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24/12/2020

Merry Christmas



Grippe et Coronavirus...

La baisse de la mortalité par la Grippe cette année, le lien entre vaccination grippale et pics épidémiques du Corona, tout cela suscite des interrogations légitimes...

Article de NéoSanté du 23 Décembre 2020

Où est passée la grippe saisonnière ? Le covid-19 a-t-il chassé cette année l’infection respiratoire à virus influenza ? Cette question, nous l’avons posée dès le printemps en remarquant que les signalements de maladie grippale, déjà peu nombreux en hiver, avaient piqué du nez juste avant que le fléau coronaviral n’entame son irrésistible ascension statistique. En France comme en Belgique, les instances sanitaires ont même cessé de surveiller les virus grippaux tant leur présence devenait anecdotique à mesure que le sars-cov-2 leur volait la vedette. Aujourd’hui, il appert que les deux particules n’ont pas circulé de concert et que l’une a largement supplanté l’autre. Selon Santé Publique France, la grippe annuelle a causé de janvier à décembre 3.680 décès dans l’Hexagone alors que son bilan macabre oscille généralement entre 10.000 et 15.000 morts. L’épidémie a été remarquablement plus courte et moins meurtrière que d’habitude. Parce que la coque vide a été remplie de grippes et pneumonies classiques confondues avec la « nouvelle maladie émergente » ? C’est une part de l’explication puisque ni la symptomatologie ni l’imagerie médicale ne permettent de les distinguer franchement. Un autre scénario acquiert toutefois de la consistance : les virus sont entrés en compétition et se sont disputés la même « niche écologique », le plus performant étant le plus récent. Vu que leurs modes de propagation sont similaires, il est improbable que les gestes barrières et la distanciation sociale aient pu favoriser l’un et désavantager l’autre. Selon toute vraisemblance, il s’est produit un phénomène d’interférence virale et de « remplacement épidémique ».

Coïncidence troublante


Après 5 années dominées par des Influenza plutôt faiblards, un Corona à protéine pointue aurait donc pris l’ascendant et fauché, malgré sa faible létalité, bon nombre de vies épargnées durant un lustre clément. Simple « rattrapage » naturel comme il s’en produit régulièrement. Le hic, c’est que les victimes 2020 sont, dans leur écrasante majorité, des personnes (très) âgées. Et ça, c’est tellement inhabituel que l’on peut soupçonner un facteur d’influence artificiel. Manipulation d’un virus en laboratoire ou répercussion post-vaccinale ? C’est la seconde hypothèse que nous avons privilégiée et soulevée dans notre newsletter du 25 mars avant de l’examiner dans le Néosanté du mois de mai. Dans ce numéro, nous évoquions notamment des campagnes antipneumocoques ayant précédé de peu les flambées épidémiques en Italie et en Espagne, ainsi qu’une étude américaine montrant que le vaccin antigrippe augmente de 36% le risque d’infection à coronavirus. Pour le Néosanté de septembre, c’est sur ce suspect en particulier que Pryska Ducœurjoly a enquêté, pointant que les pays les plus touchés par le covid sont aussi les pays dont les aînés sont le plus vaccinés contre la grippe. Si corrélation n’est pas causalité, la coïncidence est cependant troublante. En continuant à lire la littérature scientifique, notre journaliste a glané des indices supplémentaires qu’elle expose dans un nouveau dossier accablant pour le vaccin grippal, à lire dans notre numéro de janvier. Elle cite notamment une étude allemande, le travail d’un chercheur mexicain et l’analyse d’un consortium international de scientifiques spécialisés en toxicologie environnementale. Toutes ces publications arrivent à la conclusion qu’il y a de nettes relations entre le fait d’avoir été vacciné contre la grippe saisonnière et le risque de contracter le covid, d’en souffrir sévèrement et d’en mourir rapidement, indépendamment de l’âge et des comorbidités. Ces recherches démontrent surtout que le lien ne peut être le fruit du hasard. Soit la vaccination influenza fait le lit de l’infection à corona par mécanisme d’interférence, soit le vaccin lui-même entraine des effets physiopathologiques. De telles conséquences ont déjà été observées avec l’inoculation annuelle, entre autres des vascularites et des lésions pulmonaires comme celles attribuées au sars-cov-2.

