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18/03/2019

Serbie

ça bouge aussi en Serbie

 Des milliers de Serbes se sont mobilisés à Belgrade ce Dimanche  17 mars. Les manifestants ont bloqué le bâtiment présidentiel et ont exigé la démission du président actuel, Aleksandar Vucic. La manifestation a rapidement dégénéré en heurts avec la police.

17/03/2019

Les injures mensongères de l'Etat.

 

Le détails des 12 fausses accusations...

(article de Laurent Dauré.)

23:05 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fake news |  Facebook

Quelle bonne idée !

Une idée à suivre pour la police française, pour retrouver un peu de joie de vivre.

En Algérie, des policiers rejoignent les manifestants qui demandent un changement du système en place,

et apparemment ça leur fait un bien fou.

On comprend pourquoi Macron soutient le régime en place.

 

Les Algériens dans la rue:

 

12/03/2019

Ronds-points et manifs.

Gilets Jaunes: Une étude complète chiffrée sur l'évolution des mobilisations entre ronds-points et manifs citadines du 17 Novembre jusqu'en Février...

(Région par région)

 

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L'étude complète

 

07/03/2019

Une Europe construite sur des bases douteuses...

Union européenne : un passé qui empeste

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Pour les européistes, l’affaire est entendue : la "peste brune" est chez ceux qui contestent l’actuelle Union européenne. Quand Emmanuel Macron parle de la "lèpre qui monte", il vise ceux qui réclament le retour des nations, des frontières, des souverainetés. Le problème est que ces éveillés font masse. Les Gilets jaunes sont une des expressions les plus spectaculaires du refus des peuples de se diluer dans une Europe sans âme ni racine, ouverte à tous au nom des droits de l’homme et de la non-discrimination. Ce lundi soir, le Chef de l’Etat doit faire connaître, à travers un texte, les vues qu’il défendra aux Européennes. En septembre 2017, à la Sorbonne, il avait violemment fustigé "l’identitarisme" et le "souverainisme de repli", en accusant ses adversaires : "Ils mentent aux peuples !" (blog du 27 septembre 2017). Or c’est justement en souvenir d’une réflexion d’Alexandre Soljénitsyne à l’adresse de l’Occident - "Ne mentez plus !" - que Philippe de Villiers fait paraitre ce mercredi un livre-enquête (1) sur le profil caché des "pères fondateurs" de l’Europe. De cet utile travail de déboulonnage des fausses idoles ressort le visage trouble de cette UE construite sur des dissimulations. Villiers assure, au terme de sa démonstration : "Les architectes de l’Europe n’étaient pas des réfractaires à l’ordre de la peste brune". Les peuples dissidents ont toutes les raisons de se méfier des envolées vertueuses des donneurs de leçons, Macron en tête, qui ne veulent pas regarder l’histoire européenne en face.

Tout d’abord, Villiers fait un sort à l’idée que l’"Europe unie" serait sortie du cerveau de la Résistance. "C’est un mensonge. Ce sont les hommes de la "révolution nationale", dès 1941, (…) qui ont dessiné les contours du projet supranationaliste (…) C’est de l’école d’Uriage (NDLR : l’école des cadres de Vichy) qu’est sorti le projet européen de Monnet". Jean Monnet n’a d’ailleurs jamais participé à la Résistance. Il s’est contenté d’être l’homme au service des Américains, bénéficiant de financement de la CIA. Il sera en 1954 à la réunion constitutive du "groupe Bilderberg", ce club très secret qui réunit la crème des décideurs. L’Union européenne s’est notamment constituée dans ces lieux fermés et extrêmement élitistes. Robert Schuman, quant à lui, lorrain dont la famille choisit l’Allemagne à la fin du XIX e siècle, fut officier dans l’armée allemande lors de la première guerre mondiale. Il rejoint Vichy en 1940. Il n’a jamais résisté non plus et fut même frappé d’"indignité nationale". Enfin, le troisième "père de l’intégration européenne", Walter Hallstein, fut un officier instructeur du nazisme. Il a servi Hitler sous l’uniforme national-socialiste, tel qu’une photo le montre en mars 1943. Le 3 janvier dernier, Villiers a écrit à Donald Trump pour lui demander de rendre public le dossier Hallstein dans son implication au cœur du Reich. Mais pourquoi ces parcours ont-ils, jusqu’alors, été tenus secrets par ceux qui ne cessent d’alerter sur le retour de la bête immonde ?

