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09/01/2020

Science ancienne

29/12/2019

La conscience dans la science

Interview de Dean Radin au sujet de ses derniers travaux sur la Conscience
Cette interview a été réalisée par VERTICAL PROJECT MEDIA et menée par Jocelin Morisson, journaliste scientifique.

26/12/2019

Le réel ...

Conversation audio entre Etienne Klein et Jean-Marc Ferry, philosophe (titulaire de la Chaire de Philosophie de l’Europe, de l’université de Nantes)

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La conversation scientifique: qu'est-ce-que le réel ?

08/12/2019

Le futur est déja réalisé...

C'est une théorie ancienne présente dans certaines spiritualités (celles de l'éveil et de la libération)
(dont aussi une branche non déterministe de l'astrologie occidentale):

Le futur est déja réalisé (programmé) mais on peut le changer...

On retrouve la notion de Destin (divers conditionnements) et de Liberté (libération de tous ces conditionnements sociaux).

Théoricien des systèmes de mémoire informatique , Philippe Guillemant s'appuie sur ses recherches d'ingénieur, des expériences sur les mouvements du hasard (billard) ou la physique quantique pour en donner sa version actuelle.
Qui ouvre le champ scientifique vers la notion d'Esprit.


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Un extrait de la vidéo du site:

01/12/2019

Climato quoi?

Climato écolo radical? climato sceptique ou réaliste?
Quelle est la bonne option?
(Ne pas se laisser embarquer avec le troupeau sans réfléchir, en tous cas.)

***

Écologisme radical, Gilets jaunes et climat
– Interview Tass
Novembre 29, 2019 / Hacène AREZKI
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• Selon vous, comment s’explique le progrès des mouvements écologiques radicaux en 2018-2019 ?

Cela fait déjà bien des années que nous assistons à un lent travail de fond, une ingénierie sociale de longue haleine, visant à fournir un cadre de pensée, ou plutôt de non-pensée. Il s’est agi de former un nouveau sens commun sur les problèmes environnementaux. Quiconque a moins de vint-cinq ans a grandi en plein délire climato-alarmiste, alimenté par les informations officielles, les fictions, l’école… Mobiliser la jeunesse, aujourd’hui largement urbaine dans sa manière d’être (même à la campagne) et largement connectée (donc déconnectée, au moins en partie, de la Nature et de son histoire même récente), n’est dans ces conditions pas très difficile. Surtout si par ailleurs vous continuez l’ingénierie sociale de manière plus ciblée, comme on l’a vu ces derniers mois avec Greta Thunberg et l’association Extinction Rebellion, deux « entités » créées de toutes pièces il y a à peine un an pour poursuivre et tenter de parachever ce qui est dans les cartons mondialistes depuis beaucoup, beaucoup plus longtemps.

La belle histoire médiatique de Greta Thunberg est la suivante : le 20 août 2018, elle décide de manifester seule devant le Parlement suédois, avec son petit panneau incitant à la grève de l’école. Passe alors Ingmar Rentzhog, le cofondateur de la start-up We Don’t Have Time. Il fait des photos et les poste sur sa page Facebook avec un message ému. Par chance encore, le quotidien suédois le plus lu fait un article dans la foulée, quelques heures après seulement. La petite fille isolée que personne ne connaissait devient une vedette en peu de temps. Son message aussi.

Si maintenant nous allons voir de près de quoi il retourne, nous découvrons une tout autre histoire. Les parents de Greta sont des artistes très connus en Suède, avec un réseau consistant. D’ailleurs, la mère de Greta connaissait déjà Ingmar Rentzhog. Ils étaient notamment tous les deux invités au gala d’ouverture d’une conférence sur le climat quelques mois plus tôt. Et, coïncidence encore, la famille Thunberg sortait un livre mêlant crises familiale et climatique seulement quatre jours après la mise en lumière de Greta. On le voit, tout cela était très bien orchestré.

Le réseau de Rentzhog parle pour lui. Il cofonde en 2016 We Don’t Have Time avec des gens qui n’ont rien à voir l’écologie, mais avec la finance et l’industrie, à l’initiative de Global Sharpers, une institution qui travaille pour le Forum économique mondial, qui se réunit tous les ans à Davos. Il est le fondateur d’une société de conseil en communication auprès du secteur financier et membre, entre autres, du Climate Reality Project d’Al Gore, auprès de qui il a reçu des formations.