Témoignages accablants

L’étau se resserre d’autant plus sur notre suspect que nous avons pu, cet automne, épier ses méfaits en temps réel : la prétendue « deuxième vague » de covid s’est produite dans la foulée de la campagne de vaccination automnale ! C’est l’épidémiologiste et chercheur émérite Michel de Lorgeril qui établit ce constat à l’aide des chiffres qu’il a rassemblés : le pic des hospitalisations en France est survenu quelques jours après le lancement officiel de la vaccination antigrippale. La concordance temporelle a peu de chances d’être fortuite car dans d’autres pays (Belgique, Suisse, Angleterre,…), la charge hospitalière a également culminé dans la semaine suivant les injections. Détail piquant, si l’on ose dire, la situation française s’est améliorée dès que le vaccin a été épuisé en pharmacie. En cliquant ici, vous pouvez accéder au blog du Dr de Lorgeril et à son article « concordance vaccination antigrippale et recrudescence covid-19 ». Histoire d’étayer nos soupçons, Pryska et moi avons lancé appel à témoignages sur les réseaux sociaux. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils ne plaident pas en faveur de l’accusé ! Les vaccinés attestent que ce vaccin les a déglingués et des proches de patients «covidés » témoignent que l’état de leurs parents s’est brutalement dégradé juste après l’acte médical. Encore une fois, ni ces récits ni les graphiques du Dr de Lorgeril n’apportent la preuve que le covid fatal est la rançon d’un préalable vaccinal. Mais quand un coupable présumé traîne sur toutes les scènes de crimes au moment où les meurtres sont commis, on peut raisonnablement suspecter son implication. Il revient à présent aux (ir)responsables de la politique sanitaire d’oser interroger le suspect !

France-Soir dans la bagarre

Cet interrogatoire a évidemment peu de chances d’être effectué si Néosanté demeure le seul organe de presse à faire pression pour qu’il le soit. Mais justement, ce n’est plus le cas : nos excellents confrères de France Soir, média qui aura vraiment fait honneur à la profession en 2020, nous ont en effet rejoints dans cette croisade pour la vérité. Le 6 octobre dernier, le groupe de scientifiques bénévoles signant Le Collectif Citoyen avait déjà publié un article bien documenté s’interrogeant sur le lien entre les décès des aînés atteints de covid et la vaccination contre la grippe saisonnière. Ce texte se concluait par un appel à une réflexion urgente sur la « stratégie d’anticipation » concernant les personnes âgées. La semaine dernière, le 17 décembre exactement, c’est une tribune rédigée par un citoyen éclairé qui est apparue sur le site de France Soir. Son titre : La Vaccination antigrippale depuis le 13 octobre 2020 est-elle responsable de la surmortalité en France entre le 15 et le 30 novembre 2020 et dans le reste de l’Europe ? Loin de poser seulement la question et d’être une simple tribune d’opinion, cet article est une enquête fouillée qui recoupe et complète celle que nous allons divulguer dans nos pages en janvier. C’est un travail remarquable car il y a même quelques références scientifiques que Pryska Ducœurjoly n’a pas repérées en investiguant pourtant assidument. Non sans une pointe de jalousie, je constate une nouvelle fois que le journalisme collaboratif aura conquis ses lettres de noblesse cette année et que des amateurs font aussi bien, voire mieux que des pros de l’info ! Le « citoyen éclairé » anonyme est d’autant plus à féliciter qu’il apporte un éclairage encore plus aveuglant que le nôtre. Il souligne par exemple que dans des pays jusqu’ici peu touchés par le fléau (République Tchèque, Pologne, Slovénie, Hongrie, Roumanie…), il y a eu une flambée de décès automnaux imputés au covid. Ces pays font généralement partie de ceux qui vaccinent le moins contre la grippe. Or ils ont démarré une campagne de vaccination antigrippale sans précédent depuis le début de l’automne ! La corrélation entre la pseudo « deuxième vague » et le vaccin saisonnier passe ainsi du statut d’hypothèse à celui de quasi-certitude, aussi évidente qu’un nez au milieu d’une figure. Notre suspect l’est plus que jamais et l’opinion publique doit exiger qu’il soit interrogé sans délai !
Yves Rasir

