09/04/2014
60 écoliers
Nous nous trouvons à Ruwa, une ville du Zimbabwe dans le sud de l'Afrique, dans l'école d'Arial.
Nous sommes le 16 septembre 1994 et comme tous les jours une soixantaine d'enfants de huit à douze ans, jouent dans la cour de cette petite école.
Les professeurs sont eux dans une salle de classe pour une réunion de professeur.
Une journée comme une autre sauf que l'incroyable va se produire et que les enfants vont être les témoins d'un événement surprenant.
Les enfants déclarent avoir vu plusieurs objets atterrir dans la cour, « Des soucoupes volantes », et avoir vu deux êtres en sortir.
Certain élèves courent prévenir les adultes dans la salle de réunion, mais ceux-ci pour qui les détails paraissent fantasques ne prennent pas la peine d'aller voir ce qui se passe ou d'aller vérifier ce qui anime ainsi la cour d'école.
Si les professeurs n'y prêtent pas attention, les parents d'élèves vont eux se poser beaucoup de questions quand leurs enfants vont leur raconter ce qu'ils ont vu.
Ces étranges choses que plusieurs enfants ont vu commencent à faire du bruit et beaucoup se demandent, « Et si les enfants avaient réellement vu quelque-chose ? »
John Mack, professeur de psychiatrie à Harvard, c'est intéressé à cette histoire et est venu enquêter sur cette mystérieuse histoire. Après avoir interrogé quelques-uns de ses enfants il en est venu à la conclusion que ces témoignages étaient sincères.
Une petite fille déclare avoir eu très peur, John Mack lui demande qu'est-ce qu'il lui a fait peur, elle lui répond que c'est le bruit de l'air qui lui faisait peur, qu'elle décrit comme un bruit de flute.
Une autre petite fille déclare à John Mack, « On a vu quelque chose argenté, alors on a couru très vite jusqu'à la cabane et on a vu un truc argenté et un homme debout à côté. »
La petite fille dit qu'elle a eu peur, car elle n'avait jamais vus quelqu'un comme cela avant.
Une autre petite fille déclare avoir eu peur des yeux de leurs yeux, des yeux malfaisants, car ils n'arrêtaient pas de la fixer comme s'ils voulaient venir la prendre.
Un professeur déclare qu'au début elle était très sceptique, elle pensait qu'effectivement les enfants avaient vu quelque chose, mais qu'elle n'était pas préparée à l'idée que cette chose fut extra-terrestre.
Un enfant dessine une soucoupe et déclare qu'un des extra-terrestres était arrêté pendant que l'autre courrait autour du vaisseau.
Il dessine alors un de ces êtres et dessine un visage pointus avec de grands yeux noirs en forme d'amandes et des pupilles blanches.
Beaucoup d'enfants ont reçu le même message télépathique de l'extra-terrestre, il leur faudra prendre soin de la planète ou la civilisation humaine sera vouée à l'échec.
John Mack qui a interrogés tous ses enfants croient en leur version, les professeurs eux pensent qu'il s'est bel et bien passé quelque chose.
Une soixantaine d'enfants peuvent-ils avoir été victime d'une hystérie collective ?
Bizarre...
17:31 Publié dans Jeu de stratégie, énigmes, Notes diverses, Web | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : ufo, ovni, témoignages, ruwa, zimbabwé | Facebook
02/04/2014
Sous les jupes des filles
"Absorbés par cette affaire,
Par ce jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles..."
00:14 Publié dans Notes diverses, Photos | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fun, gag, sous les jupes | Facebook
28/03/2014
Proverbe...
"Seuls les poissons morts flottent dans le sens du courant..."
04:54 Publié dans Notes diverses, Nouvelles,poésies | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : proverbe, poissons | Facebook
24/03/2014
Placer la barre très haut
On entend parfois dire « Il a placé la barre très haute ».
Cette faute de français est courante, bien qu'elle devrait heurter l'oreille...
Où réside-t-elle?
L’expression très haut, dans cet exemple, précise le sens du verbe placer.
Elle est donc adverbiale, puisque les adverbes précisent le sens des verbes et des adjectifs. Or les adverbes sont invariables. C'est pourquoi dans ce cas, haut ne se met pas au féminin.
En revanche, si vous dites qu’après avoir été placée très haut, la barre est très haute, vous ne faites aucune faute. Dans ce deuxième cas haute qualifie un nom, et doit donc s’accorder en genre et en nombre.
En résumé, quand la barre a été placée très haut, elle est forcément très haute !
21:44 Publié dans Jeu de stratégie, énigmes, Notes diverses | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : haut, haute, placer la barre, expression | Facebook
22/03/2014
Rayon vert
Ce Jeudi 20 Mars 2014, de nouveau, de nombreux curieux ont pu admirer le célèbre rayon vert de la cathédrale de Strasbourg qui, lors des jours d'équinoxe, traverse un vitrail pour illuminer un Christ en pierre du XVe siècle.
