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20/03/2020

Andrà tutto bene.


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"Je vous écris d’une ville coupée du monde. Nous vivons ici dans une parfaite solitude qui n’est pas le vide. Nous prêtons chaque jour un peu moins attention à ce que nous ne pouvons plus faire car Venise, en ces jours singuliers, nous ramène à l’essentiel. La nature a repris le dessus. L’eau des canaux est redevenue claire et poissonneuse. Des milliers d’oiseaux se sont installés en ville et le ciel, limpide, n’est plus éraflé par le passage des avions. Dans les rues, à l’heure de la spesa, les vénitiens sont de nouveau chez eux, entre eux. Ils observent les distances, se parlent de loin mais il semble que se ressoude ces jours-ci une communauté bienveillante que l’on avait crue à jamais diluée dans le vacarme des déferlements touristiques. Le tourisme, beaucoup l’ont voulu, ont cru en vivre, ont tout misé sur lui jusqu’à ce que la manne se retourne contre eux, leur échappe pour passer entre des mains plus cupides et plus grandes, faisant de leur paradis un enfer.
Venise, en ces jours singuliers, m’apparaît comme une métaphore de notre monde. Nous étions embarqués dans un train furieux que nous ne pouvions plus arrêter alors que nous étions si nombreux à crever de ne pouvoir en descendre! A vouloir autre chose que toutes les merveilles qu’elle avait déjà à leur offrir, les hommes étaient en train de détruire Venise. A confondre l’essentiel et le futile, à ne plus savoir regarder la beauté du monde, l’humanité était en train de courir à sa perte. Je fais le pari que, lorsque nous pourrons de nouveau sortir de nos maisons, aucun vénitien ne souhaitera retrouver la Venise d’avant. Et j’espère de tout mon coeur que, lorsque le danger sera passé, nous serons nombreux sur cette Terre à refuser de réduire nos existences à des fuites en avant. Nous sommes ce soir des millions à ignorer quand nous retrouverons notre liberté de mouvement. Soyons des millions à prendre la liberté de rêver un autre monde. Nous avons devant nous des semaines, peut-être des mois pour réfléchir à ce qui compte vraiment, à ce qui nous rend heureux.

La nuit tombe sur la Sérénissime. Le silence est absolu. Cela suffit pour l’instant à mon bonheur.
Andrà tutto bene."

Arièle Butaux

19/03/2020

Astrologie en cours et panique à bord. Enjoy!


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Moi j'attends la fin, pour me prononcer.

***


Ciel à venir

Le déploiement progressif de la trouble conjonction Saturne-Pluton-Jupiter-Mars de cette année 2020 semble coïncider assez scrupuleusement avec les divers événements en cours, dont l'épidémie de Coronavirus qui prend toute la lumière, par la panique qu'elle engendre et les décisions qui s'en suivent.

Cela a vraiment pris forme le 12 Janvier et cela devrait atteindre un "premier paroxysme" du 20 au 23 mars (la planète Mars allant de Jupiter à Pluton, et Saturne rentrant en Verseau),
et un second vers le 30 mars , (Jupiter transitant Pluton, et Mars Saturne).

Mars active et Jupiter amplifie, mais la présence au devant de Neptune en sextile en Poissons, justifie l'optimisme que je ressens et qui fait qu'à partir de décisions et situations négatives, on pourra déboucher au final sur de grandes avancées positives.

J'attends donc ce week end pour y voir plus clair.
Cela pouvant se traduire diversement, par une aggravation de l'épidémie, le choc d'une de ses conséquences sur un autre plan voire même un tout autre évènement venant s'y ajouter.

Plus tard, on verra comment Neptune servira de porte de sortie bienveillante à cette crise.


***



On est maintenant installé dans un confinement global,
confinement qui a reçu la caution de scientifiques (auxquels je ne confierai pas mes enfants personnellement)
mais plus étrangement le consentement de 95% de la population (sondage à vérifier).
La fabrication du consentement a fonctionné.

Quoi qu'il en soit, j'appartiens aux 5% restants.


Ce confinement aura pourtant paradoxalement de nombreuses conséquences très heureuses:
-la diminution de la pollution et des accidents (c'est déja le cas en Chine, où une étude suggère que le virus a tué environ 3500 personnes mais en aurait sauvé autour de 50000).
-du temps précieux passé en famille.
-un changement des habitudes (idéal pour changer de voie ou une prise de conscience)
-du temps libre (et parfois même rémunéré)
(on a vu les italiens chanter ensemble depuis leurs balcons)
etc..