23/12/2020

Saturne et Jupiter conjointes en Verseau !

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Américaines élections....

Article de Elisabeth Dancet

Victoire de Trump ? Après sept semaines d’enquêtes, où en est-on ?
Que cela plaise ou non à une partie des électeurs américains, les résultats de la présidentielle de 2020 semblent bien donner la victoire à Trump.

Les recours, les plaintes, les témoignages sous serment et les analyses statistiques et informatiques se sont multipliés depuis début novembre. Les fraudes électorales, comme nous l’avons rappelé dans un article précédent, ne sont pas nouvelles, mais en 2020, elles sont d’une autre nature. Grâce à l’intelligence artificielle, l’analyse statistique détaillée des données électorales des élections précédentes a permis de créer un système de fraude ciblé, intelligent, difficile à détecter. Simplement, il a déraillé dans la nuit du 3 au 4 novembre. Trump avait trop d’avance dans les Etats qui font traditionnellement basculer l’élection. Malgré les attaques systématiques des médias et la censure des réseaux sociaux, plus de 75 millions d’Américains sont allés voter pour lui le 3 novembre. Ce soir-là, alors que les résultats donnaient Trump largement gagnant, se sont produits des événements totalement inhabituels : plusieurs Etats, parmi lesquels ceux où se poursuivent actuellement les investigations, ont arrêté de compter les bulletins de vote. Pour quelle raison, alors que dans chaque bureau, les législatures organisent un roulement des équipes de dépouillement ?

La tromperie immaculée

Le rapport de Peter Navarro, conseiller spécial pour le commerce, intitulé « la tromperie immaculée » et rendu public le 17 décembre, aboutit à la même conclusion. Il synthétise les types de fraude qui se sont produites avant, pendant et après les élections dans les six états clés. La question est posée : alors que Trump était en tête avec une marge confortable le 3 novembre autour de minuit, comment les résultats ont-ils pu se retourner entre 1h et 4h du matin, pour finalement être certifiés le 7 décembre avec une faible avance pour Joe Biden dans ces mêmes Etats ?

Quelques exemples - commentés dans nos précédents articles - montrent l’ampleur des différentes fraudes commises durant ces élections. Elles font l’objet de plus de 50 actions en justice et de milliers de témoignages écrits, de vidéos, de déclarations publiques sous serment et d’analyses d’experts, malheureusement peu relayés par les médias dominants.

Plus de 100 000 faux bulletins ont été livrés en Pennsylvanie dans la nuit du 3 au 4 novembre, alors que l’avance supposée de Biden est de 81 660 voix.

En Arizona, les plaignants affirment que 75 000 bulletins par correspondance n’ont pas été comptabilisés, avec un différentiel entre les deux candidats de 10 377 voix.

Plus de 70 000 votes sont déclarés inéligibles en Géorgie (électeurs n’habitant pas l’état ou n’ayant pas la nationalité, votes de personnes décédées, votes comptés plusieurs fois, faux bulletins…), quand Biden est donné en tête avec 11 779 voix.

Dans le Wisconsin, 170 000 bulletins ont été validés par les machines de vote, alors qu’ils ont été collectés dans des urnes installées dans certains quartiers stratégiques, en violation de la loi d’état, soit plus de 8 fois la différence en faveur de Biden qui est de 20 682 voix...

