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22/09/2019

Ernie Lapointe

16/09/2019

Kate Bush

09/09/2019

Roxy Music



Roxy Music est un groupe de rock britannique formé en 1971 par le chanteur Bryan Ferry et par le bassiste Graham Simpson.
Les autres musiciens du groupe à ses débuts étaient le guitariste David O'List , le saxophoniste Andy Mackay, le claviériste génial Brian Eno et le batteur Paul Thompson.

Au début de l'année 1970, Bryan Ferry se rend à une audition pour le groupe King Crimson dans le but de remplacer leur chanteur bassiste Greg Lake, mais quoique le guitariste Robert Fripp et le parolier Peter Sinfield ne l'aient pas retenu, ils sont suffisamment impressionnés par son talent pour le référer à la maison de disques EG Records, et il signe un contrat d'enregistrement.
Il trouve les premiers musiciens du groupe par des annonces dans le Melody Maker, ainsi le saxophoniste Andy Mackay, et le claviériste Brian Eno furent les premiers à répondre présents. Puis David O'List quitte et est remplacé par Phil Manzanera et le batteur Dexter Lloyd qui en fait de même lui aussi et son remplaçant est Paul Thompson.

wikipedia

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23:11 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : roxy music |  Facebook

04/09/2019

Cassius



Cassius est un duo musical français composé de Philippe Cerboneschi (« Zdar ») et Hubert Blanc-Francard (« Boom Bass »). Sous ses différentes incarnations le duo est assimilé au mouvement « French Touch » de musique électronique dans la seconde moitié des années 1990.
Clip d'Emma Ledoyen avec Fleur Copin.

02/09/2019

L’AMÉRIQUE FANTÔME de GILLES HAVARD



Dans son livre, l’historien propose une autre généalogie de la colonisation anglo-américaine du Grand Ouest. Il révèle le rôle prépondérant des aventuriers de langue française, qui se fondaient dans la nature et parmi les Indiens, avec lesquels ils se sont souvent métissés.

"Dans l’Amérique fantôme (Flammarion), l’historien Gilles Havard dresse le portrait d’acteurs historiques oubliés : les premiers aventuriers francophones de l’Ouest américain.
Entre 1550 et 1850, bien avant la «conquête de l’Ouest» qui a lieu surtout dans la deuxième partie du XIXe siècle, des hommes européens de langue française parcouraient déjà l’Amérique. Bien que peu instruits, commerçants, trappeurs ou «truchements» (interprètes permettant le commerce entre les Indiens et les colons), ils possédaient une véritable expertise de ce Grand Ouest et des populations dont ils partageaient bien souvent la vie, la langue et la culture.
Ces hommes ne prenaient pas possession de la terre, et se fondaient dans la nature. Les métissages avec les populations indiennes furent nombreux. Ils parlaient généralement plusieurs langues indiennes et prenaient femmes dans les tribus dans lesquelles ils vivaient. Pour les autorités coloniales et pour l’historiographie anglo-américaine, ces aventuriers étaient bien trop «ensauvagés» pour figurer dans le récit d’une conquête coloniale forcément «civilisatrice» et anglo-saxonne. Après le livre, on n’attend plus que le film, qui serait un anti-western."

"Qui étaient ces coureurs de bois ?

Le terme de «coureur de bois» est apparu à la fin du XVIIe siècle et désignait, de façon d’abord péjorative, les individus qui, en Nouvelle-France, allaient au-devant des Indiens pour «la traite des pelleteries», le commerce de peaux et de fourrures. «Coureur» signifiait vagabond et était un terme à valeur dépréciative, de même que pour les coureurs de nuit, de bals… Tous voyagent parmi les Indiens de façon durable et s’adaptent à leurs mœurs."

Lire la suite (source Libération)

28/08/2019

Deluxe 2019 Egoraphobia

17/07/2019

Expérimentation?

Maladie de Lyme : une expérimentation secrète du Pentagone qui aurait dérapé ?
source: Ouest-France

Le Pentagone serait-il responsable de la propagation de la maladie de Lyme ?
Cette maladie est apparue aux États-Unis et elle touche désormais 80 pays dans le monde. Les parlementaires américains veulent savoir.
Plus de 67 000 nouveaux cas de Lyme ont été enregistrés en 2018, en France.

