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08/04/2020

Futurs possibles


Je suis optimiste car c'est, in fine, la stratégie la plus efficace.
Cela n'empêche en rien la lucidité et le réalisme.

Je suis à la fois révolté par cette dérive totalitaire hallucinante, sidéré surtout par le consentement obtenu mais confiant malgré tout dans une issue heureuse à venir, de façon encore imprévisible (mais symbolisée par les bénéfices lmmédiats déja spectaculaires 1).

Nous vivons actuellement le début d'un changement de paradigme*.
Astrologiquement, cela est une absolue certitude à l'échelle du siècle or, dans ce siècle, sur le papier, nous vivons bien actuellement " le moment clef ".
Nous sommes sensés tourner le dos peu à peu au vieux monde, c'est à dire au monde bourgeois capitaliste matérialiste mécaniste déterministe, tissé sur la planète depuis 500 ans jusqu'au mondialisme ultralibéral prédateur des dernières décennies (dans l'idéal: à la pollution, la spéculation, la 5G, Bigpharma, etc.).
D'ici 2024 des orientations pourraient donc clairement aller dans cette nouvelle direction.

Pourtant le futur qui se dessine aujourd'hui (avec le recours injustifiable à des méthodes de dictature, le confinement global en particulier) relève plus d'une dystopie transhumaniste ultrasécuritaire que d'un monde plus ouvert à l'esprit, au respect de la nature et à l'autonomie des individus.
Le corps y est vu comme une machine, une mécanique.Les libertés comme un paramètre ajustable, non essentiel.
L'esprit est nié.
Des hommes intelligents mais athées déclarent que voir un sens (un message) dans une épidémie est une absurdité, une superstition archaïque, que tout cela n'est que le produit du hasard.
C'est justement ça le souci, le concept desséché que l'on doit dépasser: cet aveuglement face au sens et cette "religion" du hasard.

Contrairement à l'article que je relaie ci-dessous, je ne crois pas que les bénéfices écologiques de la crise actuelle (et du confinement) relèvent d'une vision superficielle, je pense qu'ils sont consubstantiels à cet épisode planétaire et ont valeur d'exemple, de ce vers quoi pointe le doigt. Qu'ils sont des germes semés dans l'imaginaire collectif et vont faire leur chemin de façon paradoxale.

Je ne sais pas comment pourra émerger concrètement, cette sortie positive alors qu' on voit fleurir, ici ou là, le zèle sadique de certains policiers pour faire appliquer des mesures ubuesques, la collaboration, une solidarité de pacotille, la culpabilisation, la délation ou la résignation, comme autant de pousses vénéneuses.
En parallèle, la prise de conscience grandit malgré tout. Un certain éveil. Et c'est ce degré de conscience en hausse qui pourrait provoquer de façon inattendue les corrections de trajectoire, faire bifurquer certains choix et renverser la dynamique que certains pouvoirs en place (trop confiants) essaient d'orienter vers Bigbrother et l'ultrasécuritaire.

Ci-dessous l' article (de Reporterre) dont je partage (au premier degré) le constat alarmant, même si je persiste à penser que ce n'est qu'un mauvais moment à passer (voire peut-être même le premier d'une série, jusqu'en 2022 ou un peu plus).
Ceci dépendant, je crois, de la rapidité de la prise de conscience.

Ce qui se joue dans les esprits et sur le terrain c'est juste de quoi sera fait le futur de la planète.
Vivre dans un monde ultrasécurisé , aseptisé et technologique, sans liberté réelle, ou résister et bifurquer vers autre chose à définir et à créer.


* Les ultralibéraux et les transhumanistes parlent aussi de changement de paradigme, mais ce n'est pas le même, c'est l'inverse.A mon sens, une hérésie historique, une chimère non viable, un cauchemar.


***


Le monde qui vient n’a rien d’une utopie, c’est un cauchemar

27 mars 2020 / Michel Lepesant

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« Ce qui est en train de se passer est une expérimentation totalitaire dans laquelle la fin affichée – “sauver des vies” – justifie tous les moyens », écrit l’auteur de cette tribune. Alors que le confinement dure et que la pandémie perdure, ce qui vient n’est « ni l’insurrection ni la grève générale, c’est une dystopie ».
Michel Lepesant est « (p)artisan de la décroissance ». Il anime le blog Décroissance, où va-t-on et est l’auteur de Décroissances, où va-t-on ?, aux éditions Utopia, 2013.

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Michel Lepesant.

Une analyse superficiellement écologiste pourrait trouver dans cette pandémie des raisons d’espérer : réduction des transports inutiles (tout particulièrement aériens), prévision d’un ralentissement de la croissance et donc prévision d’une baisse des pollutions (par exemple, la chute de l’activité en Chine a diminué en février les émissions de gaz à effet de serre de l’équivalent de la production annuelle des Pays-Bas)…

Une analyse superficiellement critique pourrait même se réjouir que le confinement va donner à chacun le temps et l’occasion de se poser la question du sens réel de la vie qualifiée « auparavant » d’ordinaire, au point peut-être de se mettre à espérer déboucher sur une critique réveillée du consumérisme quotidien : rien de plus bizarre aujourd’hui que de consacrer quelques minutes à regarder des publicités télévisées dont les contenus si peu « essentiels » sont si évidemment en décalage avec la situation vécue.

On pourrait même croire, à écouter par exemple Sibeth Ndiaye évoquer « un changement de paradigme », que ces temps de crise sont en train de fournir la preuve « par le fait » qu’un changement de cap est possible. Mais quand le premier exemple concret qu’elle fournit est celui d’une relocalisation de l’industrie automobile des pièces détachées, comment ne pas penser qu’on part de très loin... et qu’aucun horizon d’utopie ne semble en réalité se profiler.