Comme le dit P. Navarro en conclusion de son rapport :

« Si ces fraudes électorales ne font pas l'objet d'une enquête approfondie avant le jour de l'inauguration le 20 Janvier, cette nation court le risque très réel de ne plus jamais avoir une élection présidentielle équitable. »

Malgré cela, le système judiciaire esquive et traine des pieds. Les cours de justice au niveau des Etats comme au niveau fédéral sont politisées, et pour certaines corrompues. Les juges sont menacés, les chambres des Etats-clés parlementent et la Cour suprême, récipiendaire de plusieurs plaintes concernant les élections, se retranche derrière ses colonnes.


Les options pour un deuxième mandat

Quels sont les scénarios plausibles à ce stade ?

Les Etats font le ménage par eux-mêmes. Les législatures de chacun des Etats se réunissent pour prendre en compte les fraudes et votent pour changer le résultat de leurs élections et donc le choix des grands électeurs. Il suffit d’une majorité simple. Même si les chambres sont républicaines, elles restent frileuses, mais subissent la pression de leurs électeurs. Le mouvement #StopTheSteal « Arrêtez le vol » rassemblant de nombreux électeurs de Trump a pris de l’ampleur, et des manifestations ont lieu en Arizona, en Géorgie, devant la Cour suprême, exigeant de rétablir l’intégrité des résultats. La prochaine est prévue le 6 Janvier à Washington. Leurs grands électeurs ayant déposé officiellement un vote alternatif pour Trump le 14 décembre dernier, renforcent encore la pression populaire sur les chambres. Si 3 Etats parmi les 6 incriminés choisissent cette option d’ici le 6 janvier, les résultats s’inversent, Donald Trump remporte plus de 270 grands électeurs et gagne les élections.

La loi gouvernant les élections présidentielles prévoit la possibilité pour le Congrès de se réunir s’il s’est produit des irrégularités légales et constitutionnelles dans la tenue des élections dans les états de l’Union. La Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan et le Wisconsin ont été accusés de violer la loi électorale durant ces élections. Ces Etats n’ont pas contesté le fait, ayant généralisé le vote par correspondance sans l’accord des chambres ni les publications requises pour informer le public. Cela permet à l’une ou l’autre des chambres du Congrès de rejeter les votes de leurs électeurs. Le Sénat a la possibilité de se réunir n’importe quand d’ici le 6 Janvier pour statuer sur les élections et voter à majorité simple pour rejeter les électeurs et les votes de ces états. Certains représentants républicains ont eu une réunion avec le Président dans le bureau ovale le 21 Décembre. En cas de rejet, aucun des deux candidats n’obtient 270 votes des grands électeurs. Le Président est alors élu par l’Assemblée, une voix par état, les républicains étant majoritaires, Donald Trump est réélu.

Donald Trump met en œuvre l’ordre exécutif du 12 Septembre 2018 prévoyant les actions à mener en cas d’interférence étrangère dans le déroulement des élections. Le DNI (Director of National Intelligence) John Ratcliffe a confirmé l’interférence étrangère de la Chine, de l’Iran et de la Russie dans les élections dans un communiqué de presse en date du 16 Décembre. A cela s’ajoutent les preuves fournies par plusieurs experts via les avocats et les récentes cyberattaques contre plusieurs départements d’état. Dans ce cas, Trump ordonne la saisie immédiate des machines DVS et exige l’organisation de nouvelles élections dans les états clés sous contrôle militaire, comme le conseille le général Flynn.

Les actions des prochains jours vont témoigner de la résistance de la République américaine et de sa capacité à respecter la volonté du peuple : « We the People ».

Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir

17/12/2020

Saturne en Verseau




Ce jeudi matin du 17 Décembre, Saturne est revenu en Verseau (où il avait fait une première incursion de fin Mars à fin Juin).

