11/01/2020
Sur les vaccins...
Note:
Fin des années 60, le rapport final de la Commission mondiale de l'OMS pour la certification de l'éradication de la variole notait :
« Les campagnes d'éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. […]
En Inde, cinq ans après une campagne nationale d'éradication entreprise en 1962 (55 595 cas), le nombre de notifications était plus grand (84 902 cas) qu'il ne l'avait jamais été depuis 1958.
Il eût été extrêmement coûteux et logistiquement difficile, sinon impossible, d'atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie. »
L'OMS change alors de stratégie en 1967, mettant en œuvre la « stratégie de surveillance et d'endiguement », qui consiste à isoler les cas et à vacciner tous ceux qui vivaient aux alentours de foyers d'épidémie. Une équipe internationale est constituée sous la direction de l'Américain Donald Henderson.
source directe (épuisée)
Sur wiki
>>> Il en ressort (d'après l'OMS elle même) que ce ne sont pas les campagnes de vaccinations massives qui ont fait cessé la variole (contrairement à ce qui est couramment répété) mais principalement une stratégie hygiéniste "de surveillance et d'endiguement" (ainsi que l'amélioration des conditions de vie).
Si vous vous posez des questions, sur la manière de réagir légalement au diktat vaccinal...
Comment négocier l'extravagante obligation vaccinale des enfants?
Ici
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10/01/2020
Une autre mathématique...
Une physique indéterministe pour un monde plus ouvert
Un physicien de l’UNIGE propose de changer le langage mathématique parlé par la physique classique pour faire place à l’indéterminisme et offrir un futur ouvert.
source: site de l'université de Genève
© DR
La physique classique est caractérisée par la précision de ses équations qui décrivent l’évolution du monde tel qu’il a été déterminé par les conditions initiales du Big Bang. Le hasard n’y a donc pas sa place. Pourtant, notre expérience quotidienne et notre intuition sont heurtées par cette vision déterministe du monde: tout est-il vraiment déjà écrit? L’aléatoire ne serait-il qu’une illusion? En analysant le langage mathématique classique utilisé en physique moderne, un physicien de l’UNIGE éclaire une contradiction entre les équations censées expliquer les phénomènes qui nous entourent et le monde fini. Il propose de changer de langage mathématique pour permettre à l’aléatoire et à l’indéterminisme d’entrer dans la physique classique, la rapprochant ainsi de la physique quantique. Ce commentaire, à lire dans la revue Nature physics, fait souffler un vent de révolution sur la physique classique, ouvrant la possibilité de futurs différents.
En physique classique, soit la physique de Newton, il est admis que depuis le Big Bang, tout est déjà déterminé. Les équations mathématiques servent à expliquer l’évolution du monde qui découlent de ces conditions initiales de la manière la plus précise possible. Pour ce faire, les physiciens utilisent le langage des mathématiques classiques pour décrire ces conditions initiales, en utilisant notamment les nombres réels. «Les nombres réels sont caractérisés par un nombre infini de décimales qui suivent la virgule, explique Nicolas Gisin, professeur honoraire au Département de physique appliquée de la Faculté des sciences de l’UNIGE et auteur de ce commentaire. Ils contiennent donc une quantité infinie d’informations.» Ces nombres réels typiques sont bien plus nombreux que les nombres qui ont un nom, comme Pi, et sont constitués d’une série de décimales complétement aléatoire. On ne les rencontre pas dans la vie de tous les jours, mais leur existence est un postulat accepté en mathématique classique et ils sont utilisés dans de nombreuses équations en physique. Problème: notre monde est fini, alors comment peut-il contenir des nombres qui eux, sont infinis et contiennent une quantité infinie d’informations?
