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09/10/2020

L'ancien et le nouveau futur...

Un texte de Nicolas Libert qui se suffit à lui-même:

Ma compréhension de la théorie de Philippe Guillemant sur les événements actuels ...

Ce qui se passe en ce moment est si étrange qu’on ne sait comment aborder le sujet. Faut-il dénoncer un complot ou le complotisme? Faut-il s’insurger contre les mesures excessives des gouvernants? contre les experts qui voient des réalités qui n’existent pas?
Littéralement j’hallucine depuis des mois et il semble que je ne sois pas le seul.

Halluciner c’est ne pas comprendre.
Les théories complotistes sont des tentatives naturelles du mental de fournir une explication à ce qu’on ne comprend pas.

Elles sont problématiques en ce qu’elles diabolisent : elles prêtent des intentions diaboliques aux « dits comploteurs », ce qui ne colle pas avec ma croyance fondamentale que chacun agit toujours pour le bien tel qu’il le conçoit. Les intentions diaboliques n’existent que dans l’esprit des diabolisateurs. Le mal n’existe pas dans l’absolu mais seulement dans l’esprit de qui diabolise. Ce qui est réel, ce sont des conceptions du bien qui sont destructrices, « tragiques » comme il se dit en communication non violente.

Depuis des mois la crise du covid est pour moi une crise cosmique. Je sens que quelque chose d’important se déroule, et que les comportements hallucinants qu’on observe sont autre chose que de la peur, de l’incompétence, de la stupidité ou du complot. Mais quoi?

Pour mon plus grand bonheur, mon chemin m’a mené ces jours-ci à la rencontre de Philippe Guillemant, avec lequel j’ai pu longuement échanger sur le contenu du nouveau livre qu’il prépare pour le début de l’année prochaine. Dans ce livre il dévoile une interprétation de la crise qui répond aux questions qui me taraudent depuis des mois. Une interprétation aussi politiquement incorrecte que le complotisme, mais autrement plus subtile et positive.

Je reformule à ma façon ce que j’en ai compris :
Pour rappel P. Guillemant a développé la théorie de la double causalité, une théorie du temps qui se fonde entre autre sur une des implications de la théorie de la relativité générale d’Einstein, à savoir que passé, présent et futur coexistent simultanément. Mais tandis que la version matérialiste de cet « univers bloc » implique que l’histoire est déjà écrite et figée, la version qu’il explore laisse des possibilités au libre arbitre de modifier indirectement nos trajectoires par modification du futur.

Pour résumer, si nous ne vivons qu’une seule version de notre histoire, il peut en exister « physiquement » plusieurs versions, sous forme d’informations réelles, dans la mesure où par notre libre-arbitre nous créons un nouveau futur dont l’influence entre en conflit avec celui qui nous « aspirait » sur un chemin tout tracé. C’est dans ces moments où deux futurs sont en conflit que des phénomènes de rétrocausalité ou de synchronicité se produisent, synchronicité positive lorsque le nouveau futur envoie des signes de sa confirmation, et négative lorsque l’ancien futur résiste à sa disparition en provoquant des blocages par des événements singuliers ou en se manifestant de manière chaotique, comme une dernière tentative de survie.
Dans cette théorie, le libre-arbitre ne s’applique pas au présent, mais au futur, par le biais de la part de notre conscience qui est « hors temps ».

Ce phénomène s’applique tant individuellement que collectivement. Mais dans ce dernier cas, on s’en doute, cela arrive très rarement, et lorsque ça se produit, on peut s’attendre à des événements très marquants dans l’histoire.

Pour en venir au fait, la crise actuelle serait le fruit d’un changement collectif de futur, ce qui engendre non seulement des synchronicités visibles par tous, et éveille la suspicion des complotistes, mais aussi des phénomènes bizarres et incompréhensibles dus au fait que deux futurs coexistent un certain temps, et que les individus sont plus ou moins connectés à l’un ou à l’autre.
Lorsqu’un nouveau futur se substitue à un ancien, la cohérence de la réalité n’est globalement pas perturbée, car des lois physiques « protègent » cette réalité, mais des perturbations apparaissent dans la relation que les êtres humains ont avec l’ancien et le nouveau futur. Par exemple une personne qui était programmée par l’ancien futur pour en être un acteur incontournable, de par la connivence qu’elle entretient avec cet ancien futur, aura beaucoup de difficulté à prendre le virage tout en y étant obligée. Le futur ne peut pas au niveau du vécu se séparer en deux, la réalité serait comme déchirée, c’est physiquement impossible. Un seul futur collectif pourra être vécu. Mais si vous êtes viscéralement attaché au futur qui a perdu la bataille, vous vous retrouvez dans une réalité qui n’est pas celle pour laquelle vous avez été programmé.