Une sorte de jeûne, ou de "reset" avant la réinitialisation du système.
Un temps mort profitable.

Une pause dans le planning du capitalisme dévastateur. C'est exceptionnel !

Mais ce n'est hélas pas cela qui a présidé à sa mise en place.
Rien ne justifie de confiner des gens bien portant préventivement, c’est juste un abus de pouvoir d’ordre totalitaire.
D'autant plus que les porteurs du virus (sains ou malades) ne sont ni dépistés, ni soignés.
(Mêmes les infirmières à l'hôpital ne sont pas toutes testées.)
Scientifiquement ça ne tient pas la route. Les faits et l'histoire le démontrent clairement.
Cela révèle surtout l'incompétence et la panique de celui qui prend une telle décision.
Ou le vertige devant l'exercice d'un pouvoir absolu.
Pouvoir punitif cherchant à nous infantiliser, comme l'obligation ridicule de se déplacer avec un papier justifiant ses sorties le montre.On nous traite là en écoliers mineurs dépendants.
La seule décision justifiée et efficace (on le voit d'ailleurs par l'exemple de la Corée du Sud ) c'est détecter les porteurs du virus (sains ou malades), les isoler et les soigner.
Le confinement est alors individualisé ou localisé.Isoler tous les autres est inutile et superflu.
Il n'y a pas d'autre stratégie démocratique et scientifique, à ma connaissance.



Bon, c'est fait. Soit!
Nous sommes en quarantaine, le monde est en crise et/ou en vacances.
Donc passons là-dessus et profitons de tous ces bienfaits!

Quelle belle apocalypse !


Lous



00:29 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lous dilemne |  Facebook

18/03/2020

Réflexions

Les thèses inédites de Philippe Guillemant sur la situation:

"Avec le Coronavirus et ce confinement qui arrive à point nommé pour gérer l'effondrement financier, le hasard a encore une fois bon dos, mais aussi les scientifiques.

Pour justifier n'importe quelle mesure contestable, il est très aisé de se reposer sur un scientifique ou sur un groupe d'experts: il suffit de choisir celui qui fait autorité dans le sens qui vous convient. Avec le Coronavirus on a encore plus facilement le choix qu'avec le climat, car on a pas encore eu le temps de diaboliser les scientifiques qui pencheraient en faveur d'une version (le virus est très grave) plutôt qu'une autre (le virus est bénin).

C'est pourquoi la politique et la science ne font pas bon ménage: lorsque la politique se repose sur la science, c'est soit parce qu'elle se débarrasse de ses responsabilités, soit parce qu'elle a besoin d'un prétexte pour justifier une action dont les motifs doivent rester cachés. Il faut alors trouver d'autres motifs et la science a bon dos pour les justifier.

Et c'est vraiment très facile, puisque les scientifiques ne sont jamais d'accord entre eux. Pire, il n'existe même pas de consensus valable en science. Si vous vous reposez sur un soi-disant consensus, cette espèce de démocratie de la science censée élire la meilleure version de la réalité, vous êtes à peu près certains de tomber sur la mauvaise version.

...


(1) Soit le coronavirus arrive à point nommé pour nous aider à gérer l'effondrement financier et il s'agit là d'un hasard extraordinaire qui a bon dos et qui s'explique en réalité par une influence d'un futur qui ma foi semble nous orienter dans la bonne direction. Se référer à mon post du 12 mars sur la chauve souris pour avoir plus de détails sur cette version.

(2) Soit le coronavirus est le résultat d'un complot positif qui a consisté à créer volontairement un état de panique maitrisé, suivie d'un état de confinement maitrisé, afin d'éviter le chaos et la panique non maitrisés résultant de l'effondrement provoqué par une transformation annoncée de notre système financier.

Je n'ai pas choisi, ces deux versions me séduisant toutes les deux."
/...

Son post en entier ici


***



Le gouvernement américain veut faire décoller l’hélicoptère monétaire. L’administration Trump veut combattre le ralentissement économique provoqué par le coronavirus en distribuant de l’argent directement aux individus. Cette mesure dénommée «helicopter money» s’inscrirait dans un plan de relance d’environ 850 milliards de dollars (817 milliards de francs) qui toucherait également les entreprises, selon les médias américains.