Ce qui est en train de se passer est une expérimentation totalitaire


Tout au contraire, ce qui vient n’est ni l’insurrection ni la grève générale, c’est une dystopie. Au 19e siècle, les socialistes les plus utopiques voyaient dans les expérimentations minoritaires les semences de la transformation sociale.

Mais ce qui est en train de se passer est une expérimentation ni minoritaire, ni majoritaire, mais totalitaire, dans laquelle la fin affichée – « sauver des vies » – justifie tous les moyens. Quand on se souvient à quel point dans les temps précédents le gouvernement français a déjà fait preuve d’insensibilité, on peut s’attendre à ce que la suite lui donnera tout le temps d’accentuer sa violence économique, sociale et politique.

C’est la dystopie économique qui vient : trop tard pour réviser une politique antérieure (RGPP) qui aujourd’hui – par faute de moyens – détermine une stratégie d’improvisation. C’est même l’occasion, sinon l’aubaine, pour accélérer les processus de dématérialisation des activités : télétravail, téléconsultation, la culture en 1 clic, la web-école… Que penser d’une société qui maintient le « travail » tout en interdisant de partir en vacances ?

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C’est l’occasion, sinon l’aubaine, d’accélérer les processus de dématérialisation des activités.
La dystopie sociale s’installe sous le nom de « distanciation sociale », car c’est d’isolement individuel qu’il s’agit. Et en traitant aujourd’hui d’« imbéciles » les réfractaires au confinement, Castaner continue dans cette logique sociocidaire de la réduction de toute responsabilité à sa seule dimension individuelle que toutes les réformes récentes du gouvernement tentent d’imposer : de la réforme des retraites à celle des lycées, en passant par la réforme de l’assurance-chômage… Que penser surtout d’une société qui ne semble capable de penser le confinement que sur le modèle de l’emprisonnement (il va sans dire que c’est évidemment dans les lieux d’enfermement que les situations sont les plus inhumaines : prisons, Ehpad…) ?

La dystopie politique se renforce quand se multiplient ces listes qui inventorient les lieux, déplacements, activités, comportements autorisés : tout ce qui n’est pas permis devient interdit. Que penser d’une société dans laquelle cette inversion du permis et de l’interdit semble ne susciter aucun débat public ? Et après ?

Bien loin des scénarios d’effondrement ou de décroissance choisie, comment ne pas constater qu’après 2001, 2008, chaque crise a été l’occasion d’une accélération des formes les moins humanistes de la vie en commun ? Comment osent-ils ? Mais « ils » oseront. Et « nous » que ferons-nous ?

Après la crise, viendra le temps des factures. Qui peut croire qu’un seul gouvernement dans le monde en profitera pour imposer un prélèvement sur les plus grandes fortunes ? Par exemple, de façon « exceptionnelle », sur cinq ans, un prélèvement de 20 % sur les patrimoines au-delà d’un milliard d’euros : faisons au moins le calcul, histoire de rêver. Mais qui peut croire qu’à l’occasion de la pandémie, c’est l’utopie qui viendra ? Et pourtant nous devons l’espérer.

source Reporterre



***



Nouvelles du front, liens intéressants.


-La dernière vidéo de Raoul, pardon du professeur Raoult.

-Le blog de Liliane

-G Delepine contre le confinement dans Agora-vox

-Le live de Casasnovas. >>> Sur le confinement.

-Histoire de masques.

-Passage en force de la 5G (pétition)

-Falsification des chiffres (Dr Bukacek USA)

-Dr Wolfang Wodarg décrit la mystification

- Insee comparaison mortalité mars 2019/2020

-la suite des 12 étoiles de Néo santé (7 à 9)

ajout du 15 avril : - la fin des 12 étoiles.

03/04/2020

Les énergies mesurables du corps




Les énergies mesurables du corps humain



Le terme énergie vient du grec « en ergos » qui signifie « en travail ».

Parmi les exemples d’énergie que l’on ne voit, que l’on n’explique pas bien et qui existe pourtant bel et bien : la pesanteur qui nous permet constamment de rester les deux pieds sur terre !


Voici quelques preuves objectives que notre corps physique est aussi un corps énergétique :

L’énergie des cellules: toutes nos cellules sont de mini piles électriques dont les parois ont des charges négatives d’un côté et des charges positives de l’autre. Cette différence de potentiel est due principalement à une différence de concentration en ions sodium et potassium entre le milieu intérieur et le milieu extérieur de la cellule. Elle est de l’ordre de 100 mV pour quelques dizaines de micron de surface (~ 100 000 v/cm²). Ainsi un fort champ électromagnétique est émis par chacune des cellules de notre corps.

L’influx nerveux : ce phénomène électrique résulte d’un changement de polarisation entre les charges situées à l’intérieur et à l’extérieur des cellules nerveuses pour commander, par exemple, la contraction d’un muscle (voir expérience de la pile électrique branchée sur le nerf d’une patte de grenouille).

Le rythme cardiaque : les décharges électriques du cœur sont mesurées par les électrocardiogrammes

Les impulsions électriques émises par le cerveau : ces décharges électriques sont enregistrées sur les électroencéphalogrammes. Pour certains troubles psychiatriques (dépressions sévères, schizophrénie, épilepsie,…) les médecins utilisent des électrochocs pour resynchroniser les ondes cérébrales.

