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06/05/2025

Avis (pessimiste) sur l'IA

23/04/2025

BOIRE DE L’EAU

BOIRE DE L’EAU, OUI, MAIS LAQUELLE ET QUAND ?

Jacques Collin, ingénieur, éminent spécialiste de l’eau depuis sa prise de conscience de ses bienfaits en 1989 et auteur de différents ouvrages*, nous livre dans une vidéo publiée en 2012 sur le blog ”Eau Séance iLive”, sa vision éclairée sur le sujet. En voici une transcription modérée.

Quelle eau boire ?

Par le passé, l’eau de consommation était une eau naturelle, directement prélevée dans les puits, sources ou fontaines, en dépit des premiers systèmes d’adduction d’eau qui remontent au moins à l’époque romaine mais aujourd’hui elle ne se résume qu’à :

l’eau du robinet
l’eau en bouteille.

L’eau du robinet.

Si l’eau du robinet est une eau potable, sûre car contrôlée régulièrement elle n’en est pas pour autant bonne pour notre santé. En effet, les traitements chimiques et le chlore en particulier y tuent toute forme de vie par aseptisation et cela ne suffit pas à lui donner des qualités bénéfiques pour notre santé. Il y a au moins trois raisons à cela :

Le chlore va provoquer une destruction microbienne, ce qui est une bonne chose, mais de nombreuses études ont démontré que la destruction des microbes provoque l’accumulation de détritus qui se reconstituent en virus! Le monde viral est un monde silencieux, souterrain, qui sur le long terme peut affecter notre organisme. En traitant chimiquement l’eau du robinet, on tue le microbe mais pas le virus.
La stérilisation de l’eau, quel qu’en soit le procédé, comme les rayons ultra-violets, va induire son oxydation. Boire une eau oxydée va saturer le corps électroniquement (au niveau moléculaire) impliquant une perte de vitalité et des réactions métaboliques préparant des terrains de dégénérescence.
La dureté de l’eau, c’est à dire sa teneur en calcium et en magnésium est aussi un danger pour notre organisme. En effet, le calcium contenu dans l’eau du robinet ne recalcifie pas le corps mais s’accumule dans notre organisme pouvant provoquer des désordres comme la maladie de Paget ou être une cause d’ostéoporose et d’artériosclérose par un durcissement des artères.

Ces trois facteurs entraînent notre corps sur un terrain de dégénérescence. Pour ces raisons l’eau sortant du robinet directement est déconseillée pour la consommation en eau de boisson. En effet, elle provoque l’accumulation de métabolites indésirables que le corps va chercher à éliminer par les urines, jusqu’à ce que atteignant saturation cela provoque une invasion de notre eau intérieure, qui ne peut plus se structurer ou se restructurer et toute l’information de notre corps va se geler. Nos cellules ne peuvent plus communiquer entre elles laissant apparaître des dégénérescences cellulaires.

Les eaux minérales.

Remplacer l’eau du robinet par des eaux minérales n’est pas anodin. Plus il y a de minéraux dans l’eau, plus le corps va avoir du mal à les absorber. De plus l’eau minérale prise à la source n’a rien à voir avec la même eau embouteillée. Dès l’embouteillage, les minéraux se désactivent et floculent et par voie de conséquence ne sont plus assimilables. Tous les minéraux dissous dans l’eau sont par définition des cailloux. Nous sommes des Êtres Humains, des mammifères, et donc nous ne pouvons pas assimiler les minéraux bruts de cette façon. Là encore, les minéraux sont accumulés par notre corps avec à terme la survenue de calculs, problèmes rénaux, etc.

Les eaux hyper minéralisées sont à déconseiller totalement en bouteille. Ce sont des poisons ! Quand on achète des eaux en bouteilles, il faut qu’elles soient les plus pures possible. La pureté s’exprime au niveau des quantités de résidus à sec, elles doivent être d’un niveau minimal. Le seuil tolérable est de 100/120 mg/l maximum. Certaines eaux peuvent atteindre des taux de 2000 à 4000 mg/l, ce sont des eaux lourdes à gérer au niveau de notre organisme, car contrairement aux végétaux notre corps n’assimile pas les minéraux. Les végétaux les captent, les digèrent et les végétalisent, donc pour couvrir notre besoin en minéraux, il ne faut pas boire d’eau minérale mais manger des végétaux qui sont remplis de minéraux organiques directement assimilables par notre corps.

