Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

04/09/2021

Bilan 2020


Ces deux vidéos très bien argumentées et sourcées expliquent pourquoi la légère surmortalité de 2020 n'a rien eu d'exceptionnel
(elle était en grande partie liée au vieillissement des baby boomers <1946-1964>).

Elles expliquent aussi pourquoi cette surmortalité était plus liée aux mesures prises
(1/confinement
2/interdiction aux médecins de soigner
3/ prescription du Rivotril , mortel en la circonstance, dans les Ephad) qu'au virus lui même, qui se rapproche d' une forme de grippe sévère mais assez banale (0,03% de mortalité).









C'était le début d'un vaste déferlement d'abus de pouvoir, donc totalitaire, au prétexte d'une crise faussement sanitaire créée quasiment de toutes pièces à coup de projections mathématiques bidons (toujours fausses) et de mesures inadaptées.
Il suffisait de soigner avec les nombreux traitements existants mais passés sous silence, niés, vilipendés.
(Dont certains ont pourtant démontré ailleurs leur efficacité : Inde, Afrique, etc...)

On a vu que le but de tout cela était de permettre une campagne de pseudo vaccination (injection de thérapie génique) qui est toujours en phase d'expérimentation et qui risque fort de faire de nombreux dégâts à moyen et long terme (système immunitaire, création de variants et divers effets secondaires).

C'est un potentiel crime contre l'humanité qui est en cours ( apartheid, extorsion du consentement, propagande insensée, injection obligatoire d'un produit expérimental suspect aux enfants et femmes enceintes, etc...)

Cette dérive tyrannique des politiques s'appuie sur la prise de pouvoir des scientistes dogmatiques dans le milieu scientifique. Les scientifiques dignes de ce nom devraient maintenant réagir après un long temps de sidération, pour la plupart d'entre eux...

On devine que le but de toute cette mise en scène pathétique est un contrôle le plus total possible des populations par le tout numérique, en prenant la santé comme prétexte.
Mais la santé n'a pas grand rapport avec les grands groupes de l'industrie pharmaceutique qui ne vivent qu'en entretenant les maladies.

27/07/2021

Le grand virage de l'humanité...

Entretien où Philippe Guillemant présente son dernier bouquin. Le Covid est une opportunité pour changer de Futur: éviter l'option transhumaniste du traçage numérique (le foutur) pour aller vers une option plus humaniste (le futé lumineux).

23/05/2021

Ingénierie sociale, manipulation et consentement (Réinfocovid)


Il vous faut des lunettes?

Illu_Lunettes-1536x1024.jpg



Source: site Reinfocovid.fr le 2 avril 2021


Par : Julie Lioré, anthropologue, pour le collectif REINFOCOVID

L’ingénierie sociale est une méthodologie consistant à manipuler les foules au travers de stratagèmes habilement étudiés, issus de la psychologie et la psychosociologie, visant à imposer de nouvelles normes et, pour parvenir à ses fins, à influencer toute une population en contournant ses résistances aux changements à opérer.


« L’ingénierie sociale est, dans le contexte de la sécurité de l’information, une pratique de manipulation psychologique à des fins d’escroquerie. » (Wikipedia)

—————

L’ingénierie sociale, à laquelle il serait légitime d’ajouter, « et psychologique », est une méthodologie consistant à manipuler les foules au travers de stratagèmes habilement étudiés, issus de découvertes faites dans deux champs connexes, la psychologie et la psychosociologie. Ces disciplines cherchent à comprendre la manière dont les individus s’envisagent, sont en relation et s’influencent les uns avec les autres. Fort de ces connaissances en matière de mécanismes psychologiques de l’être humain et physiologiques de son cerveau, lorsqu’il est isolé ou en groupe, cette ingénierie vise à imposer de nouvelles normes et, pour parvenir à ses fins, à influencer toute une population en contournant ses résistances aux changements à opérer.

Parmi les « prérequis », l’ingénierie sociale et psychologique sait notamment que tout individu a fondamentalement besoin d’être en lien et d’appartenir à un groupe, le troisième besoin essentiel dans la pyramide de Maslow, après celui des besoins physiologiques pour survivre et de protection pour se sentir en sécurité. La mise au ban est proprement insupportable. Elle sait aussi qu’un individu, dans une foule, est amené à perdre son libre-arbitre (Gabriel Tarde, père de la psychologie sociale), par une sorte de « passivité imitative », et que le comportement d’une masse de personnes diffère de celui d’individus lors qu’ils sont isolés (Gustave Le Bon [1], anthropologue et psychosociologue). La foule est, en somme, une entité une et indivisible, soumise à une « âme collective » et ayant sa propre nature psychique, une entité distincte de l’addition des individus isolés qui la compose, une sorte de totum agissant bien mieux et plus fortement en synergie, plutôt que chacun dans son coin. Pour le meilleur ou pour le pire.

Tarde et Le Bon ont grandement influencé Edward Bernays [2], neveu de Freud et grand-oncle du co-fondateur et premier PDG de Netflix, pour qui la foule n’est pas une entité pensante, ne réagissant seulement qu’à ses émotions. Fort de ses connaissances en matière de processus mentaux inconscients, Bernays a, à son palmarès, un grand nombre manipulations du consentement. En 1917, il a orchestré, avec le gouvernement d’alors, une véritable métamorphose : la jeunesse américaine, alors pacifique, est devenue, en masse et en 1 an, guerrière, prête au combat. Dans les années 20, il a été chargé de rendre la cigarette populaire auprès des femmes pour le compte de l’industrie du tabac, en vue d’augmenter ses ventes et profits. Jusqu’alors, fumer était une pratique des femmes de mauvaise vie, l’objectif était donc de changer l’image de la cigarette. Il est aussi l’un des pères du consumérisme américain, en association avec Henry Ford. Bernays a mis au point une stratégie, élaborée à partir d’un arsenal mental, visant à forger l’opinion dans un sens donné et à façonner le consentement qui va avec. Or, pour que cela fonctionne, le mécanisme psychosocial doit rester imperceptible et la main, en train de fabriquer le consentement, invisible.

