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14/10/2023

Ce délire paranoïaque auquel on a assisté

19/06/2023

Pierre Chaillot

06/07/2022

Le mythe de la contamination épidémique.

Sur le site Kairos Pierre Chaillot démonte le principal modèle mathématique utilisé (propagation exponentielle de la soi-disant contamination) lors des "épidémies".

Il propose une hypothèse alternative avec la corrélation entre courbe des décès et courbe des températures.

(Dans la SÉRIE: Covid-19: fabrique de la panique et braquage des comptes publics, épisode 5.)

https://www.kairospresse.be/le-mythe-de-la-contamination-...


« Des groupes de gens sont malades parce qu’il ont vécu la même chose en même temps et c’est tout. On n’a pas besoin de ce principe de contamination qui n’a jamais été prouvé ».

13/11/2021

2 %


La prise de conscience collective est très lente.
Malgré les preuves qui s'accumulent de plus en plus manifestes, les médias renâclent à relayer objectivement l'ensemble des faits et des études démontrant l'échec total et le danger des vaccinations.
Ils continuent de participer au récit mensonger d'une pandémie menaçante et dangereuse alors que ce n'était qu'une épidémie banale (aggravée par les mesures prises et exagérée par une manipulation éhontée des chiffres).
Difficile d'admettre qu'on s'est trompé et qu'on a trompé.
Pourtant les chiffres bruts sont clairs. (cf Pierre Chaillot)
On mesure le pouvoir de manipulation de l'appareil politico-médiatique et de l'oligarchie en place.
Ils marchent dans le vide.

***


"Depuis deux jours, la statistique est abondamment commentée sur les réseaux sociaux : en 2020, seuls 2% des patients hospitalisés en France l’ont été en raison du Covid-19.
Un délire de complotistes ?
Absolument pas.
Ce chiffre émane du rapport de la très sérieuse Agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH)."

"La statistique a fait bondir : les politiques critiques de la politique sanitaire (Martine Wonner, Florian Philippot notamment) ne se sont pas privés de relayer ce rapport en soulignant que les pouvoirs publics avaient agi de manière totalement disproportionnée."

source

04/09/2021

Bilan 2020


Ces deux vidéos très bien argumentées et sourcées expliquent pourquoi la légère surmortalité de 2020 n'a rien eu d'exceptionnel
(elle était en grande partie liée au vieillissement des baby boomers <1946-1964>).

Elles expliquent aussi pourquoi cette surmortalité était plus liée aux mesures prises
(1/confinement
2/interdiction aux médecins de soigner
3/ prescription du Rivotril , mortel en la circonstance, dans les Ephad) qu'au virus lui même, qui se rapproche d' une forme de grippe sévère mais assez banale (0,03% de mortalité).









C'était le début d'un vaste déferlement d'abus de pouvoir, donc totalitaire, au prétexte d'une crise faussement sanitaire créée quasiment de toutes pièces à coup de projections mathématiques bidons (toujours fausses) et de mesures inadaptées.
Il suffisait de soigner avec les nombreux traitements existants mais passés sous silence, niés, vilipendés.
(Dont certains ont pourtant démontré ailleurs leur efficacité : Inde, Afrique, etc...)

On a vu que le but de tout cela était de permettre une campagne de pseudo vaccination (injection de thérapie génique) qui est toujours en phase d'expérimentation et qui risque fort de faire de nombreux dégâts à moyen et long terme (système immunitaire, création de variants et divers effets secondaires).

C'est un potentiel crime contre l'humanité qui est en cours ( apartheid, extorsion du consentement, propagande insensée, injection obligatoire d'un produit expérimental suspect aux enfants et femmes enceintes, etc...)

Cette dérive tyrannique des politiques s'appuie sur la prise de pouvoir des scientistes dogmatiques dans le milieu scientifique. Les scientifiques dignes de ce nom devraient maintenant réagir après un long temps de sidération, pour la plupart d'entre eux...

On devine que le but de toute cette mise en scène pathétique est un contrôle le plus total possible des populations par le tout numérique, en prenant la santé comme prétexte.
Mais la santé n'a pas grand rapport avec les grands groupes de l'industrie pharmaceutique qui ne vivent qu'en entretenant les maladies.

