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27/12/2019

Billie Eilish



Billie O'Connell a grandi à Los Angeles dans le quartier de Highland Park, dans une famille d'acteurs et de musiciens irlandais.



À onze ans, elle commence à écrire et chanter ses propres chansons, comme le faisait déjà son frère aîné Finneas O'Connell avec son groupe.

En octobre 2015, elle enregistre la chanson Ocean Eyes (initialement écrite par Finneas pour son groupe) et envoie l'enregistrement à son professeur de danse qui confectionne une chorégraphie pour le titre.

26/12/2019

Le réel ...

Conversation audio entre Etienne Klein et Jean-Marc Ferry, philosophe (titulaire de la Chaire de Philosophie de l’Europe, de l’université de Nantes)

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La conversation scientifique: qu'est-ce-que le réel ?

25/12/2019

Dua 2019




24/12/2019

L'Union européenne?

Article du Saker Francophone sur l'arnaque que constitue l'Union Européenne.
source

"La France verse actuellement par an, environ 23 milliards d’euros à l’Union européenne. Cet argent provient de nos impôts. Sur ces 23 milliards, 14 nous sont restitués sous le nom de « subventions européennes ». Nos impôts sont seulement renommés et nous devons rendre compte de ce que nous en faisons et remercier l’UE en affichant partout son drapeau.



À quoi servent les 9 milliards perdus ? Ils servent, pour l’essentiel, à développer l’industrie et l’agriculture hors de France. Ils servent à favoriser les concurrents à l’agriculture et à l’industrie françaises, donc à fermer des sites en France, à augmenter le chômage dans notre pays ! Ils servent aussi à financer la bureaucratie européenne ainsi que des associations et ONG dont les activités sont antinationales, mais ce n’est pas notre sujet. L’Europe, entité physique, historique et culturelle, est bien entendu totalement différente de l’Union européenne qui est une bureaucratie.

Il faut absolument s’attarder sur le point économique. 9 milliards d’euros, c’est le coût de la construction de 180 hôpitaux, ou de 2 500 usines, ou l’installation de 50 000 exploitations de maraîchage ou de 100 000 artisans, financés sur une seule année ! /
...

/Il ne s’agit pas uniquement du détournement d’impôts prélevés sur les Français et qui sont gaspillés. Il s’agit d’un système pervers qui fait que plus les Français versent d’impôts à l’union, et plus ils donnent de moyens au démantèlement de leur propre pays par le procédé de la concurrence économique. C’est l’exact opposé de l’usage normalement dévolu à un impôt national.

De plus, s’il était besoin, la production effrénée par l’UE, de directives, d’orientations, de normes, a un coût monstrueux sur les entreprises, les particuliers, la société toute entière ; ce coût est évalué au minimum à plusieurs dizaines de milliards d’euros. Rappelons seulement que les normes européennes s’imposent aux entreprises de petite taille, ultra majoritaires, qui n’exportent pas et respectent déjà le système normatif français, de très haut niveau. C’est un nouveau gaspillage. Par contre, on vient sans vergogne vendre en France des produits dont le nom ou la composition ne sont même plus rédigés en français, sans doute pour une meilleure information du consommateur.

En conséquence, bien que les impôts des Français augmentent, les recettes fiscales s’avèrent insuffisantes. La France est sommée de réduire les budgets des services publics et de l’entretien des biens publics, ce qui conduit immanquablement à des problèmes. Les services publics sont alors accusés de coûter cher et d’être inefficaces, et sont bradés au privé, réduisant ainsi le patrimoine des Français et compromettant la solidarité nationale.

Voilà comment, année après année, les Français constatent, impuissants, le gaspillage de leurs impôts dans un processus sournois qui les appauvrit, baisse leur niveau de vie et conduit à une régression sociale généralisée.

Arithmétiquement, plus nous finançons la « construction européenne », plus nous finançons la destruction de notre pays. Pour combattre réellement le chômage et sauver notre pays, il n’existe pas d’autre solution que de quitter l’UE qui fonctionne pour nous comme une escroquerie.

Nous devons retrouver notre souveraineté, le plus tôt possible."

22/12/2019

Le vide en soi

16/12/2019

Obligation vaccinale ?

Le droit au refus de la vaccination

5 nov. 2017 Par Hélène ECOCHARD Blog : Le blog de Hélène ECOCHARD

Rappelons qu'il ne peut exister d'obligation légale de vaccination en France

La vaccination est un acte médical. Et cela a de multiple conséquences, notamment dans le cadre du droit.