Des stratégies aujourd’hui dévoilées

L’influence et le contrôle des foules ne datent pas d’hier et jusqu’à peu, restaient couvertes d’un voile opaque dont il était bien difficile de voir au travers. Le cinéma, Hollywood à l’époque et Netflix aujourd’hui, dont le nombre d’abonnés a explosé ces derniers mois, véhicule toutes sortes de messages orientés, ainsi que diverses propositions de potentiels futurs [3]. La télévision n’est pas en reste. D’ailleurs, qu’en serait-il aujourd’hui de la Covid-19 de mars 2020 sans elle ? Probablement plus rien depuis des mois.

La première stratégie de manipulation à mettre en place, parmi les dix énoncés par Noam Chomsky, linguiste et penseur américain, est celle de la distraction. Dans l’Empire romain déjà, les puissants de l’époque contrôlaient les foules avec des jeux, dans les arènes, et du pain (une sorte de revenu universel antique). Plus près de nous, Zbigniew Brzezinski, politologue américain décédé en 2017, a donné naissance à la notion de tittytainment, qui signifie donner la tétée (titty) au peuple, composée de divertissements (entertainment), soit un mélange d’aliments physiques (malbouffe) et psychologiques (séries, émissions de télé-réalité, entre autres), très addictifs, ayant pour vocation d’endormir (au sein) les masses, afin d’en contrôler les frustrations et protestations potentielles, et d’en amoindrir l’esprit critique. Le tittytainment a manifestement servi à préparer ce qu’il se passe aujourd’hui.

Vient ensuite la stratégie du choc, en créant un problème en amont et en coulisse, pour le résoudre en aval et sur scène. L’insécurité est un bon exemple, celle-là même qui a permis d’instaurer un état de sécurité globale. Le choc de la « pandémie », dont le critère de mortalité a été supprimé en 2009 par l’OMS, a été la voie royale à l’état d’urgence sanitaire, prolongé depuis sans relâche. Saccager l’économie en est un autre : après avoir créé la pénurie de travail, le revenu universel pourrait être accueilli comme l’extrême-onction. Nous ignorons encore si ces chocs consécutifs permettront à la main d’imposer sa nouvelle norme. Nous voyons nettement, en revanche, comment cet état de sidération, devenu chronique, inhibe l’action.

Le choc est une bête noire pour chacun de nous, qui préférons la sécurité, la stabilité, voire un certain conservatisme. Or, la multiplication des dissonances cognitives (entre autres, confiner-déconfiner-reconfiner, masque au départ inutile devenu indispensable puis obligatoire pour tous et partout) génère des tensions venant déstructurer nos habitudes de fonctionnement, jusqu’à disloquer les groupes, en créant des pro-, des anti- ou bien celui des « rideaux baissés », qui ont fini par fermer boutique, tant les informations sont discordantes. Naomi Klein, dans son ouvrage La stratégie du choc (2007), explique combien cette prolifération d’informations contradictoires en arrive rapidement à désorienter une boussole, à faire perdre son libre arbitre et sa capacité à faire une analyse juste des faits. L’ingénierie sociale et psychologique sait que ces contradictions permettent de mieux soumettre.

Cette méthodologie procède par étapes, graduellement, insidieusement. La suivante est la stratégie de la dégradation progressive. Si nous avions eu à accepter, en une fois, confinement, distanciation sociale, couvre-feux, masque, vaccin, passeport, nous aurions tout rejeté en bloc. Nous renvoyons ici à la fenêtre d’Overton, selon qui l’opinion publique peut être progressivement modifiée, afin que des idées initialement considérées comme impensables finissent par être acceptées, voire légiférées, en passant par la caution scientifique et la création de besoins (masque, vaccin).

Vient ensuite la stratégie du différé. D’abord s’occuper de la pandémie, « quoi qu’il en coûte », nous règlerons la question économique plus tard. Notre cerveau est composé de neurones, qui établissent des connexions via des synapses. Tous les 21 jours, les chemins synaptiques changent, en retirant les connexions devenues obsolètes et ajoutant les plus récentes. Toutes les mesures sanitaires ont ainsi établi, au fil des mois, des connexions et des déconnections qui ont été, au fur et à mesure, à force de répétition, intégrées dans des représentations mentales.

Pour mener à bien cette reprogrammation, il s’agit de s’adresser au public comme à un enfant. L’ingénierie sociale a bien compris que, quand on cherche à tromper un individu, il suffit d’adopter un ton infantilisant pour s’adresser à lui, stratégie largement utilisée par le marketing et la publicité. Eric Berne [4] a compris qu’en chaque adulte, coexistent plusieurs personnalités : l’enfant, docile et/ou rebelle, le parent et l’adulte, l’une ou l’autre endossée en fonction des circonstances. En multipliant les messages infantilisants, le gouvernement, en bonne figure paternaliste en général et dans la toute-puissance en particulier, soumet ses sujets en les menaçant de couper le lien : agissez comme je dis (pas comme je fais…) et vous ne serez pas puni. Or, face à l’autorité et depuis la petite enfance, conditionné à la respecter, la plupart d’entre nous a tendance à régresser et face à cet « amour » conditionnel, à obéir, à porter un masque facial, à rester confiné, à se faire vacciner. Toutefois, en fonction de l’estime que l’on a de soi, on aura tendance à s’en remettre variablement au « père », à suivre ou pas ses consignes en toute confiance et à les remettre ou non en question.