(1) J’ai tiré sur e fil du mensonge et tout est venu, Fayard

04/03/2019

Alain Damasio

Big Mother : la technologie numérique et le techno-cocon aseptisé dans lequel elle nous enferme.

Dictature par induction et suggestion plus que par contrainte.

 

Alain Damasio, né Alain Raymond le 1er Aout 1969 à Lyon est un écrivain de science-fiction français  (fantasy, dystopie...).

Il travaille depuis de nombreuses années sur un roman, Les Furtifs, « description d’une société de “contrôle horizontal, où tout le monde contrôle tout le monde via les réseaux sociaux

02/03/2019

Shlomo Sand, homme libre et lucide.

À propos des sémites et des antisémites, des sionistes et des antisionistes

28 Fév 2019   Shlomo Sand    (source: Blog Médiapart)

Si toute expression antijuive dans le monde ne cesse de m’inquiéter, j’éprouve un certain écœurement face au déluge d’hypocrisie et de manipulations orchestré par tous ceux qui veulent désormais incriminer quiconque critique le sionisme.

Bien que résidant en Israël, « Etat du peuple juif », j’ai suivi de près les débats, en France, sur : antisémitisme et antisionisme. Si toute expression antijuive dans le monde ne cesse de m’inquiéter, j’éprouve un certain écœurement face au déluge d’hypocrisie et de manipulations orchestré par tous ceux qui veulent désormais incriminer quiconque critique le sionisme.

Commençons par les problèmes de définition. Depuis longtemps déjà, je ressens un malaise non seulement face à la récente formule en vogue : « civilisation judéo-chrétienne », mais aussi face à l’utilisation traditionnelle du vocable : « antisémitisme ». Ce terme, comme l’on sait, a été inventé dans la seconde moitié du 19ème siècle par Wilhelm Marr, nationaliste-populiste allemand qui détestait les juifs. Conformément à l’esprit de cette époque, les utilisateurs de ce terme tenaient pour présupposé de base l’existence d’une hiérarchie des races dans laquelle l’homme blanc européen se situe au sommet, tandis que la race sémite occupe un rang inférieur. L’un des fondateurs de la « science de la race » fut, comme l’on sait, le français Arthur Gobineau.

De nos jours, l’Histoire un tantinet plus sérieuse ne connaît que des langues sémites (l’araméen, l’hébreu, et l’arabe, qui se sont diffusées au Proche Orient), et ne connaît, en revanche, nulle race sémite. Sachant que les juifs d’Europe ne parlaient pas couramment l’hébreu, qui n’était utilisé que pour la prière, (de même que les chrétiens utilisaient le latin), il est difficile de les considérer comme des sémites.

Faut-il rappeler que la haine raciale moderne envers les juifs constitue, avant tout, un héritage des églises chrétiennes ? Dès le quatrième siècle, le christianisme s’est refusé à considérer le judaïsme comme une religion légitime concurrente, et à partir de là, il a créé le fameux mythe de l’exil : les juifs ont été exilés de Palestine pour avoir participé au meurtre du fils de Dieu ; c’est pourquoi, il convient de les humilier pour démontrer leur infériorité. Il faut pourtant savoir, qu’il n’y a jamais eu d’exil des juifs de Palestine, et, jusqu’à aujourd’hui, on ne trouvera pas le moindre ouvrage de recherche historique sur le sujet !

Personnellement, je me range dans l’école de pensée traditionnelle qui se refuse à voir les juifs comme un peuple-race étranger à l’Europe. Dès le 19ème siècle, Ernest Renan, après s’être libéré de son racisme, avait affirmé que :  Le juif des Gaules… n’était, le plus souvent, qu’un Gaulois professant la religion israélite. » L’historien Marc Bloch a précisé que les juifs sont : « Un groupe de croyants recrutés, jadis, danstout le monde méditerranéen, turco-khazar et slave ». Et Raymond Aron d’ajouter : « Ceux que l’on appelle les juifs ne sont pas biologiquement, pour la plupart, des descendants des tribus sémites… ». La judéophobie s’est, cependant, toujours obstinée à voir les juifs, non pas comme une croyance importante, mais comme une nation étrangère.

