proches.
"Après 60 jours de siège de la capitale par près de 300 000 paysans (en soulèvement contre les lois agricoles qui liquideraient la petite propriété paysanne),ce sont près de 200 000 tracteurs et probablement plus de 1 million de paysans et leurs soutiens ouvriers et citoyens qui sont entrés dans la capitale le jour de la fête nationale indienne sous les applaudissements de la foule à Delhi." (cf)
Vidéo des émeutes qui ont suivi avant la prise du "Fort Rouge"...
Plus d'infos.

En France, si 83% approuvaient un premier confinement il y a un an, ce n'était plus que 67% en Novembre et ce serait 52% en ce début d' année (Elabe).
Francis Lalanne lance un appel à démettre Macron de ses fonctions. :o)
Le Pr Raoult s'en prend au conseil de l'ordre et au ministre qui n'est que de passage. (Ici) (ou)
De plus en plus de médecins et citoyens osent s'exprimer et contester. (Exemple)
Les gens en ont gros.

Quelques tribunaux européens jugent le confinement ou l'obligation du masque inconstitutionnels. (ici)

Contraint par une décision judiciaire, Facebook s'est même excusé aujourd'hui d'avoir censuré les publications mentionnant l'efficacité de l'HCQ.

En revanche les députés français de LREM viennent de dissoudre la commission d’enquête sur le Covid, sans honte.

Et les médias dans l'ensemble continuent de soutenir le récit fictif officiel et de maintenir l'idée fausse d'un danger toujours menaçant.
La succession des mesures stupides, inutiles (voire délétères) et liberticides, a entretenu et amplifié un lourd climat anxiogéne (qui était de toute façon pré visible sans cela dans la conjoncture astrologique) ce qui, en soit, provoque des morts.
(La peur tue à court terme les plus fragiles, c'est un fait peu relayé difficile à chiffrer précisément mais clairement établi.)
Elles ont probablement prolongé cette banale épidémie en l'exagérant artificiellement (chiffres bidonnés, critères modifiés, tests sans valeur fiable) ou mécaniquement (en interdisant ou dénigrant tous les traitements et soins existants pour privilégier une vaccination illusoire) (mutations favorisées possiblement par le remdesivir, ou le plasma, voire les vaccinations?).

Un des scandales les plus importants (nombreux en 2020) ayant consisté à attribuer au Covid des morts dues à de toutes autres causes par le biais des tests PCR manipulables à souhait.

D'ailleurs la légère surmortalité de 2020 semble due à la génération du baby-boom rentrant dans la classe d'age des +70 ans ( plus à risque) et non au Covid.




Mais cette situation abracadabrante et criminelle peut être interprétée positivement avec du recul comme la façon de faire évoluer les consciences, donc de changer le futur à moyen terme en prenant en compte le degré d'asservissement de la population hélas globalement consentante, devant l'évocation d'une "nécessité scientifique". Référence scientifique totalement factice, en réalité, puisque les meilleurs scientifiques ont été censurés et qu'on a laissé parler les plus corrompus ou les plus dociles, au service d'une idéologie "scientiste" dogmatique dépassée, et/ou des laboratoires.

« Toute crise majeure est une chance. Parce qu’elle brise un continuum. Et qu’elle ouvre une lucarne dans le mur circulaire de nos habitus cimentés à la résignation et au déni. Une lucarne qui peut vite devenir fenêtre, puis portes sur un futur à désincarcérer. »
Alain Damasio
(Texte entier.)

Le mois de Février est une fenêtre d'opportunité (astrologiquement propice) pour résister à ce qui est déja une semi dictature bien en place (sous couvert de provisoire sans cesse renouvelé), une ploutocratie gouvernée par diktats de milliardaires et d'experts technocrates autoproclamés, partageant une idéologie progressiste transhumaniste matérialiste qui va à l'encontre du sens de l'histoire et qui résiste donc au vrai changement par l'absurdité ou le délirium, (tout en nous en rapprochant peut-être indirectement par la bande).

Sinon il faudra tenir encore quelques mois, voire 2 ou 3 ans avant que tout cet édifice de mensonges ne s'écroule.

Ajout du 29:
- Poutine a levé les restrictions sanitaires et les russes reviennent à une vie normale.
- Contrairement aux déclarations officielles, le vaccin perd encore de sa crédibilité. Ainsi en Israël , avec le taux de vaccinations le plus élevé ( à plus de 30%) le nombre de morts a augmenté vers des records jamais atteints.Même chose au Portugal. Les risques du vaccin semblent se confirmer.
- Macron renonce au 3ième reconfinement (probablement devant la peur de l'insubordination montante). Castex n'annonce qu'un renforcement symbolique du couvre-feu et des contrôles aux frontières.
- Signée du professeur et épidémiologiste John Ionannidis (probablement le meilleur épidémiologiste mondial), une récente étude de Stanford souligne que le confinement et la fermeture des lieux culturels, bars et restaurants n’a été d’aucune utilité. Il n’aurait pas eu d’impacts sur le nombre de cas de contaminations et c’est même tout l’inverse. (Ici)

Ajout du 30:
La résolution 2361 adoptée le 28/1 par le Conseil de l’Europe stipule en articles 7.3.1 et 7.3.2 que la vaccination ne devra PAS être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres, pour se faire vacciner, si il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.
L’article 7.3.2 stipule que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.
Dommage que les décisions du conseil de l'Europe ne soient pas contraignantes.

23/12/2020

Américaines élections....

Article de Elisabeth Dancet

Victoire de Trump ? Après sept semaines d’enquêtes, où en est-on ?
Que cela plaise ou non à une partie des électeurs américains, les résultats de la présidentielle de 2020 semblent bien donner la victoire à Trump.

Les recours, les plaintes, les témoignages sous serment et les analyses statistiques et informatiques se sont multipliés depuis début novembre. Les fraudes électorales, comme nous l’avons rappelé dans un article précédent, ne sont pas nouvelles, mais en 2020, elles sont d’une autre nature. Grâce à l’intelligence artificielle, l’analyse statistique détaillée des données électorales des élections précédentes a permis de créer un système de fraude ciblé, intelligent, difficile à détecter. Simplement, il a déraillé dans la nuit du 3 au 4 novembre. Trump avait trop d’avance dans les Etats qui font traditionnellement basculer l’élection. Malgré les attaques systématiques des médias et la censure des réseaux sociaux, plus de 75 millions d’Américains sont allés voter pour lui le 3 novembre. Ce soir-là, alors que les résultats donnaient Trump largement gagnant, se sont produits des événements totalement inhabituels : plusieurs Etats, parmi lesquels ceux où se poursuivent actuellement les investigations, ont arrêté de compter les bulletins de vote. Pour quelle raison, alors que dans chaque bureau, les législatures organisent un roulement des équipes de dépouillement ?

La tromperie immaculée

Le rapport de Peter Navarro, conseiller spécial pour le commerce, intitulé « la tromperie immaculée » et rendu public le 17 décembre, aboutit à la même conclusion. Il synthétise les types de fraude qui se sont produites avant, pendant et après les élections dans les six états clés. La question est posée : alors que Trump était en tête avec une marge confortable le 3 novembre autour de minuit, comment les résultats ont-ils pu se retourner entre 1h et 4h du matin, pour finalement être certifiés le 7 décembre avec une faible avance pour Joe Biden dans ces mêmes Etats ?

Quelques exemples - commentés dans nos précédents articles - montrent l’ampleur des différentes fraudes commises durant ces élections. Elles font l’objet de plus de 50 actions en justice et de milliers de témoignages écrits, de vidéos, de déclarations publiques sous serment et d’analyses d’experts, malheureusement peu relayés par les médias dominants.