Les ondes cérébrales alpha : le chercheur australien Lewis B. Hainsworth a mis en évidence la similarité entre les fréquences des ondes cérébrales alpha et les signaux rythmiques de la terre découverte par le physicien allemand W.O. Schumann dans les années 1950 (résonnance de Schumann).

Les cellules capteurs d’énergie solaire : les cellules de la peau captent l’énergie solaire ; cette énergie sert entre autres à synthétiser la vitamine D à partir du cholestérol. La lumière solaire sert également à régler notre rythme circadien (jour/nuit).

Les biophons : l’ADN de toutes les cellules du corps est capable d’émettre une énergie lumineuse de type photonique. Chaque cellule émet à son rythme selon son état et ses besoins. Dans les années 1980, le biochimiste allemand Fritz Albert Popp a mit au point un appareil capable de mesurer l’énergie biophotonique du corps humain. Il s’est aperçu que celui-ci dépendait des rythmes biologiques et que les anomalies de son émission permettaient de diagnostiquer certaines maladies.

Les méridiens : nombres de thérapies orientales comme l’acupuncture, le qi gong, .. sont basées sur la circulation des énergies au sein de l’organisme. Leur efficacité a été scientifiquement démontrée dans de nombreuses pathologies : des séances d’acupuncture antidouleur sont ainsi capables de déclencher la libération d’endorphines, hormones naturelles proches de la morphine, au niveau du cerveau. Il existe actuellement des détecteurs de points d’acupuncture : ces appareils permettent de repérer sur la peau les différences de potentiel électrique sur les points pathologiques. Une fois traité, le point n’est plus détectable.


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Les champs électromagnétiques : le chercheur Georges Lakhovsky a démontré que toutes nos cellules sont de petits phénomènes oscillants produisant un champ électromagnétique et jouant le rôle d’un émetteur récepteur d’ondes. L’ADN entre ainsi en résonance avec les ondes électromagnétiques de l’environnement. Lorsqu’il y a dysharmonie des ondes reçues, l’ADN se déséquilibre, ce qui déstructure à son tour l’eau intra et extra cellulaire. L’équilibre du corps ne peut plus être assuré ce qui peut conduire à la maladie. Certains appareils sont capables de mesurer ces ondes électromagnétiques émises par le corps.


Toutes ces ondes électriques mesurables et objectives démontrent le caractère électrique et donc énergétique de l’être humain.
source

01/04/2020

Synchronicités de crise


Le point de vue toujours vivace et éclairant de Philippe Guillemant. Surtout pour ceux qui sont conscients qu'un changement de paradigme (et de futur) se joue actuellement .La peur nous ramène au passé, la conscience claire et optimiste consolide le changement en train d'avoir lieu.

***


1er Avril 2020

<< Les synchronicités sont-elles des complots d'un nouveau futur pour nous attirer vers lui ? >>

"S'il y a complot de la part du futur, cela ne peut être que de la part d'un ancien futur, supposé plus mauvais que le nouveau qui serait celui auquel nous aspirons. Le mot "complot" renvoie en effet à une intention de nuire et si deux futurs sont en compétition, c'est forcément le plus mauvais qui complote.

Comment donc savoir si nous allons vers le futur auquel nous aspirons ou vers celui qui complote ?

La réponse est que si nous observons comme c'est le cas aujourd'hui des coïncidences de type "Loi de l'emmerdement maximum", c'est que le futur qui complote est en train de résister, ce qui veut dire qu'il n'est déjà plus le futur vers lequel nous allons. Il n'est déjà plus notre futur actuel !

Ce n'est que dans le cas où nous aurions peur de ces emmerdements (coronavirus, 5G, vaccinations obligatoires, crises économiques et financières etc. ) que nous risquerions de rebrancher l'ancien futur sur l'actuel. La peur nous conduirait en effet à nous soumettre à l'ancien ordre transhumaniste ou au contraire à lutter contre lui, ce qui reviendrait au même et risquerait même de le renforcer.

Faites vous partie au contraire de ceux qui comme moi, ressentent plutôt une grande joie devant tout ce qui arrive, suivie d'une quasi tendance à culpabiliser pour ne pas vouloir rentrer dans le jeu dramatique de la guerre annoncée ?

La prochaine arrivée de la 5G imposée par ordonnance la semaine dernière en même temps qu'a lieu le pic de l'affaire de la chloroquine, laquelle nous donne l'impression qu'un complot voulant imposer la vaccination est à l’œuvre au sein de notre gouvernement. Complot ou coïncidence ? Le fait que le coronavirus est parti de Wuhan à coté de labos spécialisés dans ce type de virus et dans la première ville entièrement équipée de 5G. Complot ou coïncidence ? Et je ne parle pas de la ministre qui interdit la vente libre de la chloroquine au moment où l'on va en avoir besoin. Et le coronavirus qui arrive juste au moment de la crise financière? Quelqu'un veut-il faire la liste de toutes les coïncidences bizarres ?

Il est clair qu'avec toutes ces coïncidences, les théories du complot deviennent presque crédibles. Vous avez donc le choix entre croire dans ces théories ou adopter celle que je vous propose.

Je vous propose d'oublier les complots, mais absolument pas toutes ces coïncidences qui nous donnent l'impression qu'un ordre transhumaniste est en train de vouloir s'imposer devant nous de force au niveau mondial, comme une tentative scélérate d'effraction qui ne se cache même plus.

Toutes ces coïncidences sont la démonstration du fait que l'ordre transhumaniste fait dorénavant partie de notre ancien futur!