«Nous voulons envoyer des chèques aux Américains immédiatement, pas dans les deux prochaines semaines»
(source)




***


Au moins deux médecins renommés et expérimentés pour appuyer l'affirmation que la crise sanitaire en France est très exagérée (mais évidemment quand on est localement en plein foyer de contagion dans un service débordé, cela semble catastrophique; ceci n'est pas remis en cause, mais c'est très partiel):

-Pr Gilbert Deray Hôpital Pitié-Salpêtrière, Paris
Coronavirus, attention danger, mais pas celui que vous croyez.
Depuis 30 ans, de mon observatoire hospitalier, j’ai vécu de nombreuses crises sanitaires, HIV, SRAS, MERS, résurgence de la tuberculose, bactéries multi-résistantes, nous les avons gérées dans le calme et très efficacement.
Aucune n’a donné lieu à la panique actuelle.
Je n’ai jamais vécu un tel degré d’inquiétude pour une maladie infectieuse et d’ailleurs pour aucune autre.
Et pourtant, Je ne suis pas inquiet quant aux conséquences médicales du Coronavirus. Rien dans les chiffres actuels sur la mortalité et la diffusion du virus ne justifie la panique mondiale sanitaire et surtout économique.
la suite ici


-Le désormais célèbre Didier Raoult (avec qui je ne partage pourtant pas la vision vaccinale et chimique)

17/03/2020

L'épigénétique

L'épigénétique est la discipline de la biologie qui étudie la nature des mécanismes modifiant de manière réversible, transmissible et adaptative l'expression des gènes sans en changer la séquence nucléotidique.

L'épigénétique est donc l'ensemble des actions environnementales qui permettent d'exprimer ou non les gènes héréditaires. Le même gène peut s'exprimer de diverses manières, selon ses interactions.

Une rapide présentation assez claire de l'épigénétique en 3mn (en 2014 par J. de Rosnay).



L’épigénétique est la modulation de l’expression de nos gènes en fonction de notre comportement relatif à au moins 5 éléments de nos vies de tous les jours:

1. Notre alimentation, ce que nous mangeons et notre façon de nous nourrir.
2. Une activité physique appropriée.
3. Notre conscience, notre façon personnelle de gérer le stress , nos pensées (esprit).
4. Le plaisir dans ce que nous faisons (joie de vivre).
5. Un réseau social, amical et familial qui suggère un sentiment ou une émotion (amour).


On voit que c'est là aussi en biologie une remise en cause des notions de déterminisme.
La totalité des caractéristiques d'un individu est-elle contenue dans l'œuf dont il est issu?
On sait maintenant que non, tout est potentiel mais on peut inhiber ou exhiber certains potentiels des gênes en fonction de son comportement et de sa conscience (ses émotions).

à suivre...

16/03/2020

Le calme Raoult


Didier Raoult, né le 13 mars 1952 à Dakar au Sénégal, est un chercheur biologiste et professeur de microbiologie français, médecin de formation, spécialisé en maladies infectieuses.
Il a découvert avec son équipe plus de soixante nouveaux virus dont les mimivirus (ou virus géants).
Directeur de l’Institut Méditerranée Infection à Marseille. (Leurs vidéos.)


Dans le concert d'alarmisme qui augmente avec le pic de contagion, il reste une des voix posées du corps médical.Et non la moindre, bien qu'il n'ait pas été entièrement entendu, en tant que membre du conseil scientifique (de 11 experts) dédié au coronavirus.

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Même si je ne partage pas vraiment sa vision globale de la médecine (trop chimique à mon goût), je respecte et apprécie son recul et son pragmatisme, ça fait du bien.


Interview , source:Marianne

"Il ne faut pas jouer avec la peur"



Marianne : -Que vous inspire l'évolution de l’épidémie de coronavirus ?



