15/02/2020
Guillemant: A quoi sert la conscience?
02:39 Publié dans Science, Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philippe guillemant, conscience, synchronicité | Facebook
14/02/2020
Croisement de voies
20:40 Publié dans Notes diverses, Photos | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
11/02/2020
Le "Hum"
Vous entendez un bruit persistant de basse fréquence, un bourdonnement qui vous pourrit la vie et dont vous n'arrivez pas à trouver la source?
Cet article de "Sud Ouest" ci-dessous est pour vous... (source)
Qu’est-ce que le « hum », ce mystérieux bruit que seule une partie de la population entend ?
Depuis plusieurs décennies, en divers endroits du monde, 2% à 10% des individus entendent un bourdonnement incessant. On l’appelle « le hum ». Mais d’où vient-il ?
On l’appelle le « hum » (bourdonnement, vrombissement). Ceux qui l’entendent le décrivent comme un bruit sourd, un bourdonnement semblable au moteur d’un camion tournant au ralenti, d’un orage lointain ou d’un avion volant à basse altitude. Il peut se déclencher de manière imprévisible, s’arrêter tout aussi soudainement. Sa durée tout comme son intensité sont variables.
États-Unis, Angleterre, continent européen, Australie : ce mystérieux son est entendu en divers endroits de la planète. Les premiers témoignages remontent aux années 1970–80 et ils se sont multipliés ces dernières décennies. Sur le site LEbruit.com, on en trouve même venant de Nouvelle-Aquitaine.
« Le soir lorsque le bruit est moins intense dans la maison ou quand je suis seule, j’entends un bourdonnement grave, comme si un avion passait à basse altitude au-dessus de ma maison, et quand je sors je ne l’entends plus », raconte ainsi Christelle, qui déclare vivre à Bordeaux. « Cela fait plusieurs semaines que j’entends ce bruit sourd et vibrant, surtout la nuit », raconte également Maryline, qui vit à Thairé, en Charente-Maritime. « Même lorsque je regarde la télé, je n’entends que ce bruit […]. Comme si un avion volait tout bas ou un bruit de camion ».
Si ces témoignages-là sont difficiles à authentifier, il existe des exemples emblématiques ayant fait l’objet de reportages et d’études scientifiques. C’est notamment le cas à Taos au Nouveau-Mexique, à Kokomo dans l’Indiana (États-Unis), à Bristol (Angleterre), ou encore à Windsor (Canada).
Acouphènes, bruit réel ou hallucination collective ?
À chaque fois, le scénario est le même : une partie de la population se plaint d’entendre un bruit persistant. Les personnes qui y sont sensibles affirment que ce son est apparu de manière soudaine et leur vibre dans les oreilles en permanence. Utiliser des bouchons d’oreille ou un casque anti-bruit n’y change rien. Elles continuent à l’entendre en continu, qu’elles soient à l’intérieur ou à l’extérieur et ne parviennent pas à identifier la source de ce vrombissement. Étrange. D’autant que seule une faible fraction de la population est concernée. Alors acouphènes ? Réalité ? Ou hallucination collective ?
De premières études ont été menées à Taos et Kokomo, respectivement en 1993 et 2003, afin de le vérifier (ici). Première certitude le « hum » n’a rien à voir avec des acouphènes. Ces derniers sont des bruits internes (ressentis dans les oreilles ou la tête) qui ne sont pas émis par une source extérieure. De plus, les personnes qui en souffrent les entendent en permanence, où qu’elles se trouvent. Or le « hum » semble en général lié à une aire géographique (une ville, un État). « La plupart des personnes qui le perçoivent ne l’entendent plus lorsqu’elles quittent la zone », selon James P. Cowan, ingénieur en contrôle du bruit qui fut en charge de l’étude menée à Kokomo. La source du « hum » est donc extérieure, localisée. Sachant que la zone peut être très vaste, comme le prouve l’exemple du "Hum de Windsor. Dans ce cas, le bourdonnement ne se limite pas seulement à la ville mais serait aussi entendu à McGregor, distante d’une trentaine de kilomètres, et Cleveland, à plus de 144 kilomètres…
Et même si la fraction de la population capable de l’entendre est assez faible, (entre 2% et 10%), « ces personnes ne sont pas folles », affirme James P. Cowan. « Ce qu’elles entendent est réel ». Au mieux, le « hum » est pour elles extrêmement pénible. Mais dans un certain nombre de cas, il peut même s’accompagner de maux de tête, de nausées, diarrhées, de fatigue et de pertes de mémoire. Reste à savoir d’où il vient. Et c’est bien là le problème.