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Le vieux monde peine à passer la main, répression punitive et mesures absurdes continuent (après plusieurs autres médecins, le Pr Perronne est licencié pour ses propos sur la crise), Macron positif (après un repas à 10 en plein couvre feu), des cyberattaques historiques contre les USA, Trump ne reconnait pas sa défaite...
La propagande des médias s'intensifie en faveur de vaccins très peu fiables alors même que de nombreux faits montrent leur nocivité (campagne suspendue en Australie, effets secondaires peu engageants).


Vidéo (Une jeune femme s'évanouit quelques minutes après la vaccination.)

Les médias alignés continuent le déni sur les traitements existants (HCQ, Ivermectine, Zinc, vitamines D et C, etc..) et persistent à défendre leur récit fictif (efficacité des masques, du confinement, du couvre-feu) quand bien même la réalité et toutes les études sérieuses montrent le contraire.
Ils présentent la réalité comme un choix unique entre confinement ou vaccin !

Souriez.

Dr Sucharit Bhakdi

Interview du 11 Novembre de l'excellent Dr. Sucharit Bhakdi, chercheur microbiologiste, qui a sorti un livre sur l'extravagance des mesures prises face au coronavirus...
Pour lui, toute cette agitation autour du covid n'a aucun fondement scientifique, le port du masque dans les lieux publics et le confinement sont des crimes et la vaccination est dangereuse et inutile.

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https://odysee.com/$/signup?redirect=/@JeanneTraduction:a...

11/12/2020

Quand l’improbable surgit, un autre futur revient dans la partie





Non, le temps n’est pas linéaire, et l’histoire se construit d’abord à travers des chocs imprévisibles. Mais les germes d’un futur souhaitable sont déjà là, et c’est à nous d’apprendre à les repérer et les faire grandir, nous dit dans cette tribune Yannick Roudaut, auteur du livre Quand l’improbable surgit, un autre futur revient dans la partie (La Mer Salée, 2020).




Par Yannick Roudaut sur le site Usbek & Rica
- 7 décembre 2020

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Depuis au moins trente ans, l’humanité tente de lutter contre l’emballement climatique, la destruction du vivant et autres périls écologiques, tout en maintenant à bout de bras une économie shootée aux énergies fossiles qui repose sur la destruction du vivant. Cette équation est insoluble. La raison voudrait donc que nous changions radicalement et rapidement de comportements économiques pour éviter le collapsus.

Si nous étions aussi sages et rationnels que nous le pensons, puisque nous nous sommes auto-baptisés sapiens sapiens, nous stopperions immédiatement la machine économique pour sauver notre peau ! Mais nous ne le ferons pas. Dans l’histoire de l’humanité, aucune civilisation ne s’est auto-dissoute volontairement. Pis, chacune a l’arrogance de penser que cette fois-ci elle ne disparaîtra pas. Pourtant elles disparaissent bel et bien. Mais aucune ne s’est écroulée parce que ses dirigeants l’avaient décidé. Se pose alors la question suivante : « Oui mais comment arrêter cette machine économique destructrice soutenue à bout de bras par quantité de lobbies cyniques ? ». C’est là que l’improbable surgit : les civilisations, les mondes, changent à l’aune de chocs inattendus.
Le Covid-19 surgit… et l’impensable est décidé

Au-delà des souffrances humaines et sociales à court terme, le choc de la pandémie mondiale nous a fait bifurquer, dévier de la trajectoire économique linéaire. Le surgissement de cette pandémie nous a contraint à mettre un grand coup de frein, inconcevable encore quelques semaines auparavant. Qui aurait imaginé des avions cloués au sol, des géants du textile en difficulté, des bateaux de croisière à quai, des producteurs de pétrole et de gaz de schiste en difficulté ? C’est une première étape. Une première marche. Un premier coup de volant dans la trajectoire.