Pour le dire autrement, les futurs collectifs sont les sommes de futurs individuels : imaginons donc un monde dans lequel une majorité d’individus sont matérialistes et construisent un futur qui à son tour programme leurs cheminements vers lui, dans ce monde les personnes non-matérialistes, qui rêvent d’un autre futur, vont subir ce monde matérialiste s’orientant vers le transhumanisme ; ces personnes auront des difficultés à trouver leur place, à exprimer leur vision du monde et à actualiser leurs capacités. Mais si pour des raisons x la balance se renverse et que les porteurs d’un autre futur « non transhumaniste » induisent -inconsciemment- un nouveau futur plus puissant que l’ancien, alors ce nouveau futur s’impose et provoque les événements nécessaires à sa réalisation. Dans ce cas ce sont les adeptes de l’ancien futur qui vont se retrouver inadaptés. Mais comme ce processus, à l’échelle collective, prend beaucoup de temps - parce que c’est toute une réalité qui va être modifiée par ce nouveau futur - il y a une période de transition pendant laquelle pleins de bizarreries et d’événements irrationnels peuvent se produire. Les acteurs de l’ancien futur, qui sont toujours aux manettes des différents pouvoirs (législatif, exécutif, financier et médiatique) vont en quelque sorte dénier la nouvelle réalité et agir en conséquence du fait qu’ils sont toujours connectés à l’ancien futur. Individuellement ils continuent d’agir comme si l’ancien futur se réalisait, sauf que c’est le nouveau futur qui se réalise : c’est l’explication du décalage, hallucinant pour les êtres qui accompagnent sans résistance la nouvelle réalité, entre la réalité de la fausse pandémie que nous vivons et les mesures délirantes des gouvernants de multiples pays, ou les soutiens délirants des médias mainstream à ces gouvernants.

Si cette théorie s’approche d’une vérité, alors on peut hypothétiquement déduire du comportement anormal de certains individus certaines données du futur qui a perdu la bataille. Par exemple on peut supposer que l’apparition probablement accidentelle de la covid-19, provoquée par le nouveau futur, a saboté un ancien futur où une vraie pandémie extrêmement grave allait impliquer et justifier les comportements qu’ont réellement les gouvernants et les médias actuellement : ils agissent comme si la pandémie était grave alors qu’elle ne l’est pas, parce qu’ils n’arrivent pas à se déconditionner de l’ancien futur dont ils étaient des acteurs constitutifs.

Si le complotiste, collectivement, habite la nouvelle réalité et ne la dénie donc pas, il ne comprend pas réellement ce qui se passe et interprète le déni des autres comme une mal-intention, comme s’ils faisaient exprès parce qu’ils complotaient. Mais en même temps, en interprétant négativement les événements et en focalisant sur ces autres qu’ils pensent mal-intentionnés, il se connecte individuellement à l’ancien futur. Il ne voit pas encore que la résistance irrationnelle qui se manifeste à travers les mesures liberticides cache une très bonne nouvelle : le futur transhumaniste, qui nous promettait un enfer parce que mis en oeuvre par des êtres dont les niveaux de conscience sont parmi les plus bas, est déjà vaincu.

Si vous êtes sceptique, vous vous dites peut-être que tout cela n’est qu’une théorie farfelue et imaginaire. Ce qui rend cette théorie plausible, c’est deux faits :

En premier lieu, elle est la seule à expliquer rationnellement les délires auxquels nous assistons. Ce serait de la mauvaise foi de nier que quelque chose cloche dans les actions du gouvernement. De plus en plus de personnes expriment leur stupéfaction, interprétant les faits par le complot, l’incompétence, ou la stupidité. Mais aucune de ces explications n’est crédible. Le complot pour les raisons qu’on donnera ci-après, l’incompétence et la stupidité parce que si c’était cela l’explication, on n’aurait pas ce même comportement dans une multiplicité de pays.

Ensuite, cette théorie est appuyée par des faits qui se sont produits et qu’elle prédit : lorsqu’un nouveau futur s’impose contre un ancien, cela provoque des coïncidences ou des synchronicités à répétition. Or ce qui donne apparemment raison aux complotistes, c’est justement un ensemble de coïncidences qui ont eu lieu et qui sont trop extra-ordinaires pour être imputables au hasard. Mais c’est là que l’analyse de Philippe Guillemant est pertinente : ces coïncidences sont trop visibles pour être également imputables à des comploteurs qui auraient logiquement pris des précautions pour que le complot ne soit pas décelable. Ne pouvant être imputable ni au hasard ni à une volonté humaine, à quoi le sont-elles? à un mécanisme temporel de rétrocausalité : le nouveau futur provoque la pagaille pour tracer le cheminement qui nous conduit jusqu’à lui.