Le lent recul du christianisme, en tant que croyance hégémonique en Europe ne s’est pas accompagné, hélas, d’un déclin de la forte tradition judéophobe. Les nouveaux « laïcs » ont transformé la haine et la peur ancestrales en idéologies « rationalistes » modernes. On peut ainsi trouver des préjugés sur les juifs et le judaïsme non seulement chez Shakespeare ou Voltaire, mais aussi chez Hegel et Marx. Le nœud gordien entre les juifs, le judaïsme et l’argent semblait allait de soi parmi les élites érudites. Le fait que la grande majorité des millions de juifs, en Europe orientale, ait souffert de la faim, et ait vécu en situation de pauvreté, n’a absolument pas eu d’effet sur Charles Dickens, Fiodor Dostoïevski, ni sur une grande fraction de la gauche européenne. Dans la France moderne, la judéophobie a connu de beaux jours non seulement chez Alphonse Toussenel, Maurice Barrès et Edouard Drumont, mais aussi chez Charles Fourier, Pierre-Joseph Proudhon, voire, pendant un temps, chez Jean Jaurès et Georges Sorel.

Avec le processus de démocratisation, la judéophobie a constitué un élément immanent parmi les préjugés des masses européennes : l’affaire Dreyfus a fait figure d’événement « emblématique », en attendant d’être surpassée, et de loin, par l’extermination des juifs durant la seconde guerre mondiale. C’est entre ces deux événements historiques qu’est né le sionisme, en tant qu’idée et mouvement.

Il faut cependant rappeler que jusqu’à la seconde guerre mondiale, la grande majorité des juifs et leurs descendants laïques étaient antisionistes. Il n’y avait pas que l’orthodoxie, forte et organisée, pour s’indigner face à l’idée de précipiter la rédemption en émigrant vers la Terre Sainte ; les courants religieux plus modernistes (réformateurs ou conservateurs), s’opposaient aussi vivement au sionisme. Le Bund,parti laïque en qui se reconnaissait la majorité des yddishophones socialistes de l’empire russe, puis de la Pologne indépendante, considérait les sionistes comme des alliés naturels des judéophobes. Les communistes d’origine juive ne perdaient pas une occasion de condamner le sionisme comme complice du colonialisme britannique.

Après l’extermination des juifs d’Europe, les rescapés qui n’avaient pas réussi à trouver à temps refuge en Amérique du Nord, ou en URSS, adoucirent leur relation hostile au sionisme, alors même que la majorité des pays occidentaux et du monde communiste en venait à reconnaître l’Etat d’Israel. Le fait que la création de cet Etat se soit effectuée, en 1948, aux dépens de la population arabe autochtone ne gêna pas outre mesure. La vague de la décolonisation en était encore à ses prémices, et ne constituait pas une donnée à prendre en compte. Israel était alors perçu comme un Etat-refuge pour les juifs errants, sans abri ni foyer.

Le fait que le sionisme ne soit pas parvenu à sauver les juifs d’Europe, et que les survivants aient souhaité émigrer en Amérique, et malgré la perception du sionisme comme étant une entreprise coloniale au plein sens du terme, n’altèrent pas une donnée significative : le diagnostic sioniste concernant le danger qui planait sur la vie des juifs dans la civilisation européenne du vingtième siècle (nullement judéo-chrétienne !), s’était avéré exact. Théodore Herzl, le penseur de l’idée sioniste, avait, mieux que les libéraux et les marxistes, compris les judéophobes de son époque.

Cela ne justifie pas, pour autant, la définition sioniste selon laquelle les juifs forment un peuple-race. Cela ne justifie pas davantage la vision des sionistes décrétant que la Terre Sainte constitue la patrie nationale sur laquelle ils auraient des droits historiques. Les sionistes ont, cependant, créé un fait accompli politique, et toute tentative de l’effacer se traduirait par de nouvelles tragédies dont seront victimes les deux peuples qui en ont résulté : les Israéliens et les Palestiniens.