L’Histoire n’est qu’une succession d’évènements inattendus. Si elle s’écrit toujours a posteriori comme une évidence, elle se construit au gré des improbables.

Évidemment l’ancien monde s’accroche, il n’a pas encore cédé. Il nous faudra donc encore quelques années pour que la structure du monde d’après commence à nous apparaître. Cette nouvelle trajectoire se densifiera à mesure que des chocs improbables se manifesteront. L’Histoire n’est d’ailleurs qu’une succession d’évènements inattendus. Si elle s’écrit toujours a posteriori comme une évidence, elle se construit au gré des improbables.
Le clair-obscur, passage obligé

La décennie 2020–2030 sera claire-obscure. Le sublime côtoiera le tragique. Comment pourrait-il en être autrement ? Ce fut le cas durant la Renaissance. On oublie que les guerres de religions et la Joconde sont contemporaines l’une de l’autre. La fin d’un monde, l’émergence d’un autre, sont toujours à la fois douloureuses et enthousiasmantes. Mais au bout de ce tunnel, un autre futur nous attend, telle une petite lucarne qui nous ouvre un cône de lumière. La lucidité nous éclaire, elle nous permet de fendre l’obscurité, de la traverser, mais elle ne nous dit rien des lendemains. La lucidité c’est d’accepter qu’il y aura des improbables.

Cet autre futur qui pointe est donc difficile à percevoir, à imaginer. Les contemporains d’un monde sont toujours dans l’incapacité de projeter le monde en devenir, car personne ne sait quel improbable surgira. Comment percevoir, comment imaginer la révolution industrielle à venir au XVe siècle ? Ou la Révolution française en 1782 ?

Depuis le surgissement du Covid-19, nous venons de sauver trois balles de match, et nous remontons au score. La partie est certes serrée, mais nous pouvons gagner.



Bonne nouvelle, ce futur lumineux est déjà en partie déployé. Mais il n’est pas figé. Il nous attend dans une dimension imperceptible à nos cinq sens. Si l’on se réfère aux derniers travaux de physiciens comme Carlo Rovelli ou Philippe Guillemant, le temps ne serait pas linéaire. Nietzsche et Einstein l’affirmaient déjà : le futur agit sur le présent, et le présent sur le futur. Ce futur souhaitable, celui d’une humanité ayant trouvé le chemin de la réconciliation avec la nature, serait en partie déployé. Quelque part. Nous en percevons parfois des signes, qui nous guident. Ce sont les fameuses synchronicités. Nos actions, nos intentions, permettraient à ce futur latent de s’imposer dans notre réalité.

Il y a encore quelques mois, le match était presque perdu. Comme au tennis, ce futur improbable était mené 5 à 0 dans le 5e set par l’autre futur, celui de la fuite en avant numérique, croissante et mortifère. Depuis le surgissement du Covid-19, nous venons de sauver trois balles de match, et nous remontons au score. La partie est serrée, certes, mais nous pouvons gagner. Point après point, balle après balle. Improbable, me répondrez-vous ? Le probable, c’est la projection linéaire d’une économie destructrice. Nous en connaissons l’issue. L’improbable nous offre la possibilité de bifurquer et d’éviter l’impasse tragique. En outre, si le probable se réalise rarement, l’improbable, lui, surgit souvent. Quel pari voulez-vous prendre ?

04/12/2020

Vers le 21 Décembre 2020



Rappel: l'année 2020 a été marquée par la triple conjonction Pluton/Jupiter/Saturne, en fin de Capricorne, plus ou moins resserrée selon les mois (du fait notamment de la rétrogradation de Saturne et Jupiter durant l'été).
Cette conjonction s'est montrée très synchronique avec la soi-disant "pandémie" (ce qui permettait de penser que celle-ci se terminerait à partir de la dernière conjonction Pluton/Jupiter vers le 12 Novembre)

***


Depuis ce dernier aspect, Jupiter et Saturne ont laissé derrière elles Pluton en Capricorne et se dirigent vers le premier degré du Verseau où elles seront en conjonction le 21 Décembre 2020.
On sait que ces planètes se rejoignent tous les 20 ans.

