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11/12/2020

Quand l’improbable surgit, un autre futur revient dans la partie





Non, le temps n’est pas linéaire, et l’histoire se construit d’abord à travers des chocs imprévisibles. Mais les germes d’un futur souhaitable sont déjà là, et c’est à nous d’apprendre à les repérer et les faire grandir, nous dit dans cette tribune Yannick Roudaut, auteur du livre Quand l’improbable surgit, un autre futur revient dans la partie (La Mer Salée, 2020).




Par Yannick Roudaut sur le site Usbek & Rica
- 7 décembre 2020

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Depuis au moins trente ans, l’humanité tente de lutter contre l’emballement climatique, la destruction du vivant et autres périls écologiques, tout en maintenant à bout de bras une économie shootée aux énergies fossiles qui repose sur la destruction du vivant. Cette équation est insoluble. La raison voudrait donc que nous changions radicalement et rapidement de comportements économiques pour éviter le collapsus.

Si nous étions aussi sages et rationnels que nous le pensons, puisque nous nous sommes auto-baptisés sapiens sapiens, nous stopperions immédiatement la machine économique pour sauver notre peau ! Mais nous ne le ferons pas. Dans l’histoire de l’humanité, aucune civilisation ne s’est auto-dissoute volontairement. Pis, chacune a l’arrogance de penser que cette fois-ci elle ne disparaîtra pas. Pourtant elles disparaissent bel et bien. Mais aucune ne s’est écroulée parce que ses dirigeants l’avaient décidé. Se pose alors la question suivante : « Oui mais comment arrêter cette machine économique destructrice soutenue à bout de bras par quantité de lobbies cyniques ? ». C’est là que l’improbable surgit : les civilisations, les mondes, changent à l’aune de chocs inattendus.
Le Covid-19 surgit… et l’impensable est décidé

Au-delà des souffrances humaines et sociales à court terme, le choc de la pandémie mondiale nous a fait bifurquer, dévier de la trajectoire économique linéaire. Le surgissement de cette pandémie nous a contraint à mettre un grand coup de frein, inconcevable encore quelques semaines auparavant. Qui aurait imaginé des avions cloués au sol, des géants du textile en difficulté, des bateaux de croisière à quai, des producteurs de pétrole et de gaz de schiste en difficulté ? C’est une première étape. Une première marche. Un premier coup de volant dans la trajectoire.


L’Histoire n’est qu’une succession d’évènements inattendus. Si elle s’écrit toujours a posteriori comme une évidence, elle se construit au gré des improbables.

Évidemment l’ancien monde s’accroche, il n’a pas encore cédé. Il nous faudra donc encore quelques années pour que la structure du monde d’après commence à nous apparaître. Cette nouvelle trajectoire se densifiera à mesure que des chocs improbables se manifesteront. L’Histoire n’est d’ailleurs qu’une succession d’évènements inattendus. Si elle s’écrit toujours a posteriori comme une évidence, elle se construit au gré des improbables.
Le clair-obscur, passage obligé

La décennie 2020–2030 sera claire-obscure. Le sublime côtoiera le tragique. Comment pourrait-il en être autrement ? Ce fut le cas durant la Renaissance. On oublie que les guerres de religions et la Joconde sont contemporaines l’une de l’autre. La fin d’un monde, l’émergence d’un autre, sont toujours à la fois douloureuses et enthousiasmantes. Mais au bout de ce tunnel, un autre futur nous attend, telle une petite lucarne qui nous ouvre un cône de lumière. La lucidité nous éclaire, elle nous permet de fendre l’obscurité, de la traverser, mais elle ne nous dit rien des lendemains. La lucidité c’est d’accepter qu’il y aura des improbables.

Cet autre futur qui pointe est donc difficile à percevoir, à imaginer. Les contemporains d’un monde sont toujours dans l’incapacité de projeter le monde en devenir, car personne ne sait quel improbable surgira. Comment percevoir, comment imaginer la révolution industrielle à venir au XVe siècle ? Ou la Révolution française en 1782 ?

Depuis le surgissement du Covid-19, nous venons de sauver trois balles de match, et nous remontons au score. La partie est certes serrée, mais nous pouvons gagner.