En parallèle, il convient de s’adresser à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion. Les émotions sont innées, universelles et communicatives, elles sont surtout indispensables à la survie de l’homme et à la construction de son comportement. Pourtant, la plupart d’entre nous n’ont jamais appris à les gérer, mais plutôt à s’en méfier, à les réprimer, voire à les refouler.

Cette crise nous a tous, ou presque, mis dans une tourmente émotionnelle extrêmement forte, si ce n’est sans précédent : peur de mourir, l’émotion la plus profonde et celle sur laquelle cette « pandémie » a pris appui, mais aussi la peur de tomber malade, de contaminer nos proches, de l’absence de lien, de perdre son travail, de payer une amende, etc. Avec une telle intensité, la peur a fait ressurgir bon nombre de vieilles blessures de l’enfance et sans avoir appris à gérer cette émotion comme les autres, lorsqu’elles surgissent et de façon aussi intense, l’analyse rationnelle est alors court-circuitée et le sens critique désactivé. Les émotions sont, en outre, de bien mauvaises conseillères. Enfin, en utilisant le registre émotionnel, il devient facile de faire ressurgir certains comportements inconscients et d’en implanter de nouveaux. C’est ainsi que l’on fabrique le consentement, lorsque l’ingénierie sociale abat ses cartes au bon moment.
« Armes silencieuses pour guerres tranquilles » (Noam Chomsky)

L’agnotologie désigne l’étude des moyens mis en œuvre pour produire, propager et préserver l’ignorance et, par extension, la « production culturelle de l’ignorance ». (Robert N. Proctor, historien des sciences à l’Université de Stanford)

La pédagogie, ces dernières décennies, a mis un point d’honneur à cloisonner et hyper-spécialiser le savoir, jusqu’à exceller dans un domaine bien précis, au point aujourd’hui de ne plus permettre aux individus de relier les choses les unes aux autres, de discerner ni d’anticiper, autrement dit, d’avoir une vision globale et à long terme. De surcroît et malgré la technologie sous la forme d’ « assistants », censés rendre nos existences matérielles débarrassées de leurs contraintes, le monde va de plus en plus vite, ne nous permettant plus de prendre le temps pour anticiper. La visibilité à court-terme, à l’image de la distance qui nous sépare de nos écrans, et l’immédiateté l’ont emporté.

Notre cerveau est fait de trois strates. La première est reptilienne, dont le comportement archaïque concentre toute son attention sur la survie (aujourd’hui pour beaucoup financière) et la territorialité au sens large (géographique, hiérarchique, idéologique, etc.). La deuxième est limbique, elle est responsable des émotions et du stress. Ces deux premières strates, archéo- et paléo-cortex, constituent le cerveau « mammalien », dont les caractéristiques sont l’automatisme et l’émotionnel. La troisième, la plus récente dans l’évolution de l’espèce humaine, est le néocortex, qui permet la réflexion, l’adaptation et l’anticipation, en somme, d’avoir une vision globale du monde qui nous entoure. Or, sans avoir appris à gérer ses émotions et en état de choc chronique, le néocortex est mis en échec, pris en otage, et ses capacités sont comme inhibées. Prenons l’exemple des restaurateurs, dont le commerce a été fermé et qui perçoivent, en contre-partie de cette fermeture, une aide financière de l’État. À court terme, leur cerveau reptilien dit : grâce à cette aide, je peux manger, aussi, j’obéis à cette main qui me nourrit et respecte les mesures imposées. Quid de ce qu’il en sera à plus long terme, de cet assistanat et de son prix à payer ? Il s’agit là d’un parfait exemple de raisonnement à court terme et de soumission librement consentie, comme sous hypnose.

Nous sommes donc tous devenus experts dans notre domaine de compétences, sans avoir pu, ni su, ni eu le temps d’aller farfouiller ailleurs, et peu d’entre nous ont véritablement plongé dans les entrailles de nos émotions pour en explorer les moindres méandres, tandis que l’élite gouvernante, elle, n’a cessé d’ajuster sa vision globale pour anticiper et avoir une très large avance sur nous, le peuple.

La société tend désormais à se complaire dans la médiocrité, plus que jamais encouragée à le faire. La médiocrité est ici sociale, celle des comportements sociaux, et non individuelle. La pensée complexe, au sens d’Edgar Morin et d’enchevêtrement de relations pour faire sens, n’est désormais plus promue, voire ouvertement dénigrée. L’hyper-cloisonnement des disciplines et l’expertise d’une manière générale l’ont emporté sur la systémie, ce champ interdisciplinaire relatif à l’étude d’objets dans leur complexité. Aujourd’hui, on n’apprend plus à l’école et encore moins, nous l’avons vu, dans les grandes écoles et universités, à relier les choses entre elles, mais au contraire à être hyper spécialisé dans son domaine, ainsi que, à grand renfort d’évaluation et de peur de l’échec qui va avec, à être « docile au protocole ». Nul besoin de relier ce qui est séparé, qui permettrait d’avoir une compréhension du monde, un état que l’ingénierie sociale s’attelle à maintenir, à l’aide d’une partie de l’information, elle aussi gagnée par la médiocrité. En effet, le niveau des arguments est, aujourd’hui, au plus bas dans les médias mainstream, tant pis pour l’éthique et la déontologie, tout en s’efforçant de ne surtout pas bouleverser l’ordre établi. Le trouble est suffisamment grand, aussi, une explication qui ne tient pas vaut toujours mieux que pas d’explication du tout. Et ça fonctionne, la main le sait.