Didier Raoult : -Je ne me laisse pas embarquer dans la terreur. Je ne sais pas deviner l'avenir et n'ai pas l'habitude de croire les plus excités qui se sont toujours trompés dans leurs modélisations. J'analyse au jour le jour, et l'évolution, aujourd'hui, c'est quelques 6.000 morts dans le monde, dont environ 3.500 en Chine où l'épidémie se termine, et 127 en France. Je m'étonne qu'on parle de cause très significative de mortalité, et même de crise sanitaire du siècle, alors qu' en 2017 la grippe et les autres infections respiratoires ont tué entre 14.000 et 20.000 personnes en France. Peut-être que les statistiques seront très différentes à la fin de l'épidémie, mais aujourd'hui je ne vois pas de problème majeur en termes de mortalité.

En scientifique, je m'intéresse à ce qui se fait dans le monde pour analyser les solutions associées aux meilleurs résultats. La plupart des pays n'avait pas pris le type de décision annoncée par la France, sauf l'Italie avec un succès pas vraiment remarquable. L'Allemagne n'a pas fait ce choix, la Corée du Sud non plus, bien qu'elle ait été frappée de plein fouet. En Chine, il n'y a que la région de Wuhan qui ait été mise en quarantaine, là où il y a eu 2.500 morts, alors que le virus a été partout ailleurs. Mais la mortalité ne s'est pas étendue. On prend des mesures qui n'ont rien à voir avec celles de pays qui ont contrôlé l'épidémie. Peut-être est-ce un trait de génie, ou pas. Il importe surtout de ramener les choses à leur proportion, car l'interprétation que l'on en donne fini par biaiser complètement la vision.

-Ce virus n'est-il pas particulièrement contagieux et dangereux ?

-La dangerosité, je ne sais pas ce que cela veut dire. Elle dépend de l'échantillon qu'on observe. On peut regarder en Corée du Sud où l'on a fait ce que je préconise depuis le début, à savoir détecter et traiter, ou dans la plus grande folie réalisée au Japon en coinçant des personnes âgées sur un bateau de croisière, un modèle expérimental équivalent à mettre ensemble vingt souris dont quatre infectées pour regarder combien seront contaminées. Dans ces deux cas, la mortalité a été relativement faible, et en Corée elle a été une des plus faibles au monde. Dans notre centre à Marseille, le seul cas mortel est arrivé après avoir erré d'hôpital en hôpital. Une dame de 89 ans qui était en réanimation depuis dix jours quand on l'a diagnostiquée. La mortalité sera évidemment plus importante pour des gens repérés en réanimation qu'avec une détection précoce. Elle va dépendre de la qualité de la prise en charge, et on ne peut tester cette mortalité que si l'on intègre des formes peu symptomatiques.

En Chine, on rapporte des suicides de gens angoissés

Nous avons sans doute fait plus de tests du coronavirus que tous les autres laboratoires français réunis, avec aussi bien des formes modérées que graves. Le PACA est peut-être épargné avec un seul décès, mais ça prouverait que les généralisations sont fausses. Les écosystèmes sont différents entre Paris intra-muros, Wuhan, la région PACA, et il y a le risque non mesurable car chaotique des super-contaminateurs, difficilement compréhensibles. On sait tout de même maintenant mesurer les charges virales et on voit que des gens ont des quantités de virus un million de fois plus importantes que d'autres. Logiquement, cela peut jouer un rôle dans la contamination, avec d'autres choses comme le comportement. Reste qu'aujourd'hui la plupart de nos patients viennent pour des symptômes respiratoires dus à la vingtaine d'autres virus qui circulent, ou parce qu'ils ont rencontré quelqu'un qui avait le coronavirus. Ils sont affolés et veulent savoir s'ils n'ont pas un truc qui va les tuer. La peur est très contagieuse. En Chine, on rapporte des suicides de gens angoissés. Il ne faut pas jouer avec la peur.

-Pensez-vous qu'on s'emballe dangereusement ?

Oui. Quelles sont les données pratiques ? En 2019, il y a eu 2,6 millions de morts dans le monde par infection respiratoire aiguë. A votre avis, quelle influence aura là-dedans le coronavirus ? Avant de modifier sensiblement ces statistiques, il va falloir qu'il tue beaucoup... Et qui sait s'il ne s’arrêtera pas du jour au lendemain sans qu'on sache pourquoi comme le SRAS, ou si l'on en aura fini avec lui en mars, comme habituellement avec la grippe. Tout cela fait que je ne suis pas particulièrement ému, et pense surtout à détecter et à traiter.