Un bruit jamais clairement localisé
À Taos, la batterie de mesures réalisées ont mis en évidence un champ électromagnétique élevé , provoqué par les lignes électriques locales, ainsi que des dysfonctionnements d’appareils électriques dans et autour des maisons des « victimes » du « hum », mais aucun signal acoustique n’a été détecté. Conclusion : le « Taos Hum » n’a pas pu être localisé.
À Kokomo, outre un champ magnétique élevé, les scientifiques ont détecté des sons basse fréquence provenant de deux installations industrielles. Une fois l’intensité de celles-ci réduite, certains des habitants qui se plaignaient d’entendre le « hum » ne l’ont plus ressenti. Mais la plupart des personnes affectées ont continué à l’être. Bilan : le « Kokomo Hum » n’a pas non plus été clairement identifié.
Le "Kokomo Hum" n'a pas été clairement identifié.
Le « Kokomo Hum » n’a pas été clairement identifié. Crédit photo : Wikimedia cc-by Cameronloyd03
À Bristol, les médias britanniques ont attribué le « hum » aux ondes émises par l’action des vagues sur le fond marin. Or « cela n’a rien à voir », soupire Fabrice Ardhuin, l’un des auteurs de l’étude sur le sujet. « Ce que nous appelons le bourdonnement de la Terre, ce sont des vibrations qui correspondent au mouvement de la croûte terrestre, qui monte et descend à des fréquences qui se comptent en milli hertz », explique-t-il. « On est loin de quelque chose qui vibre plusieurs fois par seconde. Donc lorsqu’on parle de bruit de la Terre, ce n’est pas au sens audible du terme. » Mais lors de la publication de l’étude, les chercheurs ont employé le mot « bourdonnement », autrement dit « hum ». Beaucoup ont donc sauté sur l’explication « et n’ont rien compris », conclut le chercheur de l’Ifremer. Retour à la case départ donc, et aux coupables habituellement pointés par les experts sur place : les bruits basse fréquence émis par des activités industrielles et/ou les lignes électriques.
Les médias britanniques ont attribué à tort le "Bristol Hum" au "bruit de la Terre".
Les médias britanniques ont attribué à tort le « Bristol Hum » au « bruit de la Terre ». Crédit photo : Wikimedia cc-by Adrian Pingstone
Quant à Windsor, où le « hum » sévit depuis 2011, les experts estiment que les coupables pourraient être les hauts fourneaux du producteur d’acier américain US Steel situés sur l’île Zug, du côté américain de la rivière Détroit. Mais selon le New York Times, la compagnie fait la sourde oreille et les autorités américaines refusent de coopérer, empêchant les experts de pointer la source exacte du « hum ». Comme l’a résumé l’un des scientifiques, le professeur Colin Novak, essayer d’identifier le « Windsor Hum » revient à « chasser un fantôme ».
Autant d’exemples qui montrent que si les experts ont des pistes sérieuses concernant le « hum », ils n’ont pas vraiment de certitudes, si ce n’est que son origine est humaine et que ses sources sont multiples.
Pourquoi le « hum » n’est-il entendu que par certains ?
Faute d’explication définitive, les théories complotistes et farfelues fleurissent sur internet. Mais pour l’heure, l’explication la plus communément admise est celle du géophysicien David Deming, auteur d’une étude globale sur le sujet en 2004. Selon lui le « hum est plus qu’un simple bruit puisqu’il peut aussi se manifester sous la forme de vibrations ressenties à travers tout le corps ».
« L’explication la plus probable est que certaines personnes ont la capacité d’interpréter des transmissions radio à certaines longueurs d’onde (notamment à basse fréquence) comme du son »
Voilà pourquoi tout le monde n’est pas sensible au « hum ». Selon David Deming, seules 2% à 10% des personnes sont capables de l’entendre, ou plutôt le ressentir, puisqu’il ne s’agit pas d’un son à proprement parler. Et le fait qu’il s’agisse d’ondes radio expliquerait aussi pourquoi le « hum » peut se manifester à divers endroits de la planète, comme le montre la carte ci-dessous, qui ambitionne de recenser les occurrences du « hum ». Cela expliquerait aussi pourquoi le phénomène est relativement récent.