Le résultat en est que la majorité ne cherche plus à comprendre le monde dans lequel elle vit, ni ne remet en question ce qui est dit et montré, en boucle. Elle a baissé la garde et les armes, par peur inconsciente de perdre sa position, si le système venait à s’écrouler. Celles et ceux qui ont « baissé le rideau » sont entrés en passivité totale, comme d’autres, de plus en plus nombreux, entrent en résistance. Désormais convaincus qu’ils ne font pas le poids pour changer quoi que ce soit, ils accompagnent avec nonchalance le mouvement officiellement impulsé par le gouvernement, en bon père de famille, convaincus de ne plus être maîtres ni responsables de quoi que ce soit, de leurs pensées, leur liberté et leur destin.
Remplacer la révolte par la culpabilité

Nous ne reviendrons pas sur la déresponsabilisation qui fait rage et porter plus que jamais tout le poids de cette crise sur le dos des citoyens. Ainsi, au lieu de se révolter, ils s’auto-dévaluent et culpabilisent. Or, la culpabilité est une émotion faite de peur et de tristesse, assortie souvent d’un peu de honte, et tend à générer un état dépressif, dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Avec la sidération, la culpabilisation est un excellent moyen de tuer la révolte dans l’œuf. Ainsi submergée par ses émotions, la foule ne réagit plus à la raison. La main le sait aussi.

Les sciences de l’Homme (sociologie, psychologie, biologie humaine) n’ont plus de secret pour les détenteurs et exécutants de l’ingénierie sociale, qui ont une connaissance bien plus avancée et plus transversale de la nature humaine que les spécialistes de chacune des disciplines eux-mêmes. La main connaît mieux l’individu moyen qu’il ne se connaît lui-même et de fait, détient sur lui un pouvoir plus grand.

L’Humanité est aujourd’hui parvenue à une étape décisive de son évolution, celle de la vérité, de la responsabilité, de la liberté et de la souveraineté, ce qui ne signifie aucunement mettre celle de l’autre en danger. Cette crise est profondément salutaire, en ce sens qu’elle pourrait servir à chacun de nous, en procédant à une profonde introspection et en se posant une question essentielle : qu’est-ce que je veux, pour moi, pour les miens, pour la jeunesse, pour l’humanité ? Brader ma liberté pour 135€ et rester bâillonné en attendant de voir ce qui va se passer ou si quelqu’un d’autre va faire quelque chose à ma place ? Ou bien faire le choix de sortir de la prison de la pensée unique (#tousdesclones ? Non merci !), d’accueillir ses émotions, de les mettre au clair pour gagner en liberté, de retrouver confiance et estime de soi, de prendre du recul en remettant en question ce qui est dit et montré, en remplaçant la pensée unique par la pensée complexe, qui permet de croiser, de confronter, de réinterroger, afin de se forger son propre avis sur ce qui se passe et, en connaissance de cause, de résister à ce qui apparaîtrait clairement comme faux, injuste, absurde, pervers. Primo Levi, emprisonné en 1944 dans un camp de concentration et d’extermination, disait : « Un nazi, c’est quelqu’un qui a perdu son principe de résistance. » et J.-P. Sartre, qu’« on n’a jamais été aussi libre que pendant l’occupation ».

Personne n’a dit que cheminer dans ce sens n’était facile, à l’image d’une thérapie, ici sociétale [5] : c’est éprouvant, parfois douloureux, mais intense et le moyen d’ouvrir en grand le champ des possibles. Cette crise nous offre, et c’est une première historique, la possibilité de choisir, sachant que le retour en arrière n’est plus possible, n’en déplaise aux « comme-avantistes ». Le paradigme a désormais atteint son point de non-retour et la grande bascule amorcé son mouvement : sortir grandi de cette crise et souverain ou finir asservi et aliéné ? En somme, choisir entre le grand réveil ou le grand reset [6].

Bernays disait que, pour fonctionner, ces stratégies devaient rester invisibles. Or, ces derniers mois, elles sont devenues au contraire on ne peut plus observables, l’ingénierie sociale ne peut donc plus œuvrer dans l’ombre ni de manière aussi efficiente que prévu. Nous prendrons, pour finir, l’exemple de la mesure la plus « symptomatique » de cette manipulation, celle de la distanciation sociale. Cette mesure contraire à la vie, sans aucun fondement scientifique ni médical, cherche, en force, à retirer le lien dont les êtres humains sont faits, par conséquent, à envisager une société sans lien ni entraide, donc morte. Nous sommes des mammifères et en tant que tels, une espèce fondée sur le groupe et le contact. Pourtant, cette stratégie de distanciation sociale existait déjà partiellement, mais dans l’ombre de l’individualisme et du libéralisme. Elle est aujourd’hui devenue franchement ostensible, or, en se dévoilant, elle révèle un système en train de s’écrouler.


Références

[1] La psychologie des foules, 1895
[2] Propaganda. Comment manipuler l’opinion en démocratie, 1928
[3] Film documentaire Out Of Shadows
[4] https://analysetransactionnelle.fr/p-Eric_Berne
[5] Propos emprunté à Philippe Bobola, physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste : https://emakrusi.com/gallerie-videos/video-category/comprendre-votre-cerveau/
[6] COVID-19 : La grande réinitialisation, Klaus Schwab et Thierry Malleret, septembre 2020
PrevArticle précédentRéponse à l’article Le Temps du 20 mars 2021
SuivantLe réseau sentinelles et la Covid-19Next


© Tous droits réservés - RéinfoCovid 2021

26/03/2021

Les débats sur les ovni ne sont plus ce qu'ils étaient...