Les personnes que les complotistes n’aiment pas et auxquels ils prêtent des mal-intention attendaient réellement une pandémie pour provoquer les changements qu’ils estiment bon pour la planète avec la conception du bien qui est la leur. Peut-être même s’apprêtaient-ils à la provoquer. Mais si c’était le cas ils auraient fait cela très bien, avec un virus vraiment très mortel, et en effaçant toute trace de leur implication. Au lieu de cela un virus est arrivé par accident, ils ont sauté sur l’occasion, mais tout est en train de partir à vaux l’eau parce que le virus n’est pas assez virulent. C’est une pandémie ratée, et leurs réactions excessives révèle un « problème » qui éveille soudain les consciences.
Gouvernements, experts scientifiques, labos, médias, tous sont décrédibilisés parce qu’ils ont joué une partie pour laquelle la réalité les a lâchés.

Mais tout ne fait que commencer. La victoire du nouveau futur ne commencera à être positivement vécue que d’ici plusieurs années. En attendant nous allons très certainement subir les conséquences d’un affrontement entre ceux qui ne comprennent plus rien parce qu’ils appartiennent à un futur qui ne se réalise plus, et ceux qui ne comprennent plus rien parce parce qu’ils ne comprennent pas les délires des premiers.
Le grand atout de cette théorie proposée par P. Guillemant est qu’elle nous offre un point de fuite positif : moins nous aurons peur de ce qui arrive et plus nous aurons conscience que cela est dirigé par un beau futur, plus le passage se fera facilement et plus les résistances de l’ancien futur perdront rapidement leurs forces.

Nicolas Libert

01/05/2020

Du scientisme à l’apocalypse

Article de Philippe Guillemant
28 Mai 2020

Du scientisme à l’apocalypse:

Le scientisme n’est pas scientifique. Il empêche au contraire la science d’évoluer en rejetant toutes les anomalies qui lui permettraient de faire éclore une nouvelle vision du monde, bien plus réelle et réjouissante que la fausse vision actuelle qui nous maintient dans le règne esclavagiste du mental.

Le scientisme est une religion, généralement appelée techno science, qui désire remplacer toutes les autres et qui est fondée sur l’idée que seule la méthode dite scientifique permet d’accéder à la vérité (par la mesure essentiellement), ce qui est totalement faux. Les scientistes ne sont plus aujourd’hui que les instruments du maintien de croyances dépassées par la vraie science. Ils se croient sceptiques alors qu’ils sont peut-être les plus grands des croyants, incapables de sortir de la boite d’un mental formaté par un enseignement matérialiste révolu.

Lorsque l’un ou l’une d’entre vous déclare « ceci est scientifique » ou « ceci n’est pas scientifique » pour justifier ou corriger une pensée, vous participez à l’instrumentalisation de la science en renforçant le scientisme et ses dérives.

Attention, ne rejetez surtout pas la vraie science, rejetez seulement son instrumentalisation par des scientistes qui veulent vous apprendre à penser. Vous êtes déjà mieux équipés qu’eux pour penser si vous avez simplement appris à développer votre intuition, cette faculté qu’ils rejettent parce qu’ils sont incapables de la séparer de leur mental. De quoi douter sérieusement de leur intelligence.

Le scientisme est-il d'ailleurs compatible avec l'intelligence ? Je ne crois pas, ayant plutôt l'impression qu'il vient combler un manque... d'intuition ou de jugeote, comme on dit.

Le gros problème du scientisme est que la méthode dite scientifique est fondée sur des dogmes et des croyances qui ont toutes été contredites par la vraie science : matérialisme, causalité, déterminisme et hasard entre autres. Je ne vais pas revenir là-dessus, voir mon site web http://www.guillemant.net.
Vous pouvez techniquement mesurer tout ce que vous voulez, si vous pensez mal, c'est-à-dire avec un faux modèle de la réalité, vous conclurez de travers.

On peut en réalité faire dire n’importe quoi à la science dans la mesure où elle est inaboutie, pleine de mystères et il n’existe aucun consensus scientifique sur les questions fondamentales. Nous en sommes par exemple restés à la grosse arnaque du darwinisme qui permet de maintenir un système prédateur se résumant à l’idée suivante:

Nous sommes des machines biologiques. Que le meilleur gagne, point barre.

Bien que cela soit devenu complètement ridicule, c’est pourtant ce que le scientisme vous vend. Et je ne vous parle des 10 croyances pseudo-scientifiques qui se trouvent dans le même paquet: http://www.doublecause.net/index.php…

Et j'allais oublier les biais:
https://www.doublecause.net/index.php…

Enfin, la religion du scientisme est instrumentalisée, consciemment ou non, par les vrais gouvernants que sont les puissances financières pour conduire la planète vers le transhumanisme. On le voit bien avec le conseil scientiste de notre gouvernement qui fait tout pour éliminer le recours aux traitements peu onéreux contre le coronavirus afin de nous imposer sa propagande vaccinale.