Plus de 100 000 faux bulletins ont été livrés en Pennsylvanie dans la nuit du 3 au 4 novembre, alors que l’avance supposée de Biden est de 81 660 voix.

En Arizona, les plaignants affirment que 75 000 bulletins par correspondance n’ont pas été comptabilisés, avec un différentiel entre les deux candidats de 10 377 voix.

Plus de 70 000 votes sont déclarés inéligibles en Géorgie (électeurs n’habitant pas l’état ou n’ayant pas la nationalité, votes de personnes décédées, votes comptés plusieurs fois, faux bulletins…), quand Biden est donné en tête avec 11 779 voix.

Dans le Wisconsin, 170 000 bulletins ont été validés par les machines de vote, alors qu’ils ont été collectés dans des urnes installées dans certains quartiers stratégiques, en violation de la loi d’état, soit plus de 8 fois la différence en faveur de Biden qui est de 20 682 voix...

Comme le dit P. Navarro en conclusion de son rapport :

« Si ces fraudes électorales ne font pas l'objet d'une enquête approfondie avant le jour de l'inauguration le 20 Janvier, cette nation court le risque très réel de ne plus jamais avoir une élection présidentielle équitable. »

Malgré cela, le système judiciaire esquive et traine des pieds. Les cours de justice au niveau des Etats comme au niveau fédéral sont politisées, et pour certaines corrompues. Les juges sont menacés, les chambres des Etats-clés parlementent et la Cour suprême, récipiendaire de plusieurs plaintes concernant les élections, se retranche derrière ses colonnes.


Les options pour un deuxième mandat

Quels sont les scénarios plausibles à ce stade ?

Les Etats font le ménage par eux-mêmes. Les législatures de chacun des Etats se réunissent pour prendre en compte les fraudes et votent pour changer le résultat de leurs élections et donc le choix des grands électeurs. Il suffit d’une majorité simple. Même si les chambres sont républicaines, elles restent frileuses, mais subissent la pression de leurs électeurs. Le mouvement #StopTheSteal « Arrêtez le vol » rassemblant de nombreux électeurs de Trump a pris de l’ampleur, et des manifestations ont lieu en Arizona, en Géorgie, devant la Cour suprême, exigeant de rétablir l’intégrité des résultats. La prochaine est prévue le 6 Janvier à Washington. Leurs grands électeurs ayant déposé officiellement un vote alternatif pour Trump le 14 décembre dernier, renforcent encore la pression populaire sur les chambres. Si 3 Etats parmi les 6 incriminés choisissent cette option d’ici le 6 janvier, les résultats s’inversent, Donald Trump remporte plus de 270 grands électeurs et gagne les élections.

La loi gouvernant les élections présidentielles prévoit la possibilité pour le Congrès de se réunir s’il s’est produit des irrégularités légales et constitutionnelles dans la tenue des élections dans les états de l’Union. La Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan et le Wisconsin ont été accusés de violer la loi électorale durant ces élections. Ces Etats n’ont pas contesté le fait, ayant généralisé le vote par correspondance sans l’accord des chambres ni les publications requises pour informer le public. Cela permet à l’une ou l’autre des chambres du Congrès de rejeter les votes de leurs électeurs. Le Sénat a la possibilité de se réunir n’importe quand d’ici le 6 Janvier pour statuer sur les élections et voter à majorité simple pour rejeter les électeurs et les votes de ces états. Certains représentants républicains ont eu une réunion avec le Président dans le bureau ovale le 21 Décembre. En cas de rejet, aucun des deux candidats n’obtient 270 votes des grands électeurs. Le Président est alors élu par l’Assemblée, une voix par état, les républicains étant majoritaires, Donald Trump est réélu.

Donald Trump met en œuvre l’ordre exécutif du 12 Septembre 2018 prévoyant les actions à mener en cas d’interférence étrangère dans le déroulement des élections. Le DNI (Director of National Intelligence) John Ratcliffe a confirmé l’interférence étrangère de la Chine, de l’Iran et de la Russie dans les élections dans un communiqué de presse en date du 16 Décembre. A cela s’ajoutent les preuves fournies par plusieurs experts via les avocats et les récentes cyberattaques contre plusieurs départements d’état. Dans ce cas, Trump ordonne la saisie immédiate des machines DVS et exige l’organisation de nouvelles élections dans les états clés sous contrôle militaire, comme le conseille le général Flynn.

Les actions des prochains jours vont témoigner de la résistance de la République américaine et de sa capacité à respecter la volonté du peuple : « We the People ».

Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir

20/11/2020

Retour à la réalité.


Le Dr Roger Hodkinson est l’ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa. Il a déjà été PDG d’un grand laboratoire médical privé à Edmonton, dans l’Alberta, et a occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d’une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, actuellement chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni


***


« Merci beaucoup. J’apprécie l’occasion qui m’est donnée de m’adresser à vous sur cette question très importante. Ce que je vais dire est un langage profane et direct. C’est un contre-récit, et pour que vous ne me preniez pas immédiatement pour un charlatan, je vais vous présenter brièvement mes références afin que vous puissiez comprendre d’où je viens en termes de connaissances de base à propos de tout cela.

Je suis médecin spécialiste en pathologie, y compris en virologie. J’ai été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni. Je suis l’ancien président de la section de pathologie de l’Association médicale. J’étais auparavant professeur assistant à la faculté de médecine, où j’ai beaucoup enseigné. J’ai été président du comité d’examen et de pathologie du Collège royal des médecins du Canada à Ottawa, mais plus précisément, je suis actuellement président d’une société de biotechnologie en Caroline du Nord qui vend le test Covid-19.

Et [inaudible] on peut donc dire que tout ceci est un peu mon domaine. Le résultat est simplement le suivant :

Il existe une hystérie publique tout à fait infondée, menée par les médias et les politiciens. C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. Il n’y a absolument rien à faire pour contenir ce virus. Autre que la protection des personnes âgées et des plus vulnérables. Il ne faut pas penser que ce n’est rien d’autre qu’une mauvaise grippe saisonnière.

Ce n’est pas le virus Ebola. Ce n’est pas le Sras. C’est de la politique qui joue à la médecine et c’est un jeu très dangereux. Il n’y a pas d’autre action nécessaire que ce qui s’est passé l’année dernière lorsque nous nous sommes sentis mal. Nous sommes restés à la maison, nous avons pris une soupe au poulet et aux nouilles, nous n’avons pas rendu visite à grand-mère et nous avons décidé quand nous retourner au travail. Nous n’avons eu besoin de personne pour nous le dire.

Les masques sont totalement inutiles. Il n’existe aucune preuve de leur efficacité, quoiqu’il en soit. Les masques en papier et les masques en tissu sont simplement des signaux de vertu. Ils ne sont même pas portés efficacement la plupart du temps. C’est tout à fait ridicule. Voir ces gens malheureux, sans éducation — je ne dis pas cela dans un sens péjoratif — ces gens se promènent comme des lemmings obéissants avec leur masque sur le visage, sans aucune connaissance de base.

La distanciation sociale est également inutile car le Covid se propage par des aérosols qui parcourent une trentaine de mètres avant de se poser. Les confinements ont eu des conséquences inattendues si terribles. Tout et partout devrait être ouvert demain, comme cela a été dit dans la déclaration de Great Barrington que j’ai fait circuler avant cette réunion.