Rien de bien surprenant quand on connaît un peu le sujet. On trouve à peu près tous ceux qui œuvrent pour le mondialisme dans les associations, fondations, etc., qui prennent une part active dans l’alarmisme climatique et proposent des solutions : le World Resources Institute, la Banque mondiale, USAID, la fondation Gates, les Rockefeller, et bien d’autres. Et même la bête noire des anti-mondialisme, George Soros, via son aide, indirecte cependant, à la création de l’association ONE, très active elle aussi.

Quand Greta Thunberg se rend à Davos pour morigéner le monde de la finance, elle n’a aucune conscience que c’est ce dernier qui l’a conduite là. Elle est clairement l’instrument de ceux qu’elle pense combattre. Greta, qu’on a vu poser avec un drapeau LGBT+ ou encore porter un tee-shirt antifa, représente parfaitement ces gauchistes au service du capital, qui sont là pour pousser ceux qu’ils abhorrent dans la direction que ces derniers veulent précisément prendre.

On peut dire la même chose d’XR, Extinction Rebellion, la nouvelle association devenue très influente en à peine une année. Son cofondateur, Roger Hallam, est un professionnel du militantisme, lié, via l’Open Democracy, à l’Open Society de George Soros, mais aussi à la Fondation Ford et aux Rockefeller. Farhana Yamin, qui fait elle aussi partie de l’aventure, est membre de la Chatham House, think tank financé, notamment, par Shell, BP, Exxon… ! Bref, tout ce petit monde milite d’arrache-pied pour que l’accord de Paris sur le climat soit respecté et que d’importants investissements soient effectués dans l’économie verte (« New Deal pour la Nature »), où il y a beaucoup d’argent à faire, en espérant sauver l’économie d’une crise que de plus en plus de gens voient venir.

• Les taxes écolo ont provoqué le mouvement des Gilets jaunes. On affirme que la transition écologique n’est possible qu’au prix de pertes matérielles, voire de l’appauvrissement d’une partie de la population. Êtes-vous d’accord ?

Le mouvement des Gilets jaunes est né suite à l’augmentation du prix des carburants, après une hausse du baril exacerbée par l’augmentation de la taxation étatique, déjà très importante en France. La taxe carbone a été retirée rapidement après le démarrage des manifestations. Elle est partie intégrante de la transition énergétique, mais les Gilets jaunes ne sont pas une réaction à cette seule taxe carbone. Ils sont le symptôme d’un malaise plus profond et dans laquelle les questions d’argent ne sont qu’un élément. Pour faire vite, disons simplement qu’il est de plus en plus manifeste que les élites françaises et plus généralement occidentales ont fait sécession et sont totalement déconnectées du peuple. C’est la France périphérique, comme l’a appelée le géographe Christophe Guilluy, qui s’est rappelée au bon souvenir de ses dirigeants, les grands oubliés, ceux dont ne parlaient et que ne montraient plus guère les médias d’information ou de divertissement. On a bien vu que rapidement, au sein des Gilets jaunes, il a été question de la légitimité des politiques, des journalistes et même du monde du spectacle. De leur illégitimité, pour être clair. Cela va donc bien au-delà de la taxe carbone.

Depuis la mise en circulation des euros, les prix ont flambé. Notamment ce sur quoi on ne peut guère rogner : logement, énergie, alimentation… Les petits arrangements de l’INSEE pour nous dire qu’il n’en est rien ne trompent personne, car chacun peut constater le contraire. La transition énergétique ne va rien arranger. Il n’est pas question de dire que les choses sont parfaites comme elles sont et que rien ne doit changer, mais on ne peut honnêtement affirmer que la transition énergétique permettra une consommation vertueuse d’énergie, même sans remettre en cause le présupposé du problème que sont censées poser les émissions de dioxyde de carbone. Ce n’est pas par les multiplications des éoliennes sur le territoire de la France périphérique que les bobos urbains pourront tranquillement rouler en voiture électrique. Surtout en cherchant par ailleurs à marginaliser le nucléaire. Il suffit de voir ce qu’il s’est passé en Allemagne, qui s’est engagée dans cette voie : l’énergie éolienne, peu rentable, a fait exploser les prix de l’énergie et il a fallu construire en nombre des centrales à charbon pour pallier l’intermittence et l’insuffisance de la production électrique dite écologique. D’ailleurs, si l’on regarde de près comment et où sont construites ces éoliennes, ce qu’elles produisent et quelle est leur durée de vie, mais aussi la densification du réseau d’acheminement électrique qu’elles impliquent, on ne peut guère les juger comme bonnes pour l’environnement. On peut dire la même chose de l’énergie solaire.