12/06/2021

"Le Grand Réveil Quantique" Philippe Bobola



et théorie du dédoublement:

10/06/2021

Est-ce-que ce monde est sérieux ?

Est-ce-que ce monde est sérieux ?
Michel Rosenzweig rappelle des évidences qui hélas ne sont perçues comme telles que par une minorité de la population.

***

Michel Rosenzweig pour FranceSoir 8/6/2021



Quand tu te fais remonter les bretelles au Carrefour de ton quartier par un garde qui vient te chercher jusqu'à la caisse où tu as déjà commencé à déposer tes achats en t'apostrophant avec une remarque désobligeante et stupide parce que tu n'as pas ton nez correctement recouvert du niqab naso-buccal réglementaire alors que tous les indicateurs épidémiologiques rasent le plancher viral, ta colère éclate publiquement, car trop c'est trop, vraiment, la compliance a ses limites.
Je ne serai résolument et définitivement jamais adapté à cette société hygiéniste profondément malade dans laquelle nous ont projetés une clique de sociopathes bouffés par leur névrose thanatophobique et soumis à un Ordre économique et socio politique élitaire mondialiste et matérialiste sans conscience et sans âme.

Ce port obligatoire du masque est le symbole absolu de cette mascarade sanitaire de laquelle nous ne sortirons pas avant qu'un événement significatif ne fasse trembler ce régime autoritaire et totalitaire qui s'est imposé en un tournemain avec l'approbation et l'assentiment général et malheureusement dans une indifférence massive hallucinante et désespérante pour les êtres encore dotés d'un certain niveau de conscience.

Je sais qu'il se trouve des personnes qui refusent de reconnaître le caractère totalitaire de ce régime au motif qu'il ne remplit pas toutes les cases sociopolitiques classiques décrites par les grands théoriciens du totalitarisme.

Cela reste un débat auquel je demeure ouvert.

Néanmoins, je considère que lorsque nous n'avons plus la liberté de disposer de notre corps ni de notre vie comme nous en avons envie de le faire et en principe aussi le droit de le faire et que l'État s'approprie le droit de décider pour nous comment nous devons nous comporter en sortant de chez nous pour exercer notre liberté et nos droits fondamentaux, c'est que ce régime est devenu totalitaire, puisqu'il décide, contrôle et surveille nos déplacements, nos activités en fonction de mesures sanitaires décidées sans aucune concertation démocratique.

Le totalitarisme globalitaire (globalitarisme) est ce régime de gouvernance par lequel tous les aspects et les domaines de notre vie privée sont investis. Il est totalitaire parce que totalisant, englobant la vie des individus sans que ces derniers n'aient eu le droit ni l'occasion d'en débattre.

Le totalitarisme ne s'exerce pas seulement dans la sphère politique, mais dans les sphères privée et intime, englobant toute la société et tout le territoire, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie obligatoire (la santé selon le dogme viral et vaccinal), hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté.

Nous y sommes.


Les caractéristiques habituellement retenues pour définir le totalitarisme sont : d'une part, un monopole idéologique (le logiciel épidémiologique qui est un dogme auquel il faut souscrire), une conception d'une vérité indiscutable (virale, vaccinale, gravité de la pandémie) qui ne supporte aucun doute, ne tolère aucune critique, est imposée à tous et se trouve consolidée par la lutte contre les ennemis du régime (sanitaire) qui sont discrédités et disqualifiés, et d'autre part un pouvoir qui dispose de l'ensemble des moyens de communication de masse utilisés comme des instruments de propagande (formatage et fabrique de l'opinion et du consentement) ainsi que du pouvoir de coercition judiciaire, administratif et policier.
À ce titre, je considère que nous sommes dans les prolégomènes et l'antichambre d'un nouveau totalitarisme qui a déjà installé ses fondements et ses fondations au nom de la santé et d'un hygiénisme forcené que je qualifie de thanatophobique.

Il ne reste plus alors qu'à bâtir l'édifice dont les plans sont déjà établis et dessinés à Davos et dans d'autres instances internationales multilatérales depuis longtemps par une élite qui considère que la démocratie est trop lente et trop lourde, qu'elle est dépassée dans un monde interconnecté en réseaux où la vitesse et le changement sont érigés en fétiches et qu'elle est le produit des inutiles, des incultes, des profanes, des abrutis et des sans dents.