Sud Ouest
Et dans la mesure où le « hum » n’est « audible » que pour une petite fraction de la population, à qui il pourrit la vie pour dire les choses simplement, il ne faut pas non plus le confondre avec les autres « bruits » non expliqués qui peuvent survenir de manière ponctuelle.
Un site français existe sur ce thème ici
Et une page wikipédia
01:04 Publié dans Notes diverses, Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hum, son, sonmystérieux | Facebook
10/02/2020
L'expérience de la gomme quantique à choix retardé...
L’ extraordinaire expérience de la gomme quantique à choix retardé est une expérience de physique quantique qui prolonge celles de Thomas Young* (1801) et aussi celle d'Alain Aspect (1980) en y introduisant ce qui semble être une rétroaction dans le temps.
Elle fut proposée en 1982 par Marlan Scully et Kai Drühl.
Pour mémoire "l'expérience des fentes de Young" illustre la dualité onde-particule : les interférences montrent que la matière ( photons, électrons, neutrons, atomes, molécules,) présente un comportement ondulatoire, mais la façon dont elles sont détectées (impact sur un écran) montre leur comportement de particules (discontinues).
1/ Pour bien saisir, il faut d' abord se remémorer cette variante "aux miroirs" de l'expérience des fentes de Young :
Le photon émis a 1 chance sur 2 de traverser A (pour aller par B, en I) et 1 sur 2 de se réfléchir en A (pour aller par C en I).
On ne sait pas quel chemin il a pris dans ce cas , et on observe une figure d'interférence en I. C'est à dire qu'il s'est comporté comme une onde.
Jusque là tout va bien.
2/ Si on ajoute des détecteurs de photons à ce schéma d'expérience pour savoir quel chemin a pris le photon:
Le fait d'ajouter des détecteurs (on sait s' il est passé par B ou par C) fait effondrer l'état quantique, il n'y a plus d'onde, plus d'interférence.
Le convertisseur bas est un appareil qui, à partir d'un "photon en entrée", crée deux "photons en sortie", intriqués, (et de longueur d'onde double par rapport au photon en entrée). Ces convertisseurs ne détruisent pas l'état quantique du photon, car ils ne font pas de "mesure".
Plus précisément 1 des deux "photons de sortie" est détecté, l'autre pas, mais comme ils sont intriqués, on sait par où est passé le "photon d'entrée".
C'est là qu'intervient la redoutable habileté de cette expérience ...
3/ On ajoute des miroirs semi-réfléchissants en E et D devant les détecteurs K et J. Le photon 1 fois sur 2 traverse et se fait détecter. Une fois sur 2 il est redirigé par réflexion vers F, quatrième miroir semi-réfléchissant du montage, la clef de ce gommage quantique.
Qu'il vienne de E ou de B, le photon en F traversera 1 fois sur 2, et sera réfléchi 1 fois sur 2. De ce fait, les deux détecteurs H et G, détecteront des photons venus indifféremment de E ou de D sans que l'on puisse le préciser. Le miroir semi-réfléchissant F , imaginé par Scully est la gomme quantique: il détruit l'information permettant de savoir par quel chemin est passé le photon.
Il est crucial de noter que les photons qui percutent la plaque photographique en I, le font AVANT que leur jumeau intriqué ne parvienne soit en J/K, soit en G/H.
Constatations:
-Une moitié des photons arrivent en K ou J, (chemin connu par la détection) et on vérifie qu'ils n'ont pas donné d'interférence en I. L'autre moitié arrive en G ou H (sans que l'on connaisse leur chemin malgré la détection) et on voit qu'ils ont produit une figure d'interférence en I.
-Le résultat enregistré en I est fixé AVANT que le photon témoin n'ait été détecté en J/K (chemin connu, pas d'interférence) ou en G/H (chemin indéterminé , interférence).
Comment le photon atteignant I peut-il savoir que son jumeau intriqué sera détecté plus tard en J/K ou non ?
Telle est la question essentielle de cette expérience.
Il semble se comporter irréversiblement, à un instant précis (en I), en fonction de ce qui sera déterminé par hasard un certain temps plus tard (en G/H ou J/k), donc dans le futur,.
Page Wiki sur cette expérience.
Une nouvelle version de cette expérience a été réalisée en utilisant des satellites dans l'espace, sur lesquels des photons issus d'un laser ont rebondi.
