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26/02/2020

Pluton virus de la peur...


À propos de la campagne de presse alarmiste sur le Coronavirus, Maria Rita Gismondo – directrice de macrobiologie clinique, virologie et diagnostic de bio-urgences du laboratoire de l’Hôpital Sacco de Milan, où s’analysent les échantillons de contagions possibles – déclare :

" C’est une folie. On a transformé une infection à peine plus sérieuse qu’une grippe en une pandémie létale."

Tout est dit.

Ce sont surtout les médias et les politiques qui sont en cause, car certains médecins sur ce coup là semblent plus ancrés dans le réel.

Le début de la conjonction exacte Saturne-Pluton a coïncidé parfaitement avec cette pseudo pandémie (mais vraie épidémie pour la région Wuhan).
C'est très révélateur de la façon dont les médias construisent une version déformée de la réalité (au service de lobbies, ou de leur audience), au mépris de la simple recherche de la vérité.


Les chinois ont été plutôt efficaces contrairement à ce qui est dit et ce sont eux qui ont trouvé le remède déja existant qui ne coûte rien, la chloroquine.
Malgré ce que l'on sait (très faible mortalité, les personnes atteintes étaient pour la plupart âgées et déja souffrantes) , les titres des journaux continuent dans la propagation de la peur , alors même qu'un traitement existe, et que l'épidémie chinoise commence à diminuer.


Le jour où une vraie pandémie (du genre de la grippe espagnole en 1918, 25 à 50 millions de morts) va survenir que se passera t-il?
Panique générale?

Entretien du 11 Février:

21/02/2020

Cancer , peur et immunité...





"Vous avez peur quand vous vous retrouvez confronté à quelque chose que vous ne connaissez pas , et actuellement c’est ainsi que sont présentées les tumeurs cancéreuses : on ne sait pas d’où ça vient et la seule solution c’est opération, chimio ou rayon, c’est le seul traitement efficace. Or tout ça c’est du mensonge..."

Petit éclairage en 10mn:




18/02/2020

Changement de paradigme...



1- Individuel


Astronomiquement les noeuds lunaires sont les points d’intersection entre l’orbite lunaire et le plan de l’écliptique terrestre .Ce sont des points fictifs qui sont toujours en opposition.

Lune_Noeuds_Lunaires.jpg



En astrologie karmique, ces noeuds symbolisent le chemin de l'âme.
L'axe de vie:
-il vient du noeud Sud (lunaire, le passé) désignant la mémoire karmique (hérédité et "vies antérieures" ) sur laquelle on peut d'abord s'appuyer dans la première partie de sa vie mais dont on doit se détacher dans la seconde...
-il va vers le noeud Nord (solaire, le futur) désignant lui le But de cette vie, un Idéal , un Objectif à réaliser (cf. la symbolique définie par signe, maison, aspects).
Cela reste assez flexible car c'est surtout une direction que l'on s'est fixée.



Le passage plus ou moins progressif de l'un à l'autre constitue le changement de paradigme individuel majeur à réaliser au cours de cette vie.



Assez facile pour certains, beaucoup plus ardu pour d'autres, il nécessite à minima de transcender son bagage inné (l' acquis antérieur) ou de le porter à une octave supérieure.
Le plus souvent il impliquera un détachement des habitudes anciennes, d'un cadre de vie dépassé devenu obsolète et un renversement de sa perception du monde.
Les exemples ne manquent pas de personnes qui prennent le contrepied à un moment donné de ce qu'ils faisaient précédemment, se reconvertissent ou changent totalement d'activité.

Cela peut se passer en douceur par une prise de conscience sereine (illumination, rencontres, opportunités) ou à l'occasion de synchronicités.
(cf la vidéo précédente de Ph. Guillemant sur le rôle de la conscience, vue comme un guide de navigation, une sorte de GPS.) (cf aussi, en partie, la prophétie des Andes.)

Les périodes propices sont généralement lors des retours des noeuds (cycle de 18 ans et demi, en sens rétrograde) , soit sur eux même (18,5 ans 37ans 54,5 ans 73 ans) soit sur un point précis du thème.