Comment faire si ni l’eau du robinet, ni l’eau minérale ne sont bonnes pour le corps?

Il faut filtrer l’eau du robinet ou trouver des eaux minérales relativement pures en bouteille, idéalement avec un taux de minéralité inférieur à 100mg/l.

L’eau peut être filtrée par un système de charbons actifs, comme les carafes ou colonnes filtrantes qui sont disponibles dans le commerce ou encore subir une filtration par osmose inverse qui redonne une eau pure avec un taux de résidu infinitésimal. Ce dernier système n’a pas l’agrément de tous les scientifiques spécialistes de l’eau qui parfois en déconseillent son usage exclusif comme eau de boisson.

Une fois filtrées, il n’en reste pas moins que ces eaux sont totalement déstructurées au niveau moléculaire, ce sont des eaux mortes. Pour les rendre propre à une consommation quotidienne et leur rendre tout leur pouvoir bénéfique pour le corps humain il faut les restructurer en utilisant soit le principe de l’onde pulsée mise au point par Marcel Violet dans les années 50, qui recrée le potentiel électronique de l’eau (équilibre photons/électrons), soit en utilisant des vortex qui sont des tourbillons (pour dynamiser l’eau de la même façon qu’un torrent le ferait naturellement). L’eau est maintenant purifiée et dynamisée, elle est devenue pleinement assimilable ! Internet regorge de systèmes de dynamisation de l’eau des plus simples et économiques aux plus sophistiqués et moins accessibles financièrement.

Quand la boire ?

Boire cette eau purifiée et dynamisée à jeun va lui permettre d’être diffusée rapidement au niveau cellulaire via le système digestif. La meilleure eau à boire, c’est le matin en se levant. Cette eau va être diffusée rapidement par la voie estomac, intestin et colon et va être immédiatement disponible au niveau cellulaire et du sang.

Il faut réactiver le sens de la soif le matin jusqu’à ce que boire à ce moment devienne un automatisme. Idéalement, il faut boire 30 minutes avant le petit déjeuner.

Ensuite, il faut boire tout au long de la journée, entre les repas et jamais pendant les repas. Il faut s’arrêter de boire 30 mn avant les repas, car l’eau bue en mangeant va contrarier la digestion pour plusieurs raisons :

L’eau bue au moment du repas lave le tractus digestif dans lequel se trouvent les diastases qui sont importantes pour la pré-digestion.
L’eau sera mélangée au bol alimentaire et y sera liée et ne pourra donc pas être utilisée par notre corps au niveau cellulaire et sera rejetée par le système intestinal. Il faut commencer à reboire 2 heures après les repas.

Il est par ailleurs très important de boire en fin d’après-midi car l’eau bue à ce moment va défatiguer l’organisme.

Ce n’est pas un verre d’eau qui va changer quelque chose, mais en suivant ces recommandations avec rigueur et opiniâtreté, on s’aperçoit que beaucoup de choses changent au niveau de notre corps. Cela ne se fait pas au premier jour et dépend aussi de notre charge de toxines. Et surtout, il faut supprimer de nos habitudes de consommation toutes les boissons industrielles.

L’eau est guérisseuse par définition, mais c’est surtout préventif tant que l’on n’a pas passé le seuil du non-retour dégénératif. L’eau agit dans tout le corps, particulièrement au niveau des articulations. Les gens qui ne boivent pas d’eau ont des articulations qui se dessèchent, les vertèbres qui se bloquent….

Boire de l’eau est une vigilance de chaque instant et quand vous l’aurez aquise, votre corps aura les bons automatismes et vous aurez soif tout le temps ! C’est votre corps qui va déterminer de lui-même la quantité[1] d’eau dont il a réellement besoin pour se garder dans la meilleure santé possible. Il ne vous reste qu’à l’éduquer en lui donnant une eau que vous aurez préalablement refabriquée.

* Bibliographie

L’insoutenable vérité de l’eau éditions Tredaniel
L’eau, le miracle oublié éditions Tredaniel
L’eau-delà de l’eau éditions Tredaniel



[1] volume de référence pour une hydratation optimale 30ml/kg/j (toutes boissons non alcoolisées comprises)

02/04/2025

La notion d'observateur

Beaucoup de physiciens n'aiment pas que l'on se serve du terme quantique en dehors du contexte pour le mettre à toutes les sauces. Et on peut les comprendre quand il s'agit de justifier des thérapies oiseuses dans un but mercantile.