Il faut en même temps se souvenir et le rappeler : si tous les sionistes ne réclament pas la poursuite de la domination sur les territoires conquis en 1967, et si nombre d’entre-eux ne se sentent pas à l’aise avec le régime d’apartheid qu’Israel y exerce depuis 52 ans, tout un chacun qui se définit comme sioniste s’obstine à voir en Israel, au moins dans ses frontières de 1967, l’Etat des juifs du monde entier, et non pas une République pour tous les israéliens, dont un quart ne sont pas considérés comme juifs, parmi lesquels 21% sont arabes.

Si une démocratie est fondamentalement un Etat aspirant au bien-être de tous ses citoyens, de tous ses contribuables, de tous les enfants qui y naissent, Israel, par-delà le pluralisme politique existant, est, en réalité, une véritable ethnocratie, à l’instar de ce qu’étaient la Pologne, la Hongrie, et d’autres Etats d’Europe de l’Est, avant la seconde guerre mondiale.

La tentative du président français Emmanuel Macron et de son parti visant aujourd’hui à criminaliser l’antisionisme comme une forme de l’antisémitisme s’apparente à une manœuvre cynique et manipulatoire. Si l’antisionisme devenait une infraction pénale, je recommanderais à Emmanuel Macron de faire condamner, à titre rétroactif, le bundisteMarek Edelman, qui fut l’un des dirigeants du ghetto de Varsovie et totalement antisioniste. Il pourrait aussi convier au procès les communistes antisionistes qui, plutôt que d’émigrer en Palestine, ont choisi de lutter, les armes à la main, contre le nazisme, ce qui leur a valu de figurer sur « l’affiche rouge ».

S’il entend faire preuve de cohérence dans la condamnation rétroactive de toutes les critiques du sionisme, Emmanuel Macron devra y joindre ma professeure Madeleine Rebérioux, qui présida la Ligue des Droits de l’Homme, mon autre professeur et ami : Pierre Vidal-Naquet, et aussi, bien évidemment : Éric Hobsbawm, Edouard Saïd, et bien d’autre éminentes figures, aujourd’hui décédées, mais dont les écrits font encore autorité.

Si Emmanuel Macron souhaite s’en tenir à une loi réprimant les antisionistes encore en vie, la dite-future loi devra aussi s’appliquer aux juifs orthodoxes de Paris et de New-York qui récusent le sionisme, à Naomi Klein, Judith Butler, Noam Chomsky, et à bien d’autres humanistes universalistes, en France et en Europe, qui s’auto-identifient comme juifs tout en s’affirmant antisionistes.

On trouvera, bien évidemment, nombre d’idiots à la fois antisionistes et judéophobes, de même qu’il ne manque pas de pro-sionistes imbéciles, judéophobes aussi, pour souhaiter que les juifs quittent la France et émigrent vers l’Etat d’Israel. Faudra-t-il les inclure également dans cette grande envolée judiciaire ? Prenez garde, Monsieur le Président, à ne pas vous laisser entraîner dans ce cycle infernal, au moment précis où la popularité décline !

Pour conclure, je ne pense pas qu’il y ait une montée significative de l’antijudaïsme en France. Celui-ci a toujours existé, et je crains, hélas, qu’il n’ait encore de beaux jours devant lui. Je n’ai, toutefois, aucun doute sur le fait que l’un des facteurs qui l’empêche de régresser, notamment dans certains quartiers où vivent des gens issus de l’immigration, est précisément la politique pratiquée par Israel à l’encontre des Palestiniens : ceux qui vivent, comme citoyens de deuxième catégorie, à l’intérieur de « l’Etat juif », et ceux qui, depuis 52 ans, subissent une occupation militaire et une colonisation brutales.

Faisant partie de ceux qui protestent contre cette situation tragique, je soutiens de toutes mes forces la reconnaissance du droit à l’autodétermination des Palestiniens, et je suis partisan de la « désionisation » de l’Etat d’Israel. Devrai-je, dans ce cas, redouter que ma prochaine visite en France, ne m’envoie devant un tribunal ?

 

Traduit de l’hébreu par Michel Bilis

Autre point de vue sur le même sujet

 

25/02/2019

100 jours de gilets jaunes, bilan.