Et un mot sur les tests : Je tiens à souligner que je travaille dans le domaine des tests pour le Covid. Je tiens à souligner que les résultats positifs des tests ne signifient pas, contrairement à ce qui est affirmé, une infection clinique. C’est simplement une hystérie publique et tous les tests devraient cesser. Sauf si vous vous présentez à l’hôpital avec un problème respiratoire.

Tout ce qu’il faut faire, c’est protéger les personnes vulnérables et leur donner dans les maisons de retraite qui sont sous votre responsabilité, leur donner chaque jour de 3 000 à 5 000 unités internationales de vitamine D dont il a été démontré qu’elle réduit radicalement la probabilité d’infection.

Et je vous rappelle à tous qu’en utilisant les propres statistiques de la province, le risque de décès des moins de 65 ans dans cette province est de un sur 300 000. Un sur 300 000.

Vous devez vous ressaisir. L’ampleur de la réponse que vous appliquez sans aucune preuve est totalement ridicule compte tenu des conséquences des mesures que vous proposez. Tous ces suicides, ces fermetures d’entreprises, ces funérailles et ces mariages [interdits ou annulés – NdT], etc. sont tout simplement scandaleux !

Il ne s’agit que d’une mauvaise grippe et il faut que vous vous en rendiez compte. Laissez les gens prendre leurs propres décisions. Vous devriez être totalement écartés du monde médical. Le médecin hygiéniste en chef de cette province vous mène en bateau. Je suis absolument scandalisé que l’on en arrive à ce niveau. Tout cela devrait s’arrêter demain. Je vous remercie beaucoup. »

***


Appendice:

1/
Un médecin explique comment on fabrique artificiellement une deuxième vague en comptabilisant une partie des morts habituelles (1800 par jour en Novembre) pour des morts covid alors qu'ils ne sont pas morts du covid mais pour d'autres raisons, tout en étant testés positifs (ce qui n'a pas causé leur mort et c'est là que se tient toute l'imposture).
“Dr Laurent Montesino (Réanimateur) "Dans mon quotidien, je n'arrive pas à trouver l'explication de 500 morts par jour en france, je ne comprend pas"
https://t.co/tWoIwuRWLq

2/
Eclair de lucidité?
Constatant l'erreur totale des prévisions des autorités sanitaires sur cette "pseudo deuxième vague" LCI explique très bien pourquoi les mesures (débiles) de ce gouvernement en carton pâte n'ont servi à rien, (si ce n'est à aggraver la situation).La baisse était déja amorcée avant et a eu lieu ailleurs même là où il n'y avait aucune mesure.


29/10/2020

Reconfinement...

Jean-Dominique Michel: "Près de 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement.

Le président Macron, hier soir, a proféré une somme saisissante de mensonges et de données fausses (comme le nombre de décès quotidiens et les "projections" de mortalité, aussi délirantes que celles du printemps).

Cette tribune remet les pendules à l'heure en insistant sur la nécessité de penser intelligemment et raisonnablement les choses.

Nous ne pouvons simplement pas nous permettre un second épisode de panique collective destructrice, sauf à souhaiter l'effondrement de nos sociétés".



TRIBUNE collective: Le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française


C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à le faire accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias mainstream lui ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de cette communication. Et, force est hélas de constater qu’ils jouent très bien le rôle qui leur a été assigné. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, cette communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants, en les changeant au fil du temps si celui qu’on utilisait ne permet plus d’envoyer le message espéré. Et si un indicateur a une évolution en dents de scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent. Il n’y a qu’un seul message possible.

Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a encore opéré. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts : « du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital le 27 octobre, contre 257 la veille (le 26) et 244 (en baisse donc) le 28. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours en les cumulant. Prétendre compter les morts quotidien ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement les chiffres. Et c’est étonnamment ce qui s’est passé la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à son compte ce chiffre faux. Est-ce un détail ? Non, ce n’est hélas qu’un exemple parmi beaucoup d’autres.


Une deuxième vague prétendue « plus terrible encore que la première »

C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le disait il y a quelques jours : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Ce genre de prédiction catastrophiste constitue une manipulation d’un Conseil qui n’est pas scientifique mais politique. Rien ne permet non plus d’affirmer que, sauf confinement, « d’ici quelques mois, c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer », comme l’a pourtant prétendu hier soir le président de la République. Enfin, il est également faux de dire que nous ferions simplement comme tous nos voisins européens. A ce jour, seuls l’Irlande et le Pays de Galles ont reconfiné la totalité de leur population.
Il serait urgent de revenir à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93 % sont négatifs. Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85 % ont moins de 60 ans ; il s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme grave de la maladie. Au final, moins de 1% de la population est donc « à risque » et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.

Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 1er septembre et le 20 octobre, jour où nous avons fait ce calcul), 7.621.098 personnes ont été testées. Sur cette même période, 38.100 individus ont été hospitalisés (0,5 %) et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09 %) avec un test positif au Covid. En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%. Justifier le reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appelle un délire.

On dit alors : « oui, mais l’hôpital est submergé par le Covid ». Manipulation encore, pour trois raisons. D’abord, les tests ayant été généralisés depuis juillet, toute personne entrant à l’hôpital porteuse d’une trace du Covid est comptée comme un « hospitalisé Covid » même si elle vient en réalité pour son cancer ou son hypertension. Et c’est la même chose si elle entre en réanimation ou si elle décède. Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation et de la réanimation augmentent bel et bien, cela n’a rien d’exceptionnel : c’est au contraire ce qui se produit chaque année à la même époque (automne-hiver) mais que l’on fait semblant d’avoir oublié. Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé de nos politiques et des journalistes ? Faut-il rappeler qu’en janvier 2020, à la veille de la crise du Covid, 1.000 médecins dont 600 chefs de service des hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer « un hôpital public qui se meurt » ? Enfin, il y avait hier, le 28 octobre, 3.045 personnes en réanimation. Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?

La vérité est que les gouvernements ne veulent pas investir dans l’hôpital public où l’on maltraite les professionnels et où l’on a perdu près de 70.000 lits en 15 ans lors même que la médecine de ville est saturée et que les services d’urgence voient leur fréquentation augmenter d’année en année. Oui, l’hôpital est en tension mais ce n’est pas fondamentalement à cause du Covid ! C’est essentiellement à cause de la maltraitance politique dont ce service public est l’objet de manière générale depuis plus de 20 ans, et tout particulièrement depuis que les politiques y ont introduit comme partout une politique du chiffre et de la rentabilité inspirée du management des grandes entreprises.


La vie sociale amputée, la démocratie en péril

La vérité est que le confinement (qui sera peut-être prolongé au-delà du 1er décembre) crée bien plus de problèmes qu’il n’en résout. Son bilan mondial n’est associé à aucune réduction mesurable de la mortalité tandis que son principal résultat observable est d’abord de mettre au chômage des centaines de milliers et peut-être demain des millions de personnes, surtout évidemment parmi les plus fragiles (emplois précaires, CDD, Intérim, personnes payées à la prestation, saisonniers, etc.), et de menacer de disparition la plupart des petites entreprises, souvent familiales, autres que les commerces de bouche, dont l’activité quotidienne est la seule source de revenu. Gageons que les très grands groupes s’en satisferont car ils les rachèteront sans doute demain.