Ce qui veut dire que nous allons actuellement vers notre nouveau futur et par conséquent, réjouissez vous.

A l'avenir il faudra inventer la fête du coronavirus, qui sera une fête où le monde se confinera avec bonheur à la maison. On aura alors le temps de choisir à l'avance les personnes avec qui on se confinera, et on invitera des pauvres ou des sans abris à se joindre à cette fête, oh pardon, à ce confinement..."

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26/03/2020

Confinement totalitaire (mais paradoxalement bénéfique).


Une vidéo (ne pas se fier à l'image de couverture trompeuse) assez proche globalement de ce que je ressens.
Elle présente surtout le point de vue d'une bonne partie des gens s'intéressant depuis longtemps à leur santé, à leur immunité et à leur liberté, de manière autonome.



A qui l'on impose aujourd'hui de force une autre vision de la santé.




Ce point de vue ne représente hélas que 5% de la population à ce jour, si l'on en croit les sondages.

Il y est précisé pourquoi le confinement est une absurdité archaïque inefficace (et totalitaire) même si cela est fait avec le consentement d'une grande majorité non éclairée (en état second de sidération pour ainsi dire).




***


-Sur le plan sanitaire ce confinement global "moyen-âgeux" est/sera contreproductif . En empêchant l'exercice d'activité en pleine nature de manière solitaire, il montre son ridicule achevé et son aspect punitif.Ces gens ne comprennent décidément rien à la santé.
>>> Il induit de la peur et du stress, il va donc endommager les défenses immunitaires de la population, exacerber tous les problèmes existants (alimentation, suicides, violences familiales) et peut constituer un réservoir de virus (rebondissant lors d'une deuxième vague en Novembre).

-Sur le plan démocratique, c'est une aberration qui confirme que la démocratie est une idée mais pas une réalité.Nous vivons dans une oligarchie ou ploutocratie européenne qui ne s'embarrasse plus des formes.Il y a bel et bien une forme de dictature sanitaire mondialisée.Par ailleurs le confinement renforce évidemment et de manière criante les inégalités sociales.
C'est aussi une façon de tester et d'habituer la population à des mesures contraignantes, à la soumission et à l'obéissance.

-Sur le plan économique, il conduit droit vers une crise déja préexistante.
Une partie de cette crise aura forcément des effets négatifs pour la population, cela semble inévitable à moyen terme..
Mais, premier paradoxe, cela peut s'avérer positif et même salvateur à long terme, car l'économie mondiale repose sur un système capitaliste prédateur (où la spéculation financière a remplacé l'investissement) qui ne survit que par la fausse monnaie de la dette.
Cette crise mondiale pourrait donc participer à tout remettre à plat.

-Sur le plan écologique, on voir déja les résultats en Chine, en Italie, la pollution de l'air a baissé de près de 50% et c'est spectaculaire.Même chose pour les accidents de la route.

-Sur les plans universitaire et scientifique: par le biais sanitaire médical biologique, on vient de voir que tout reposait sur un ancien paradigme (matérialiste mécaniste) qui n'est plus adapté au monde actuel, et que le milieu est sclérosé empêchant toute initiative créatrice et innovante.

On peut y voir une sorte de sérendipité, dans la mesure où cette décision qui implique des millions de personnes sur la planète aura surtout des effets qui n'étaient pas recherchés.
En visant un but par une méthode archaïque, on va obtenir des résultats divers positifs et révélateurs dans un tas d'autres.

L'épidémie par ses conséquences positives sera paradoxale. Et le confinement y participe.
C'est un "reset" global de la planète.


C'est le paradoxe de Saturne qui d'un obstacle ou d'un malheur peut faire l'occasion d' une amélioration. L'isolement contribuera à de nombreuses prises de consciences individuelles, rehaussant le niveau global de conscience collective. Il permet de se recentrer de méditer, de retrouver des liaisons familiales.


***


De nombreuses théories circulent, traitées de complotistes évidemment, mais on voit en ce moment que la réalité dépasse la fiction. L'histoire du monde est toujours parcourue et tissée de complots, mais pour moi ceux-ci sont rarement les causes premières, ils ne sont le plus souvent que des effets.
Difficile encore d'y voir clair, la situation est emmêlée.
Mais il est légitime et sain de se poser des questions.
Toutes les questions.Même s'il ne faut pas s'y enfermer et gaspiller son énergie.

En effet, sur un plan spirituel cette épidémie de virus est la création collective de la conscience/inconscience de l'humanité entière.
Un message d'alerte. "Erreur système! Voie sans issue!"
La conscience instinctive globale planétaire s'exprime comme elle le peut, avec les moyens dont elle dispose.

Je retiens néanmoins des pistes à explorer.
-La 5G semble pointée du doigt par cette épidémie, elle pourrait constituer un seuil charnière (d'alerte) dans la pollution électromagnétique de la planète.Il faut probablement refuser la 5G.
-La pollution de l'air par les industries (et l'automobile) est aussi en cause indiscutablement. Elle a atteint un niveau critique, cause de nombreuses morts chaque année (beaucoup plus que le coronavirus) et endommage l'immunité au point de rendre des virus anodins mortels (comme celui-ci probablement).La prise de conscience est déja bien installée sur ce sujet, mais les décisions ne suivaient pas.
>> Les cartes de la 5G déja active et de la pollution de l'air mondiale semblent en effet coïncider assez bien avec les zones les plus touchées de l'épidémie (Milan-Turin, Wuhan, Seattle).