Quitter le langage des mathématiques classiques pour le langage des mathématiques intuitionnistes
Pour contourner l’impossibilité que du fini contienne de l’infini, Nicolas Gisin propose de revenir à la source de la physique classique et de changer de langage mathématique, afin de ne plus devoir recourir aux nombres réels. «Il existe un autre langage mathématique, nommé intuitionniste, qui refuse l’existence de l’infini, s’enthousiasme le physicien genevois. Mais celui-ci a été complétement écrasé par le langage mathématique classique au début du XXème siècle.» A la place des nombres réels qui contiennent à l’instant T un nombre infini de décimales, les mathématiques intuitionnistes représentent ces nombres comme un processus aléatoire qui se déroule au cours du temps, une décimale après l’autre, de sorte qu’à chaque instant T, il n’existe qu’un nombre fini de décimales, et donc une quantité finie d’informations. «Cela résout la contradiction de la physique classique, qui utilise de l’infini pour expliquer le fini», ajoute-t-il.
Autre différence entre les deux langages mathématiques: la véracité des propositions. «En mathématique classique, une proposition est toujours soit vraie, soit fausse, selon le principe du tiers-exclu. Mais en mathématique intuitionniste, une proposition est soit vraie, soit fausse, soit indéterminée. Il y a donc une part acceptée d’aléatoire», continue Nicolas Gisin. Cet aléatoire se rapproche beaucoup plus de notre expérience quotidienne que le déterminisme le plus absolu prôné par la physique classique. De plus, on retrouve également l’aléatoire en physique quantique. «Certains tentent de l’éviter par tous les moyens en impliquant d’autres variables fondées sur les nombres réels. Mais selon moi, il ne faut pas chercher à rapprocher la physique quantique de la physique classique en tentant de supprimer l’aléatoire. Au contraire, il faut rapprocher la physique classique de la physique quantique en y intégrant enfin de l’indéterminisme», soutient le physicien genevois.
Une physique ouverte fondée sur l’intuition au lieu de postulats
Notre vision du monde est construite par le langage que l’on parle. Si l’on choisit le langage des mathématiques classiques, on parlera facilement le déterminisme. Si au contraire on choisit le langage des mathématiques intuitionnistes, on s’orientera aisément vers l’indéterminisme. «Je considère à présent que l’on a accepté trop de postulats en physique classique et qu’on y a, de ce fait, intégré du déterminisme qui n’avait pas forcément lieu d’être. Au contraire, si l’on choisit de fonder la physique classique sur les mathématiques intuitionnistes, elle deviendra également indéterminée, comme la physique quantique, et se rapprochera de notre vécu, ouvrant les possibilités de notre futur», explique Nicolas Gisin.
«Ce changement de langage ne changerait aucunement les résultats de recherches menés jusqu’à aujourd’hui, mais permettrait de comprendre plus facilement la physique quantique et de quitter enfin une vision du monde où tout est déjà écrit, pour laisser la place à de nouvelles perspectives, à l’aléatoire, au hasard et à la créativité», conclut Nicolas Gisin.
7 janvier 2020
03:07 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : unige, nicolas gisin, mathématique intuionniste | Facebook
09/01/2020
Science ancienne
03:23 Publié dans Histoire, Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : science des anciens | Facebook
29/12/2019
La conscience dans la science
Interview de Dean Radin au sujet de ses derniers travaux sur la Conscience
Cette interview a été réalisée par VERTICAL PROJECT MEDIA et menée par Jocelin Morisson, journaliste scientifique.
03:16 Publié dans Science, Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
26/12/2019
Le réel ...
Conversation audio entre Etienne Klein et Jean-Marc Ferry, philosophe (titulaire de la Chaire de Philosophie de l’Europe, de l’université de Nantes)
La conversation scientifique: qu'est-ce-que le réel ?
18:16 Publié dans Science, Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
08/12/2019
Le futur est déja réalisé...
C'est une théorie ancienne présente dans certaines spiritualités (celles de l'éveil et de la libération)
(dont aussi une branche non déterministe de l'astrologie occidentale):
Le futur est déja réalisé (programmé) mais on peut le changer...