Ces mesures de confinement ont ensuite pour effet d’amputer la vie sociale de la plupart des liens sociaux autres que familiaux. Un certain style de vie et de pensée embourgeoisé s’en satisfaisait certes au printemps dernier, chaque enfant ayant sa chambre pour vivre son intimité, son ordinateur pour rester en contact avec l’école et son smartphone avec forfait illimité pour échanger en permanence avec ses amis, les parents faisant du télétravail, sortant chaque jour faire leur footing dans des rues et des espaces verts « où on entendait de nouveau les oiseaux », et se faisant livrer des repas à domicile s’ils avaient la flemme de faire à manger ou la peur d’aller se mêler à la populace dans un supermarché. Mais de quelle proportion de la population cette vie est-elle le quotidien en confinement ? Qui ne voit que le confinement fait exploser les inégalités sociales, les échecs scolaires, les violences intra-familiales, les troubles psychologiques et les renoncements au soin ? Qui ne sait qu’il entraine déjà dans d’autres pays des soulèvements et des émeutes de la faim ? Et qui comprend que les oiseaux ont bon dos et que ces petits moments de répit procurés par la panique des humains ne sont rien au regard de leur lente extinction ?

Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche par l’état d’urgence permanent et le confinement. Qu’est-ce qu’une démocratie sans liberté d’aller et venir, de se réunir et de manifester ? Qu’est-ce qu’une démocratie où il n’y a quasiment plus personne dans les hémicycles des assemblées parlementaires ? Qu’est-ce qu’une démocratie où la justice est paralysée faute de pouvoir audiencer ? Qu’est-ce qu’une démocratie où, finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ? Qu’est-ce qu’une démocratie où tout ceci s’impose par la peur et la culpabilisation, voire la censure et la mise en accusation de quiconque refuse d’y céder ?

Chacun, en conscience, tirera les conséquences qu’il veut de tous ces dramatiques constats. Nous n’appelons pas à la révolution et nous ne faisons pas de politique partisane. Mais nous voulons dire que nous en avons plus qu’assez qu’on nous demande de nous comporter comme les moutons de Panurge au nom d’un principe de précaution totalement dénaturé et d’interprétations statistiques relevant de la manipulation. Nous réclamons qu’on en finisse avec cette panique sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leurs missions de santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique sanitaire consensuelle.


Signataires

Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1
Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois
Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France
Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention
Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales (DRASS) honoraire
Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à l’Université de Paris
Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement
Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur
Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Directeur du Centre de Droit public comparé
Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord
Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille
Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des Barreaux
Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS
Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux
Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes
Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation
Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée
Malick Abubakr Hamid Diallo, journaliste
Virginie Bauer, journaliste-enseignante
Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université
Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université
Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie
Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours
Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de Bourgogne
Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse
Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
Dominique Domergue Anguis, gynécologue
Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux
David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre
Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes
Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux
Rose-Marie Castello, médecin du Travail
Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)
Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris 8 Vincennes à Saint-Denis
Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)
Florence Lair, radiologue libérale, Blois
Nassim Moussi, Architecte
Jean-Christophe Besset, Réalisateur
Luc Petitnicolas, Responsable R&D - Chargé de cours
Murielle Dellemotte, Médecin du Travail
Monique Lamizet, médecin
Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
Monique Romagny-Vial, professeur des universités
Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux
Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)
Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS
Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques
Pierre Grenet, écrivain
André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne Sorbonne
Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie
Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire
Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur
Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS
Pierre Duchesne, Psychanalyste
Michel Angles, médecin généraliste (12)
Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)
Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste
Christian Perronne, médecin infectiologue
Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)
Eugenia Lamas, chercheuse en éthique, INSERM
Hervé Joly, directeur de recherche CNRS, Lyon
Sylvie Laval, psychiatre
Daniel Chollet, médecin pneumologue
Brigitte Agostini, infirmière libérale, Propriano
David Esfandi, psychiatre-addictologue, Bordeaux
Thiou Sandrine, médecin généraliste à Besançon
Ariane Bourgeois, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste, Villenave d’Ornon
Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste Bourges
Frédéric Monier, Professeur d’histoire contemporaine, Avignon Université
Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
Brigitte Weiss, Médecin généraliste
Laura Giusti, Médecin psychiatre
Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS
Eric Bouvier, pharmacien
Bernard Cornut, polytechnicien
Sophie Tasker, Traducteur et Expert Judiciaire
Mohamed Zelmat, biologiste médical
Dominique Jaulmes, médecin retraitée, ancien PHTP AP-HP
Anne Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des Universités en sciences humaines, ancien médecin et expert honoraire près des Tribunaux
Tanguy Martinelli, médecin généraliste à Issigeac (Dordogne)
Frédéric Hasselmann, professeur de musique, chef d’entreprise, responsable d’association
Jean-Pierre Grouzard, retraité des Industries Electriques et Gazières
Caroline Mecary, Avocate aux barreaux de Paris et du Québec, Ancien Membre du Conseil de l’Ordre
Bernard Banoun, Professeur de littérature allemande, Sorbonne Université, Faculté des Lettres
Hugues Debotte, Conseiller en droit
Sendegul Aras, avocat au barreau de Strasbourg, Membre du Conseil de l’Ordre
Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier
Lisbeth Girard Claudon, Médecin généraliste
Benoît Rousseau, juge des libertés et de la détention (Cayenne)
Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, Cadre Hospitalier
Delphine Rive, médecin généraliste (Rezé)
Claude Gautier, professeur de philosophie, École Normale Supérieure de Lyon
Nathalie Caradot, médecin généraliste
Michel Soussaline, chirurgien AIHP- ACCAHP
Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de Strasbourg
Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire de l’université d’Artois
Lucie Jouvet Legrand, Maîtresse de Conférences en Socio-Anthropologie
Caroline Petit, chercheuse au CNRS, USR 3608
Pascal Lardellier, Professeur de sciences de la communication à l’Université de Bourgogne
Aurélia Vessière, Chercheur en maladies infectieuses
Nathalie Bauer, écrivain, traductrice littéraire
Marie-José Minassian, philosophe
Fausto Lanzeroti, Ostéopathe D.O.
Jean-Marc Le Gars, Avocat au Barreau de Nice
Michel Deshaies, Professeur de Géographie, Université de Lorraine
Thierry Orsiere, Ph D HDR, Ingénieur de Recherche en Toxicologie Génétique à Aix Marseille Université
Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale
Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste (Besançon)
Patrick Bellier, Pneumologue
Isabell Erhardt, médecin généraliste
Franklin Joulie, Chirurgie Gynéco-Obst (Nantes)
Pascal Sacré, Anesthésiste-réanimateur
Pierre-Olivier Weiss, Attache temporaire d’enseignement et de recherche à l’Université des Antilles
Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, formateur
Pascal Pannetier, Chef d’entreprise
Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
Jeanine Jemet, médecin généraliste
Rosa Gutierrez Silva-Lenud, infirmière, diplômée en Santé publique
Claude Amzallag, musicien
Bénédicte Helfer, Expert Science de Régulation
Nicole Foulquier, Avocat (Beziers)
Claude Murtaza, médecin généraliste
François Gastaud, Chirurgien orthopédiste
Amélie Castellanet, historienne de l’art
Sara Melki, Ouvrière agricole
Léna Barbancey, infirmière
Vincent Pavan, maître de conférences en mathématiques, Aix-Marseille Université
Eve Martin, psychologue de l’Education nationale
Nicolas Védrines, kinésithérapeute diplômé en ingénierie
Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne, Psychothérapeute
Michel Boudet, Médecin généraliste
Anne-Elisabeth Migeon, Diététicienne/Nutritionniste
félix giloux, critique d’art
Béatrice Adam, Kinésithérapeute
Maylis Ferry, post-doctorante en science politique au Centre Émile Durkheim
Justine Schaal, infirmière diplômée d’Etat
Idriss Abiola, infirmier anesthésiste, Paris
Pierre Sonigo, directeur de recherche et développement
Rik Verhellen, médecin généraliste
Paul Rocchietta, directeur financier
Pierre Concialdi, chercheur en science sociales
Laurent Lederer, comédien
Alain Le Hyaric, Médecin de Santé publique, Paris
Koryna Socha médecin, PH, docteur en sciences médicales
Jean Baptiste Mouzet, praticien hospitalier gériatre, Maine-et-Loire
Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité
Jean Jacques Gandini, Avocat honoraire, Montpellier
Marie Monguet, psychologue clinicienne
Jean-Marc Rehby, médecin généraliste (Lille)
François de Chabalier, psychiatre, épidémiologiste
Cynthia Galand, infirmière diplômée d’état
Christine Pavon, professeure des écoles
Sophie Helayel, Accompagnante d’élève en situation de handicap (AESH)
Jérôme Reynier, Docteur en psychologie sociale
Arthur Roncetto, bibliothécaire
André-Pierre Bouillet, médecin généraliste (Talant)
Jean-Dominique Michel, socio-anthropologue
Maryse Pechevis, Avocat à la Cour (Montpellier)
Nadège Pandraud, enseignant-chercheur à Aix-Marseille Université
Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice
Heike Freire, philosophe et psychologue, spécialiste de la Pédagogie Verte
Christian Castellanet, Agro-écologue
Dominique Leiber, médecin généraliste
Margot Mottet-Caisson, étudiante à l’Université
Pascal Roman, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse à l’Université de Lausanne
Gaël Raimond, étudiant infirmier
Joo Zimmermann, Ingénieur Agronome, chargée d’accompagnement
Maxime Langevin, doctorant en mathématiques appliquées
Hélène Chollet, Docteur en médecine
Béatrice Petit, médecin généraliste
Raphaël Sendrez, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe
Nicole Chaudiere, pharmacienne
Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille
Vincent Manns, médecin généraliste acupuncteur
Martine Mérour, pneumologue
Myriam Balsat, médecin généraliste
Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
Anne Atlan, Directrice de Recherches au CNRS, Généticienne des populations et Sociologue
Caroline Mouzet-Heaulme, Médecin généraliste
Christophe Sgro, avocat, barreau de Nancy
Eliana Carrasco-Rahal, traductrice, autrice
Gilles Moulard, chauffeur-livreur
Adèle André, Juriste
Dominique Bouvier, pharmacienne
Marie-Louise Chaix, micro-entrepreneur
Ralph Lévy, Étiopathe
Nicole Roattino, pharmacienne Praticien Hospitalier
Chantal Hecq, retraitée
Evelyne Jaumary-Lapeyre, avocat, docteur en Science Politique
Sybille Burtin-Philibert, Médecin spécialiste de Santé Publique
Laurent Durinck, médecin anesthésiste
Véronique Ahari, édecin nutritionniste
Nathalie George, médecin du travail et épidémiologiste
Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en Ehpad
Dominique Crozat, professeur de géographie à l’Université Paul Valéry Montpellier 3
Thierry Medynski, médecin généraliste
Teddy Francisot, Avocat à Montpellier
Blanche Magarinos-Rey, avocate au Barreau de Paris
André Bonnet, avocat au barreau de Marseille
Hélène Palma, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille
Jean Luc Wabant, avocat
Guy Chapouillié, Professeur Emérite à l’ENSAV de Toulouse
Évelyne Gandais, Dermatologue
Nicole Karsenti, Médecin généraliste
Fabien Giboudot, médecin généraliste (39)
Gwennola Nouet Berthelot, docteur en médecine (49)
Édith Delbreil, avocate au barreau d’Avignon
Serge Rader, Pharmacien, Paris
Valérie Giraud, Sage-femme sexologue
Emmanuel Sarrazin, médecin généraliste
Frédéric Barbe, maître de conférences associé à l’Ecole d’Architecture de Nantes
Jean Louis Pasquier, formateur pour adultes et praticien en cohérence cardio-respiratoire
Christine Pasquier, formatrice, coach et praticienne en cohérence cardio-respiratoire
Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue
Anne Catherine Martin, médecin généraliste
Paul-André Bellot, chirurgien dentiste
Francine Barouch, médecin Homéopathe (Nice)
Catherine Delmas, médecin généraliste, Toulouse
Jean Emsallem, médecin angéiologue
Morgane Miègeville, cadre de santé
Jean-Philippe Golly, informaticien
Patricia Melot, médecin généraliste
Christophe Lemardelé, docteur en histoire des religions, chercheur associé au CNRS
François Le Gall, musicien
Sylvie Huitorel, infirmière libérale (56)
Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)
Philippe Bos, anesthésiste-réanimateur retraité
Aline Hubert, hydrogéologue
James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université Rennes 2
Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire, université de Caen-Normandie
Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste
Lidia Wacheux, aide-soignante
Laurent Toussaint, Conseiller en Investissements Financiers, Professeur à Montpellier Business School
Bénédicte Dassonville, médecin généraliste
Sylvie Imbert, informaticienne
Elsa Ronchi, Cheffe de projet Développement Social Urbain
Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
Tamara Baron, psychologue
Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)
Pierre Maugeais, médecin généraliste (30)
Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste, CHU Marseille
Manuel Zacklad, professeur en Sciences de l’Information et de la Communication au CNAM
Paul Report, retraité, ancien magistrat des tribunaux administratifs et cours administratives d’appel
Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université