Non rentables, ces sources d’énergie que l’on promeut outre mesure, impliquent non seulement un surcoût à la consommation, mais de plus ne peuvent se développer qu’à grands coups de subventions, qui sont un autre surcoût, caché celui-là. Pour ceux qui ont déjà des fins de mois difficiles, surtout si elles commencent vers le quinze, ou même avant, la transition énergétique est insupportable. Elle pose évidemment moins de problème d’argent à ceux qui la promeuvent, mais qui ne sont eux-mêmes guère dans la sobriété énergétique qu’ils veulent imposer au pauvre Français de base qui va travailler chaque jour avec son vieux diesel.

• Face aux problèmes climatiques, que faire ?


Se demander que faire face aux problèmes climatiques implique évidemment que l’on reconnaît l’existence de problèmes climatiques. Or, rien n’est moins sûr, surtout si c’est là une manière de nommer le réchauffement climatique. Les périodes chaudes de l’histoire ont été justement nommées « optimums climatiques », car elles sont des périodes propices au développement des sociétés. Il faut plutôt se réjouir d’être sortis du Petit Âge glaciaire qui a pris fin au cours du XIXe siècle. Depuis, la courbe de la température mondiale est globalement à la hausse, avec des hauts et des bas. Et actuellement, depuis une vingtaine d’années, la hausse est infime, alors que les émissions de gaz dits à effet de serre n’ont jamais été aussi fortes. Il suffit par ailleurs de consulter les statistiques sur une période suffisamment longue pour constater que les aléas météorologiques que sont les tempêtes, tornades, cyclones, sécheresses, inondations, ne sont pas plus fréquents et intenses qu’autrefois, au contraire. Ce qui est normal, puisque la violence du temps qu’il fait dépend de la différence de température entre basses et hautes latitudes, qui diminue en cas de réchauffement. C’est plutôt un refroidissement qu’il faudrait craindre. Si, comme le pensent la plupart des climatosceptiques (ou climato-réalistes, comme certains se nomment), c’est le Soleil qui est à l’origine du réchauffement récent (directement et surtout indirectement), alors oui, nous sommes face à un problème climatique, car il semble que notre astre diurne entame une phase de calme qui pourrait être intense et longue, même s’il y a encore pas mal d’incertitudes sur ce point. Nous retrouverions alors le même alarmisme que dans les années 1970, quand le refroidissement inquiétait. Mais nous sommes allés tellement loin dans le « réchauffisme » que l’on nous dirait sans doute que c’est là une conséquence du réchauffement : le dérèglement climatique, dont il est déjà tellement question. Une bonne raison d’insister encore plus sur de fausses solutions, dont le but n’est de toute façon pas de lutter contre l’évolution du climat qui, à toutes les échelles de temps et d’espace, n’a jamais cessé de changer.

06/11/2019

Intelligence collective

La foule apparait souvent stupide, et son intelligence plus proche du plus petit dénominateur commun que de la somme de ses membres.

On sait pourtant maintenant qu'une intelligence collective existe. Pas évidente à décrypter mais réelle.
Elle tient plus au monde analogique, probabilitaire voire quantique qu'aux raisonnements déductifs.

On l'entrevoit assez bien par la notion (mathématique) de médiane (lors d'une décision , d'un vote ou d'une approximation).
Et cela se démontre facilement de façon empirique.
Mais ce n'est qu'une première approche d'une source d'intelligence infinie dont il reste à comprendre les modalités.


17/07/2019

Expérimentation?

Maladie de Lyme : une expérimentation secrète du Pentagone qui aurait dérapé ?
source: Ouest-France

Le Pentagone serait-il responsable de la propagation de la maladie de Lyme ?
Cette maladie est apparue aux États-Unis et elle touche désormais 80 pays dans le monde. Les parlementaires américains veulent savoir.
Plus de 67 000 nouveaux cas de Lyme ont été enregistrés en 2018, en France.

Philippe CHAPLEAU.


Les militaires américains ont-ils, entre 1950 et 1975, effectué des expériences sur des tiques pour en faire des armes biologiques ?