Le gros naïf est moins l’anti-vaccin que celui qui accepte de confier sa santé à un système qui a intérêt qu'il soit malade en faisant du business avec ses médicaments (première erreur) dans un paradigme où par-dessus le marché l’homme est pris à tort pour une machine biologique mécaniquement réparable (deuxième erreur).

Fort heureusement, depuis ce coronavirus je sens profondément que nous n’allons plus dans cette direction folle et je considère toutes les dérives technoscientifiques qui nous crèvent aujourd’hui les yeux comme une tentative désespérée de l’ancien foutur transhumain de se rétablir.

Si le scientisme revient aujourd’hui"hui en force, c’est à mon avis parce qu’il doit disparaître face à l’éveil des consciences.

Le scientisme aura été en quelque sorte un anesthésiant.

Mon sentiment est qu’il est trop tard pour le foutur parce qu’il est en train de se passer deux grands évènements historiques:

(1) L’humain est en train de découvrir que non seulement le scientisme est instrumentalisé par la techno science affairiste, mais aussi que les médias mainstream sont instrumentalisés pour masquer certains dossiers sur la véritable marche du monde, dont le maintien du secret depuis des décennies a dégénéré en théories du complot. Si beaucoup de ces théories sont des fumées sans feu voire des fumigènes relayés par les médias mainstream elles-mêmes pour faire croire que les feux n’existent pas, certains dossiers flamberont néanmoins dans un relativement proche avenir en faisant tomber de très haut les masses et les bisounours, qui vomiront alors notre système actuel.

(2) L’humain est en même temps en train de découvrir qu’il n’est pas une machine biologique, qu’il a une âme reliée à bien plus grand que lui, que sa conscience a un potentiel considérable de guérison et de libre arbitre et que le futur en lien avec ces révélations est tout à fait extraordinaire et passionnant. Nous allons en conséquence changer nos modes de vie, mais mon sentiment est que nous allons devoir traverser la « nuit noire de l’âme de l’humanité » dans les années qui viennent, avant que le « futur relié » ne parvienne à réellement s’imposer.

Entretenir la joie dégagée par (2) plutôt que la peur ou la haine provoquée par (1) sera la solution pour sortir de cette nuit noire, qui sera noire parce que les conséquences négatives des révélations relatives à (1) devraient mettre longtemps à se résorber, surtout chez ceux qui tomberons de haut

Mes conseils pour une bonne traversée sont de visualiser (2) comme un nouveau futur et de laisser tomber (1) comme un ancien passé. En pratique, je conseille les mots clés suivants: autonomie, résilience et solidarité, dans le changement de mode de vie qui va s'imposer.

SVP, veuillez donc garder pour vous vos « révélations négatives » et ne pas les citer en commentaires, merci de votre compréhension. Chacun doit faire son chemin à son rythme en découvrant les choses par lui-même.

27/04/2020

Le futur a l'air con...



La crise en cours (plus totalitaire que sanitaire) nous a laissé entrevoir (par un effet grossissant et en accéléré) un futur sécuritaire administratif et technologique assez inhumain (dans le droit fil du transhumanisme des GAFA).
Mais en mettant ainsi "provisoirement" en scène ce futur dystopique ubuesque, en accélérant des processus despotiques déja en cours ou en révélant des projets plus ou moins cachés, cette crise pourrait et devrait produire un effet inverse de rejet devant ce qui ressemble à un cauchemar orwellien.

Ceci du fait d'une prise de conscience de ce qui nous attend si l'on ne change pas de direction.

*


Réflexions de Philippe Guillemant sur ce sujet et sur la façon dont certains humains se mettent au service d'un tel projet.
Il s'agit ici plus particulièrement du projet ID2020 de Bill Gates : "vaccination pour tous avec implants".
(cf puces RFID)

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"Avec une telle technologie, ce n'est pas seulement la localisation et l'analyse des comportements via la détection des mouvements que vous mettez entre les mains des ingénieurs, mais ce sera probablement aussi la détection des émotions et toutes sortes de choses intimes.

Comme je le disais dans "Le pic de l'esprit" page 274, si une puissance financière ici incarnée par Bill Gates en arrive à proposer ce genre de technologie inhumaine, ce n'est pas parce qu'elle est fondamentalement "méchante" (je suis sûr que Bill Gates a de bonnes intentions dans son système de croyances), mais c'est à cause de la manière dont se construit le futur.