16/10/2020

Le délire empire ... (couvre feu)


Début Octobre à fin Décembre...
Cette période de redémarrage en sens direct de la triple conjonction planétaire large ( Jupiter-Pluton-Saturne ) jusqu'à la fameuse conjonction exacte de Jupiter-Saturne à 0° du Verseau est ponctuée par une série de carrés entre chacune d'entre elles et Mars (qui lui, rétrograde en Bélier).
Cela correspond à toute une série de conflits, obstacles, erreurs, excès ou difficultés qui émaillent tout cet automne.



-Nos dirigeants continuent de s'enfoncer dans leur folie précautionneuse en agitant des chiffres biaisés ou trafiqués qui ne veulent plus rien dire et alors que la mortalité reste très habituelle pour cette période.
La solidarité l'emporte désormais sur la liberté.
Un concept de solidarité vraiment bidon puisque les mesures prises en son nom ne servent à rien d'autre qu'à soumettre une population bien portante et détruire le monde de la nuit ou des loisirs.
On est de plein pied dans une dictature sanitaire punitive (état d'urgence revoté, décrets et diktats imposés, répression, censure etc.).

S'ils recevaient l'approbation de 95% de la population lors du confinement de Mars, ils semblent encore être appuyés par 60 à 65% de la population, apeurée et désinformée par des médias aussi bêtes que serviles.
C'est encore trop mais déja beaucoup moins: l'opposition à cette politique du pire est passé de 5% à 35 ou 40%.

La bascule pour fin Décembre ?




Sur Twitter, Youtube, Facebook la censure est désormais officielle et avérée contre tout ceux qui s'opposent au discours officiel (taxés de complotistes), contre ceux qui critiquent les vaccins, qui louent l'HXC, qui critiquent Biden, la politique sanitaire , etc.

Alliance de circonstance entre les GAFAMs, l'industrie pharmaceutique et tous les dirigeants occidentaux paniqués ou incompétents qui laissent s'exprimer leurs tendances tyranniques, leur goût du pouvoir.
Avec la cohorte d'idiots utiles qui croient sincèrement que c'est la bonne voie.