Il s'agit pourtant d' un ensemble de concepts qui a été explicité et expérimenté progressivement par la physique (par quelques physiciens du début du XXième ) mais qui peut et doit constituer une source d'inspiration pour quiconque lui trouve une vertu explicative novatrice.
En bref, les principes quantiques n'appartiennent à personne et surtout pas aux physiciens. C'est un bien commun dans le domaine conceptuel, scientifique, mais aussi philosophique, psychologique, spirituel.
(Certains d'entre eux ne font d'ailleurs que préciser et valider expérimentalement des notions déja existantes dans certaines spiritualités.)


Il ne s'agit pas de s' y appuyer comme à un argument d'autorité pour justifier n'importe quel délire. Mais je crois utile en revanche de faire passer ici ou là l'idée que ce monde fonctionne encore sur des principes obsolètes alors que depuis 100 ans on sait que la nature de la réalité n'est pas du tout matérielle et déterministe.
C'est heureusement en train d'évoluer assez vite.


Le débat fut longtemps de savoir si les notions quantiques qui existent au niveau microscopique des particules pouvaient se transposer dans notre monde macroscopique régi par la physique classique. On sait en effet qu'a priori le phénomène de décohérence intervient dès qu'on franchit un certain seuil où les états superposés, par exemple, disparaissent.

Des biologistes ont montré qu'il existe des phénomènes quantiques chez les être vivants au niveau moléculaire (orientation des oiseaux migrateurs, photosynthèse des plantes vertes avec la molécule ATP)
D'autres comme Roger Penrose et Stuart Hameroff pensent que les microtubules cellulaires des neurones pourraient abriter un état quantique superposé qui serait lié à la conscience. Très controversée au départ cette théorie (Orch or pour réduction objective orchestrée) trouve de plus en plus d'appuis inattendus.

***


On sait par exemple qu'une des notions les plus spectaculaires de la physique quantique a été de démontrer que l'intervention d'un observateur influait obligatoirement sur le phénomène observé.

Rien n'interdit d'extrapoler dans cette direction.

08/07/2024

Espace, vide , réalité etc...



Le temps, la décohérence...





L'espace, le vide, etc...

01/06/2024

Le Tore

15/04/2024

Le destin est flexible et modifiable...

"Dans son livre Le grand virage de l'humanité, Philippe Guillemant, ingénieur physicien et spécialiste de l'intelligence artificielle, propose une théorie du temps selon laquelle notre futur est déjà réalisé, mais pas de façon définitive. Selon lui, le futur peut bouger et il existe une théorie du GPS quantique qui permet de l'expliquer."


L'astrologie occidentale (étudiée d'un point de vue épistémologique) m'avait aussi amené à la même conclusion, le destin ou karma est "écrit", par définition, (futur induit par l'hérédité, le passé & tous les conditionnements ) mais il est modifiable par la prise de conscience et le libre-arbitre (qui peuvent libérer du poids du passé).



"Le GPS quantique, une théorie pour comprendre le futur

Selon cette théorie, notre futur est comme un vaste territoire de possibilités, mais à tout moment, le tracé que nous allons traverser dans le futur est déjà écrit. Cependant, il subsiste la possibilité de changer la trajectoire du GPS de deux manières : soit en changeant la destination, soit en ne respectant pas le parcours. Pour l’univers, ce sera pareil. Il aura la possibilité de recalculer dès que nous exerçons véritablement notre libre arbitre.

Le libre arbitre, une notion clé

Cette théorie fait « tiquer » car elle implique que le futur existe déjà, ou en tout cas, est déjà réalisé. Cependant, elle vient du fait que nous avons ancré dans notre cerveau, dans notre éducation, cette conception du temps linéaire qui est fausse. En réalité, le présent n’existe pas. Les calculs et les travaux à partir des horloges atomiques ont montré que les équations qui justifient d’une certaine manière le voyage dans le temps sont justes.

Le futur peut influer sur le présent

La conséquence de cette théorie est que le futur peut influer sur le présent, ce qui a des conséquences très importantes, notamment dans le domaine du développement personnel ou transpersonnel. Selon Philippe Guillemant, cela explique les phénomènes de synchronicité, c’est-à-dire les coïncidences significatives qui semblent indiquer une connexion entre des événements apparemment sans lien."