Un débat sans tabou, très ouvert, avec un journaliste qui n'interrompt pas les intervenants, c'est rare.
Avec Luc Dini représentant d'A3F et de Sigma2, avec Alain Juillet, ancien responsable en Intelligence Economique auprès du Premier Ministre, avec Jean-Pierre Petit, astrophysicien, ancien du CNRS, et le journaliste Jean-Claude Bourret, qui travaille sur ce sujet depuis plus de 40 ans.

18/03/2021

Quelques clefs sur l'imposture sanitaire...



Pas d'accord avec tout mais cette analyse de la façon dont les études soi-disant scientifiques sont tronquées et détournées est bonne à connaître...
La tromperie est manifeste.


10/03/2021

La révolution d'un seul brin de paille ...



330px-Masanobu-Fukuoka.jpg




Masanobu Fukuoka , né le 2 février 1913 à Iyo et mort le 16 août 2008, est un agriculteur japonais, connu pour son engagement en faveur de l'agriculture naturelle.
Microbiologiste de formation et spécialiste en phytopathologie, il travaille au Bureau des Douanes de Yokohama, à la Division de l'Inspection des Plantes. Rapidement, il commence à douter des progrès apportés par l'agriculture scientifique (dépendante du travail de la terre, des engrais et des pesticides chimiques), et démissionne de son poste. Il décide de retourner sur la ferme de son père, sur l'île de Shikoku.
Dès lors, il consacre sa vie à développer une agriculture plus conforme à ses convictions, qu'il qualifiera d'agriculture naturelle.

34113-les_quatre_principes_de_lagriculture_sauvage_par_fukuoka.webp



"Masanobu Fukuoka a compris que nous ne pouvions pas isoler un aspect de la vie d’un autre. Quand nous changeons la manière de faire pousser notre nourriture, nous changeons notre nourriture, nous changeons la société, nous changeons nos valeurs. Ce célèbre agriculteur japonais a choisi la simplicité en imitant la nature et en repoussant la technologie. En partant du principe que l’homme ne connaît rien et ne peut pas créer plus belle oeuvre que la nature, il travaille en laissant agir et pas en voulant tout contrôler. Le but est de nous rappeler notre propre place dans l’ordre des choses."




Petit livre essentiel, très simple à lire, une bouffée d'air pur et de poésie. Une indication de la bonne direction dans la situation ubuesque et despotique actuelle.


9782844456243_internet_w290.jpg


16/01/2021

Tirage aléatoire d'images pour susciter des synchronicités



Source: Tirage aléatoire d'images pour susciter des synchronicités


"Le concept de synchronicité fut développé par Jung dans les années 30.

Jung se trouvait un jour en consultation avec une patiente qui lui relatait un rêve.
Dans celui-ci, elle se voyait offrir un bijou en forme de scarabée
A ce moment précis une cétoine dorée se mit à taper contre la vitre du bureau, voulant s’introduire dans la pièce.
Jung ouvrit la fenêtre, se saisit de l’insecte et dit à sa patiente médusée: « le voilà, votre scarabée ! ».
La patiente, très rationnelle, trop enfermée dans son mental, reçut un choc émotionnel qui lui permit d’avancer dans son travail d’analyse.

Les synchronicités nous incitent à dépasser l'intelligence mentale analytique pour nous ouvrir à l'intelligence globale émotionnelle...


scara.jpg




Certaines circonstances (ou un état d'esprit adéquat) favorisent l'apparition de synchronicités,
ces coïncidences significatives qui suggèrent que le temps n'existe pas...

Ainsi, ressentir le besoin d'une aide dans une situation compliquée est un facteur favorable à leur apparition.
Formuler une demande (oralement ou mieux encore par écrit) semble également propice.
Celà permet ensuite de lâcher prise, jusqu'à l'obtention d'une réponse surprenante en retrouvant dans la réalité une correspondance (pertinente et improbable) avec l'image tirée.
Cette réponse synchronique à l'image devrait éclairer votre demande... "

mandalanb.png


Aller sur le site pour effectuer un tirage




13/01/2021

Influence du futur, transhumanisme… Ce que nous aura appris le confinement, par Philippe Guillemant



thumbnail.jpg






Femme actuelle reprend un article de Philippe Guillemant

Dans un nouvel ouvrage collectif, l'ingénieur physicien et chercheur au CNRS Philippe Guillemant présente sa vision de la nature profonde de la crise du coronavirus. Une lecture éclairante et inspirante... indispensable pour envisager sereinement l'année à venir.

"Bas les masques !", c'est le titre d'un ouvrage collectif dirigé par Arnaud Riou, qui a tendu la plume à des spécialistes de tous horizons, qui ont en commun de parler de spiritualité. Voici, en extrait, le texte de Philippe Guillemant, chercheur post-matérialiste qui mène aujourd’hui une recherche fondamentale en physique de l’information visant à réviser notre conception de l’espace-temps en lui octroyant une flexibilité et des dimensions supplémentaires liées à notre conscience.



***


L’influence du futur


"Je vais essayer de dégager le sens profond de la crise du coronavirus et ce qu’elle peut nous apprendre, en tant que physicien, auteur d’une théorie du temps selon laquelle notre futur est déjà réalisé mais pas de façon définitive. Selon cette thèse, un changement d’orientation de notre futur collectif peut effectivement être responsable d’un événement extraordinaire et tout à fait imprévu.