Toute obligation vaccinale est contredite par le Code Civil qui reconnaît le "principe de respect de l'intégrité du corps humain".

Toute obligation vaccinale est en contradiction avec l'article 36 du Code de Déontologie Médicale qui précise que "tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes".

Toute obligation est contraire aux arrêts de la Cour du 25 février 1997 et 14 octobre 1997 expliquant l'information aux patients : "Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu'ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés".

Si le pédiatre de votre enfant vous impose une vaccination, demandez-lui la composition du vaccin (la composition à 100%). Vous serez très étonné de voir que lui-même est incapable de vous dire ce que contient le vaccin en totalité ! Par conséquent, vous êtes en droit de refuser l'injection.

Toute obligation serait d'office annulée par la loi du 4 mars 2002, n°2002-303 article 11, chapitre 1er, modifiant l'article L 1 111-4 du chapitre 1er du Titre du 1er du livre de la première partie du Code de la Santé Publique : "aucun acte médical, ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut-être retiré à tout moment".

Il appartient donc à chacun d'accepter ou de refuser, librement cet acte médical.

Toute obligation de vaccination induit, pour tout opposant, la notion de Résistance à l'Oppression, droit reconnu par la Constitution - et celle de la légitime défense - qui ne limite pas le choix des moyens utilisables.

Les politiques imposent au peuple la vaccination. Ils nous font croire que nous n'avons pas le choix, la liberté. Il n'en est rien. Et ils rajoutent même une dose de peur (si vous ne vous faites pas vacciner, vous allez mourir de telle ou telle maladie) ou en vous culpabilisant (si vous ne vous faites pas vacciner, vous allez contaminer des gens sains) !

Bref, ne nous laissons pas manipuler par de sombres individus au service des gros industriels de la chimie et de la pharmacie.

08/12/2019

Le futur est déja réalisé...

C'est une théorie ancienne présente dans certaines spiritualités (celles de l'éveil et de la libération)
(dont aussi une branche non déterministe de l'astrologie occidentale):

Le futur est déja réalisé (programmé) mais on peut le changer...

On retrouve la notion de Destin (divers conditionnements) et de Liberté (libération de tous ces conditionnements sociaux).

Théoricien des systèmes de mémoire informatique , Philippe Guillemant s'appuie sur ses recherches d'ingénieur, des expériences sur les mouvements du hasard (billard) ou la physique quantique pour en donner sa version actuelle.
Qui ouvre le champ scientifique vers la notion d'Esprit.


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Un extrait de la vidéo du site:

01/12/2019

Climato quoi?

Climato écolo radical? climato sceptique ou réaliste?
Quelle est la bonne option?
(Ne pas se laisser embarquer avec le troupeau sans réfléchir, en tous cas.)

***

Écologisme radical, Gilets jaunes et climat
– Interview Tass
Novembre 29, 2019 / Hacène AREZKI
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• Selon vous, comment s’explique le progrès des mouvements écologiques radicaux en 2018-2019 ?

Cela fait déjà bien des années que nous assistons à un lent travail de fond, une ingénierie sociale de longue haleine, visant à fournir un cadre de pensée, ou plutôt de non-pensée. Il s’est agi de former un nouveau sens commun sur les problèmes environnementaux. Quiconque a moins de vint-cinq ans a grandi en plein délire climato-alarmiste, alimenté par les informations officielles, les fictions, l’école… Mobiliser la jeunesse, aujourd’hui largement urbaine dans sa manière d’être (même à la campagne) et largement connectée (donc déconnectée, au moins en partie, de la Nature et de son histoire même récente), n’est dans ces conditions pas très difficile. Surtout si par ailleurs vous continuez l’ingénierie sociale de manière plus ciblée, comme on l’a vu ces derniers mois avec Greta Thunberg et l’association Extinction Rebellion, deux « entités » créées de toutes pièces il y a à peine un an pour poursuivre et tenter de parachever ce qui est dans les cartons mondialistes depuis beaucoup, beaucoup plus longtemps.