On retrouve la notion de Destin (divers conditionnements) et de Liberté (libération de tous ces conditionnements sociaux).
Théoricien des systèmes de mémoire informatique , Philippe Guillemant s'appuie sur ses recherches d'ingénieur, des expériences sur les mouvements du hasard (billard) ou la physique quantique pour en donner sa version actuelle.
Qui ouvre le champ scientifique vers la notion d'Esprit.
Lien vers le site
Un extrait de la vidéo du site:
01:40 Publié dans Politique, Science, Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
01/12/2019
Climato quoi?
Climato écolo radical? climato sceptique ou réaliste?
Quelle est la bonne option?
(Ne pas se laisser embarquer avec le troupeau sans réfléchir, en tous cas.)
***
Écologisme radical, Gilets jaunes et climat
– Interview Tass
Novembre 29, 2019 / Hacène AREZKI
Lien
• Selon vous, comment s’explique le progrès des mouvements écologiques radicaux en 2018-2019 ?
Cela fait déjà bien des années que nous assistons à un lent travail de fond, une ingénierie sociale de longue haleine, visant à fournir un cadre de pensée, ou plutôt de non-pensée. Il s’est agi de former un nouveau sens commun sur les problèmes environnementaux. Quiconque a moins de vint-cinq ans a grandi en plein délire climato-alarmiste, alimenté par les informations officielles, les fictions, l’école… Mobiliser la jeunesse, aujourd’hui largement urbaine dans sa manière d’être (même à la campagne) et largement connectée (donc déconnectée, au moins en partie, de la Nature et de son histoire même récente), n’est dans ces conditions pas très difficile. Surtout si par ailleurs vous continuez l’ingénierie sociale de manière plus ciblée, comme on l’a vu ces derniers mois avec Greta Thunberg et l’association Extinction Rebellion, deux « entités » créées de toutes pièces il y a à peine un an pour poursuivre et tenter de parachever ce qui est dans les cartons mondialistes depuis beaucoup, beaucoup plus longtemps.
La belle histoire médiatique de Greta Thunberg est la suivante : le 20 août 2018, elle décide de manifester seule devant le Parlement suédois, avec son petit panneau incitant à la grève de l’école. Passe alors Ingmar Rentzhog, le cofondateur de la start-up We Don’t Have Time. Il fait des photos et les poste sur sa page Facebook avec un message ému. Par chance encore, le quotidien suédois le plus lu fait un article dans la foulée, quelques heures après seulement. La petite fille isolée que personne ne connaissait devient une vedette en peu de temps. Son message aussi.
Si maintenant nous allons voir de près de quoi il retourne, nous découvrons une tout autre histoire. Les parents de Greta sont des artistes très connus en Suède, avec un réseau consistant. D’ailleurs, la mère de Greta connaissait déjà Ingmar Rentzhog. Ils étaient notamment tous les deux invités au gala d’ouverture d’une conférence sur le climat quelques mois plus tôt. Et, coïncidence encore, la famille Thunberg sortait un livre mêlant crises familiale et climatique seulement quatre jours après la mise en lumière de Greta. On le voit, tout cela était très bien orchestré.
Le réseau de Rentzhog parle pour lui. Il cofonde en 2016 We Don’t Have Time avec des gens qui n’ont rien à voir l’écologie, mais avec la finance et l’industrie, à l’initiative de Global Sharpers, une institution qui travaille pour le Forum économique mondial, qui se réunit tous les ans à Davos. Il est le fondateur d’une société de conseil en communication auprès du secteur financier et membre, entre autres, du Climate Reality Project d’Al Gore, auprès de qui il a reçu des formations.
Rien de bien surprenant quand on connaît un peu le sujet. On trouve à peu près tous ceux qui œuvrent pour le mondialisme dans les associations, fondations, etc., qui prennent une part active dans l’alarmisme climatique et proposent des solutions : le World Resources Institute, la Banque mondiale, USAID, la fondation Gates, les Rockefeller, et bien d’autres. Et même la bête noire des anti-mondialisme, George Soros, via son aide, indirecte cependant, à la création de l’association ONE, très active elle aussi.