La « présence du futur » est une théorie tout à fait sérieuse et même dominante en physique : c’est la théorie de l’univers bloc, qui fait néanmoins encore débat car elle empêche toute possibilité au futur de changer. Il y a ainsi deux grands points de vue sur cette question, selon que l’on croit ou non au libre arbitre :

– le futur est figé et nous avons donc un destin impossible à modifier, comme le propose par exemple le physicien Thibault Damour ;

– le futur est déjà là mais assez peu configuré pour qu’on puisse encore l’investir avec des idées, des projets, des représentations, des désirs, comme l’envisage le physicien Étienne Klein.

Remarquons que ces deux propositions ne sont pas nécessairement incompatibles, si l’on considère par exemple le cas où le futur change, puis reste ensuite figé pendant un certain temps. Il faut bien, en conséquence, que le nouveau futur nous influence pour nous attirer vers lui et il est alors probable que l’ancien futur résiste. Il existe alors un moment de bascule, mais une telle bascule entre ancien et nouveau futur n’est possible que si le passé ne nous oblige plus à sans cesse le répéter.

Or, justement, aujourd’hui, avec cette incroyable crise où tout s’arrête, l’influence du passé a été arrêtée net, laissant donc place aux influences du futur. Or, de telles influences se reconnaissent par leurs signatures que sont les synchronicités, ces coïncidences pleines de sens qui, dans les moments de grand changement, arrivent souvent en cascade.

Et, effectivement, durant cette crise, on observe une avalanche de coïncidences étranges qui laissent croire à une crise provoquée, faisant ainsi exploser les théories du complot.

La plus importante est l’apparition du virus en octobre 2019, juste après l’effondrement financier qui a démarré en septembre 2019 aux États-Unis et a été colmaté ensuite par les plus grandes planches à billets (Quantitative Easing) de l’histoire humaine, dont la cause officielle s’est ainsi inversée en devenant le virus. Une deuxième coïncidence remarquable est l’apparition du virus dans la ville de Wuhan, le seul laboratoire de sécurité maximale P4 dont est équipée la Chine, spécialisé dans l’étude des coronavirus et fruit d’une collaboration avec la France ! D’autres coïncidences troublantes mêlent justement la France à cette affaire, comme la décision de placer le principal médicament utilisé contre le coronavirus (la chloroquine) sous prescription médicale en janvier 2020, alors qu’il était précédemment en vente libre. Et comme par hasard, ce médicament fait ensuite l’objet de la retentissante affaire Raoult, donnant l’impression que le gouvernement a voulu en rejeter l’usage pour imposer une autre solution médicamenteuse plus rentable. Cette autre solution n’étant toutefois même pas encore à l’étude alors qu’on était en pleine urgence, cela a décrédibilisé le conseil scientifique de l’État en mettant en évidence un conflit d’intérêts de Big Pharma. Cinquième coïncidence : on apprend qu’un projet de loi avait été déposé au Sénat début décembre pour autoriser les mesures de confinement à domicile dans le cadre d’un risque épidémique ! Lien invoqué avec le coronavirus ? Officiellement aucun, la France n’étant à ce moment-là pas au courant de son existence et encore moins d’une menace de pandémie.

Doit-on en déduire que tout cela cache réellement un "complot" dans lequel la France aurait joué un rôle, actif ou passif ? Certes, certaines de ces coïncidences s’expliquent mieux par des causes passées comme le conflit d’intérêts, mais pas toutes. Car, si tel était le cas et qu’un vaste complot était à dénoncer, la moindre des choses aurait été pour les responsables d’éviter de prendre les risques de suspicion liés à toutes ces coïncidences, ne serait-ce que s’y prendre assez tôt pour légiférer sur la menace ou éviter de faire répandre le virus dans la ville même du labo P4. Il semble donc bien plus rationnel d’envisager une arrivée accidentelle du virus, qu’il ait été fabriqué dans le cadre d’une recherche médicale ou qu’il ait transité par un pangolin après avoir été issu d’une chauve-souris.

S’il n’est donc pas possible d’éviter un fait du "hasard", il n’en subsiste pas moins que sa probabilité est bien trop faible pour ne pas résulter d’une influence du futur.

Autrement dit, la probabilité pour qu’une pandémie engendrant un confinement planétaire arrive en même temps qu’une avalanche de coïncidences, l’année même d’un effondrement financier et économique attendu depuis des années, est tellement faible qu’elle ne doit pas être attribuée au hasard, mais à une influence du futur.

Notons qu’une telle influence est invoquée en physique pour expliquer le fameux "hasard quantique" qui a fait réagir Einstein par la fameuse formule : "Je refuse de croire que Dieu joue aux dés." Bien que le succès de la physique quantique ait fait dire à la communauté scientifique que, sur cette question du "hasard quantique", Einstein s’était trompé, c’était sans compter le fait que la théorie de l’influence du futur devient de plus en plus crédible avec le temps, ce que l’on peut résumer ainsi : ce qui n’est pas déterminé par le passé est déterminé par le futur.

Il ne reste donc plus qu’à se demander : à quel futur profite le coronavirus ?

Il suffit de constater la publicité faite durant le confinement à des technologies de surveillance de la population ou à des projets de contrôle humain (mobiles, drones, obligation vaccinale et puçage) pour être tenté de répondre à cette question de la façon suivante.

Le coronavirus profite à la mise en place du plus grand fléau susceptible de faire basculer l’humanité dans l’âge sombre du transhumanisme, grâce au déploiement des nouvelles technologies de surveillance de la population, dopées par le confinement et ses suites : la 5G avec les objets connectés, le traçage de la population, la surveillance par drones et le puçage humain.