Plutôt que de parler de dynamique du système extrêmement complexe que représente le futur en train de descendre vers le présent, j'ai préféré parler dans mon livre d'énergies descendant du futur incarnées par des entités ou relais d'informations. Il s'agit là de formes pensées qui lorsqu'elles sont répétées s'agglutinent en "égrégores" et qui lorsqu'elles sont vraiment très énergétiques finissent par acquérir une autonomie ou si vous préférez un indéterminisme qui attire de véritables entités.

Ces entités sont donc les énergies d'un futur qui cherche à s'installer dans le présent. Elles trouvent des relais chez toutes les personnes conditionnées (non reliées) qui ont le pouvoir de réaliser ce futur.
Elles agissent sur leur système de croyances exactement de la même façon qu'une addiction agit sur le cerveau de l'alcoolique qui ne peut s’empêcher de boire. Les catholiques appellent cela des "tentations".
Ces tentations, qu'elles soient addictives ou animées d'une volonté de contrôle de l'humanité, nourrissent toujours une autre volonté que celle de l'individu concerné s'il était toutefois resté lui-même.

C'est une loi de la physique de la conscience. Dès que vous n'êtes pas connecté à votre soi ou tout au moins centré ou aligné, vous risquez de servir de robot ou de nourriture à une influence extérieure. C'est ce qui est arrivé à Bill Gates.

Ce n'est donc pas de sa faute, c'est de la notre: nous avons pendant des décennies pensé que nous étions des machines et cela a formé dans notre futur des énergies qui veulent nous améliorer en tant que machines. Il faut aussi mentionner l'excitation de la peur et du besoin de sécurité, qui produit dans le futur les façons d'y répondre selon le même mécanisme et là ce sont tous les pouvoirs en général qui sont concernés par la manipulation.

Ce qui est génial dans ce confinement, c'est qu'il met au grand jour tous les plans de l'ancien futur vers lequel nous n'allons donc manifestement plus, sans quoi ils n'auraient pas été aussi facilement dévoilés.

L'ancien futur a vraiment l'air con, maintenant."

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15/02/2020

Guillemant: A quoi sert la conscience?

02/03/2019

Se souvenir du futur

Philippe Guillemant a écrit une préface pour le livre "Se souvenir du futur" de R. Leterrier et J. Morisson.

Celle-ci est en libre accès sur son site.

Préface:

Se souvenir du futur ? Quelle drôle de suggestion, à première vue, plutôt sympathique au demeurant, mais qui pourrait vite faire passer celui qui l’agite pour un dingue s’il n’a pas l’air de plaisanter. Car, évidemment, comment se souvenir d’un futur qui n’a encore jamais été vécu ?

Il faut aller chercher plus profond, sous la logique trompeuse que les mots peuvent transporter lorsqu’on ne détecte pas que leur contexte implicite de pensée est erroné, pour comprendre le bien fondé de cette suggestion. Autrement dit, il faut sortir de la boite du mental, aveuglé par une croyance qui donne l’impression que cette proposition est fausse, pour comprendre, à la lumière d’une réalité plus juste, qu’il s’agit au contraire d’une profonde vérité.

De grands esprits comme Einstein ou Nietzsche l’ont fait, en remettant en question notre vision d’un futur qui n’existe pas encore. Ils se sont positionnés dans la perspective d’un futur déjà réalisé, c'est-à-dire déjà présent quelque part à nous attendre. Nietzsche est même allé jusqu’à affirmer que « notre avenir exerce son influence sur nous, même lorsque nous ne le connaissons pas encore », c'est-à-dire en l’absence d’un souvenir du futur. Car, selon lui, « c’est notre avenir qui détermine notre présent ». Si Einstein n’est pas allé aussi loin, aujourd’hui, ce sont d’illustres physiciens qui abondent dans le même sens, en affirmant que le futur et le passé ont le même statut et que les lois de la physique fonctionnent dans les deux sens du temps, ainsi que la causalité.

Si cette nouvelle vision spatiale du temps n’atteint pas encore toutefois un véritable consensus en physique, au point de sensibiliser le grand public ou la politique, ce n’est pas tant faute d’arguments en sa faveur - lesquels abondent de toutes parts* - que parce qu’elle se heurte à l’inertie d’un système enfermé par des dogmes qui perpétuent l’ancienne croyance, celle d’un temps qui présiderait à la création dans le présent de notre futur immédiat.

Si l’on sait, au contraire, relativiser ces dogmes, alors la physique toute seule nous conduit devant l’évidence que notre futur ne nous attend pas pour se structurer en notre absence, et la seule question qui subsiste réellement est de savoir dans quelle mesure il pourrait ne rester que partiellement configuré, et donc encore susceptible de nous laisser une part de libre arbitre.