-Vous menez un essai clinique sur un traitement par la chloroquine. Avez-vous des premiers résultats ?

Je les présenterai cette semaine, mais n'inventerai rien (voir ici) Le docteur Zhong Nanshan, qui a géré l'épidémie de coronavirus chinois avec succès, a montré que la chloroquine améliore le tableau clinique. En Arabie saoudite, pays où il y a eu le plus de coronavirus ces dernières années, Ziad Memish la recommande également comme traitement de base. Ces deux scientifiques sont les meilleurs au monde pour traiter les coronavirus, mais en France, peut-être parce que l'un est chinois et l'autre arabe, on ne les écoute pas. En Corée du sud, la chloroquine est aussi dans le protocole officiel, comme en Iran.

En France on réclame de fournir des résultats déjà trouvés ailleurs

Les coronavirus viennent de ces pays et ceux qui proposent ce produit les connaissent. Je transmets des choses que d'autres devraient aussi transmettre s'ils lisaient, suivaient ce qui se fait à l'étranger et avaient réalisé que les Chinois sont devenus les plus grands producteurs de science au monde. Je ne fais qu'une étude de confirmation au niveau de la charge virale, seul élément vraiment mesurable aujourd'hui, sauf à inclure des milliers de personnes pour des analyses qui arriveront dans plusieurs mois, sans résultat immédiat.

La charge virale est en revanche facile à regarder et elle répond à la question essentielle de la transmissibilité. Sa durée moyenne est de 12 à 14 jours, et le docteur Zhong a déjà montré que la chloroquine réduisait la persistance du virus à quatre jours. Parmi tous les produits testés, c'est le plus anodin au niveau des effets secondaires, le moins cher, et il a montré au moins partiellement son efficacité. Une bonne nouvelle à annoncer. Cela aura un effet, y compris dans une population où l'on peut redouter de mourir de quelque chose qu'on ne peut pas traiter. Je ne comprends pas qu'on ne s'en serve pas. C'est bizarre à une époque où l'on parle sans cesse de mondialisation. En France on réclame de fournir des résultats déjà trouvés ailleurs.

-On a parlé de "fake news" à propos de vos déclarations sur la chloroquine.

Fin février, j'ai fait une vidéo dans laquelle je présentais les résultats chinois. Elle a été postée et partagée sur Facebook, qui l'a qualifié de "fake news" après avis d'un décodeur du Monde. Le site du ministère de la Santé a alors affiché que je propageais une fake news, mais l'a vite retiré. Et deux semaines après, le ministère me demandait de rentrer dans le conseil scientifique dédié au coronavirus...

-Y êtes-vous entendu ?

J'y dis ce que je pense, mais ce n'est pas traduit en acte. On appelle cela, des conseils scientifiques, mais ils sont politiques. J'y suis comme un extra-terrestre.


13/03/2020

Le sens des maladies




Donner du sens aux événements qui nous touchent, c'est ce que permet une vision spirituelle du monde.

-Les maladies individuelles ne sont pas des anomalies internes survenant par hasard ou des agressions arrivant de l'extérieur, c'est la manière dont notre corps s'adapte à une situation détériorée et essaie de nous montrer comment en sortir.
Nous ne devons pas voir cela comme un ennui ou un désagrément mais comme une occasion positive de nous réorienter.
C'est toujours un message qu'il nous envoie, et des informations sur notre situation.
Cela peut paraître paradoxal mais la maladie a toujours une intention positive à notre égard.

(cf Annick de Souzenelle "Le symbolisme du corps humain", Michel Odoul "Dis-moi où tu as mal", Dr Olivier Soulier 1, etc.)
La compréhension symbolique de la maladie suffit d'ailleurs parfois à ramener l'équilibre.

Dans une optique karmique des choses, cela reste valable (et probablement de manière encore plus profonde ) pour les maladies innées, génétiques, héréditaires.

Quand il s'agit d'épidémie, le message n'est plus individuel mais collectif, et en cas de pandémie, il s'adresse à toute la planète.
Chaque microbe ou virus représente potentiellement une épreuve que l'organisme (ou une population) peut un jour être amené à rencontrer. Ces virus vivent très longtemps au fil des siècles, sans causer aucun souci, et puis un jour, ils s'activent...