Quand Greta Thunberg se rend à Davos pour morigéner le monde de la finance, elle n’a aucune conscience que c’est ce dernier qui l’a conduite là. Elle est clairement l’instrument de ceux qu’elle pense combattre. Greta, qu’on a vu poser avec un drapeau LGBT+ ou encore porter un tee-shirt antifa, représente parfaitement ces gauchistes au service du capital, qui sont là pour pousser ceux qu’ils abhorrent dans la direction que ces derniers veulent précisément prendre.
On peut dire la même chose d’XR, Extinction Rebellion, la nouvelle association devenue très influente en à peine une année. Son cofondateur, Roger Hallam, est un professionnel du militantisme, lié, via l’Open Democracy, à l’Open Society de George Soros, mais aussi à la Fondation Ford et aux Rockefeller. Farhana Yamin, qui fait elle aussi partie de l’aventure, est membre de la Chatham House, think tank financé, notamment, par Shell, BP, Exxon… ! Bref, tout ce petit monde milite d’arrache-pied pour que l’accord de Paris sur le climat soit respecté et que d’importants investissements soient effectués dans l’économie verte (« New Deal pour la Nature »), où il y a beaucoup d’argent à faire, en espérant sauver l’économie d’une crise que de plus en plus de gens voient venir.
• Les taxes écolo ont provoqué le mouvement des Gilets jaunes. On affirme que la transition écologique n’est possible qu’au prix de pertes matérielles, voire de l’appauvrissement d’une partie de la population. Êtes-vous d’accord ?
Le mouvement des Gilets jaunes est né suite à l’augmentation du prix des carburants, après une hausse du baril exacerbée par l’augmentation de la taxation étatique, déjà très importante en France. La taxe carbone a été retirée rapidement après le démarrage des manifestations. Elle est partie intégrante de la transition énergétique, mais les Gilets jaunes ne sont pas une réaction à cette seule taxe carbone. Ils sont le symptôme d’un malaise plus profond et dans laquelle les questions d’argent ne sont qu’un élément. Pour faire vite, disons simplement qu’il est de plus en plus manifeste que les élites françaises et plus généralement occidentales ont fait sécession et sont totalement déconnectées du peuple. C’est la France périphérique, comme l’a appelée le géographe Christophe Guilluy, qui s’est rappelée au bon souvenir de ses dirigeants, les grands oubliés, ceux dont ne parlaient et que ne montraient plus guère les médias d’information ou de divertissement. On a bien vu que rapidement, au sein des Gilets jaunes, il a été question de la légitimité des politiques, des journalistes et même du monde du spectacle. De leur illégitimité, pour être clair. Cela va donc bien au-delà de la taxe carbone.
Depuis la mise en circulation des euros, les prix ont flambé. Notamment ce sur quoi on ne peut guère rogner : logement, énergie, alimentation… Les petits arrangements de l’INSEE pour nous dire qu’il n’en est rien ne trompent personne, car chacun peut constater le contraire. La transition énergétique ne va rien arranger. Il n’est pas question de dire que les choses sont parfaites comme elles sont et que rien ne doit changer, mais on ne peut honnêtement affirmer que la transition énergétique permettra une consommation vertueuse d’énergie, même sans remettre en cause le présupposé du problème que sont censées poser les émissions de dioxyde de carbone. Ce n’est pas par les multiplications des éoliennes sur le territoire de la France périphérique que les bobos urbains pourront tranquillement rouler en voiture électrique. Surtout en cherchant par ailleurs à marginaliser le nucléaire. Il suffit de voir ce qu’il s’est passé en Allemagne, qui s’est engagée dans cette voie : l’énergie éolienne, peu rentable, a fait exploser les prix de l’énergie et il a fallu construire en nombre des centrales à charbon pour pallier l’intermittence et l’insuffisance de la production électrique dite écologique. D’ailleurs, si l’on regarde de près comment et où sont construites ces éoliennes, ce qu’elles produisent et quelle est leur durée de vie, mais aussi la densification du réseau d’acheminement électrique qu’elles impliquent, on ne peut guère les juger comme bonnes pour l’environnement. On peut dire la même chose de l’énergie solaire.