Je ne vais pas développer dans cette préface les réponses à cette question, que j’ai proposées dans mes propres livres et conférences** et qui se résument sous l’intitulé de « théorie de la double causalité » ou encore de « théorie de l’espace-temps flexible ». Car si les auteurs de ce livre m’ont demandé de la rédiger, c’est justement parce qu’ils s’appuient sur cette théorie et qu’ils l’ont reformulé à leur manière et avec grand talent dans leur livre.

Avant d’entamer sa lecture, je m’attendais d’ailleurs à n’y découvrir que des idées avec lesquelles j’étais déjà familiarisé, qu’il s’agisse des miennes ou de celles des auteurs que je pensais déjà connaître car j’ai déjà eu de nombreuses discussions avec eux. Quelle n’a donc pas été ma surprise de me retrouver passionné par sa lecture, au cours de laquelle chaque page m’a apporté un nouveau regard sur le futur paradigme que nous enrichissons ensemble.

Je me suis même senti parfois dépassé par le degré de maturation de mes propres idées auquel les auteurs sont parvenus et que Romuald, en particulier, a pu acquérir grâce à sa pratique, inspirée en premier lieu de sa propre transformation intérieure liée à un changement de vie et, en second lieu, par les stages qu’il a organisé et durant lesquels il a tenté de faire vivre aux participants les fameuses boucles de rétroaction temporelle dont il est question dans cet ouvrage.

Il m’a personnellement fallu des années pour intégrer ce concept que la présence du futur implique que nous puissions, d’une certaine manière, jouer avec lui, car, entre la compréhension intellectuelle que j’avais de cette possibilité à l’origine et l’intégration intuitive et émotionnelle qui s’en est suivie peu à peu au cours des années, il y a un fossé difficile et long à traverser pour la grande majorité d’entre nous. Il me semble donc utile de revenir là-dessus pour faciliter l’intégration des informations à la fois puissantes et fascinantes qui sont données dans ce livre.

La faisabilité d’une boucle de rétroaction temporelle mettant en jeu des relations à double sens entre présent et futur repose sur cinq prémisses de la théorie de la double causalité que l’on peut résumer ainsi: (1) notre futur est déjà réalisé, (2) il peut changer, (3) l’intention excite un nouveau futur, (4) celui-ci influence le présent, (5) l’attention le fait rentrer dans la réalité.

Et le tour est joué, pourrait-on dire si c’était aussi simple ! Bien évidement, ça ne l’est pas, car deux facteurs contribuent à rendre tout cela très délicat : d’une part, les conditionnements qui nous enferment en nous empêchant d’exercer le libre arbitre que ces boucles temporelles impliquent et, d’autre part, le fait qu’elles s’inscrivent dans une durée plus ou moins longue au cours de laquelle il sera indispensable d’avoir lâché prise, c'est-à-dire littéralement oublié que l’on était en train de jouer avec son futur.

La meilleure façon, à mon sens, de comprendre mentalement la possibilité que nous puissions jouer avec notre futur est de prendre l’image du GPS. L’ensemble de nos futurs probables, aujourd’hui décrit par la physique sous la forme d’un multivers quantique, peut être visualisé sous la forme d’un territoire à explorer durant la randonnée que constitue tout le reste de notre vie. On peut y adjoindre la métaphore de l’arbre de vie qui va correspondre à l’ensemble des chemins qui rendent possible la traversée de ce territoire. On peut alors représenter notre futur déjà réalisé au sein de ce territoire par le tracé d’un GPS qui nous dévoilerait les chemins que nous avons à emprunter pour atteindre une destination… qui nous échappe encore, et c’est bien là le problème.

Le conditionnement dans lequel nous sommes enfermés n’est alors rien d’autre que la tendance que nous avons à suivre naturellement les instructions qui nous sont données par le GPS. Et la difficulté que nous pouvons avoir à jouer avec notre futur, faute de savoir lâcher prise, n’est rien d’autre que notre incapacité à ressentir pourquoi, à certains croisements, nous gagnerions à ne pas écouter notre GPS, pour emprunter une autre voie que celle qui nous est indiquée.

Mais, pour refuser d’écouter la dame qui nous dit d’aller tout droit, en tournant par exemple à gauche, il nous faut à priori une bonne raison. Cependant, est-ce bien la raison qui devrait intervenir dans cette affaire ? Certainement non, car la raison exige l’intellect, or ces deux aspects du mental sont, tout comme le cerveau, prisonniers du temps, c'est-à-dire sous le contrôle de la dame qui a déjà prévu toutes les réflexions que nous pourrions nous faire devant toutes les bifurcations, en vertu du déterminisme cérébral qu’elle incarne et qui affecte toutes nos pensées, ne nous laissant plus qu’un libre arbitre illusoire.