-La Chine nouvelle première puissance mondiale grâce à l'épidémie?
L'Empire chinois a des cotés technologiques un peu inquiétants, version Bigbrother fichant par point ses citoyens, les suivant à la trace avec la reconnaissance faciale qu'elle s'apprête à amplifier encore avec la 5G.
Elle est impliquée au premier chef dans la 5G et la pollution planétaire,
C'est en Chine qu'est apparue cette épidémie et c'est la Chine qui a initié le confinement massif, cette entorse inédite à la liberté de circulation, suivie en cela par l'Italie, l'Espagne, la France et d'autres encore. Ces pseudo démocraties s'alignant sans vergogne sur un régime qu'elles considéraient jusque là comme liberticide, mais dont elles suivent les méthodes sous le prétexte fallacieux de l'urgence sanitaire.
La Chine pourrait avoir joué la carte de cette épidémie pour prendre le leadership mondial économiquement.Elle pourrait en effet se remettre de la crise bien avant les autres.
Ce n'est pas totalement exclu quand on connait, les enjeux et les méthodes en usage.
Et si elle n'a rien prémédité, elle a très probablement "instrumentalisé" l'épidémie en ce sens.


-L'Etat profond des USA pourrait tout aussi bien être impliqué.C'est une théorie qui circule. Beaucoup de sites "complotistes" pensent qu'il s'agit d'une manoeuvre au départ dirigée contre Trump par la CIA et/ou l'armée. J'ai vraiment du mal à y croire. (Mais ils ont déja fait pire.)

Seule certitude:
-Le lobby industriel des médicaments, de la recherche médicale et de la chimie est lui clairement impliqué. On voit encore chaque jour, ses obligés et ses petits soldats sur les plateaux télé propager tour à tour la peur ou rassurer, nier la réalité, la distordre, l'exagérer, attaquant sans vergogne tout ce qui ne va pas dans le sens de leur seul profit. Ce lobby a pesé sur le gouvernement de manière effarante pour ses seuls intérêts. Plus qu'un lobby c'est un système archaïque qui implique l'enseignement , la pratique et toute une mythologie autour de la médecine pasteurienne chimique allopathique, alors que la santé est affaire personnelle avant tout et de comportement individuel.



A lire:
Le billet du Dr Delepine: Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine.

25/03/2020

Saturne et Pluton continuent leur oeuvre salvatrice...


suite des épisodes précédents...

>>Vendredi, Mars est passé sur Jupiter: La psychose s'est effectivement amplifiée , les critiques sur la gestion de crise également (manque de masques et de tests), mais plus encore les prises de conscience .

>>Lundi, Mars est passé sur Pluton. Pluton avance masqué, mais quand Mars l'éclaire certains masques tombent et l'hypocrisie devient flagrante.

Et en même temps, Saturne est entré en Verseau.>>>Le changement de paradigme peut commencer à se manifester.

-Mesures de confinement renforcées, avec volonté punitive. (Pourquoi changer quand on s'enfonce dans l'absurde et l' incohérence ?) Cela ressemble vraiment à un test de la résistance du peuple face à l'oppression...

///Je rappelle que, d'après les premières études, ce virus ne tue pas par lui même si vous êtes en bonne santé. A 99,2% (chiffre pour l' Italie) il ne fait que précipiter des pathologies chroniques déja existantes./// (En toute logique, seules les personnes à risque devraient donc être confinées.)(testées et soignées, ce qui n'est pas le cas à ce jour)

-Pour ce qui est du transit marsien sur Pluton, cela s'est traduit notamment par une sorte de putsch du bon sens tranquille et empirique du marseillais Dr Raoult face aux intrigants parisiens drapés dans leur inefficacité savante avec cette polémique ubuesque au sujet de la chloroquine***.
Il y a quand même des (pseudo) médecins et comités (pseudo) scientifiques pour poser la question: vaut-il mieux administrer un médicament efficace contre ce virus déja bien connu et très utilisé (mais sur lequel ils auraient soudain des doutes) ou bien refaire des essais cliniques pendant 8 semaines avant de l'utiliser sur des patients qui seront parfois morts d'ici là.**

Cela sent l'arnaque à plein nez, et certains ne se privent plus d'accuser BigPharma, le lobby pharmaceutique qui se fait "un pognon monstre" , non pas en s'occupant de la Santé, mais en s'occupant des maladies (et surtout en les entretenant).
La situation même démasque cette hypocrisie.
Il y a trop d'éléments factuels qui corroborent cette triste réalité.
Tout porte à croire que sous la pression de ce lobby, le gouvernement entretien délibérément cette "banale épidémie" par la peur infondée propagée et diffusée largement et par le confinement qui ne résoud rien mais punit tout le monde. Mais aussi et surtout par l'absence prolongée de masques et de dépistages (qui auraient pu rapidement l'endiguer comme en Corée sud), ou encore par l'opposition incompréhensible à la chloroquine qui la soigne. Ces solutions ne les arrangent pas. La chloroquine n'est pas chère, elle coupe l'herbe sous le pied des labos qui font la course pour trouver en toute urgence un vaccin, justifier leur inutile existence et engranger des milliards.
Les malades ils s'en foutent et la santé encore plus.

On voit le niveau des élites étatiques.(Il est grand temps de les sortir...) Des chefs politiques qui se réfugient derrière la caution de scientifiques (bien choisis pour aller dans leur sens) sont forcément malhonnêtes.

Quelques personnalités du milieu le dénoncent.
Lire à ce sujet:
Comment la mauvaise science est devenue une religion.