04/02/2024

Tests inutiles et divers biais scientifiques (2020/2022)

Petit retour en arrière sur les délires scientifiques de 2020/2022

HYDROXYCHLOROQUINE, PAS LA PANACÉE

Par Pierrre Chaillot




Le 22 mai 2020, The Lancet a publié un article à charge contre l’utilisation de l’hydroxychloroquine (HCQ) en concluant à une toxicité folle de ce produit. Les résultats étaient tellement démesurés en termes de létalité trouvée que de nombreux scientifiques se sont levés contre cette étude et il s’est avéré que même les données avaient été forgées de toutes pièces. Cet épisode est désormais connu sous le nom “Lancetgate”. La fraude scientifique a toujours existé, mais celle-ci a brillé par son manque de finesse. Un deuxième article est venu en remettre une couche, prétendant prouver que 17 000 personnes seraient décédées à cause de HCQ, mais en utilisant une formule mathématique fausse ! À ce niveau, certains amis chercheurs commencent à se demander s’ils ne le font pas exprès. Ces différents scandales ont eu pour conséquence de sacraliser l’HCQ comme remède efficace contre la Covid-19 dans un grand nombre d’esprits, dont le mien à l’époque du premier épisode. Le schéma classique du médicament efficace et pas cher, rendu interdit par une collusion entre le pouvoir et Big pharma (ce qui est certainement une des raisons de tout ce cirque). Toutefois, ma compréhension de la crise a changé lorsque j’ai découvert qu’il n’y a pas la moindre définition cohérente de ce qui est appelé “Covid-19”. Il n’y a aucun symptôme spécifique à ce “truc”, et seul un résultat de test est utilisé pour cataloguer un patient dans cette case, quels que soient ses symptômes. On aurait donc trouvé un médicament qui soignerait efficacement tout type de symptôme, ce que l’on appelle : la panacée. Nous avons eu dans l’histoire récente le mercure, puis le pétrole, et maintenant l’HCQ.

Toujours les tests

La molécule a été ardemment promue par le désormais célèbre Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, dont la préconisation immédiate a été de tester tous les individus. On note qu’il mentionne dans son CV être membre du Conseil d’Administration de la Fondation Mérieux. Inversement, Alain Mérieux est membre fondateur du Conseil d’Administration de l’IHU. Or, l’Institut Mérieux est une holding qui possède notamment Biomérieux qui a obtenu très tôt l’autorisation de la FDA de commercialiser ses tests Covid, qui lui ont fait “exploser ses bénéfices”. Il y a un conflit d’intérêt évident à promouvoir l’utilisation massive de tests, tout en étant en étroite proximité avec un fabricant. De surcroît, il y a un réel problème avec ces tests qui ont créé de toutes pièces une épidémie de “cas” en lieu et place de l’épidémie de “malades”, au sens de “personnes présentant des symptômes caractéristiques”, normalement admise comme définition. Or, comme je le montre dans mon livre “Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels”, il n’y a pas le moindre rapport entre un test positif et un malade. Il n’y a juste pas de lien statistique entre les deux concepts lorsque l’on étudie les statistiques du Ministère de la santé. Certaines personnes soutiennent (à juste titre) que ce résultat est dû au fait que les tests ont été majoritairement mal faits, avec un trop grand nombre de cycles. Or l’IHU de Marseille a seulement montré qu’il y a un lien statistique entre le nombre de cycles réalisés en PCR et la “culture virale” (technique consistant à déposer un prélèvement sur des cellules pour observer si elles meurent). Ce lien est loin d’être parfait, mais surtout, les deux techniques n’ont pas de lien avec le fait d’être malade ! Leur étude montre même que plus on trouve de virus, et moins on est malade… Ce résultat est fondamental puisqu’il fait tomber toutes les justifications concernant les mesures coercitives de ces dernières années, mais aussi la prétendue efficacité vaccinale, sans oublier tous les produits miracles pour “guérir du Covid”.