C’est donc autre chose que le cerveau ou le mental qui doit intervenir dans la perspective que notre futur puisse changer parce qu’on parviendrait à transgresser les instructions de notre GPS. Et c’est bien évidemment la conscience elle-même, en tant qu’entité tout à la fois corrélée au cerveau mais bien distincte de lui, qui pourrait réaliser cette transgression, à condition d’apprendre à se débarrasser des trois sources de conditionnement mental (les croyances), émotionnel (les jugements) et énergétique (l’égo) qui permettent à notre GPS de bien stabiliser son tracé dans notre espace-temps futur.

Les auteurs expliquent très bien dans ce livre comment parvenir à cet apprentissage, sans oublier d’analyser l’exemple de l’échec que constitue le nouvel âge lorsqu’on le sous-estime en privilégiant le business juteux que l’on peut faire à partir de l’idée que « notre conscience crée notre réalité », ce à quoi l’on ne peut que rétorquer : si c’était aussi simple ça se saurait.

Le potentiel de la conscience est donc sévèrement malmené, entre, d’un coté, le paradigme mécaniste qui imprègne encore la science aujourd’hui et, de l’autre coté, le besoin de faire du business sur ce potentiel humain, ce qui conduit, là aussi, à le dénaturer. Il semblerait que l’humanité soit enfermée dans une sorte de « règne du mental » agissant comme un véritable cercle vicieux qui la confronte à l’échec dès qu’elle tend à éveiller sa conscience.

Conscient de cet enfermement et de la nécessité de briser ce cercle vicieux, c’est en véritable « guerrier de la conscience » que Romuald Leterrier avance les concepts de « conscience rétrocausale » ou de « tectonique de l’espace-temps », pour faire apparaître, telle une évidence, l’art de provoquer les synchronicités dont il est question ici. Et Jocelin Morisson de profiter de chaque fissure engendrée par son acolyte pour y introduire une sorte de produit de la connaissance qui achève de la propager. J’ose croire que le lecteur ressentira la même impression jouissive que celle que j’ai eue en ayant terminé la lecture : ils ont réussi à faire tomber le mur !

Pour donner, en tout cas, le maximum de chances au lecteur d’aboutir à la même sensation libératrice que moi en fin de lecture, je vais maintenant procéder à quelques remarques afin que sa lecture ne s’arrête pas prématurément en si bon chemin.

Tout d’abord, que le lecteur un tant soit peu rationaliste ne se hérisse pas en entendant parler de communication avec l’esprit des plantes, car si notre futur est déjà là quelque part dans l’invisible à nous attendre, alors qui pourrait prétendre connaître sa structure au point d’affirmer qu’elle ne saurait, par exemple, être peuplée d’esprits ? Mais qu’entend-on déjà ici par « esprit » ?

J’avertis ainsi le lecteur que le simple mot « esprit » pourrait chagriner - parce qu’il ne peut, selon lui, signifier rien d’autre qu’un concept religieux ou irrationnel - qu’il convient de redéfinir ce terme comme désignant une structure d’informations plus ou moins autonome et appartenant à l’invisible (dans un sens élargi au vide lui-même), qui jouerait un rôle aussi important dans la construction du réel à partir du futur que celui des tourbillons, tornades ou cyclones dans notre météorologie quotidienne. J’entends donc ici un rôle essentiellement « dynamique » qui serait relatif à une mécanique atemporelle de l’espace-temps, qui pourrait être décrite par une physique du futur ayant appris à modéliser son évolution hors du temps: un sujet dont les physiciens découvrent, dès aujourd’hui, la pertinence et commencent doucement à aborder en faisant appel, par exemple, à des dimensions supplémentaires ou à des modèles de gravité quantique.

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J’aimerais aussi prévenir le lecteur que la tentative faite dans ce livre de clarifier les concepts liés à l’interaction de notre conscience avec notre futur est inévitablement trop simplificatrice, risquant ainsi d’amener à transformer en règles ou recettes les séduisantes schématisations de ces concepts. Or, comme je l’ai déjà rappelé précédemment, le mental qui adore les recettes est un perturbateur dans cette affaire, si ce n’est une source de confusion. Autant nous avons besoin du mental pour comprendre rationnellement que notre conscience peut agir sur la dynamique de notre espace-temps, autant nous avons besoin de nous en débarrasser pour entrer dans une réelle dynamique de l’expérience qui ne soit pas biaisée par le moindre raisonnement du mental.

Résumé en une petite phrase, voici ce qu’il convient de retenir ici : il faut aider le mental à se débarrasser du mental. Ce livre doit ainsi être compris comme fournissant cette aide. Le lecteur qui voudrait aller plus loin et appliquer à la lettre les principes dévoilés dans ce livre risque de faire la même erreur que celui qui voudrait apprendre à faire du vélo en partant de la théorie qui stipulerait que l’on ne doit pas appuyer sur une pédale avant d’avoir relâché la pression exercée sur l’autre : si cela peut permettre une première impulsion maladroite mais utile, cela devient ensuite, évidemment, le meilleur moyen de se casser la figure. Car il ne s’agit pas d’appliquer une recette, mais de débloquer le mental, afin qu’il lâche prise et ne perturbe pas le corps avec la moindre croyance.