Bonne nouvelle, ce futur lumineux est déjà en partie déployé. Mais il n’est pas figé. Il nous attend dans une dimension imperceptible à nos cinq sens. Si l’on se réfère aux derniers travaux de physiciens comme Carlo Rovelli ou Philippe Guillemant, le temps ne serait pas linéaire. Nietzsche et Einstein l’affirmaient déjà : le futur agit sur le présent, et le présent sur le futur. Ce futur souhaitable, celui d’une humanité ayant trouvé le chemin de la réconciliation avec la nature, serait en partie déployé. Quelque part. Nous en percevons parfois des signes, qui nous guident. Ce sont les fameuses synchronicités. Nos actions, nos intentions, permettraient à ce futur latent de s’imposer dans notre réalité.

Il y a encore quelques mois, le match était presque perdu. Comme au tennis, ce futur improbable était mené 5 à 0 dans le 5e set par l’autre futur, celui de la fuite en avant numérique, croissante et mortifère. Depuis le surgissement du Covid-19, nous venons de sauver trois balles de match, et nous remontons au score. La partie est serrée, certes, mais nous pouvons gagner. Point après point, balle après balle. Improbable, me répondrez-vous ? Le probable, c’est la projection linéaire d’une économie destructrice. Nous en connaissons l’issue. L’improbable nous offre la possibilité de bifurquer et d’éviter l’impasse tragique. En outre, si le probable se réalise rarement, l’improbable, lui, surgit souvent. Quel pari voulez-vous prendre ?

03/12/2020

Guérir en se souvenant du futur


L'excellente revue de santé naturelle "Néosanté" n° 105 (novembre 2020) comporte un article << Guérir en se souvenant du futur >> qui développe un peu la théorie de la double causalité de Philippe Guillemant (interviewé dans l'article), appliquée ici à la santé.
Le rôle des synchronicités jungiennes y est précisé.

Lien pdf

23/10/2020

Entretien avec Guillemant Philippe



Entretien de Nicolas Libert avec Philipe Guillemant.
Octobre 2020

19/10/2020

Arbre , liberté.



Simon O'Rourke est un artiste sculpteur écossais qui réalise de somptueuses sculptures à la tronçonneuse.
Hauteur: 15m au total.

L'arbre est un des plus vieux symboles représentés dans la mythologie.
Symbole de vie et de liberté.

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09/10/2020

Octobre astral

Si l'on reprend l'hypothèse de Philippe Guillemant (post précédent) où en 2020 l'ancien futur programmé (le "foutur" car déja dépassé donc foutu) fait de la résistance contre le nouveau futur (lié à l'éveil des consciences),
alors le redémarrage de la conjonction Saturne/Jupiter/Pluton semble coïncider avec une accentuation de ces deux lignes opposées:
-les autorités délirantes accrochées à leur ancien agenda et à une vision du monde dépassée persistent dans le déni et l'absurde en ajoutant mesures et décrets ubuesques sans savoir comment s'arrêter...
-les tenants du nouveau monde résistent, s'organisent, se regroupent et mettent sur pied des structures pour éveiller et informer les consciences.

Il y aura début Novembre les élections américaines, qui joueront un rôle crucial et essentiel dans toute cette affaire puis la semaine précédant Noël, Saturne et Jupiter se rejoindront au premier degré du Verseau (une grand première en signe d'air, les précédentes conjonctions ayant toutes eu lieu en signe de Terre).
Cette semaine de Décembre 2020 devait marquer l'histoire.

Je ne résiste pas à l'envie de citer André Barbault, pionnier de l'astrologie mondiale qui écrivait en 1993 dans "L'avenir du monde":

La menace de 2020.

"Au coeur de cette configuration règne d'ailleurs la note saturno-plutonienne qui est plus en affinités avec des valeurs sourdes et lourdes de chute et de gouffre. Elle suggère plutôt une levée de forces obscures à caractère destructeur, où l'homme, saisi d'un frisson de négation avec toutes ses hantises, s'avilit, régresse et s'enténèbre.A son angoisse profonde répond une sinistrose comme si se dégradait le patrimoine de l'humanité dans un climat délétère."

Et plus loin:

"2025-2030: la meilleure période du siècle!
Exactement tout le contraire de la conjoncture de 2020.
L'on voit réunies toutes les conditions qui donnent un souffle prodigieux à l'histoire, portée au suprême.
Quelle heureuse odyssée nous est réservée?
La nouvelle civilisation mondiale dont les prémices sont apparues autour de l'an 2000, prend ici tout son essor.
Cette entrée du second quart de siècle porte le cachet de l'accomplissement d'un nouvel âge de l'humanité."

L'ancien et le nouveau futur...