La belle histoire médiatique de Greta Thunberg est la suivante : le 20 août 2018, elle décide de manifester seule devant le Parlement suédois, avec son petit panneau incitant à la grève de l’école. Passe alors Ingmar Rentzhog, le cofondateur de la start-up We Don’t Have Time. Il fait des photos et les poste sur sa page Facebook avec un message ému. Par chance encore, le quotidien suédois le plus lu fait un article dans la foulée, quelques heures après seulement. La petite fille isolée que personne ne connaissait devient une vedette en peu de temps. Son message aussi.

Si maintenant nous allons voir de près de quoi il retourne, nous découvrons une tout autre histoire. Les parents de Greta sont des artistes très connus en Suède, avec un réseau consistant. D’ailleurs, la mère de Greta connaissait déjà Ingmar Rentzhog. Ils étaient notamment tous les deux invités au gala d’ouverture d’une conférence sur le climat quelques mois plus tôt. Et, coïncidence encore, la famille Thunberg sortait un livre mêlant crises familiale et climatique seulement quatre jours après la mise en lumière de Greta. On le voit, tout cela était très bien orchestré.

Le réseau de Rentzhog parle pour lui. Il cofonde en 2016 We Don’t Have Time avec des gens qui n’ont rien à voir l’écologie, mais avec la finance et l’industrie, à l’initiative de Global Sharpers, une institution qui travaille pour le Forum économique mondial, qui se réunit tous les ans à Davos. Il est le fondateur d’une société de conseil en communication auprès du secteur financier et membre, entre autres, du Climate Reality Project d’Al Gore, auprès de qui il a reçu des formations.

Rien de bien surprenant quand on connaît un peu le sujet. On trouve à peu près tous ceux qui œuvrent pour le mondialisme dans les associations, fondations, etc., qui prennent une part active dans l’alarmisme climatique et proposent des solutions : le World Resources Institute, la Banque mondiale, USAID, la fondation Gates, les Rockefeller, et bien d’autres. Et même la bête noire des anti-mondialisme, George Soros, via son aide, indirecte cependant, à la création de l’association ONE, très active elle aussi.

Quand Greta Thunberg se rend à Davos pour morigéner le monde de la finance, elle n’a aucune conscience que c’est ce dernier qui l’a conduite là. Elle est clairement l’instrument de ceux qu’elle pense combattre. Greta, qu’on a vu poser avec un drapeau LGBT+ ou encore porter un tee-shirt antifa, représente parfaitement ces gauchistes au service du capital, qui sont là pour pousser ceux qu’ils abhorrent dans la direction que ces derniers veulent précisément prendre.

On peut dire la même chose d’XR, Extinction Rebellion, la nouvelle association devenue très influente en à peine une année. Son cofondateur, Roger Hallam, est un professionnel du militantisme, lié, via l’Open Democracy, à l’Open Society de George Soros, mais aussi à la Fondation Ford et aux Rockefeller. Farhana Yamin, qui fait elle aussi partie de l’aventure, est membre de la Chatham House, think tank financé, notamment, par Shell, BP, Exxon… ! Bref, tout ce petit monde milite d’arrache-pied pour que l’accord de Paris sur le climat soit respecté et que d’importants investissements soient effectués dans l’économie verte (« New Deal pour la Nature »), où il y a beaucoup d’argent à faire, en espérant sauver l’économie d’une crise que de plus en plus de gens voient venir.

• Les taxes écolo ont provoqué le mouvement des Gilets jaunes. On affirme que la transition écologique n’est possible qu’au prix de pertes matérielles, voire de l’appauvrissement d’une partie de la population. Êtes-vous d’accord ?

Le mouvement des Gilets jaunes est né suite à l’augmentation du prix des carburants, après une hausse du baril exacerbée par l’augmentation de la taxation étatique, déjà très importante en France. La taxe carbone a été retirée rapidement après le démarrage des manifestations. Elle est partie intégrante de la transition énergétique, mais les Gilets jaunes ne sont pas une réaction à cette seule taxe carbone. Ils sont le symptôme d’un malaise plus profond et dans laquelle les questions d’argent ne sont qu’un élément. Pour faire vite, disons simplement qu’il est de plus en plus manifeste que les élites françaises et plus généralement occidentales ont fait sécession et sont totalement déconnectées du peuple. C’est la France périphérique, comme l’a appelée le géographe Christophe Guilluy, qui s’est rappelée au bon souvenir de ses dirigeants, les grands oubliés, ceux dont ne parlaient et que ne montraient plus guère les médias d’information ou de divertissement. On a bien vu que rapidement, au sein des Gilets jaunes, il a été question de la légitimité des politiques, des journalistes et même du monde du spectacle. De leur illégitimité, pour être clair. Cela va donc bien au-delà de la taxe carbone.