Cette conjonction sera visible dans le ciel du soir comme une "étoile double" et sera exceptionnelle à plusieurs titres (ce qui lui vaut plusieurs articles dans des revues scientifiques Science-et-vie ou grand public BBCNews )

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A titre astronomique:

-La proximité des planètes entre elles (l'écart entre leurs orbites en fait car elles seront au même endroit de l'écliptique en longitude céleste bien évidemment) sera très faible: 6,1 minutes d'arc (depuis l'an 1623, cela n'avait jamais été aussi proche).
-Elle coïncide avec le solstice d'hiver (celui de l'été avait coïncidé avec une éclipse de nouvelle lune ici)

A titre astrologique:

-Les précédentes conjonctions Saturne Jupiter avaient lieu en signe de Terre, celle-ci est la première depuis un moment à avoir lieu en Air.
On change d'élément.
C'est un indice de plus d'un basculement, d'un changement de paradigme que d'autres facteurs astrologiques suggéraient fortement.
La transition entre le Capricorne et le Verseau est brutale, autant l'un est traditionnel autant l'autre est novateur voire révolutionnaire.
On transite du Passé au Futur très rapidement.
Tous les symboles semblent alignés dans la même direction d'un basculement (du matérialisme vers un renouveau spirituel).

Cette conjonction ouvre donc un cycle de 20 ans au moins mais symboliquement de beaucoup plus.
Et on sait aussi grâce à Barbault que jusqu'ici historiquement ce cycle Saturne Jupiter était en lien avec le destin de l'Europe.

D'ici le 21 on sent bien que nous sommes dans une période d'évolution très instable (cf l'indétermination et le cafouillis des élections américaines, ou cette phase de déconfinement incertaine de l'occident apeuré en état de sidération).

Comme l'écrit Philippe Guillemant "sans ce virus la société continuait tranquillement sur sa lancée vers un futur transhumaniste. Le virus change tout et l'on s'aperçoit que cet ancien futur transhumaniste est en état de panique.Il est en train de forcer l'exécution de son programme car il se voit en train d'être désamorcé."
Notamment par les lanceurs d'alertes et autres soi-disant complotistes (qui ont montré ici ou là la corruption de Bigpharma et des GAFAM, l'incompétence des politiques et la servilité de la presse alignée).
"D'un coup on a augmenté le feu et les grenouilles les plus réveillées commencent à sauter hors de la casserole.Donc nous allons éviter une cuisson lente..."

Les mensonges apparaissent de plus en plus pour ce qu'ils sont, le projet à la va-vite de vaccination part a vau l'eau et sombre avant même de commencer, (dénoncé par des pro-vaccinations tant il est bancal).
Le projet est en déroute.

On constate cet état de panique un peu partout mais particulièrement en France nommé assez justement l'Absurdistan par un journal allemand, tant les bureaucrates et technocrates au pouvoir ont basculé dans l'absurde. Absurde que leurs mesures ubuesques explorent chaque jour un peu plus.
Seul pays d'Europe à exiger une auto-autorisation pour se déplacer.
Masques obligatoires en extérieur (aucune étude scientifique ne valide cela, bien au contraire).
Stations de ski ouvertes mais remontées mécaniques fermées.
Grande roue autorisée mais pas ouverte au public.
Cantine mais pas restaurant, buvette mais pas bar, métro et grande surface mais pas de sport en extérieur.
Noël en famille (limité à 6 adultes) mais les grand-parents à l'écart dans la cuisine.
Etc etc...

(Qu'ils dégagent vite!)

Un événement symboliquement significatif aura t-il lieu avant Noël autour du 21, ou bien faudra t-il attendre Janvier?
Ce qui est sur c'est que 2021 commencera sur les chapeaux de roue...