Le vitrail dont est issu le rayon vert a été installé dans la cathédrale en 1876, mais le phénomène n'a été découvert qu'en 1972 (après un important nettoyage des vitraux), par Maurice Rosart, un ingénieur-géomètre.
00:46 Publié dans Notes diverses, Spiritualité, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rayon vert, cathédrale, rosart maurice, vitrail, vitraux, strasbourg | Facebook
18/03/2014
La belle et la bête
Dans le cadre magnifique du zoo d'Anvers (Belgique) et une ambiance 19ième siècle:
"Pour l'occasion, la Bête a invité des centaines de nobles dames et messieurs de toute l'Europe, pour partager avec lui une soirée de noire magie romantique.
Rencontres étranges, rythmes de danse hypnotisante, musique énivrante, des boissons spéciales et surtout, une hôtesse charmante, belle, qui va garder la bête sous contrôle."
00:00 Publié dans Danse, Loisirs, Modes & Bijoux, Notes diverses | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gala, noir, romantique, anvers, zoo, belle, bête, la belle et la bête, soirée de gala, musique | Facebook
28/02/2014
Etoiles des neiges
Simon Beck est un britannique que l'on pourrait décrire comme "complètement givré" quand il réalise des fresques assez élaborées sur des étendues enneigées.
C'est en effet un “snow artist” qui parcourt de vastes surfaces de neige pour créer des motifs géométriques ou tout simplement féeriques dans le manteau blanc des sommets hivernaux.
Il marche,il marche et marche encore car son outil ce sont ses pas dans la neige.
Flocons géants, cercles enchevêtrés, cristaux ou étoiles des neiges,
le travail de cet artiste est de la gravure-sur-neige...
Il peut mettre jusqu’à 10 heures de travail pour réaliser un seul motif !
00:29 Publié dans Dessins, art graphiques..., Notes diverses | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : simon beck, gravure sur neige, neige, dessins dans la neige, cristaux, flocons | Facebook
23/02/2014
Deux poids, deux mesures...
L’expression (bizarrement construite*) "deux poids et deux mesures" date probablement du XVIIIe siècle et semble prolonger l' expression plus ancienne "changer de mesure et de poids" (mots qui désignent alors les objets servant à mesurer la masse, la longueur ou la superficie)
Elle signifie: juger différemment une même action, selon les personnes, les circonstances, les intérêts en jeu, et donc ne pas appliquer les mêmes critères pour l’un et l’autre,
d’où le sentiment d' injustice.
« Nous avons deux poids et deux mesures : nous approuvons, pour une idée, un système, un intérêt, un homme, ce que nous blâmons pour une autre idée, un autre système, un autre intérêt, un autre homme. »
Chateaubriand - Mémoires d'outre-tombe
Cette expression (ou ses variantes) est très utilisée depuis ces derniers mois dans le débat public ou sur Internet...
- Il a deux poids, deux mesures : ses décisions varient en fonction de ses intérêts personnels.
- Il faut dénoncer la politique du deux poids deux mesures de cette superpuissance.
- Pourquoi condamner l’un et relaxer l’autre, pourquoi faire deux poids et deux mesures?
- Un bon parent ne devrait pas avoir deux poids et deux mesures à l’égard de ses enfants.
- La République, c’est un tout, ce n’est pas deux poids deux mesures.
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* On attendrait plutôt "un poids deux mesures..." ou "deux mêmes poids, deux mesures différentes" (car "deux poids pour deux mesures" semble normal et donc contraire au sens de cette expression qui dénonce une injustice)
D'ailleurs certains disent dans cette logique " avoir un poids deux mesures. "
Le sens est semblable : utiliser un même poids et obtenir deux mesures différentes, d’où l’injustice. Mais cette formulation pourtant logique ne figure pas dans les ouvrages lexicographiques, c’ est une déformation de l’expression consacrée.
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Un exemple caricatural qui a fait le tour de la Toile:
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Il semblerait que l'on retrouve la même expression (ou des variantes) un peu partout:
Allemagne | Mit zweierlei Maß messen | Mesurer avec deux sortes de mesure |
Angleterre |
To have double standards | Avoir un double niveau |
Belgique (Flandre) | Meten met twee maten en twee gewichten | Mesurer avec deux poids et deux mesures |
Brésil | Ter dois pesos e duas medidas | Avoir deux poids et deux mesures |
Espagne | Tener doble vara de medir | Avoir double mesure |
Grèce |
Δύο μέτρα και δύο σταθμά. | Deux poids et deux mesures |
Italie |
Avere due pesi e due misure | Avoir deux poids et deux mesures |
Pays-Bas | Een dubbele standaard hanteren | Manier une double norme |
Portugal |
Ter dois pesos e duas medidas | Avoir deux poids et deux mesures |
Roumanie |
A cântări cu două măsuri | Peser avec deux mesures |
Serbie | Nemati iste arsine prema svakome | Juger différemment une même chose, selon les personnes |
Turquie | Çifte standart uygulamak | Appliquer un double standard |
00:27 Publié dans Notes diverses | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : expression, chateaubriand | Facebook