Depuis la mise en circulation des euros, les prix ont flambé. Notamment ce sur quoi on ne peut guère rogner : logement, énergie, alimentation… Les petits arrangements de l’INSEE pour nous dire qu’il n’en est rien ne trompent personne, car chacun peut constater le contraire. La transition énergétique ne va rien arranger. Il n’est pas question de dire que les choses sont parfaites comme elles sont et que rien ne doit changer, mais on ne peut honnêtement affirmer que la transition énergétique permettra une consommation vertueuse d’énergie, même sans remettre en cause le présupposé du problème que sont censées poser les émissions de dioxyde de carbone. Ce n’est pas par les multiplications des éoliennes sur le territoire de la France périphérique que les bobos urbains pourront tranquillement rouler en voiture électrique. Surtout en cherchant par ailleurs à marginaliser le nucléaire. Il suffit de voir ce qu’il s’est passé en Allemagne, qui s’est engagée dans cette voie : l’énergie éolienne, peu rentable, a fait exploser les prix de l’énergie et il a fallu construire en nombre des centrales à charbon pour pallier l’intermittence et l’insuffisance de la production électrique dite écologique. D’ailleurs, si l’on regarde de près comment et où sont construites ces éoliennes, ce qu’elles produisent et quelle est leur durée de vie, mais aussi la densification du réseau d’acheminement électrique qu’elles impliquent, on ne peut guère les juger comme bonnes pour l’environnement. On peut dire la même chose de l’énergie solaire.

Non rentables, ces sources d’énergie que l’on promeut outre mesure, impliquent non seulement un surcoût à la consommation, mais de plus ne peuvent se développer qu’à grands coups de subventions, qui sont un autre surcoût, caché celui-là. Pour ceux qui ont déjà des fins de mois difficiles, surtout si elles commencent vers le quinze, ou même avant, la transition énergétique est insupportable. Elle pose évidemment moins de problème d’argent à ceux qui la promeuvent, mais qui ne sont eux-mêmes guère dans la sobriété énergétique qu’ils veulent imposer au pauvre Français de base qui va travailler chaque jour avec son vieux diesel.

• Face aux problèmes climatiques, que faire ?


Se demander que faire face aux problèmes climatiques implique évidemment que l’on reconnaît l’existence de problèmes climatiques. Or, rien n’est moins sûr, surtout si c’est là une manière de nommer le réchauffement climatique. Les périodes chaudes de l’histoire ont été justement nommées « optimums climatiques », car elles sont des périodes propices au développement des sociétés. Il faut plutôt se réjouir d’être sortis du Petit Âge glaciaire qui a pris fin au cours du XIXe siècle. Depuis, la courbe de la température mondiale est globalement à la hausse, avec des hauts et des bas. Et actuellement, depuis une vingtaine d’années, la hausse est infime, alors que les émissions de gaz dits à effet de serre n’ont jamais été aussi fortes. Il suffit par ailleurs de consulter les statistiques sur une période suffisamment longue pour constater que les aléas météorologiques que sont les tempêtes, tornades, cyclones, sécheresses, inondations, ne sont pas plus fréquents et intenses qu’autrefois, au contraire. Ce qui est normal, puisque la violence du temps qu’il fait dépend de la différence de température entre basses et hautes latitudes, qui diminue en cas de réchauffement. C’est plutôt un refroidissement qu’il faudrait craindre. Si, comme le pensent la plupart des climatosceptiques (ou climato-réalistes, comme certains se nomment), c’est le Soleil qui est à l’origine du réchauffement récent (directement et surtout indirectement), alors oui, nous sommes face à un problème climatique, car il semble que notre astre diurne entame une phase de calme qui pourrait être intense et longue, même s’il y a encore pas mal d’incertitudes sur ce point. Nous retrouverions alors le même alarmisme que dans les années 1970, quand le refroidissement inquiétait. Mais nous sommes allés tellement loin dans le « réchauffisme » que l’on nous dirait sans doute que c’est là une conséquence du réchauffement : le dérèglement climatique, dont il est déjà tellement question. Une bonne raison d’insister encore plus sur de fausses solutions, dont le but n’est de toute façon pas de lutter contre l’évolution du climat qui, à toutes les échelles de temps et d’espace, n’a jamais cessé de changer.