Non rentables, ces sources d’énergie que l’on promeut outre mesure, impliquent non seulement un surcoût à la consommation, mais de plus ne peuvent se développer qu’à grands coups de subventions, qui sont un autre surcoût, caché celui-là. Pour ceux qui ont déjà des fins de mois difficiles, surtout si elles commencent vers le quinze, ou même avant, la transition énergétique est insupportable. Elle pose évidemment moins de problème d’argent à ceux qui la promeuvent, mais qui ne sont eux-mêmes guère dans la sobriété énergétique qu’ils veulent imposer au pauvre Français de base qui va travailler chaque jour avec son vieux diesel.
• Face aux problèmes climatiques, que faire ?
Se demander que faire face aux problèmes climatiques implique évidemment que l’on reconnaît l’existence de problèmes climatiques. Or, rien n’est moins sûr, surtout si c’est là une manière de nommer le réchauffement climatique. Les périodes chaudes de l’histoire ont été justement nommées « optimums climatiques », car elles sont des périodes propices au développement des sociétés. Il faut plutôt se réjouir d’être sortis du Petit Âge glaciaire qui a pris fin au cours du XIXe siècle. Depuis, la courbe de la température mondiale est globalement à la hausse, avec des hauts et des bas. Et actuellement, depuis une vingtaine d’années, la hausse est infime, alors que les émissions de gaz dits à effet de serre n’ont jamais été aussi fortes. Il suffit par ailleurs de consulter les statistiques sur une période suffisamment longue pour constater que les aléas météorologiques que sont les tempêtes, tornades, cyclones, sécheresses, inondations, ne sont pas plus fréquents et intenses qu’autrefois, au contraire. Ce qui est normal, puisque la violence du temps qu’il fait dépend de la différence de température entre basses et hautes latitudes, qui diminue en cas de réchauffement. C’est plutôt un refroidissement qu’il faudrait craindre. Si, comme le pensent la plupart des climatosceptiques (ou climato-réalistes, comme certains se nomment), c’est le Soleil qui est à l’origine du réchauffement récent (directement et surtout indirectement), alors oui, nous sommes face à un problème climatique, car il semble que notre astre diurne entame une phase de calme qui pourrait être intense et longue, même s’il y a encore pas mal d’incertitudes sur ce point. Nous retrouverions alors le même alarmisme que dans les années 1970, quand le refroidissement inquiétait. Mais nous sommes allés tellement loin dans le « réchauffisme » que l’on nous dirait sans doute que c’est là une conséquence du réchauffement : le dérèglement climatique, dont il est déjà tellement question. Une bonne raison d’insister encore plus sur de fausses solutions, dont le but n’est de toute façon pas de lutter contre l’évolution du climat qui, à toutes les échelles de temps et d’espace, n’a jamais cessé de changer.
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06/11/2019
Intelligence collective
La foule apparait souvent stupide, et son intelligence plus proche du plus petit dénominateur commun que de la somme de ses membres.
On sait pourtant maintenant qu'une intelligence collective existe. Pas évidente à décrypter mais réelle.
Elle tient plus au monde analogique, probabilitaire voire quantique qu'aux raisonnements déductifs.
On l'entrevoit assez bien par la notion (mathématique) de médiane (lors d'une décision , d'un vote ou d'une approximation).
Et cela se démontre facilement de façon empirique.
Mais ce n'est qu'une première approche d'une source d'intelligence infinie dont il reste à comprendre les modalités.
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