Un texte de Nicolas Libert qui se suffit à lui-même:

Ma compréhension de la théorie de Philippe Guillemant sur les événements actuels ...

Ce qui se passe en ce moment est si étrange qu’on ne sait comment aborder le sujet. Faut-il dénoncer un complot ou le complotisme? Faut-il s’insurger contre les mesures excessives des gouvernants? contre les experts qui voient des réalités qui n’existent pas?
Littéralement j’hallucine depuis des mois et il semble que je ne sois pas le seul.

Halluciner c’est ne pas comprendre.
Les théories complotistes sont des tentatives naturelles du mental de fournir une explication à ce qu’on ne comprend pas.

Elles sont problématiques en ce qu’elles diabolisent : elles prêtent des intentions diaboliques aux « dits comploteurs », ce qui ne colle pas avec ma croyance fondamentale que chacun agit toujours pour le bien tel qu’il le conçoit. Les intentions diaboliques n’existent que dans l’esprit des diabolisateurs. Le mal n’existe pas dans l’absolu mais seulement dans l’esprit de qui diabolise. Ce qui est réel, ce sont des conceptions du bien qui sont destructrices, « tragiques » comme il se dit en communication non violente.

Depuis des mois la crise du covid est pour moi une crise cosmique. Je sens que quelque chose d’important se déroule, et que les comportements hallucinants qu’on observe sont autre chose que de la peur, de l’incompétence, de la stupidité ou du complot. Mais quoi?

Pour mon plus grand bonheur, mon chemin m’a mené ces jours-ci à la rencontre de Philippe Guillemant, avec lequel j’ai pu longuement échanger sur le contenu du nouveau livre qu’il prépare pour le début de l’année prochaine. Dans ce livre il dévoile une interprétation de la crise qui répond aux questions qui me taraudent depuis des mois. Une interprétation aussi politiquement incorrecte que le complotisme, mais autrement plus subtile et positive.

Je reformule à ma façon ce que j’en ai compris :
Pour rappel P. Guillemant a développé la théorie de la double causalité, une théorie du temps qui se fonde entre autre sur une des implications de la théorie de la relativité générale d’Einstein, à savoir que passé, présent et futur coexistent simultanément. Mais tandis que la version matérialiste de cet « univers bloc » implique que l’histoire est déjà écrite et figée, la version qu’il explore laisse des possibilités au libre arbitre de modifier indirectement nos trajectoires par modification du futur.

Pour résumer, si nous ne vivons qu’une seule version de notre histoire, il peut en exister « physiquement » plusieurs versions, sous forme d’informations réelles, dans la mesure où par notre libre-arbitre nous créons un nouveau futur dont l’influence entre en conflit avec celui qui nous « aspirait » sur un chemin tout tracé. C’est dans ces moments où deux futurs sont en conflit que des phénomènes de rétrocausalité ou de synchronicité se produisent, synchronicité positive lorsque le nouveau futur envoie des signes de sa confirmation, et négative lorsque l’ancien futur résiste à sa disparition en provoquant des blocages par des événements singuliers ou en se manifestant de manière chaotique, comme une dernière tentative de survie.
Dans cette théorie, le libre-arbitre ne s’applique pas au présent, mais au futur, par le biais de la part de notre conscience qui est « hors temps ».

Ce phénomène s’applique tant individuellement que collectivement. Mais dans ce dernier cas, on s’en doute, cela arrive très rarement, et lorsque ça se produit, on peut s’attendre à des événements très marquants dans l’histoire.

Pour en venir au fait, la crise actuelle serait le fruit d’un changement collectif de futur, ce qui engendre non seulement des synchronicités visibles par tous, et éveille la suspicion des complotistes, mais aussi des phénomènes bizarres et incompréhensibles dus au fait que deux futurs coexistent un certain temps, et que les individus sont plus ou moins connectés à l’un ou à l’autre.
Lorsqu’un nouveau futur se substitue à un ancien, la cohérence de la réalité n’est globalement pas perturbée, car des lois physiques « protègent » cette réalité, mais des perturbations apparaissent dans la relation que les êtres humains ont avec l’ancien et le nouveau futur. Par exemple une personne qui était programmée par l’ancien futur pour en être un acteur incontournable, de par la connivence qu’elle entretient avec cet ancien futur, aura beaucoup de difficulté à prendre le virage tout en y étant obligée. Le futur ne peut pas au niveau du vécu se séparer en deux, la réalité serait comme déchirée, c’est physiquement impossible. Un seul futur collectif pourra être vécu. Mais si vous êtes viscéralement attaché au futur qui a perdu la bataille, vous vous retrouvez dans une réalité qui n’est pas celle pour laquelle vous avez été programmé.