Philippe CHAPLEAU.


Les militaires américains ont-ils, entre 1950 et 1975, effectué des expériences sur des tiques pour en faire des armes biologiques ?

Les élus de la Chambre des représentants voudraient bien le savoir ; c’est pourquoi ils ont approuvé un amendement demandant à l’Inspection générale un rapport sur ces tests et sur le risque que ces tiques « modifiées » aient contribué à la propagation de la maladie de Lyme. Une maladie véhiculée par des tiques qui sont contaminées par des bactéries et qui vivent dans des zones tempérées, humides et boisées.

Cette endémie toucherait plusieurs millions d’humains qui, par conséquent, souffrent d’arthrite rhumatoïde juvénile. En France, une augmentation significative du nombre de nouveaux cas de maladie de Lyme a été constatée entre 2017 et 2018 (104 cas pour 100 000 habitants en 2018 contre 69 cas pour 100 000 en 2017).
Un labo militaire dans le collimateur


Le centre de Plum Island est situé près de la ville de Lyme qui a donné son nom à la maladie. | DHS

La ville de Lyme, d’où la maladie tire son nom, se trouve à seulement 15 kilomètres d’un laboratoire du gouvernement américain, le Plum Island Animal Disease Center. Ce laboratoire n’a ouvert ses portes à la presse qu’en 1992 et ses activités sont longtemps restées secrètes. En 2002, le contrôle du Plum Island Animal Disease Center est passé du Département de l’Agriculture à celui du Département de la Sécurité intérieure (NHS).

Ce centre de tests biologiques, situé dans l’État de New York et ouvert en 1954, a bien mené des expériences basées sur « la contamination de mouches, de moustiques et de tiques avec des germes biologiques ». Des tiques « biologiquement militarisées » auraient pu s’en échapper vers 1975 et auraient provoqué l’apparition de la maladie qui ne serait pas une simple infection bactérienne.

Cette théorie n’est pas nouvelle. Elle date de 2004. Elle a été reprise dans un livre paru en mai. Kris Newby, un enseignant de la Stanford University lui-même souffrant de la maladie de Lyme, y soutient que la maladie est en fait une expérimentation militaire qui a dérapé.
Les insectes, des alliés

En attendant les résultats de l’enquête parlementaire, les recherches militaires sur les insectes se poursuivent aux États-Unis. Plum Island Animal Disease Center va fermer en 2023 mais les travaux qui y sont conduits se poursuivront à partir de mai 2021 dans un nouveau laboratoire installé dans le Kansas et baptisé National Bio and Agro-Defense Facility (NBAF).


Le DoD s'intéresse aux micro-drones qui peuvent opérer dans des espaces minuscules. | DARPA

Parallèlement, le Pentagone poursuit ses recherches. La fameuse DARPA, la Defense Advanced Research Projects Agency, ne se contente pas de développer des microdrones de la taille d’insecte dans le cadre du projet SHRIMP (SHort-Range Independent Microrobotic Platforms) que conduisent Honeywell International Inc. Automation and Control Solutions (ACS) et la Rutgers University (New Brunswick).

Elle mène actuellement un programme défensif baptisé « Insect Allies » pour développer des espèces capables de combattre d’autres espèces invasives, voire introduites par des terroristes ou des États-voyoux.

Pour la DARPA qui a été accusée de modifier des insectes pour disséminer des virus de façon offensive, « il ne s’agit nullement de créer une nouvelle arme bactériologique, nos buts sont pacifiques et visent à assurer la sécurité alimentaire nationale ». Elle assure que les tests ont lieu dans des espaces confinés, sécurisés et que les « insectes alliés » ne sont pas destinés à être remis en liberté.

Un autre projet de la DARPA vise à implanter des cerveaux d’insectes (!) dans des robots. L’appel d’offres date de janvier 2019 et est intitulé « Microscale Bio-mimetic Robust Artifical Intelligence Network ».

23:00 Publié dans Politique, Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyme |  Facebook

19/06/2019

Kazy Lambist


Avec Léa Bonneau

05:17 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amoué, lambist |  Facebook