Les élus de la Chambre des représentants voudraient bien le savoir ; c’est pourquoi ils ont approuvé un amendement demandant à l’Inspection générale un rapport sur ces tests et sur le risque que ces tiques « modifiées » aient contribué à la propagation de la maladie de Lyme. Une maladie véhiculée par des tiques qui sont contaminées par des bactéries et qui vivent dans des zones tempérées, humides et boisées.

Cette endémie toucherait plusieurs millions d’humains qui, par conséquent, souffrent d’arthrite rhumatoïde juvénile. En France, une augmentation significative du nombre de nouveaux cas de maladie de Lyme a été constatée entre 2017 et 2018 (104 cas pour 100 000 habitants en 2018 contre 69 cas pour 100 000 en 2017).
Un labo militaire dans le collimateur


Le centre de Plum Island est situé près de la ville de Lyme qui a donné son nom à la maladie. | DHS

La ville de Lyme, d’où la maladie tire son nom, se trouve à seulement 15 kilomètres d’un laboratoire du gouvernement américain, le Plum Island Animal Disease Center. Ce laboratoire n’a ouvert ses portes à la presse qu’en 1992 et ses activités sont longtemps restées secrètes. En 2002, le contrôle du Plum Island Animal Disease Center est passé du Département de l’Agriculture à celui du Département de la Sécurité intérieure (NHS).

Ce centre de tests biologiques, situé dans l’État de New York et ouvert en 1954, a bien mené des expériences basées sur « la contamination de mouches, de moustiques et de tiques avec des germes biologiques ». Des tiques « biologiquement militarisées » auraient pu s’en échapper vers 1975 et auraient provoqué l’apparition de la maladie qui ne serait pas une simple infection bactérienne.

Cette théorie n’est pas nouvelle. Elle date de 2004. Elle a été reprise dans un livre paru en mai. Kris Newby, un enseignant de la Stanford University lui-même souffrant de la maladie de Lyme, y soutient que la maladie est en fait une expérimentation militaire qui a dérapé.
Les insectes, des alliés

En attendant les résultats de l’enquête parlementaire, les recherches militaires sur les insectes se poursuivent aux États-Unis. Plum Island Animal Disease Center va fermer en 2023 mais les travaux qui y sont conduits se poursuivront à partir de mai 2021 dans un nouveau laboratoire installé dans le Kansas et baptisé National Bio and Agro-Defense Facility (NBAF).


Le DoD s'intéresse aux micro-drones qui peuvent opérer dans des espaces minuscules. | DARPA

Parallèlement, le Pentagone poursuit ses recherches. La fameuse DARPA, la Defense Advanced Research Projects Agency, ne se contente pas de développer des microdrones de la taille d’insecte dans le cadre du projet SHRIMP (SHort-Range Independent Microrobotic Platforms) que conduisent Honeywell International Inc. Automation and Control Solutions (ACS) et la Rutgers University (New Brunswick).

Elle mène actuellement un programme défensif baptisé « Insect Allies » pour développer des espèces capables de combattre d’autres espèces invasives, voire introduites par des terroristes ou des États-voyoux.

Pour la DARPA qui a été accusée de modifier des insectes pour disséminer des virus de façon offensive, « il ne s’agit nullement de créer une nouvelle arme bactériologique, nos buts sont pacifiques et visent à assurer la sécurité alimentaire nationale ». Elle assure que les tests ont lieu dans des espaces confinés, sécurisés et que les « insectes alliés » ne sont pas destinés à être remis en liberté.

Un autre projet de la DARPA vise à implanter des cerveaux d’insectes (!) dans des robots. L’appel d’offres date de janvier 2019 et est intitulé « Microscale Bio-mimetic Robust Artifical Intelligence Network ».

23:00 Publié dans Politique, Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyme |  Facebook

30/03/2019

Cerveau et univers

 

L’étoffe de nos rêves et de l'univers par David ELBAZ et Alain DESTEXHE

Qu'y a-t-il de commun entre notre cerveau et l'univers, entre nos rêves et nos théories ?

 

Sur le même thème, une émission de France Inter avec les deux scientifiques concernés.

Sur cette page

Ces mêmes  scientifiques mettent en avant les ressemblances de structure, mais aussi de fonctionnement, entre leurs domaines de recherche.

Cent milliards de neurones dans le cerveau humain et 100 milliards de galaxies dans l’univers…