Le boss (seul véritable figure de chef en cette période, ridiculisant ministre de la santé ou président en culotte courte) , est vite devenu le héros du moment. Gaulois irréductible ou Big Lebowski. Il est même soutenu par des gens apeurés y voyant leur sauveur devant une épidémie redoutable, alors que lui même ne cesse d'affirmer, qu'il y a moins de morts cet hiver que les années précédentes, pour infections pulmonaires.
Mais évidemment il y en a toujours trop. D'autant plus que sans le mauvais amateurisme du gouvernement et le machiavélisme des lobbies pharmaceutiques (dénigrant le traitement le moins cher), beaucoup auraient pu être sauvés.
La colère monte.


Cela pourrait donc se résumer à un sinistre constat.
Et bien non, car la période tient ses promesses, cette "banale" épidémie sanitaire (là où elle a été bien gérée), bien qu'artificiellement instrumentalisée, s'avère extraordinairement efficiente par ses effets PARADOXAUX, ses révélations inespérées, là où on ne l'attendait pas.

On a vu qu'elle faisait tomber les masques, révélaient des hypocrisies et des incompétences.
Le milieu sanitaire, médical, pharmaceutique et politique est bousculé.
On sait qu'elle a un effet immédiat sur la pollution et les accidents de la route.
On devine qu'elle va se poursuivre dans l'économie mondiale et contribuer à la remettre à plat.
On espère qu'elle va contraindre le milieu scientifique à changer de pratique et de paradigme (que les dévots et les inquisiteurs laissent la place aux innovateurs).

Tout se passe comme si elle était le fruit des intentions subconscientes de l'humanité, désirant secrètement une remise à plat générale du système. Une manifestation de la conscience collective utilisant ce biais paradoxal pour arriver à ses fins, par delà la raison.
D'où les incohérences apparentes multiples.

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"Plus de marché à Wuhan
Plus de fête de la viande de chien à Yulin
Plus de massacre de baleines en Islande
Plus de massacre de dauphins aux îles Féroé
Ni de massacre de phoques sur la banquise
Plus de tauromachie à Madrid
Plus de chasse aux trophées à Namibie
Ni de chasse à l'ivoire au Zimbabwé.
Plus de capture d'animaux à fourrure au Danemark...

... Les eaux se clarifient,
L'air se purifie,
Les fleurs bourgeonnent,
Les insectes se multiplient,
Les oiseaux chantonnent,
Les crapauds coassent.....

On se croirait dans un compte de fée."


***


Saturne est symbolique de la mort, de la prison, des obstacles, de l'isolement contraint, de la solitude mais aussi de la vérité, du Réel, du dépouillement et de l"élévation spirituelle.
Il est donc bien présent dans cette période de confinement et le mieux est d'accepter de faire de cette contrainte imposée un exercice de recentrage, de méditation.
Pour retourner subtilement l'énergie là où elle doit agir.

Pour mieux se préparer à renverser l'ordre établi (les fausses idoles doivent tomber) , c'est à dire plus par la conscience montante que par l'action concrète (hélas devenue inefficace face au pouvoir de l'argent).

Visiblement les temps sont venus et une instance transcendante nous aide pour rediriger la vie sur la planète dans la bonne direction, qui n'était évidemment pas celle d'hier.

Pour un changement radical !

à suivre

***A titre personnel, je ne suis pas spécialement favorable à la chloroquine, je pense que développer son système immunitaire suffit largement. Mais si cela s'avère insuffisant, pour des personnes qui ne sont pas habituées à gérer leur santé avec des médecines alternatives, alors oui je pense qu'il vaut mieux utiliser la chloroquine pour rendre le test négatif, éviter le pire et pallier à la peur collective.
Donc, tergiverser, dans le cadre allopathique, quand on sait que des millions de gens en ont pris contre le paludisme, c'est assez suspect.

** Note du 26 Mars: Revirement du gouvernement, après 3 jours, devant l'indignation populaire, la chloroquine selon le protocole de Raoult est désormais autorisée par décret. Ici
Note du 28: L'incohérence continue: "Moins de 24h après avoir autorisé la prescription d'hydroxychloroquine, le Gouvernement rétropédale avec un nouveau décret. Pourquoi de tels décrets erratiques ? Pourquoi ces revirements permanents et particulièrement anxiogènes pour les malades ?" RT

23/03/2020

Le solipsisme convivial


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Excellent article très accessible du physicien Hervé Zwirn dans la revue "Pour la Science" sur la notion d'observateur en physique quantique...


Extraits:

"...c’est seulement lorsqu’un observateur prend conscience de sa mesure qu’une valeur définie de la grandeur mesurée émerge, et celle-ci n’implique aucun changement dans l’état physique du système, mais est relative à l’observateur lui-même."



Dans l'état de superposition:
..."un électron n’a tout simplement aucune position définie, ce qui est très choquant pour notre intuition, laquelle nous a habitués à avoir la certitude que tout objet occupe une position bien définie dans l’espace à tout moment.
... C’est la situation en mécanique classique, où les valeurs des grandeurs physiques attachées à un système sont à tout moment parfaitement définies et déterminées."





"Qu'est-ce qu'une mesure?

Est-ce simplement le fait que la valeur d’une certaine grandeur physique (telle que la vitesse ou la position) soit enregistrée par un appareil indépendamment de tout observateur ? "

..."Mais le formalisme de la théorie quantique ne permet ni de penser que la valeur enregistrée était définie avant son enregistrement par l’appareil de mesure, ni de comprendre comment l’interaction avec cet appareil conduit à une valeur définie. La mécanique quantique prédit au contraire qu’après avoir interagi avec le système mesuré, l’appareil de mesure lui-même se retrouve dans un état dit « intriqué » avec le système, ce qui signifie que son état s’est corrélé de manière indissociable avec celui du système (qui est une superposition) et qu’il ne correspond plus à une valeur bien définie de ce que l’appareil de mesure est censé afficher."