Cette remarque s’applique à l’interprétation du sous-titre même de ce livre qui nous propose d’apprendre à « créer des synchronicités pour choisir son avenir ». Il importe de préciser que, de tout temps, l’homme a, sans le savoir, toujours créé des synchronicités pour choisir son avenir. J’ai moi-même fini par comprendre, a postériori, en m’étonnant de la façon dont ma carrière avait dépendu de hasards, que non seulement les meilleures de mes innovations avaient été orientées par la synchronicité, mais aussi que les meilleures de mes idées avaient été introduites dans mon cerveau. Qu’il s’agisse de synchronicités ou d’intuitions, nous sommes là en face d’informations en provenance du futur qui débarquent par surprise soit dans l’environnement, soit à l’intérieur du cerveau, une intuition n’étant, en fin de compte, qu’une synchronicité purement mentale.

La proposition de ce sous-titre est donc déjà appliquée par les personnes qui ont l’habitude de prendre en compte leurs intuitions, ou signes chargés de sens, pour faire leurs choix; et, ce qu’il est important de noter ici, c’est que ces choix devenus habituels sont, en fin de compte, automatiques, comme si le libre arbitre était vraiment une illusion, même lorsqu’il met en jeu des informations du futur.

On pourrait alors ne plus rien y comprendre au point d’acter que « les voies du futur sont impénétrables », car même lorsqu’on se met à l’écoute de ses intuitions ou que l’on s’éveille aux « signes » de l’environnement, une fois débarrassé du mental, on se positionne sous la coupe d’un nouveau déterminisme qui provient, cette fois, du futur et qui, tenez vous bien, est parfaitement capté par la dame de notre GPS, qui se met alors à nous indiquer le parcours choisi par la synchronicité afin de nous conduire à notre nouvelle destination.

Le libre arbitre n’existerait-il donc pas ?

En apparence seulement, car c’est le contraire qui vient d’être mis en évidence: qui pourrait, en effet, croire qu’un futur construit sous l’égide d’un mental conditionné par la pseudoscience matérialiste devrait être le même que celui qui procède par l’écoute des intuitions ou synchronicités ? Devant les bifurcations, des choix différents sont bel et bien effectués, et il faut se rendre à l’évidence que le fait qu’ils soient automatiques ne va pas à l’encontre du libre arbitre. Les véritables choix sont simplement déjà faits, hors du temps des bifurcations.

Si, pour le mental prisonnier du temps, il est clair que ces choix et bifurcations n’existent pas, pour la conscience éveillée à la réalité que passé et futur sont tout entiers inclus dans le présent, la question ne se pose même pas, car son « épaisseur de temps » devient tellement large une fois éveillée, que la richesse de toutes les possibilités de son arbre de vie lui apparait hors du temps comme évidente. Elle se retrouve, en effet, dans la même situation qu’un randonneur disposant d’une carte géographique du reste de sa vie : une carte remplie de souvenirs du futur ! La conscience n’a plus qu’à poser un regard plein d’amour sur les souvenirs qu’elle désire particulièrement revivre, et la dame fait le reste.

Philippe Guillemant, novembre 2018

Pour en lire plus: http://www.editions-tredaniel.com/se-souvenir-du-futur-p-...

* Voir par exemple les fameuses communications de Mathew Leifer et Huw Price sur la rétrocausalité quantique ou les publications d'illustres physiciens comme Yakir Aharonov et Holger Bech Nielsen: Y Aharonov et al, " Accomodating retrocausality with free will ", Quanta 5, 56-60, 2016 & H.B. Nielsen, " Influence from future, arguments ", arXiv :1503.07840, 2018

** Voir http://www.guillemant.net

 

 

31/12/2018

L'espace temps flexible...

Si vous avez déja réfléchi à la question ,

Philippe Guillemant précise ici sa vision du monde non déterministe...

Futur déja réalisé compatible avec le libre-arbitre.

Espace-temps flexible, fluide.

Je l'ai toujours ressenti comme ça personnellement. :o) 

Un destin automatique (déterminé) mais dont on peut se libérer (par la prise de conscience et la spiritualité).

Comme la respiration naturellement inconsciente mais dont on peut prendre le contrôle en en prenant conscience.

12/01/2018

L'espace quantique dans la Revue Kaiten...

Un article sur la physique quantique avec notamment une interview de Philippe Guillemant dans le hors série N°10  de la revue Kaizen

 

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                                    Voir la suite ici

Et la revue n°10 de Kaizen: Souffle quantique ici