Pour le dire autrement, les futurs collectifs sont les sommes de futurs individuels : imaginons donc un monde dans lequel une majorité d’individus sont matérialistes et construisent un futur qui à son tour programme leurs cheminements vers lui, dans ce monde les personnes non-matérialistes, qui rêvent d’un autre futur, vont subir ce monde matérialiste s’orientant vers le transhumanisme ; ces personnes auront des difficultés à trouver leur place, à exprimer leur vision du monde et à actualiser leurs capacités. Mais si pour des raisons x la balance se renverse et que les porteurs d’un autre futur « non transhumaniste » induisent -inconsciemment- un nouveau futur plus puissant que l’ancien, alors ce nouveau futur s’impose et provoque les événements nécessaires à sa réalisation. Dans ce cas ce sont les adeptes de l’ancien futur qui vont se retrouver inadaptés. Mais comme ce processus, à l’échelle collective, prend beaucoup de temps - parce que c’est toute une réalité qui va être modifiée par ce nouveau futur - il y a une période de transition pendant laquelle pleins de bizarreries et d’événements irrationnels peuvent se produire. Les acteurs de l’ancien futur, qui sont toujours aux manettes des différents pouvoirs (législatif, exécutif, financier et médiatique) vont en quelque sorte dénier la nouvelle réalité et agir en conséquence du fait qu’ils sont toujours connectés à l’ancien futur. Individuellement ils continuent d’agir comme si l’ancien futur se réalisait, sauf que c’est le nouveau futur qui se réalise : c’est l’explication du décalage, hallucinant pour les êtres qui accompagnent sans résistance la nouvelle réalité, entre la réalité de la fausse pandémie que nous vivons et les mesures délirantes des gouvernants de multiples pays, ou les soutiens délirants des médias mainstream à ces gouvernants.

Si cette théorie s’approche d’une vérité, alors on peut hypothétiquement déduire du comportement anormal de certains individus certaines données du futur qui a perdu la bataille. Par exemple on peut supposer que l’apparition probablement accidentelle de la covid-19, provoquée par le nouveau futur, a saboté un ancien futur où une vraie pandémie extrêmement grave allait impliquer et justifier les comportements qu’ont réellement les gouvernants et les médias actuellement : ils agissent comme si la pandémie était grave alors qu’elle ne l’est pas, parce qu’ils n’arrivent pas à se déconditionner de l’ancien futur dont ils étaient des acteurs constitutifs.

Si le complotiste, collectivement, habite la nouvelle réalité et ne la dénie donc pas, il ne comprend pas réellement ce qui se passe et interprète le déni des autres comme une mal-intention, comme s’ils faisaient exprès parce qu’ils complotaient. Mais en même temps, en interprétant négativement les événements et en focalisant sur ces autres qu’ils pensent mal-intentionnés, il se connecte individuellement à l’ancien futur. Il ne voit pas encore que la résistance irrationnelle qui se manifeste à travers les mesures liberticides cache une très bonne nouvelle : le futur transhumaniste, qui nous promettait un enfer parce que mis en oeuvre par des êtres dont les niveaux de conscience sont parmi les plus bas, est déjà vaincu.

Si vous êtes sceptique, vous vous dites peut-être que tout cela n’est qu’une théorie farfelue et imaginaire. Ce qui rend cette théorie plausible, c’est deux faits :

En premier lieu, elle est la seule à expliquer rationnellement les délires auxquels nous assistons. Ce serait de la mauvaise foi de nier que quelque chose cloche dans les actions du gouvernement. De plus en plus de personnes expriment leur stupéfaction, interprétant les faits par le complot, l’incompétence, ou la stupidité. Mais aucune de ces explications n’est crédible. Le complot pour les raisons qu’on donnera ci-après, l’incompétence et la stupidité parce que si c’était cela l’explication, on n’aurait pas ce même comportement dans une multiplicité de pays.