..."
Le mécanisme de décohérence n’élimine donc nullement le rôle de l’observateur, puisqu’il explique comment apparaît le monde à un observateur dont les moyens sont limités, et non pas comment est « réellement » le monde en l’absence d’un observateur.

En fait, il paraît logiquement inévitable que, sauf à modifier le cadre de la mécanique quantique usuelle, il soit impossible de définir rigoureusement et de façon strictement objective ce qu’est une mesure. L’observateur doit être pris en compte d’une manière ou d’une autre, et il semble que ce ne soit qu’au moment où un observateur prend connaissance du résultat que celui-ci se détermine."



Le solipsisme convivial:

L'article au complet

20/03/2020

JL Bonnamy

J'ai trouvé un article qui redit en d'autres termes ce que je pense et ce que tout homme de bonne foi, sans peur et sans oeillères n'a pu que constater au fil de Février et Mars, sur les errements de la gestion de crise du pouvoir en France en comparaison avec les pays asiatiques, notamment la Corée du Sud.

***


Extraits:

"La crise du coronavirus est le révélateur des fragilités stratégiques de la société française. Procédons à une rapide comparaison. La Corée du Sud, géographiquement proche de la Chine, a été l’un des pays les plus précocement et les plus massivement touchés. Cependant, la maladie y est désormais contenue, le nombre de nouveaux cas quotidiens décroît nettement et la mortalité est extrêmement faible (moins de 0,8 %). Et pourtant, la Corée du Sud a refusé le confinement et n’a pris aucune mesure contraignante. Même les restaurants sont ouverts. S’inscrivant dans le même schéma, le Japon, Hong-Kong, Taïwan et Singapour affichent un bilan spectaculaire dans leur lutte contre l’épidémie sans sacrifier ni leur économie ni les libertés fondamentales.

Pourquoi la France ne réagit-elle pas comme la Corée? Il nous faut regarder la vérité en face: la Corée, qui était en 1950 un pays du Tiers-Monde, encore plus pauvre que bien des pays africains, est aujourd’hui un pays développé. La France ne l’est plus./...

.../Les Français sont confinés chez eux car notre système de santé est à bout et n’a pas les capacités d’accueil suffisantes pour gérer l’afflux des nouveaux malades.

La stratégie gagnante de la Corée du Sud face au Coronavirus passe avant tout par des tests massifs: dépister le maximum de personnes infectées, les soigner, les isoler. En Corée du Sud, vous serez testé même si vous ne présentez aucun symptôme. En France, au contraire, même si vous présentez tous les symptômes du coronavirus, il sera très dur d’être testé, car les moyens de dépistage sont insuffisants. D’ailleurs, il n’y pas que face au coronavirus que les Coréens nous surclassent. /...

.../Examinons nos fragilités les plus criantes. Première faiblesse: notre système hospitalier. Si les Français sont aujourd’hui confinés chez eux, ce n’est pas à cause de l’épidémie en elle-même, dont le taux de mortalité est très faible. Mais c’est parce que notre système de santé est à bout et n’a pas les capacités d’accueil suffisantes pour gérer l’afflux des nouveaux malades. Désorganisé par le double effet des 35 heures et des restrictions budgétaires, notre hôpital est déjà saturé en temps normal. Il n’est donc pas surprenant qu’il ne puisse gérer un stress imprévu.

Notre pays peut offrir seulement six lits d’hôpital pour mille habitants, contre neuf en 1996, soit une baisse de 30 %. Au contraire, la Corée du Sud affiche un ratio de 14 pour 1 000, un chiffre qui n’a cessé d’augmenter puisqu’il a été multiplié par sept en 30 ans. Les Coréens ont donc 2,3 fois plus de lits d’hôpital par habitant que les Français. Autre chiffre alarmant: la France dispose seulement de 5 000 lits équipés d’un ventilateur, l’Allemagne, elle, en compte 25 000. En janvier, avant la crise actuelle, 1 000 médecins hospitaliers, dont 600 chefs de service, avaient symboliquement remis leur démission pour protester contre le manque de moyens./...

Jean-Loup Bonnamy (philosophie politique)
source

***


Je partage cette analyse. Le confinement n'est pas lié au coronavirus, il n'était ni nécessaire, ni inévitable mais une réaction paniquée ("Sauve qui peut!" camouflé en "Soyons unis et faisons face !") devant le constat tardif du fourvoiement complet de "la" politique de santé, illustré par la désorganisation et le manque de moyens des services hospitaliers et du système sanitaire, confrontés à une crise moyenne "facilement" maîtrisée ailleurs (Asie).
D'un jour à l'autre, par décret et par peur, le gouvernement et une majorité de français (affolés donc manipulés et consentants) ont changé d'avis et leur fusil d'épaule.
-Principal inconvénient de ce confinement global, amplifier la peur et le stress, ce qui exacerbe aussi les tensions dans la population.
-Un tel confinement favorise la dissémination géographique de la contagion qu'il prétend enrayer en provoquant un exode hors des villes et des foyers de contagion (5 millions de Chinois ont fui Wuhan, et près d'un million de parisiens se sont mis au vert, y emmenant leurs éventuels virus).
-Le confinement familial sans dépistage va augmenter les cas graves, tardivement soignés.
-Il favorise la constitution d'un réservoir de virus, pouvant provoquer une deuxième vague, plus redoutable quelques mois plus tard (Novembre).