La distance qu'ils ont parcourue dans l'expérience est de l'ordre de 3.500 km et pourtant, les résultats obtenus sont toujours conformes aux prédictions de la mécanique quantique.
* Pour se remémorer l'expérience des fentes de Young.
blog source
Appendice:
Exemple: interférences à la surface de l'eau
04:59 Publié dans Science, Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
09/02/2020
Technologies venues d'ailleurs
Secret de polichinelle.
En décembre 2017, une enquête du New York Times avait déjà révélé l’existence d’un programme de recherche sur les Objets Volants Non-Identifiés. (Ce programme était financé sur fonds secrets entre 2007 et 2012 à hauteur de 22 millions de dollars par an.)
Il est admis officiellement que la fin des financements publics spécifiques n’a pas mis un terme aux recherches en 2012.
En 2018 le ministère américain de la Défense a déclassifié deux vidéos d’ovnis prises par des pilotes de la Navy et observées par de nombreux témoins à bord du porte-avions.
Lire la suite
(A mettre en perspective avec les avancées technologiques russes en matière de missile.)
source de l'article sur l' INREES (L'inexploré n° 44 Technologie venues d'ailleurs par Aurélie Aimé)
01:21 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
07/02/2020
Hope
21:13 Publié dans Photos | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
04/02/2020
Régime
21:14 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
03/02/2020
Pour une autonomie personnelle en matière de santé...
Si vous êtes hésitant face à l'actuelle dominante médecine du tout chimique, que vous cherchez d'autres moyens - de préférence naturels - pour retrouver la santé, Michel Dogna, célèbre journaliste de la santé naturelle, est une source inépuisable d'informations. Il a l'âme d'un découvreur et déniche pour ses lecteurs une "foultitude" de solutions naturelles alternatives, souvent très efficaces et sans effets secondaires nocifs.
Après avoir fait paraître le petit livret "Comment échapper aux épidémies", où il aborde le toujours d'actualité thème de la protection contre les épidémies il a aussi alors présenté quelques sujets tirés de ses livres devenus des best-sellers: "Prenez en main votre santé 1, 2 & 3".
Au sujet du cancer, il attire l'attention sur les dangers de la chimiothérapie dont l'utilisation entraîne la destruction sélective des cellules à reproduction rapide; or cette cible vise non seulement les cellules cancéreuses mais aussi les cellules sanguines. Il n'y a qu'à voir dans quel délabrement physique les patients ressortent des séances de chimiothérapie.
D'après ce qu'il explique, les statistiques de l'OMS affichent seulement 2,2 % de survie après cinq ans pour l'ensemble des malades traités par cette "thérapie". Les résultats officiels qui annoncent des chiffres très supérieurs viennent de ce que nombre d'interventions sont effectuées sur de faux cancers (par exemple: de simples kystes au sein considérés comme des états précancéreux). Enfin, il déclare que traiter le cancer donne lieu à un commerce, qui est une véritable vache à lait, exploitée sans modération par le système médico-pharmaceutique.
Par ailleurs, Michel Dogna met en garde contre le leurre que, trop souvent, constitue le dépistage, qui n'est qu'un constat de fait (pas toujours juste!) que l'on fait, trop souvent aussi, à tort, passer pour de la "prévention". La vraie prévention, c'est surtout la grande vigilance pour échapper aux pièges mortels des produits alimentaires industriels. Il rappelle à ce sujet l'un de ses articles intitulé "Cadavres immortels", où il mentionne que les intestins des morts sont maintenant tellement bourrés de produits chimiques qu'ils ne se décomposent plus dans les cimetières!
suite ici
Nationalité : France
Né en 1940
Michel Dogna est ancien ingénieur chimiste, Heilpraktiker de l’Université de Saarbrück et naturothérapeute.
Il a enseigné pendant 10 ans la naturopathie holistique au sein de l’institut ISSA, qu’il avait fondé en 1984.
Rédacteur en chef pendant 6 ans au journal « Vérités Santé Pratique », devenu « Soignez-vous » puis actuellement « Pratique de santé », il dirige depuis 2002 le journal mensuel « Horizons Virtuels », devenu « Nouveaux Horizons Santé» en septembre 2005 puis « Le journal de Michel Dogna » en mars 2007 (version papier et électronique), une parution résolument futuriste concernant la santé totale et une nouvelle conscience planétaire.
Site officiel de Michel Dogna:
http://micheldogna.fr/
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