Ensuite, cette théorie est appuyée par des faits qui se sont produits et qu’elle prédit : lorsqu’un nouveau futur s’impose contre un ancien, cela provoque des coïncidences ou des synchronicités à répétition. Or ce qui donne apparemment raison aux complotistes, c’est justement un ensemble de coïncidences qui ont eu lieu et qui sont trop extra-ordinaires pour être imputables au hasard. Mais c’est là que l’analyse de Philippe Guillemant est pertinente : ces coïncidences sont trop visibles pour être également imputables à des comploteurs qui auraient logiquement pris des précautions pour que le complot ne soit pas décelable. Ne pouvant être imputable ni au hasard ni à une volonté humaine, à quoi le sont-elles? à un mécanisme temporel de rétrocausalité : le nouveau futur provoque la pagaille pour tracer le cheminement qui nous conduit jusqu’à lui.

Les personnes que les complotistes n’aiment pas et auxquels ils prêtent des mal-intention attendaient réellement une pandémie pour provoquer les changements qu’ils estiment bon pour la planète avec la conception du bien qui est la leur. Peut-être même s’apprêtaient-ils à la provoquer. Mais si c’était le cas ils auraient fait cela très bien, avec un virus vraiment très mortel, et en effaçant toute trace de leur implication. Au lieu de cela un virus est arrivé par accident, ils ont sauté sur l’occasion, mais tout est en train de partir à vaux l’eau parce que le virus n’est pas assez virulent. C’est une pandémie ratée, et leurs réactions excessives révèle un « problème » qui éveille soudain les consciences.
Gouvernements, experts scientifiques, labos, médias, tous sont décrédibilisés parce qu’ils ont joué une partie pour laquelle la réalité les a lâchés.

Mais tout ne fait que commencer. La victoire du nouveau futur ne commencera à être positivement vécue que d’ici plusieurs années. En attendant nous allons très certainement subir les conséquences d’un affrontement entre ceux qui ne comprennent plus rien parce qu’ils appartiennent à un futur qui ne se réalise plus, et ceux qui ne comprennent plus rien parce parce qu’ils ne comprennent pas les délires des premiers.
Le grand atout de cette théorie proposée par P. Guillemant est qu’elle nous offre un point de fuite positif : moins nous aurons peur de ce qui arrive et plus nous aurons conscience que cela est dirigé par un beau futur, plus le passage se fera facilement et plus les résistances de l’ancien futur perdront rapidement leurs forces.

Nicolas Libert

08/10/2020

Le passé qui bouge encore

Exposé et débat d'Anatole Khélif, mathématicien et de Philippe Guillemant, ingénieur, physicien.
En visioconférence le 24 septembre 2020.

"Un univers de plusieurs milliards d'années peut-il avoir été créé à l'instant?"

'Un passé qui n'a pas été mesuré peut encore bouger."

27/09/2020

Retour vers le futur...

On a vu que l'extraordinaire conjonction Saturne Jupiter Pluton a coïncidé en Janvier 2020 avec le déploiement planétaire de "l'épidémie" désormais historique du Coronavirus mais surtout de sa formidable instrumentalisation politique (par la peur).
"Epidémie" qu'un excellent épidémiologiste allemand décrivait dès Mars comme "une épidémie de tests" et que d'autres ont désigné comme "une épidémie de peur".


On sait aussi que vers le 12 Mai, jour du déconfinement en France, ces trois planètes se sont retrouvées en sens apparent rétrograde en Capricorne (seules Saturne et Jupiter étaient visibles dans toutes nos nuits d'été, Pluton restant caché).
Cela a concordé avec une singulière période de stase estivale, une sorte de suspension temporelle , de gel des tendances, comme un formidable bouillon de culture où auraient bourgeonné et se seraient approfondies les dynamiques présentes en début d'année (durant le confinement).

Mais cette période se termine: le dimanche 13 septembre Jupiter est redevenu direct ;
Mardi 29 septembre Saturne redeviendra direct à son tour ainsi que Pluton le samedi 4 octobre.


Le temps reprend son vol, c'est maintenant "retour vers le futur".
Mais quel futur?

Dystopique, hygiéniste et transhumaniste avec les GAFA dirigeant tout comme on a pu en avoir un aperçu?

On voit déja que les tenants du principe matérialiste de précaution, les technocrates alarmistes essaient à toute force (manipulation des tests PCR, non fiables, manipulation des chiffres, manipulation des références habituelles) de faire exister leur postulat (sorti de nulle part) d'une deuxième vague qui n'a pas eu lieu mais qu'ils décrètent à coup de cas positifs, sans malade, et sans plus aucun sens des réalités.
C'est la panique.
Certains d'entre eux commencent d'ailleurs à déserter ou à retourner leur veste.