Beaucoup résistent et restent attachés au passé, aux habitudes rassurantes mais sclérosantes (voire même à leur malheur ou à leur souffrance) sans faire le pas, car un tel changement de paradigme nécessite une prise de risque, passer d'un domaine bien maîtrisé vers un terrain inconnu où l'on ne contrôle plus grand chose
Il faut triompher de la peur de l'inconnu, surmonter des résistances.Se remettre en cause.
Renaître.


Si l'on refuse ce changement de paradigme, on risque de s 'y retrouver confronté, de façon de plus en plus désagréable voire douloureuse au fil des opportunités refusées.
Dans ces moments là, le masque des apparences tombe et la vérité s'impose, parfois brutalement.
(accidents, maladies , trahisons, coups du sort, série d"événements perturbants, succession d'échecs dans des domaines où vous réussissiez).

C'est le monde qui nous parle. Le Ciel lui-même s'adresse à notre âme.
Le grand Esprit se manifeste.
Il nous rappelle la nécessité vitale d'évoluer, de se détacher de l'aspect périmé du passé et de créer son futur. Le besoin impérieux d'exprimer ce que l'on est vraiment et qui fera que l'on se sente mieux dans sa peau en donnant un sens à notre existence.

***


On peut aussi dire que dans la première partie de la vie on est le jouet ou le prisonnier de son destin , de son milieu, de sa famille, de son éducation (qui sont un reflet du Karma) et que ce n'est que par un profond changement de paradigme (progressif ou brutal) que l'on peut retrouver un véritable libre-arbitre et réorienter sa trajectoire.

17/02/2020

Les empoisonneurs...



Cette philosophe et physicienne altermondialiste dénonce l'immoralité absolue du système chimico-industriel (cupidité et pollution) qui nous opprime.
Il est vital d'en prendre conscience et de réagir (au minimum en les boycottant là où c'est possible).
Ces hommes d'affaires sont les pires criminels de la planète, ils empoisonnent la plupart des sols, des aliments, etc.. pour leur profit immédiat, en niant les conséquences.

Ils nous empoisonnent..

Ce système doit cesser.

***



"Est-il juste et sain que les entreprises qui nous vendent des médicaments soient les mêmes qui produisent des pesticides ? "



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Après avoir obtenu une licence de physique en 1972, puis un master en 1974, à l'université du Panjab, à Chandigarh en Inde, Vandana Shiva a poursuivi ses études au Canada. (master de philosophie des sciences puis un doctorat en 1978 à l'université de Western Ontario).
Elle a ensuite réorienté ses recherches dans le domaine des politiques environnementales à l'Indian Institute of Science.

Elle est l'une des chefs de file des écologistes de terrain et des altermondialistes au niveau mondial, notamment pour la promotion de l'agriculture paysanne traditionnelle et biologique, en opposition à la politique d'expansion des multinationales agro-alimentaires et au génie génétique. Elle lutte contre le brevetage du vivant et la biopiraterie.


« Nous devons nous libérer du cartel du poison pour la liberté et la vie sur Terre, pour la liberté de tous les peuples, pour se libérer des maladies, et pour se libérer d’une nouvelle forme d’esclavagisme. »






15/02/2020

Guillemant: A quoi sert la conscience?

11/02/2020

Le "Hum"




Vous entendez un bruit persistant de basse fréquence, un bourdonnement qui vous pourrit la vie et dont vous n'arrivez pas à trouver la source?





Cet article de "Sud Ouest" ci-dessous est pour vous... (source)

***

Qu’est-ce que le « hum », ce mystérieux bruit que seule une partie de la population entend ?

Depuis plusieurs décennies, en divers endroits du monde, 2% à 10% des individus entendent un bourdonnement incessant. On l’appelle « le hum ». Mais d’où vient-il ?

On l’appelle le « hum » (bourdonnement, vrombissement). Ceux qui l’entendent le décrivent comme un bruit sourd, un bourdonnement semblable au moteur d’un camion tournant au ralenti, d’un orage lointain ou d’un avion volant à basse altitude. Il peut se déclencher de manière imprévisible, s’arrêter tout aussi soudainement. Sa durée tout comme son intensité sont variables.

États-Unis, Angleterre, continent européen, Australie : ce mystérieux son est entendu en divers endroits de la planète. Les premiers témoignages remontent aux années 1970–80 et ils se sont multipliés ces dernières décennies. Sur le site LEbruit.com, on en trouve même venant de Nouvelle-Aquitaine.