On comprendra donc l’explosion des théories du complot, issues de l’illusion d’une guerre contre les peuples pour imposer une société de contrôle absolu.

Toutefois, la présence du futur laisse place à une autre interprétation : et si c’était plutôt un ancien futur transhumaniste qui complotait contre nous ?
Le transhumanisme

Rappelons que, dans la théorie dite "de la double causalité" qui sous-tend cette analyse, notre futur collectif est créé par la somme de nos pensées portées par la vibration de nos émotions, une réalité à ne pas confondre avec une croyance du New Age, mais à comprendre sur des bases scientifiques solides qu’il serait trop long de rappeler ici. JeJ’affirme que si, en tant qu’ingénieur, on me demandait aujourd’hui de développer des logiciels à partir de la mise à disposition de technologies de traçage, même sans caméras et avec un bruit résiduel, je pourrais réaliser des prouesses en matière d’identification dont mes commanditaires n’auraient même pas osé rêver.

Croyez-moi, on n’a pas besoin d’une caméra pour savoir ce que quelqu’un est en train de faire, il suffit d’avoir un signal quelconque sur cette activité et d’avoir une base de données d’activités pour identifier des signatures tout à fait pertinentes. Et je vous assure que cette identification pourrait être très puissante, au point de ressembler à de la magie si le signal est bon, qu’il s’agisse d’un traçage externe ou interne au corps humain.

On n’a pas non plus besoin qu’un être humain surveille des caméras pour savoir ce qui est en train de se passer dans un environnement filmé ou simplement tracé par un signal capté. Un être humain est déjà en général peu fiable sur l’analyse d’une image, il l’est encore moins sur un signal. Un être humain n’est fiable qu’en dernier ressort, et seulement sur la vision, lorsqu’un programme d’analyse lui demande de lever un doute résiduel.

Tout cela pour dire que, si des technologies de traçage humain se mettent en place, il est clair que nous ne serons pas surveillés par des humains mais de manière constante, nuit et jour, par des programmes. Ces programmes pourront identifier tout ce que nous sommes en train de faire avec le maximum de détails, par exemple :

– à quelle distance vous suivez la voiture devant vous, à qui elle appartient, à quelle vitesse vous roulez, etc. (les radars deviendront inutiles) ;

– à quelle heure vous arrivez à votre travail, la durée de vos pauses, ce que vous faites pendant vos pauses, avec qui vous déjeunez, etc. ;

– vos rapports avec vos voisins, collègues, conjoint, enfants, vos gestes brusques, avec qui vous faites l’amour, combien de temps, comment ça se passe, etc. On objectera qu’il y aura une législation et que tous ces développements seront interdits. C’est une erreur, car les seules choses qui pourront être interdites seront certains usages de ces programmes, mais certainement pas leur développement. Ils seront obligatoirement développés pour un usage par exemple sécuritaire et ils seront ainsi disponibles pour des applications inhumaines. Même si ces applications-là sont interdites, peut-on vraiment croire que des services secrets de surveillance intérieure s’en passeront ?

De plus, le fait de ne pas être surveillés par des humains mais par des programmes « inconscients » sera revendiqué comme ne devant gêner personne. En réalité, se sentir surveillé par un programme entraînera beaucoup de comportements bizarres (de leurres) et d’aliénation, non sans raison. Car lorsque le programme détectera un comportement considéré comme anormal ou dérangeant (y compris des leurres pour éviter un diagnostic), des humains (police, etc.) pourront être avertis afin de jeter un oeil sur la personne concernée et n’auront peut-être même pas besoin de le faire si la preuve de son comportement, disons illégal, est déjà apportée par le programme.

Il s’agit donc là d’une véritable plongée directe vers une totale déshumanisation de la société. J’ai insisté longuement sur ce problème parce qu’il importe maintenant de comprendre que ce processus de déshumanisation pourrait atteindre un point de non-retour dès 2020, si l’on y prend insuffisamment garde.

En effet, mettre le doigt dans l’engrenage du traçage conduira au stade suivant, plus perfectionné, celui du puçage humain. Nous pourrions alors être suivis partout, même dans la nature, notamment grâce au projet Starlink qui a déjà commencé à polluer le ciel avec son orgie de satellites et qui prévoit de l’encombrer encore plus avec des dizaines de milliers supplémentaires ! Une perspective effrayante !

Voilà donc où nous menait l’ancien futur.

Je souhaite maintenant expliquer pourquoi en France, nous sommes une cible privilégiée de ce programme aliénant. On nous a parlé de guerre avec insistance, on a agité devant nous la peur de la mort, on veut nous tracer, nous discipliner, nous contrôler d’une façon qui aurait été inimaginable quelques mois plus tôt. Or, il y a une certaine logique là-dedans, si l’on considère que pour des raisons historiques la France est le pays qu’il faut "plier" ou "écraser" en premier, car c’est le plus récalcitrant. On l’a vu avec l’émergence spontanée du mouvement des Gilets jaunes qui ont été violemment maltraités. Si l’on tient compte maintenant des coïncidences impliquant la France dans cette affaire du coronavirus et que l’on rejette tout complot, alors il faut envisager pour les expliquer une influence du futur spécifique à la France et en conclure que notre pays est comme "instrumentalisé en priorité" par l’ancien futur transhumaniste pour qu’il puisse s’étendre ensuite au monde entier.