Pourtant les plus impliqués s'enfoncent dans leurs erreurs. Ils n'ont pas d'issue, ils veulent à nouveau imposer des confinements despotiques de façon totalement irrationnelle, par pure persistance dans leur récit fictif insensé.
La peur conduit à la régression primitive.


En face de cela, des scientifiques émérites et plus sensés, en nombre croissant (après Raoult, Toussaint, Toubiana, Peronne et bien d'autres) s'alertent devant tous ces dénis de réalité et devant ces distorsions scientifiques.
On affronte un dogme moderne , une dérive scientifique, bureaucratique, déconnectée (soutenue par la corruption de Bigpharma).
Des études ont pourtant clairement démontré toutes les erreurs commises et mis en évidence tous les mensonges relayés par des journalistes dociles ou incompétents.
Sur les réseaux sociaux cela se répand chaque jour.
Cela commence à percer même dans certains médias mainstream (ce domaine de la vérité officielle).
-Le confinement est inefficace et il tue plus qu'il ne sauve (à court et moyen terme)
-L'hydroxychloroquine réduit la mortalité par 2, c'est donc un traitement efficace.
-Le pr Raoult est bien un des meilleurs spécialistes mondiaux.
-Les masques ne servent à rien. En extérieur c'est même une aberration. A l'école c'est de la maltraitance.
-Les cas testés positifs ne sont pas des malades.
-Les tests ne sont pas fiables, ils sont manipulables (jusqu'à 90% de faux positifs).
-On a comptabilisé un grand nombre de malades morts du Covid alors qu'ils sont morts d'autre chose (mais testés positifs, ou même pas)
Etc.

Bref la plupart des mesures imposées par la force n'ont servi à rien, si ce n'est à culpabiliser et infantiliser la population pour mieux la soumettre.
(manifestations interdites, convivialité entravée, entreprises et créativité broyées, etc.)
Et toutes ces brimades pour entendre dire après confinement , masques et autres bêtises que tout est de la faute des citoyens qui se sont relâchés, et qu'on va les reconfiner.
(Alors que tous les politiques nient et se dédouanent de toutes leurs erreurs quand elles sont pourtant visibles, écarlates, télévisées et dans toutes les mémoires).

Je crois personnellement que favoriser la circulation de ce virus amoindri en plein été aurait été la meilleure chose à faire pour renforcer les immunités de toutes les personnes en bonne santé. (cf Suède)
Seules les personnes fragiles pouvaient se protéger sans infantilisation d'un gouvernement qui outrepasse outrageusement ses attributions en matière de santé individuelle.


Début Octobre et au fil d'Octobre on verra mieux comment évolue la dynamique de cette triple conjonction si perturbante.On verra si les tenants de la dictature hygiéniste arrivent à faire perdurer à toute force leur mensonge éhonté encore quelques mois ou s'il s'avère en tant que tel comme une somme d'erreurs, d'incompétences et de malveillances.

Comment ce gouvernement peut-il encore être en place après tant d'impostures? Cela tient du miracle.

La seule issue positive à toute cette mascarade ne peut être que dans le réveil des consciences endormies qui acceptent de telles infamies, de telles absurdités pour peu qu'on les culpabilise en les montrant du doigt, qu'on les accuse d'inconscience, de négligence criminelle envers les plus anciens, alors que c'est ce même gouvernement d'incapables qui a décrété opportun de ne pas soigner les malades ("Restez chez vous avec du doliprane en attendant que ça passe") et d'euthanasier les plus vieux après avoir interdit l'accès aux hôpitaux des retraités en Ephads. Chercher l'erreur.

Tout cela est incompréhensible, si l'on est resté normal, sans peur et sans reproche, face à la panique ambiante et à la soumission.
Il y a donc probablement un sens encore invisible à tout cela.
Nous sommes dans une gigantesque pièce de théatre shakespearienne et tous ces acteurs jouent leur rôle pour faire évoluer la conscience. Pour créer un choc émotionnel. Par leur gestion ubuesque de la situation, ils se font idiots utiles à l'évolution du monde, ils incarnent le mal, le pôle négatif, celui dont on doit s'éloigner pour construire un monde meilleur.

Ce sont nos petits tyrans, nos Judas, ils sont la noirceur sur laquelle doit se détacher la lumière.


Et le jeudi 12 novembre Jupiter repassera sur Pluton, en pleine période d'élections aux USA...
Cela promet.
(à suivre)