« Le soir lorsque le bruit est moins intense dans la maison ou quand je suis seule, j’entends un bourdonnement grave, comme si un avion passait à basse altitude au-dessus de ma maison, et quand je sors je ne l’entends plus », raconte ainsi Christelle, qui déclare vivre à Bordeaux. « Cela fait plusieurs semaines que j’entends ce bruit sourd et vibrant, surtout la nuit », raconte également Maryline, qui vit à Thairé, en Charente-Maritime. « Même lorsque je regarde la télé, je n’entends que ce bruit […]. Comme si un avion volait tout bas ou un bruit de camion ».


Si ces témoignages-là sont difficiles à authentifier, il existe des exemples emblématiques ayant fait l’objet de reportages et d’études scientifiques. C’est notamment le cas à Taos au Nouveau-Mexique, à Kokomo dans l’Indiana (États-Unis), à Bristol (Angleterre), ou encore à Windsor (Canada).
Acouphènes, bruit réel ou hallucination collective ?

À chaque fois, le scénario est le même : une partie de la population se plaint d’entendre un bruit persistant. Les personnes qui y sont sensibles affirment que ce son est apparu de manière soudaine et leur vibre dans les oreilles en permanence. Utiliser des bouchons d’oreille ou un casque anti-bruit n’y change rien. Elles continuent à l’entendre en continu, qu’elles soient à l’intérieur ou à l’extérieur et ne parviennent pas à identifier la source de ce vrombissement. Étrange. D’autant que seule une faible fraction de la population est concernée. Alors acouphènes ? Réalité ? Ou hallucination collective ?

De premières études ont été menées à Taos et Kokomo, respectivement en 1993 et 2003, afin de le vérifier (ici). Première certitude le « hum » n’a rien à voir avec des acouphènes. Ces derniers sont des bruits internes (ressentis dans les oreilles ou la tête) qui ne sont pas émis par une source extérieure. De plus, les personnes qui en souffrent les entendent en permanence, où qu’elles se trouvent. Or le « hum » semble en général lié à une aire géographique (une ville, un État). « La plupart des personnes qui le perçoivent ne l’entendent plus lorsqu’elles quittent la zone », selon James P. Cowan, ingénieur en contrôle du bruit qui fut en charge de l’étude menée à Kokomo. La source du « hum » est donc extérieure, localisée. Sachant que la zone peut être très vaste, comme le prouve l’exemple du "Hum de Windsor. Dans ce cas, le bourdonnement ne se limite pas seulement à la ville mais serait aussi entendu à McGregor, distante d’une trentaine de kilomètres, et Cleveland, à plus de 144 kilomètres…

Et même si la fraction de la population capable de l’entendre est assez faible, (entre 2% et 10%), « ces personnes ne sont pas folles », affirme James P. Cowan. « Ce qu’elles entendent est réel ». Au mieux, le « hum » est pour elles extrêmement pénible. Mais dans un certain nombre de cas, il peut même s’accompagner de maux de tête, de nausées, diarrhées, de fatigue et de pertes de mémoire. Reste à savoir d’où il vient. Et c’est bien là le problème.
Un bruit jamais clairement localisé

À Taos, la batterie de mesures réalisées ont mis en évidence un champ électromagnétique élevé , provoqué par les lignes électriques locales, ainsi que des dysfonctionnements d’appareils électriques dans et autour des maisons des « victimes » du « hum », mais aucun signal acoustique n’a été détecté. Conclusion : le « Taos Hum » n’a pas pu être localisé.



À Kokomo, outre un champ magnétique élevé, les scientifiques ont détecté des sons basse fréquence provenant de deux installations industrielles. Une fois l’intensité de celles-ci réduite, certains des habitants qui se plaignaient d’entendre le « hum » ne l’ont plus ressenti. Mais la plupart des personnes affectées ont continué à l’être. Bilan : le « Kokomo Hum » n’a pas non plus été clairement identifié.
Le "Kokomo Hum" n'a pas été clairement identifié.

