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09/03/2020

Expérience de pensée


Expérience de pensée

Prenons l'épidémie de Coronavirus actuelle.
Imaginez qu'il n'y ait pas d'observateurs, pas de mesures.

Tous les effets de cette épidémie disparaitraient instantanément. Elle n'existerait tout simplement pas.

En effet, les morts provoqués par cette épidémie seraient simplement incorporés dans la mortalité habituelle des grippes ou infections pulmonaires, sans aucun effet notable 1.

-Officiellement 80 à 85% des sujets atteints (testés) ne présentent pas de symptômes, ou très légers. Ce qui sous-entend qu' on ne sait pas vraiment qui est porteur et que l'on ignore le nombre des sujets touchés.Le taux de mortalité est donc forcément beaucoup plus faible que les 1 à 3 % annoncés et à peine plus élevé que la grippe classique (0,1%) .

Il est même possible que sans publicité cette épidémie eût provoqué moins de morts: le stress et l'inquiétude engendrés par les médias et les mesures de confinement, pouvant augmenter sensiblement la mortalité en endommageant l'immunité des plus faibles.

-Même si je comprends les vertus du confinement pour certaines épidémies très agressives et très contagieuses , ici on ne voit pas vraiment de différence entre les pays qui confinent et ceux qui ne confinent pas. (Même si c'est encore un peu tôt pour le confirmer.)

En réalité cette épidémie n'existe que par la psychose, qu'avec l'aide des médias, elle suscite et par les mutliples conséquences économiques que tout cela induit 2.

(A suivre pour savoir quoi en déduire. )
Note ultérieure: Au niveau des chiffres , cela reste valable à la date du 18 Mars , après confinement généralisé. En effet en France les chiffres de la mortalité restent inférieurs au pic saisonnier de grippes hivernales et troubles pulmonaires (2017 était bien au dessus). Ce n'est en revanche pas le cas de l'Italie.Pour des raisons à déterminer (âge, pollution, confinement global ?) Mais au delà du manque de recul des médias, de leur alarmisme, il y a évidemment un effet réel d'engorgement des services locaux près des quelques foyers de contagions qui peut rendre effrayante, cette épidémie ponctuellement. Les médias tendent à ne montrer et amplifier que les événements spectaculaires et à dramatiser les situations.

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