- Malgré ce forcing des forces obscures qui nous gouvernent "pour notre bien" les protestations de toutes sortes continuent.
Les preuves des mensonges s'accumulent ( la presse ne les relaie pas beaucoup).
Une résistance s'organise doucement en même temps que la conscience progresse (très lentement).
La justice bouge et agit : perquisitions aux domiciles d’Edouard Philippe, Olivier Véran, Agnès Buzyn , Jérôme Salomon et d'autres. Ordinateurs saisis.

On avance...

(A suivre)

08/10/2020

Bonsens


Face au délire collectif des autorités sanitaires, politiques et des médias, qui dégénère, la résistance et la contre-information s'organise.

Un exemple:
https://bonsens.info/qui-sommes-nous/

Une association d'au moins 10000 personnes regroupant notamment quelques-unes des voix de la dissidence face au récit fictif du pouvoir.

Avec:
- Christian Perronne (Y a-t-il une erreur qu'ils n'ont pas commise ?)
- Valerie Bugault
- Martine Wonner
- Xavier Azalbert (France-soir)
- Silvano Trotta
- Alexandra Henrion Caude
etc...

19/09/2020

Masques, régression massive et primitive?


Mi Septembre.
Bilan sur les masques (qui confirme ce que j'ai déja posté ici)

Article complet des époux Delépine paru dans France-soir.



Tribune : Depuis que Karine Lacombe et les quelques membres de stop postillon ont appelé au port du masque en tout lieu et pour tous et que l’obligation du port du masque fait tache d’huile en France, il est prudent, si on ne veut pas être traité de complotiste de sanctifier celui-ci.

Mais s’agit-il d’une simple croyance, de propagande à visée politique ou de science reposant sur des faits établis ?



La croyance dans l’efficacité du masque ne repose sur aucun élément scientifique.

En mars et avril 2020, au plus fort des contaminations et des malades réels, le gouvernement d’Édouard Philippe a expliqué successivement que les masques étaient inutiles pour la population générale, puis qu’ils ne pouvaient pas être efficaces, car les Français ne savaient pas les mettre ni les retirer correctement. Des médecins parlaient de « légende urbaine », les mêmes qui aujourd’hui veulent greffer un cerveau aux collègues qui osent poser des questions et critiquer éventuellement ce port obligatoire, partout et à tout âge ou presque.



Epidémie terminée, masque obligatoire ! LOGIQUE !

Et maintenant que l’épidémie(1) est terminée, que les malades ne meurent plus et sont devenus des « cas » positifs grâce à une technique qui repère les restes de virus morts non contaminants, le chef de l’état a appelé à en porter :

« Mettez des masques, mettez des masques… même en extérieur, même quand on a une bonne distance, c’est plus prudent… même les jeunes qui ont souvent des formes légères, ou asymptomatiques qui considèrent que ce n’est pas grave et qu’ils peuvent prendre des risques. Simplement quand ils prennent ces risques, ils accélèrent la propagation du virus » ! Et son gouvernement proclame une obligation généralisée en prétendant qu’elle est efficace. Qui doit-on croire ? Le gouvernement de mars-avril ou celui d’août-septembre (d’autant que ce sont les mêmes personnages, en dehors de la resplendissante porte-parole) ?

Et sur quels éléments scientifiques basent-ils leurs fluctuants crédos ?

Interrogée par le Parisien, le Dr Clémentine Denis, médecin française basée à Tampere précise : « le masque, si utilisé correctement, permet d'éviter qu'un porteur du virus ne contamine les autres par pulvérisation dans l'air(2). Il ne protège pas nécessairement les personnes saines qui le porteraient et peut, de façon paradoxale, être plus à risque de contamination si mal utilisé ».

Une très complète étude réalisée par F Pesty (3) qui fait la somme de toutes les articles publiés sur le sujet et en particulier des macroanalyses récentes conclue, comme C. Del Mar et P. Glasziou, co-auteurs de la dernière revue Cochrane 2020 sur le sujet : « l’urgence est à vérifier dans des essais cliniques rigoureux que les masques portés par des personnes supposées infectées, permettent réellement d’éviter la propagation de l’infection virale respiratoire. Seulement dans ce cas, le port du masque serait une bonne alternative ou un complément utile aux autres mesures, distanciation sociale, lavage des mains, confinement. »

Cette conclusion rejoint celle d’Anders Tegnell, l’épidémiologiste qui a mis en place la stratégie suédoise « il n’est pas prouvé que la généralisation de son port dans la société ait un effet sur la propagation du virus. “J’ai hâte que [cette preuve] arrive”. « Il est très dangereux de croire que le port du masque puisse changer l’évolution de l’épidémie COVID-19 (4) »



Revenons aux faits établis et publiés par l’OMS (5)

Il n’existe pas d’étude randomisée fiable sur l’utilité du port du masque généralisé à toute une population. Force est donc d’analyser les faits constatés et en particulier l’évolution récente des contaminations selon la politique sanitaire concernant le port du masque dans les différents pays telle qu’elle est publiée dans les bases de données de l’OMS.

Lorsqu’on analyse les données récentes de l’OMS on constate que l’obligation policière du port du masque telle qu’elle est imposée en France, Espagne et Italie s’accompagne d’une recrudescence de contaminations alors qu’en Suède, Pays-Bas et Biélorussie pays sans obligation de masque, la situation s’est stabilisée.

D’après les chiffres publiés par l’OMS(6), l’Espagne qui impose le masque plus sévèrement que la France est exposée à une multiplication encore plus forte des cas (7) avec une incidence hebdomadaire de 857/M (40087 nouveaux cas pour 46M d’habitants) contre 701/M en France (43686 pour 65M), et 157/M en Italie.

Les pays qui n’imposent pas le port du masque, mais émettent de simples recommandations, font confiance à leur population et ne lui mentent pas, comptabilisent dans ces dernières semaines beaucoup moins de contaminations : 246 cas/M au Pays-Bas (4227 pour 17M), 79/M en Suède (802 pour 10M) et 120/M en Biélorussie. (1140 pour 9,5M).

image1.png



Les faits avérés mettent donc fortement en doute l’intérêt sanitaire de l’obligation généralisée des masques, faisant même craindre un effet pervers imprévu, le masque augmentant éventuellement les contaminations.

Le masque inutile chez l’enfant est dangereux et peut même tuer

Le Professeur G. Desuter, laryngologue aux cliniques universitaires Saint-Luc (Bruxelles), a mis en garde contre les effets nocifs du port permanent du masque par les enseignants(8).

“Produire une voix nous en coûte en termes d’énergie…Cela est d’autant plus vrai du professionnel de la voix qui se doit de projeter cette même voix durant de longues heures, souvent dans le bruit et se devant de capter l’attention d’un auditoire par l’intonation. L’effort est intense, et met à mal – en temps normal déjà – la physiologie vocale de l’enseignant, mais aussi de l’avocat, du journaliste, du tribun, du comédien du maraîcher, etc. Projeter la voix est un art, une profession en soi.”

Porter la voix avec un masque devant la bouche tout au long d’une journée relève de l’hérésie physiologique.



Une hérésie physiologique

Outre une fatigue professionnelle d’installation quasi immédiate, il sera à haut risque de lésions traumatiques des cordes vocales. En effet, au déficit respiratoire répondra une tentative de compensation – bien illusoire – par un forçage laryngé créant hémorragies, polypes et nodules. Ces lésions rendent dysphonique et parfois même aphonique ».