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Le « Kokomo Hum » n’a pas été clairement identifié. Crédit photo : Wikimedia cc-by Cameronloyd03

À Bristol, les médias britanniques ont attribué le « hum » aux ondes émises par l’action des vagues sur le fond marin. Or « cela n’a rien à voir », soupire Fabrice Ardhuin, l’un des auteurs de l’étude sur le sujet. « Ce que nous appelons le bourdonnement de la Terre, ce sont des vibrations qui correspondent au mouvement de la croûte terrestre, qui monte et descend à des fréquences qui se comptent en milli hertz », explique-t-il. « On est loin de quelque chose qui vibre plusieurs fois par seconde. Donc lorsqu’on parle de bruit de la Terre, ce n’est pas au sens audible du terme. » Mais lors de la publication de l’étude, les chercheurs ont employé le mot « bourdonnement », autrement dit « hum ». Beaucoup ont donc sauté sur l’explication « et n’ont rien compris », conclut le chercheur de l’Ifremer. Retour à la case départ donc, et aux coupables habituellement pointés par les experts sur place : les bruits basse fréquence émis par des activités industrielles et/ou les lignes électriques.
Les médias britanniques ont attribué à tort le "Bristol Hum" au "bruit de la Terre".

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Les médias britanniques ont attribué à tort le « Bristol Hum » au « bruit de la Terre ». Crédit photo : Wikimedia cc-by Adrian Pingstone

Quant à Windsor, où le « hum » sévit depuis 2011, les experts estiment que les coupables pourraient être les hauts fourneaux du producteur d’acier américain US Steel situés sur l’île Zug, du côté américain de la rivière Détroit. Mais selon le New York Times, la compagnie fait la sourde oreille et les autorités américaines refusent de coopérer, empêchant les experts de pointer la source exacte du « hum ». Comme l’a résumé l’un des scientifiques, le professeur Colin Novak, essayer d’identifier le « Windsor Hum » revient à « chasser un fantôme ».

Autant d’exemples qui montrent que si les experts ont des pistes sérieuses concernant le « hum », ils n’ont pas vraiment de certitudes, si ce n’est que son origine est humaine et que ses sources sont multiples.
Pourquoi le « hum » n’est-il entendu que par certains ?

Faute d’explication définitive, les théories complotistes et farfelues fleurissent sur internet. Mais pour l’heure, l’explication la plus communément admise est celle du géophysicien David Deming, auteur d’une étude globale sur le sujet en 2004. Selon lui le « hum est plus qu’un simple bruit puisqu’il peut aussi se manifester sous la forme de vibrations ressenties à travers tout le corps ».

« L’explication la plus probable est que certaines personnes ont la capacité d’interpréter des transmissions radio à certaines longueurs d’onde (notamment à basse fréquence) comme du son »

Voilà pourquoi tout le monde n’est pas sensible au « hum ». Selon David Deming, seules 2% à 10% des personnes sont capables de l’entendre, ou plutôt le ressentir, puisqu’il ne s’agit pas d’un son à proprement parler. Et le fait qu’il s’agisse d’ondes radio expliquerait aussi pourquoi le « hum » peut se manifester à divers endroits de la planète, comme le montre la carte ci-dessous, qui ambitionne de recenser les occurrences du « hum ». Cela expliquerait aussi pourquoi le phénomène est relativement récent.

qu-est-ce-que-le-hum.jpg

Sud Ouest

Et dans la mesure où le « hum » n’est « audible » que pour une petite fraction de la population, à qui il pourrit la vie pour dire les choses simplement, il ne faut pas non plus le confondre avec les autres « bruits » non expliqués qui peuvent survenir de manière ponctuelle.

***

Un site français existe sur ce thème ici
Et une page wikipédia

10/02/2020

L'expérience de la gomme quantique à choix retardé...



L’ extraordinaire expérience de la gomme quantique à choix retardé est une expérience de physique quantique qui prolonge celles  de Thomas Young*  (1801) et aussi celle d'Alain Aspect (1980) en y introduisant ce qui semble être une rétroaction dans le temps.
Elle fut proposée en 1982 par Marlan Scully et Kai Drühl.


Pour mémoire "l'expérience des fentes de Young" illustre la dualité onde-particule : les interférences montrent que la matière ( photons, électrons, neutrons, atomes, molécules,) présente un comportement ondulatoire, mais la façon dont elles sont détectées (impact sur un écran) montre leur comportement de particules (discontinues).