Tests et HCQ

L’IHU de Marseille a diffusé en préprint les résultats d’une étude réalisée à partir des données de 30 423 patients. Elle montre un odds ratio de 0,5 pour les patients HCQ concernant le décès, autrement-dit un risque deux fois moindre de mourir pour les patients de l’étude ayant reçu l’HCQ que pour ceux qui ne l’ont pas reçue. La première limite de l’étude est que seuls 4538 patients de la cohorte, soit 15% ont été traités à l’hôpital. Donc une écrasante majorité des patients était à domicile. Il est impossible de savoir la totalité des médicaments qu’ils ont pris ou non. Cela laisse donc une forte inconnue au modèle. Le point principal qui réfute toute preuve d’efficacité de HCQ dans ce contexte, c’est la définition prise pour “Covid-19”. Ici l’HCQ est dite utilisée pour traiter des “malades du Covid-19”. Or l’article précise “Les données incluses étaient celles de patients âgés de ≥ 18 ans atteints d’un COVID-19 prouvé par PCR quels que soient les symptômes (asymptomatiques ou symptomatiques)”. Il ne s’agit donc pas de gens “malades”, mais juste de gens avec des PCR positifs. On note que cette précision, pourtant fondamentale, a été retirée de l’article final publiée chez Elsevier . Les auteurs insistent d’ailleurs “Plus le traitement est prescrit tôt, plus la durée avec une concentration sanguine efficace (> 1 mg/mL) est longue avant que des complications ne surviennent.” Autrement dit, moins on est malade avant de prendre l’HCQ, moins on est malade après. L’étude confirme que l’HCQ n’est pas un poison, mais n’apporte aucun indice d’amélioration de l’état du patient. Cette analyse transporte le biais majeur: l’absence de définition correcte d’un “malade du Covid-19”. Un résultat de test ne fait pas un malade. Toutes les études, mêmes de bonne foi, font cet amalgame, tout simplement parce qu’il n’y a aucun symptôme spécifique au gloubiboulga appelé Covid-19. Cette étude de l’IHU n’a jamais été attaquée par les covidistes sous cet angle, puisqu’ils utilisent à outrance le même biais ! Dénoncer l’incohérence des tests fait tomber toutes les mesures imposées à la population et toute la politique de vaccination. Le détail complet des odds ratio concernant le décès montre de parfaites évidences. Nous l’avons dit, les patients HCQ présentent un odds ratio de 0,5. Cela signifie que le groupe “sans HCQ” a un risque de décès 2 fois supérieur au groupe HCQ. Du côté de l’âge, le fait d’avoir plus de 89 ans présente un odds ratio de 90 par rapport au fait d’avoir moins de 50 ans, soit un risque de décès 90 fois supérieur. Voilà un odds ratio vraiment très significatif : plus on vieillit et plus on décède ! Le Covid-19 n’a rigoureusement rien changé. On retrouve ici un des grands résultats de cette période : chaque année, il décède en France 600 000 personnes, en écrasante majorité des personnes âgées. On met toujours une cause de décès sur le certificat, mais ce qui nous rapproche tous du décès, c’est de vieillir. Depuis 2020, une grande panique s’est emparée du monde, alors que la moyenne d’âge des prétendus “morts du Covid” est plus élevée que la moyenne d’âge des morts de d’habitude ! On montre juste, avec ce résultat, que distribuer de l’HCQ à des personnes âgées ne les rend pas éternelles non plus.

Un soupçon colossal

Autre élément très significatif : l’odds ratio des non-hospitalisés est de 0,05. Cela signifie que le groupe hospitalisé a un risque de décès 20 fois plus grand que le groupe non hospitalisé. C’est encore une évidence : quand on est hospitalisé, c’est qu’on est vraiment malade. Cela montre d’ailleurs le danger d’utiliser les odds ratio en tant que facteur de causalité. Comme le coup des chapeaux bleus, une conclusion stupide serait de vouloir interdire l’accès aux hôpitaux parce qu’on y meurt plus souvent qu’en dehors ! Ce résultat est toutefois révélateur que l’on n’a pas d’information pertinente sur l’état de santé du patient. Sinon c’est lui qui porterait l’information statistique et pas la case “hospitalisé ou non”. On s’amuse également de voir que la période du 23/11/2020 au 21/03/2021 a un odds radio de 2 par rapport à la période de référence, celle de la prétendue “première vague”. Cela signifie qu’à cette période les patients sont davantage décédés, et c’est pile pendant la vague de vaccination anti covid des personnes âgées. On aurait vraiment aimé rajouter le statut vaccinal, et surtout le fait d’être fraîchement vacciné. Le soupçon est colossal.