Le nouveau totalitarisme sanitaire numérique s’oppose aux anciens dans sa structure, dans son esthétique, dans ses rituels, dans sa phénoménologie, sa visibilité.

Les anciens (fascismes, nazisme, communisme) étaient incarnés par une figure humaine, un visage, des grimaces, des postures, une personnalité, une tête, visibles et identifiables, des habits, des costumes et des coutumes, des rites de passage, des mimiques, des pratiques et des traditions violentes, tandis que le nouveau est peu visible, confus, opaque, sans tête unique emblématique, multiforme, réticulaire, feutré, souriant, anonyme, insaisissable, affable, ce qui explique pourquoi il est si difficile de le reconnaître et de l'identifier.

L’erreur est, me semble-t-il, de penser le totalitarisme contemporain à l’aune de l’histoire révolue du 20e siècle. La fabrique du consentement autour d’un ennemi faussement désigné comme le fascisme (le “populisme” souverainiste, patriotique) relève d’une imposture historique (le fascisme étant historiquement mort à Berlin en 1945) dont le nouveau totalitarisme se nourrit afin d’avancer masqué au propre comme au figuré au nom de la santé érigée en valeur suprême alors que celle-ci n'est qu'un bien au même titre que la richesse ou la beauté : on n'admire pas, en principe, quelqu'un parce qu'il est en bonne santé.
La manoeuvre totalitaire contemporaine est en outre très perverse, car le rapport à la loi est tordu, celle-ci étant contournée, ignorée, violée.

L'État n'a pas la prérogative de se mêler de la santé individuelle de ses administrés, je l'ai déjà écrit et je l'écris à nouveau aujourd'hui, il s'agit d'un grave abus de pouvoir, l'État (de droit) a le devoir de s'occuper de la santé collective, de gérer les risques, de les prévenir, de soigner, mais la santé publique ne peut se confondre avec la santé individuelle et ce n'est pas à l'État de nous dire comment nous devons vivre et nous soigner, qui nous pouvons fréquenter, où nous pouvons aller ni comment nous devons nous vêtir pour faire nos courses. La santé est un bien individuel, personnel, intime, singulier, la santé publique est une des matières non régaliennes.

La soumission massive et le consentement général à l'autorité sanitaire sont un désastre anthropologique et sociopolitique majeur et historique.
Nous ne sommes pas sortis des ténèbres sanitaires numériques et vestimentaires desquelles je le crains, aucune immunité collective artificielle ne nous sortira.

Notre époque est celle du règne de l'hypnose collective savamment entretenue par l'emprise d'une nouvelle religion politique sanitaire qui se nourrit du vide spirituel et symbolique creusé depuis des décennies par une classe politique et médiatique et par une élite à qui nous avons accordé notre confiance et notre voix trop facilement.

26/05/2021

Mai 2021, plus d'un an d'ingénierie sociale par la peur. Et ça continue...


"Quelle est la différence entre une théorie du complot et la vérité?
Environ 6 à 12 mois."



Résistance face à cette "bouffée délirante totalitaire".

Conférence à l'IHU de Marseille. JDD y a brossé un excellent résumé de l’année folle que le monde a traversée, en égrenant les principales perles de bêtise, de non-sens et de déraison.




Démonstration statistique de l'absence de surmortalité épidémique en 2020. Tout est normal, la génération du baby-boom arrive simplement dans une classe d'âge plus à risque.





"Si on accepte l'identité numérique, ce sera trop tard." Philippe Guillemant.


Le Non au pass sanitaire se fait entendre un peu partout mais surement pas encore assez. (car c'est évidemment le début de la fin ou le pied dans l'entrebaillement de la porte, en terme de transhumanisme et de dictature numérique).
Une progression en douceur par petit pas vers l'horreur du contrôle absolu.
On a pourtant tous un an déja de recul et de possibilité de prise de conscience de tout ce qui se joue.

La passivité, la naïveté, la lâcheté de ceux qui le soutiennent c'est l'acceptation du Mal.
On peut se situer ailleurs , le dénoncer et passer à autre chose pour ne pas lui donner son attention mais on ne peut pas l'accepter. C'est la limite à connaître, le précipice, l'abime.



Pierre Barnérias...







Reinfocovid: Conseil scientifique indépendant