Autrement dit, le fait que la France semble être une cible privilégiée devrait plutôt être compris comme le fait que l’ancien futur s’attaque à notre pays, car c’est celui qui offrira la plus grande résistance.
Le grand virage de l’humanité

Fort heureusement, il semblerait donc que tout ce programme ait été suspendu et que tout se passe comme si ce futur aliénant nous dévoilait plutôt son abomination au grand jour, facilitant ainsi le contraire des apparences, c’est-à-dire l’avènement d’un nouveau futur alternatif pour cause de rejet de l’ancien. Le discrédit jeté par les théories complotistes sur les technologies de surveillance va continuer en effet à faire son oeuvre même si ces théories sont partiellement fausses, car le peuple est encouragé à réagir plus émotionnellement qu’avec raison lorsque les médias sous influence en sont réduits à combattre les mauvaises informations pour ne pas avoir l’air d’omettre les bonnes. Le projet transhumaniste, qui devait ainsi s’imposer sans débat ni étude préalable de conséquences sur la santé physique et mentale, tout comme pour la 5G, a été mis en lumière. Il n’avait donc vraiment pas besoin du coronavirus, car il suffisait pour l’humanité de continuer sa répétition habituelle du passé…

Grâce au coronavirus, l’humanité aurait-elle donc enfin la possibilité d’amorcer le grand virage ainsi prédit par André Malraux : "Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas" ?

La bonne nouvelle serait donc que, grâce au coronavirus, l’influence du passé a été stoppée et qu’un nouveau futur se serait donc installé. Mais comment cela serait-il arrivé ?

La réponse est simple : durant les décennies précédentes, nos croyances ont changé et sont devenues beaucoup plus spirituelles, car beaucoup de choses nous ont démontré que nous avions une âme et que notre conscience n’était pas le produit du cerveau.

Nous nous dirigeons ainsi aujourd’hui vers ce nouveau futur, qui est celui de l’éveil de la conscience mais aussi de la résistance… contre l’ancien futur qui ne va pas se laisser démonter aussi facilement.

Heureusement, la France est le meilleur pays pour résister afin d’expérimenter le nouveau futur. Elle est championne d’Europe par son nombre de villages. Elle est le pays le mieux tempéré, le mieux placé pour résister au réchauffement climatique, pour développer une agriculture recentrée localement, sur la permaculture et sur des communautés résilientes, solidaires et autonomes soutenues par les mairies.

La France est aussi le pays de Descartes, à qui on a fait un terrible affront en nous laissant croire qu’être cartésien, c’était croire que tout était mécanique. Or, Descartes avait conservé la transcendance.

Je ne cesse d’expliquer scientifiquement dans mes publications, livres et conférences les raisons pour lesquelles ce n’est pas la mécanique qui détermine le cours des événements, pas plus que les cigognes ne nous amènent les bébés. Ce sont nos pensées et nos émotions, captées par notre Soi en miroir, à travers d’infimes vibrations de l’espace-temps ou des dimensions supplémentaires.

On en a des preuves à travers toutes les découvertes qui démontrent que l’espace, le temps et la matière n’existent pas tels qu’on les perçoit… que l’espace lui-même n’est pas dissociable de la conscience.

On en a des preuves à travers des expériences de test de la théorie du plus grand physicien de la planète, Roger Penrose, qui nous dit que la conscience est de nature quanto-gravitationnelle.

On en a des preuves à travers une définition de l’âme dont l’existence est devenue rationnelle : un système immatériel de coordination quantique et atemporelle du vivant, capable de rejeter son excédent d’entropie et de survivre à la mort physique.

Je suis donc optimiste, car la révélation scientifique de la réalité de l’âme et de toutes les potentialités de la conscience va complètement ringardiser l’ancien futur transhumaniste, fondé sur l’idée que l’âme n’existe pas. Cet ancien futur essaie de nous faire peur, car la peur est une vibration émotionnelle qui nous ramène vers lui, à l’opposé de la joie qui nous emmène vers un nouveau futur, profondément humain et solidaire.

N’oublions jamais qu’au sein du multivers, le futur que nous allons vivre est adressé par nos pensées transférées par la vibration de nos émotions. Plus nos vibrations sont élevées et subtiles, plus l’adressage est puissant, c’est mathématique.

Si nous ne voulons pas du transhumanisme, soyons lucides et sachons dire non, mais sans vibrer ni la peur ni la violence. Vibrons plutôt la joie et la puissance de l’être souverain et confiant qui sait que ce futur ne passera pas par lui. Vibrons des projets solidaires, autonomes et résilients qui valorisent la nature au lieu de la détruire. Rêvons de rejoindre des initiatives innovantes et créatives en allant nous installer dans les campagnes.

Mais n’oublions jamais qu’on ne crée pas son futur avec son mental mais avec son coeur."
***


Notes sur l'auteur : Philippe Guillemant est un ingénieur physicien français diplômé de l’École centrale de Paris et de l’Institut de physique du globe. Il est docteur en physique et habilité à diriger des recherches. Il exerce son activité au CNRS à Marseille où il est ingénieur de recherche hors classe.

Après avoir été reconnu par plusieurs distinctions, dont le Cristal du CNRS, pour ses innovations dans le domaine de l’intelligence artificielle, il mène aujourd’hui une recherche fondamentale en physique de l’information qui vise à réviser notre conception de l’espace-temps en lui octroyant une flexibilité et des dimensions supplémentaires liées à notre conscience.

Il est l’auteur de la théorie de la double causalité (ou de l’espace-temps flexible), un modèle de création de la réalité fondé sur le libre arbitre via une rétrocausalité, présenté dans ses trois livres La Route du temps (Le Temps Présent, 2010 et 2014), La Physique de la conscience (Trédaniel, 2015) et Le Pic de l’esprit (Trédaniel, 2017). Ce modèle conduit, entre autres choses, à une explication rationnelle de la synchronicité qui débouche sur un véritable "pont" entre la science et la spiritualité.