Enfin, les auteurs nous donnent les résultats de deux modèles. Dans le modèle qui ne tient compte que de la variable HCQ, l’odds ratio est de 0.16. Cela signifie que le groupe HCQ a un risque de décès 6 fois inférieur au non-HCQ. Or, lorsque l’on introduit les variables de date, d’âge, de sexe et d’hospitalisation, le groupe HCQ a seulement un risque de décès 2 fois inférieur au non-HCQ. Cela signifie que la superbe efficacité de l’HCQ venait du fait que cette molécule a été distribuée en grande majorité à des patients jeunes non-hospitalisés. C’est-à-dire, des personnes qui ne risquent pas de décéder. Les variables cachées faisaient la réelle différence. Nous savons qu’il reste encore au moins deux variables cachées : l’état de santé général des patients (comorbidités) et leur degré de maladie. On ne peut exclure que le peu d’efficacité restant ne soit qu’un artefact de ces deux aspects manquants.

Le biais d’enregistrement

Dans l’article final, d’autres modèles ont été ajoutés complétant les résultats :

Le même modèle que celui que nous avons détaillé, mais réduit aux seuls 4538 personnes réellement hospitalisées. Ce dernier montre des odds ratios quasiment identiques au modèle général. Or, le biais est identique : nous ne savons pas pourquoi ces personnes ont été hospitalisées. Elles ont juste un test positif, mais peuvent être venues pour une raison qui n’a rien à voir avec un problème respiratoire. Il est évident que les personnes les plus fragilisées par la raison de leur venue à l’hôpital, n’ont pas reçu d’HCQ.
Un modèle sur 16 063 patients, toujours sans notion de symptôme, mais ajoutant les comorbidités et état vaccinal anticovid comme variables. On commence par s’étonner que toutes les périodes de vaccination antigrippale et anticovid aient été sorties de l’étude. On note que les positions de l’IHU de Marseille à ce sujet ont été maintes fois répétées. On se demande ce que l’on trouve dans ces données. En retirant ces données, l’étude conclut à une efficacité vaccinale. C’est parfaitement normal puisque les vaccinés sont moins souvent testés que les non vaccinés. Être vacciné protège d’être déclaré mort du Covid. Ensuite, on trouve des résultats attendus : les personnes obèses, immunodéficientes ou atteintes d’un BPCO ont un plus grand risque de décès que les autres. On s’étonne que les âges soient regroupés en seulement deux catégories. Plus on les regroupe, et plus on donne de l’importance à l’efficacité de HCQ, puisque les plus âgés en ont moins reçu que les jeunes. Avec ce modèle, en dégradant les classes d’âge et en n’ayant toujours aucune notion de symptôme, le groupe HCQ meurt toujours deux fois moins que l’autre. On en conclut toujours qu’il n’en a pas été donné aux personnes les plus à risque de décéder.

Quelle que soit la manière dont on traite ces données, on ne peut se défaire du biais d’enregistrement : mais qu’est-ce qu’un malade du Covid ? Réponse : un patient avec un test positif. Mais comment peut-on créer un médicament qui soigne un test positif ? Les nez qui coulent “Covid” s’assèchent, les toux grasses “Covid” cessent, les maux de ventre “Covid” disparaissent, les nausées “Covid” s’estompent, les maux de tête “Covid” s’envolent, et le plus important les asymptomatiques Covid vont beaucoup mieux. Nous avons vécu une complète escroquerie ces dernières années. Un combat essentiel a été de se battre contre les vaccins qui ont montré leur dangerosité et ont failli être obligatoires (ceux-là, parce qu’il en reste 11 quand même, le combat pour faire prendre conscience de ce sur quoi ils reposent est loin d’être fini). Le danger de la “victoire”, est d’oublier le fondement de cette escroquerie : la redéfinition de la maladie. L’oubli total de l’humain dans cette histoire, pour remplacer la rencontre entre un patient et un soignant, par un curage de nez, une réaction chimique, un résultat et un protocole préétabli avec son médicament miracle. Tant que nous n’aurons pas collectivement tiré les leçons de cette histoire, la porte reste ouverte au retour du délire collectif pour la prochaine “pandémie”.

14/10/2023

Ce délire paranoïaque auquel on a assisté