-L'astrologie (connaissance des cycles temporels) nous avait prévenu depuis longtemps : 2020 serait le moment d'une profonde crise mondiale liée à un changement de paradigme nécessaire (pour sortir du capitalisme ultralibéral ? commencer à sortir du matérialisme déterministe?)
Depuis la précédente crise financière de 2008, la plupart des économistes sérieux avaient rejoint cette thèse: une crise radicale devenait inévitable, 2008 n'ayant rien résolu. Le modèle économique capitaliste devait changer radicalement, ou s'effondrer comme le communisme soviétique en 89.

Il semble que cette épidémie ait servi de déclencheur pour permettre à la crise masquée (mais bien réelle) de parvenir enfin à s'exprimer, malgré tous les appareils d'état et institutions financières qui essayaient de la nier et de la camoufler.
Et cela d'une manière détournée assez surprenante.
(J'avais plutôt imaginé un virus informatique planétaire mettant à mal le système boursier, par ex, ou un désastre écologique.)

D'où ce décalage entre les faits (qui cependant s'accroissent au fil du temps, comme une prédiction autoréalisatrice) et les conséquences multiples (parfois incohérentes) auxquelles on assiste, mais qui pourraient par "effet dominos" amener à des résultats réclamés en vain depuis des mois par une partie des populations.
Le rôle de catalyseur ayant été joué par les médias* transformant à grand fracas et avant l'heure (dès Janvier) , un virus chinois en virus planétaire médiatique anxiogène (L'Europe devenant l'épicentre en Mars). 2
Un bug dans la matrice.
Apparemment il fallait ça, (une sorte d'électrochoc), pour que le système global prenne conscience qu'il va droit dans le mur.
Est-ce que cela suffira?
Ou bien d'autres crises en 2020, 2021 et 2022 devront-elles prendre la relève pour permettre l'émergence de ce nouveau paradigme devant succéder à cette ère matérialiste déterministe capitaliste?

Tout dépend a priori de la manière dont le monde et les élites au pouvoir, y réagiront, puisqu'ils ont la main sur les décisions cruciales. (Sortir de l'Euro est devenu nécessaire, par exemple.)
Mais, cela dépend aussi et surtout de chacun d'entre nous, selon qu'il cédera à la peur en se laissant infantiliser et déposséder de sa conscience ou selon qu'il gardera son esprit libre et critique.
Car il est question de conscience planétaire, au final.

Selon aussi qu'il prendra la mesure du changement nécessaire, ou une fois le "danger" éloigné, en reviendra à son schéma habituel lié à l'ancien monde.

En pratique, localement les mesures de confinement sont justifiables, évidemment.
On sait que c'est la méthode (et non les vaccinations, inefficaces) qui a mis fin à la variole, par exemple.
Mais les généraliser à des zones non atteintes est déja plus discutable.

Les incohérences et injonctions paradoxales se multiplient; le changement à venir semble prendre des chemins improbables.
Les voies de l'Esprit s'avèrent impénétrables quand il s'agit de sauver la planète.


Le message implicite en tous cas est clair: la mondialisation est une erreur et il faut changer de voie.
On sent déja qu'il y aura très probablement des inflexions en ce sens.
Plus globalement: le capitalisme ultralibéral a échoué, il a rendu notre environnement très toxique, l'air irrespirable (cf symboliquement ces affections pulmonaires). Il faut en tirer les conclusions au plus vite.

La notion d'urgence que suscite cette épidémie est amplifiée et "surjouée" (en toute bonne foi) à mon avis, mais elle trouve un réel écho (qui la valide rétroactivement) car c' est une parabole de l'urgence réelle de la situation planétaire écologique et économique, qui est, elle, relativisée ou tronquée.

Pour les détails, les semaines à venir vont nous éclairer.

Je l'avais déja indiqué deux fois: d'ici au 30 Mars, la tension devrait encore s'exacerber et le passage de Saturne en Verseau amorcer un changement de nature de la prise de conscience se traduisant par des faits spectaculaires.

Cette présentation des choses explique pourquoi je ne crois pas aux diverses thèses complotistes (bien que, sur le rôle de la 5G rien ne soit encore exclu concernant ses effets directs sur l'immunité) qui suggèrent que le système financier voulait lui même déclencher une crise mondiale pour masquer son effondrement.

* aidés en cela par les transports aériens...

Déclic

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