Les éditorialistes des médias alignés s'interrogent ici ou là sur "l'échec des Gilets jaunes" ou  "la victoire de Macron" comme si le mouvement était en baisse voire fini et que Macron avait retrouvé son souffle et son aura (en brassant de l'air pendant des heures devant des publics minutieusement choisis, ou des figurants béats). Quelle mascarade.

Ces commentateurs légitimistes à toute force sont dans cette optique de déni depuis Décembre et tentent désespérément de projeter sur la réalité leur scénario rassurant de retour à l'ordre.Quitte à distordre les faits, en oublier certains, en grossir d'autres , voire en inventer.

Ils continuent de s'appuyer sur les chiffres de mobilisation du ministère de l'Intérieur qui sont pourtant clairement mensongers à l'oeil nu pour tout témoin objectif (et même pour un spécialiste de BFM, c'est dire).

Les chiffres du Nombre jaune sont les plus crédibles et indiquent les nombres  minimum ville par ville, de façon sourcée.Autre source en vidéo pour Paris.

On voit que la mobilisation est limitée mais stable depuis l'acte 8 (110.000 à 160.000) avec des hauts et des bas, et ce, en dépit de tous les moyens mobilisés pour "pourrir" le soutien (répression policière et judiciaire, propagande médiatique, campagnes de dénigrement à partir d'accusations mensongères et d' amalgames systématiques).

Il serait logique qu'une partie du soutien dans l'opinion pour  ces manifestations citadines  ("gênantes et violentes") s'effrite devant l'ampleur exceptionnelle de cette manipulation hallucinante et des opérations de dénigrement tout azimuth, mais cela est fluctuant et pourrait s'inverser aussi rapidement. Ce n'est d'ailleurs mesurable qu'à partir de sondages peu fiables puisqu' achetés  par des clients , liés au clan au pouvoir (France-Inter + L'Express+L'Union de Reims pour le dernier sondage en défaveur des Gilets Jaunes).Je crois que l'on peut envisager sans trop de risque que certains sondages soient légèrement "truqués" (utilisation de la marge d'erreur, redressement fictif, choix partial des échantillons, questions orientées , histoire de rajouter 2 ou 3 points dans le sens souhaité par le client) et non seulement orientés ou interprétés subjectivement. On en est là. 

La graine de la prise de conscience a été semée et devrait se propager peu à peu au fil du temps. D'ici 2022 un nouveau cycle va se mettre en place.D'une manière ou d'une autre.

D'ailleurs le soutien au mouvement dans ses revendications reste encore très majoritaire.Mais  le seul chiffre cité par ces médias alignés est celui qui corrobore leur scénario, alors que ce n'est qu'un sondage acheté (et oui, tous les sondages sont des produits commerciaux, réalisés pour des clients).

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En revanche, si ce mouvement est révélateur d'un réveil des consciences qui ne saurait que s'amplifier,

après 3 mois la question de l'efficacité se pose.

Comment aboutir? Faut-il changer de mode d'action?

Etc...

C'est évidemment un vrai problème mais qui ne se pose qu'en terme de rationalité,

or ce mouvement empirique est surtout  lié au bon sens, à l'intuition, à la foi.

L'autre hémisphère cervical.

Foi dans la certitude que l'on ne peut pas continuer de vivre ainsi pour aller dans le mur avec une société consumériste et matérialiste de plus en plus injuste, laide et malfaisante.

Il faut résister.

Aide toi et le Ciel t'aidera. En quelque sorte.

Si le pouvoir ne veut pas comprendre, il tombera, peut-être pour toute autre chose, mais il tombera.

C'est en ce sens que les "experts", les intellectuels et les théoriciens ne peuvent pas le comprendre.

Pas de chef, pas d'organisation, juste une dynamique, des initiatives, des pistes de revendications montrant la direction, le changement de cap nécessaire, indispensable, vital.

Il est juste porté par le flot du temps.C'est le bon moment.

***

 

Il n'y a guère que Le média et RT pour assurer un contrepoids à la propagande officielle et tenter de rétablir l'équilibre.Frédéric Taddeï invitait 4 figures des Gilets Jaunes ce Lundi 25 Février.