Je crois donc que ce type de confinement est inefficace (c'est aussi l'avis d' experts reconnus dont le Dr Raoult, par expérience), punitif et abusif (infantilisant et totalitaire).

Il est déplacé et incohérent d' interdire les pêcheurs à la ligne isolés , les joggeurs isolés, les randonneurs isolés, les surfeurs isolés.Ils ne présentent aucun risque concret. Ils sont au contraire de "bons" citoyens qui renforce leur immunité et participent de ce seul fait à une meilleure santé collective.
Que des gens qui ne se préoccupent jamais de leur santé , les culpabilisent ou les insultent pour manque de civisme sur les réseaux sociaux montre le niveau de confusion , d'incohérence et d'ignorance qui régne en temps de peur.


Autre remarque importante:
Il est abusif de penser que le coronavirus est responsable de toutes ces morts, alors qu'on sait très bien que c'est un facteur additionnel venant s'ajouter à une série d'autres maladies ayant endommagé le système immunitaire.
Il n'est donc que partiellement responsable des morts (à 10% ou 20% ici, à 30% là , ailleurs à 50%) mais comme il est la goutte d'eau finale qui fait déborder le vase, tout lui est attribué.
Or il me semble qu'il n'a tué à lui seul aucune personne en bonne santé, presque toutes présentaient des risques importants (cancer, diabète, hypertension, obésité, tabagie, alcoolisme, coeur, poumon, etc ...) ou avait affaibli leur système immunitaire par la prise d'anti-inflammatoire (genre ibuprofène, aspirine ou même paracétamol, etc.).
C'est en tous cas le constat des premières études (à confirmer).
Pour faire court, si la même personne sans maladie avait été contaminée, elle n'en serait pas morte, alors que sans coronavirus sa maladie restait chronique et raccourcissait son espérance de vie.
Lors de cette épidémie, le virus n'est pas seul en cause.

L'âge est un facteur de risque dans la mesure où les maladies y sont statistiquement plus nombreuses et où l'immunité y est moins forte.
Mais plusieurs centenaires atteintes en Chine en ont guéri.
La clef est toujours l'immunité.

Dernière observation: Confiner toute une population, n'a rien d'égalitaire comme semblent le penser certains. C'est l'inverse, pour les uns ce sont des vacances, pour d'autres c'est punitif et stressant au point d'affaiblir notablement l'immunité. Et puis on se doute bien qu'être enfermé dans un studio dans une barre d'immeuble, ou dans une villa avec parc et jardin, ce n'est pas identique.

Bien que très opposé à cette mesure a priori (pour moi extravagante et injustifiée), je constate paradoxalement qu'elle a déja (hors du champ sanitaire qui était sa justification) de nombreux effets positifs individuellement et collectivement, indirectement, par ricochet ou retournement.
Moins de pollution, moins d'accidents, convivialité en famille, créativité, prise de conscience à tous les niveaux, révélations en tous genres.

Comme dans ces contes zen, où un malheur apparent provoque un grand bienfait.
Donc à ce titre je m'en réjouis.




Andrà tutto bene.


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"Je vous écris d’une ville coupée du monde. Nous vivons ici dans une parfaite solitude qui n’est pas le vide. Nous prêtons chaque jour un peu moins attention à ce que nous ne pouvons plus faire car Venise, en ces jours singuliers, nous ramène à l’essentiel. La nature a repris le dessus. L’eau des canaux est redevenue claire et poissonneuse. Des milliers d’oiseaux se sont installés en ville et le ciel, limpide, n’est plus éraflé par le passage des avions. Dans les rues, à l’heure de la spesa, les vénitiens sont de nouveau chez eux, entre eux. Ils observent les distances, se parlent de loin mais il semble que se ressoude ces jours-ci une communauté bienveillante que l’on avait crue à jamais diluée dans le vacarme des déferlements touristiques. Le tourisme, beaucoup l’ont voulu, ont cru en vivre, ont tout misé sur lui jusqu’à ce que la manne se retourne contre eux, leur échappe pour passer entre des mains plus cupides et plus grandes, faisant de leur paradis un enfer.
Venise, en ces jours singuliers, m’apparaît comme une métaphore de notre monde. Nous étions embarqués dans un train furieux que nous ne pouvions plus arrêter alors que nous étions si nombreux à crever de ne pouvoir en descendre! A vouloir autre chose que toutes les merveilles qu’elle avait déjà à leur offrir, les hommes étaient en train de détruire Venise. A confondre l’essentiel et le futile, à ne plus savoir regarder la beauté du monde, l’humanité était en train de courir à sa perte. Je fais le pari que, lorsque nous pourrons de nouveau sortir de nos maisons, aucun vénitien ne souhaitera retrouver la Venise d’avant. Et j’espère de tout mon coeur que, lorsque le danger sera passé, nous serons nombreux sur cette Terre à refuser de réduire nos existences à des fuites en avant. Nous sommes ce soir des millions à ignorer quand nous retrouverons notre liberté de mouvement. Soyons des millions à prendre la liberté de rêver un autre monde. Nous avons devant nous des semaines, peut-être des mois pour réfléchir à ce qui compte vraiment, à ce qui nous rend heureux.

La nuit tombe sur la Sérénissime. Le silence est absolu. Cela suffit pour l’instant à mon bonheur.
Andrà tutto bene."

Arièle Butaux