Recommandations OMS

Un document baptisé “Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19” publié par l’Organisation Mondiale de la Santé(9) précise : « dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants :

Risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées, auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes ;

-mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé ; lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ; difficulté de communiquer clairement ; sensation possible d’inconfort ; fausse impression de sécurité pouvant conduire à un respect moins scrupuleux des mesures préventives qui ont fait leurs preuves comme la distanciation physique et l’hygiène des mains ; port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant ; problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entraîner une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement ;

-difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale ; désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par les enfants, les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales, les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives, les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques, les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillofaciale, ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide.»

C’est l’OMS qui l’écrit et non pas le complotiste de base ….

Les accidents ne sont plus exceptionnels

Le 23 avril 2020, un conducteur du New Jersey s'est écrasé sur un poteau de téléphone après s'être évanoui et avoir porté un masque N95 pendant des heures(10). La police de Lincoln Park pense que le conducteur, a perdu connaissance au volant jeudi à cause d'un manque d'oxygène et d'une respiration excessive de dioxyde de carbone du fait au masque, a écrit le département sur Facebook. Le chauffeur a été emmené dans un hôpital local, pour des blessures ne mettant pas sa vie en danger.

Chez les personnes fragiles (personnes âgées, insuffisants respiratoires, asthmatiques les risques sont accrus et c’est pourquoi ces conditions représentent des contre-indications reconnues au port du masque. Un drame récemment survenu en Allemagne vient de rappeler que refuser de tenir compte d’un certificat médical peut avoir des conséquences dramatiques.(11)

Une jeune allemande de 13 ans, asthmatique, a pris comme chaque jour le bus scolaire. Malheureusement, le conducteur a refusé de tenir compte de son certificat médical précisant que le port du masque était contre-indiqué chez elle et l’a obligé à en mettre un. En cours de transport, elle a présenté des signes d’asphyxie suivi d’un arrêt cardiaque(12). Le Samu arrivé en urgence n’a pas permis de la sauver. Imaginez l’état de la famille, des responsables du chauffeur mais aussi du chauffeur lui-même.

Cela est d’autant plus triste que le port du masque n’a aucune justification médicale à cet âge, car l’enfant ne transmet pas le coronavirus, et que lorsqu’il est infecté (par un adulte proche), il ne souffre que de formes bénignes. (13) (14)

Et après moins d’un mois de cette maltraitance des enfants et adolescents (adultes aussi, mais ils devraient être capables de se défendre), les consultations chez les généralistes se multiplient.



Michel Dogna (15) dans sa newsletter résume les motifs de consultation : « des médecins généralistes qui donnent l’alerte sur le fait que 25% des pathologies actuellement rencontrées en cabinet sont les conséquences dues au port du masque.

En voici une liste non exhaustive :

• Bronchites sévères

• Conjonctivites graves (cause expirations rejetées vers le haut)

• Furonculoses

• Grande fatigue

• Herpès labiaux

• Impétigo

• Staphylococcies sur les lèvres et les joues

• Streptocoques

Sans compter les allergies cutanées dues au frottement du masque et les irritations aux oreilles dues aux élastiques ».



N’en rajoutant pas en rappelant que malencontreusement il fait des 38 ° 40 ° dehors et dans les classes et que les profs terrorisés par leur direction, elle-même sous pression du recteur, et/ ou par le virus pourtant bien adouci, n’osent pas libérer les enfants. Espérons tout de même que le bon sens règne parfois et que nous n’entendons parler que des délires multiples et variés et des accidents.



Il poursuit : Les risques face au port continuel du masque annoncés par des médecins non soumis

« Les bactéries qui se collent sur les masques se transforment en champignons.

Il existe 3000 bactéries par centimètre carré sur une main.

Porter un masque rend malade. En quelques semaines, vous allez faire de l’hyperventilation, vous allez tousser et avoir mal à la gorge, vous allez avoir d’énormes soucis de bronches car vous allez développer un champignon interne dû à la respiration de la moisissure, champignons des bactéries.



Voici comment ils vont créer la deuxième vague Covid 19 promise ; ils prétendront que c’est une nouvelle épidémie respiratoire. Il est logique que si tout le monde porte un masque, une nouvelle vague va arriver ; or elle ne sera pas à cause d’un virus grippal, mais d’une infection bactériologique des bronches due à une respiration constante dans un cloaque de “cuvette de WC”. »



Il faut aussi insister sur les conséquences nocives du masque permanent sur le comportement.

Selon le psychologue Patrick Fagan(16) “Les masques rendent stupides, et réduisent les barrières morales humanistes.

“Les masques peuvent désormais être ajoutés à la liste des obligations qui vous rendent stupides. […] voici les faits qui expliquent pourquoi vous ne devriez absolument, catégoriquement, pas porter de masque. Ils vous rendent influençables ; ils vous rendent plus susceptible de suivre les directives de quelqu’un d’autre et de faire des choses que vous ne feriez pas autrement. En bref, ils vous privent de votre fonction exécutive – votre conscience. »

Un seul exemple, mais il faut lire ce papier et y réfléchir : « Miller et Rowold (1979) ont présenté un bol de chocolats aux participants à Halloween et leur ont dit qu’ils n’avaient le droit d’en prendre que deux chacun. Lorsque les enfants pensaient qu’ils n’étaient pas surveillés, ils se servaient eux-mêmes. Les enfants sans masque ont enfreint la règle, en prenant plus de chocolats, 37% des enfants non masqués, contre 62% pour les enfants masqués. Les auteurs ont conclu que les masques “entraînent une diminution des inhibitions comportementales”. […] »(17)

« Castle (1986) a écrit que les mascarades du XVIIIe siècle permettaient aux porteurs de masques de libérer leurs pulsions hédonistes et sexuelles réprimées ; et Caillois (1962) a écrit de la même façon sur les carnavals masqués européens impliquant des activités libidinales, notamment “les indécences, les bousculades, les rires provocateurs, les seins à découvert, les imitations de bouffonnerie, une incitation permanente à l’émeute, les festins et les excès de paroles, de bruit et de mouvement”.

Au XIIe siècle, le pape Innocent III a interdit les masques dans le cadre de sa lutte contre l’immoralité ; et en 1845, l’État de New York a rendu illégal le port de masques en public par plus de deux personnes, après que des agriculteurs aient porté des masques pour attaquer leurs propriétaires.(18) »MORALITE, si vous vous voulez sauver vos chocolats, masquez vos enfants, mais si vous voulez des maris fidèles, ne les masquez pas. Trêve de plaisanterie, nous ne savons pas si nos médecins stop postillons ou autres sont conscients des conséquences neurophysiologiques, comme psychiatriques du port permanent du masque, mais nous les invitons à se plonger dans la neuro-imagerie avant d’asséner leurs avis péremptoires de pseudo- savants sur les chaines TV et les radios.

Le mieux est l’ennemi du bien, et le diable se cache dans les détails, mais le masque est-il un détail ?