1/ Pour bien saisir, il faut d' abord se remémorer cette variante "aux miroirs" de l'expérience des fentes de Young :

Le photon émis a 1 chance sur 2 de traverser A (pour aller par B, en I)  et 1 sur 2 de se réfléchir en A (pour aller par C en I).

expyoung-2.jpg




On ne sait pas quel chemin il a pris dans ce cas , et on observe une figure d'interférence en I. C'est à dire qu'il s'est comporté comme une onde.


Jusque là tout va bien.

2/ Si on ajoute des détecteurs de photons à ce schéma d'expérience pour savoir quel chemin a pris le photon:


exp2-1.jpg



Le fait d'ajouter des détecteurs (on sait s' il est passé par B ou par C) fait effondrer l'état quantique, il n'y a plus d'onde, plus d'interférence.

Le convertisseur bas est un appareil qui, à partir d'un "photon en entrée", crée deux "photons en sortie", intriqués, (et de longueur d'onde double par rapport au photon en entrée). Ces convertisseurs ne détruisent pas l'état quantique du photon, car ils ne font  pas de "mesure".

Plus précisément 1 des deux "photons de sortie" est détecté, l'autre pas, mais comme ils sont intriqués, on sait par où est passé le "photon d'entrée".

C'est là qu'intervient la redoutable habileté de cette expérience ...

3/  On ajoute des miroirs semi-réfléchissants en E et D devant les détecteurs  K et J. Le photon 1 fois sur 2 traverse et se fait détecter. Une fois sur 2 il est redirigé par réflexion vers F, quatrième miroir semi-réfléchissant du montage, la clef de ce gommage quantique.

Qu'il vienne de E ou de B, le photon en F traversera 1 fois sur 2, et sera réfléchi 1 fois sur 2. De ce fait, les deux détecteurs H et G, détecteront des photons venus indifféremment de E ou de D sans que l'on puisse le préciser. Le miroir semi-réfléchissant F , imaginé par Scully  est la gomme quantique: il détruit l'information permettant de savoir par quel chemin est passé le photon.

Il est crucial de noter que les photons qui percutent la plaque photographique en I, le font AVANT que leur jumeau intriqué ne parvienne soit en J/K, soit en G/H.


experiencecolorsculley-2.png



Constatations:

-Une moitié des photons arrivent en K ou J, (chemin connu par la détection) et on vérifie qu'ils n'ont pas donné d'interférence en I. L'autre moitié arrive en G ou H (sans que l'on connaisse leur chemin malgré la détection)  et on voit qu'ils ont produit une figure d'interférence en I.

-Le résultat enregistré en I est  fixé AVANT que le photon témoin n'ait été détecté en J/K (chemin connu, pas d'interférence) ou en G/H (chemin indéterminé , interférence).

Comment le photon atteignant I peut-il savoir que son jumeau intriqué sera détecté plus tard en J/K ou non ?


Telle est la question essentielle de cette expérience.

Il semble se comporter irréversiblement, à un instant précis (en I), en fonction de ce qui sera déterminé par hasard un certain temps plus tard (en G/H ou J/k), donc dans le futur,.



***


Page Wiki sur cette expérience.



Une nouvelle version de cette expérience a été réalisée en utilisant des satellites dans l'espace, sur lesquels des photons issus d'un laser ont rebondi.

La distance qu'ils ont parcourue dans l'expérience est de l'ordre de 3.500 km et pourtant, les résultats obtenus sont toujours conformes aux prédictions de la mécanique quantique.

***


* Pour se remémorer l'expérience des fentes de Young.



blog source
 
Appendice:
Exemple: interférences à la surface de l'eau
 

09/02/2020

Technologies venues d'ailleurs

Secret de polichinelle.
En décembre 2017, une enquête du New York Times avait déjà révélé l’existence d’un programme de recherche sur les Objets Volants Non-Identifiés. (Ce programme était financé sur fonds secrets entre 2007 et 2012 à hauteur de 22 millions de dollars par an.)
Il est admis officiellement que la fin des financements publics spécifiques n’a pas mis un terme aux recherches en 2012.

En 2018 le ministère américain de la Défense a déclassifié deux vidéos d’ovnis prises par des pilotes de la Navy et observées par de nombreux témoins à bord du porte-avions.



techno

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(A mettre en perspective avec les avancées technologiques russes en matière de missile.)

source de l'article sur l' INREES (L'inexploré n° 44 Technologie venues d'ailleurs par Aurélie Aimé)