[1] Une épidémie est l’extension d’une maladie avec augmentation du nombre de malades qui ont des signes cliniques, qui souffrent, qui nécessitent des traitements et dont la vie est menacée par la maladie ce qui n’est plus le cas depuis plus de 3 mois
[2] Rappelons que la contamination par pulvérisation dans l’air n’est qu’une hypothèse évoquée sur des données de laboratoire et qu’elle n’a pas été retrouvée dans les études épidémiologiques dans le monde réel.
[3] F Pesty pour France soir Chronique Covid N°11 – « Bas les masques : une efficacité trop incertaine »
Publié le 21/07/2020 http://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg11-bas-les-masques-une-efficacite-trop-incertaine
[4] https://nypost.com/2020/08/19/swedens-tegnell-wearing-face-masks-may-be-very-dangerous/
[5] Reference OMS port du masque
file:///D:/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-eng.pdf
[6] (Coronavirus disease (COVID-19) Weekly Epidemiological Update Data as received by WHO from national authorities, as of 10 am CEST 10 September 2020)
[7] Mystère : pourquoi le port du masque ne fonctionne pas en Espagne EL CONFIDENCIAL – MADRID 2/9/2020
[8] Pr Desuter Pour les enseignants, le port du masque en permanence pourrait être dangereux RTBF https://www.rtbf.be/info/societe/detail_pour-les-enseignants-le-port-du-masque-en-permanence-pourrait-etre-dangereux?id=10579064
[9] Advice on the use of masks in the context of COVID-19 Interim guidance 5 June 2020 file:///D:/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-eng.pdf
[10]New Jersey driver crashes car after passing out from wearing N95 mask By Craig McCarthy April 24, 2020 https://nypost.com/2020/04/24/driver-crashes-car-after-passing-out-from-wearing-n95-mask/
[11] Rappelons que chaque médecine inscrit à l’ordre est en droit de rédiger un certificat de contrindication s’il le pense nécessaire chez son patient. Les médecins qui refusent mettent aussi leur responsabilité vis-à-vis de leur malade s’il lui arrive quelque chose. Se protéger de tous côtés n’est pas si simple et l’ordre n’est pas tout puissant.
[12] Tragisch: Starb Schülerin in Deutschland wegen Masken-Pflicht? https://www.wochenblick.at/tragisch-starb-schuelerin-in-deutschland-wegen-masken-pflicht/
[13] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la-maltraitance
[14] Les grands parents peuvent … France soir
[15] https://micheldogna.fr/masque-a-lecole
[16] https://covidinfos.net/covid19/les-masques-vous-rendent-stupides-selon-le-psychologue-patrick-fagan-qui-denonce-une-forme-de-deshumanisation/
[17] « Les effets désinhibiteurs du port d’un masque sont décrits par les psychologues en termes de suspension des mécanismes de contrôle du surmoi, permettant aux impulsions subconscientes de prendre le dessus. Saigre (1989) a écrit que les masques “raccourcissent” les systèmes de défense conscients et encouragent une “régression massive” vers un état plus primitif »
[18] « Du point de vue de la neuro-imagerie, les masques sont connus pour inhiber l’identité et le contrôle des impulsions – tous deux associés à la fonction exécutive dans le cortex préfrontal (par exemple, Glannon, 2005 ; Tacikowski, Berger & Ehrsson, 2017). En d’autres termes, les masques font taire le Jiminy Cricket dans le cerveau »

04/08/2020

Panique organisée. Pourquoi ?


Excellent article paru dans France-soir le 31 Juillet
écrit par Nicole Delépine, toujours sur le coup avec acuité.


Extraits:

En mars 2020, nous sommes entrés dans un monde délirant gouverné par la peur et les mensonges de nos autorités qui font actuellement tout pour prolonger la panique sans justifications médicales réelles.


La réalité est à l’opposé de ce que nous annonçaient les prédicateurs d’apocalypse, leurs simulations et le comité scientifique, celui-là même qui aujourd’hui nous recommande de porter des masques, de nous faire tester et d’installer une application de traçage sur nos téléphones (stop covid) alors que la maladie a quitté notre territoire.


La protection de nos ainés, victimes désignées du Covid19 constituait l’objectif « officiel » prioritaire du confinement. Or toutes les mesures prises durant la loi d’urgence ont abouti à les éliminer sans témoin et en empêchant de leur rendre le dernier hommage. Le meurtre avec préméditation par Covid non traité et/ou Rivotril des pensionnaires des Ehpad constitue l’infamie la plus triste du confinement. Le terme assassinat est violent, mais correspond aux faits constatés d’une mise à mort organisée.


Pendant le confinement des centaines de milliers de personnes n’ont pas pu recevoir les soins dont elles avaient besoin parce que le plan blanc réservait toutes les capacités d’hospitalisation pour le tsunami COVID-19 qui « n’allait pas manquer de nous submerger partout ».


Pendant cette période, pour montrer qu’il était efficace, le pouvoir a organisé des grands spectacles TGV covid, Evasan, Covid et hôpital militaire de campagne Covid alors qu’il suffisait parfois de pousser une porte pour trouver les lits, des respirateurs et des soignants en nombre suffisant.


On juge une mesure sanitaire à son résultat : le nombre de morts par million d’habitants. Sur ce critère, d’après les chiffres OMS du 24 juillet, la France se place au 6ème rang mondial des plus fortes mortalités des 197 états membres avec 483 décès/million derrière la Belgique (846/M), la Grande-Bretagne (671/M), l’Espagne (608/M), l’Italie (580/M) et la Suède (562). Les mieux placés étant Taiwan (1/M), le Japon (8/M), la Corée (6/M), Singapour (5/M), la Malaisie (4/M), le Maroc (8/M), l’Algérie (27/M), l’Inde (24/M) et les pays africains d’endémie palustre dont les populations prennent quotidiennement des antipaludéens.

En France, l’épidémie est terminée

Une maladie existe lorsqu’elle entraîne des malades, des personnes qui présentent des signes cliniques, qui nécessitent des soins, des hospitalisations et qui sont menacées de mort. Or, lorsqu’on consulte les données officielles de Santé Publique France, on constate depuis 3 mois une baisse continue du nombre des hospitalisations, du nombre d’entrées en réanimation et du nombre de décès, indicateurs clés d’une épidémie évolutive ainsi que le montrent les graphiques officiels suivants :


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Depuis le début de l’année, la mortalité n’a dépassé la limite supérieure de la valeur statistiquement attendue que dans la catégorie d’âge des 65 ans et plus, et ce uniquement entre la troisième semaine de mars et la troisième semaine d’avril. Dans la classe d’âge des 0 à 64 ans, en revanche, à aucun moment la mortalité ne s’est significativement écartée des valeurs habituelles.

Epidémie terminée, mais intensification de la propagande de la peur !


Au lieu de mettre en avant ces bonnes nouvelles le gouvernement poursuit sa propagande terrorisante, sous prétexte que le nombre de cas testés positifs augmente, alors que cela traduit principalement la forte augmentation du nombre de tests effectués.

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Quelles peuvent être les raisons d’une telle désinformation ?

Pourquoi les données rassurantes dont on dispose aujourd’hui ne font-elles pas les gros titres ? A quoi rime cette volonté d’imposer le masque alors que la maladie a quitté le pays, de faire croire aux petits enfants qu’ils ne doivent pas embrasser leurs grands-parents pour les protéger, de rappeler constamment au public que les restrictions pourraient être réimposées très bientôt sinon à entretenir la panique et s’assurer de la soumission de la population ?

Dans les rangs des politiques et des journalistes, personne ne semble s’étonner du changement majeur de l’objectif des mesures imposées passant d’ « aplatir la courbe », à « éradiquer Sars-Cov-2 », une entreprise qu’aucun scientifique ne peut juger crédible.

Cette hypothèse se trouve également crédibilisée par la similitude de cette propagande illogique des gouvernants dans de nombreux pays que la maladie a déserté comme la Suisse ou le Canada.

Il y a lieu de s’interroger sur la place grandissante que s’arrogent les membres du comité scientifique et l’exécutif. Rappelons que ce groupe d’experts trop liés aux entreprises du médicament est de conseiller le président et le conseil de défense en s’appuyant sur ses connaissances scientifiques. Non de gouverner à la place des autorités élues, ni de torpiller leurs décisions en lançant des mises en garde à la population.

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