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23/04/2025

BOIRE DE L’EAU

BOIRE DE L’EAU, OUI, MAIS LAQUELLE ET QUAND ?

Jacques Collin, ingénieur, éminent spécialiste de l’eau depuis sa prise de conscience de ses bienfaits en 1989 et auteur de différents ouvrages*, nous livre dans une vidéo publiée en 2012 sur le blog ”Eau Séance iLive”, sa vision éclairée sur le sujet. En voici une transcription modérée.

Quelle eau boire ?

Par le passé, l’eau de consommation était une eau naturelle, directement prélevée dans les puits, sources ou fontaines, en dépit des premiers systèmes d’adduction d’eau qui remontent au moins à l’époque romaine mais aujourd’hui elle ne se résume qu’à :

l’eau du robinet
l’eau en bouteille.

L’eau du robinet.

Si l’eau du robinet est une eau potable, sûre car contrôlée régulièrement elle n’en est pas pour autant bonne pour notre santé. En effet, les traitements chimiques et le chlore en particulier y tuent toute forme de vie par aseptisation et cela ne suffit pas à lui donner des qualités bénéfiques pour notre santé. Il y a au moins trois raisons à cela :

Le chlore va provoquer une destruction microbienne, ce qui est une bonne chose, mais de nombreuses études ont démontré que la destruction des microbes provoque l’accumulation de détritus qui se reconstituent en virus! Le monde viral est un monde silencieux, souterrain, qui sur le long terme peut affecter notre organisme. En traitant chimiquement l’eau du robinet, on tue le microbe mais pas le virus.
La stérilisation de l’eau, quel qu’en soit le procédé, comme les rayons ultra-violets, va induire son oxydation. Boire une eau oxydée va saturer le corps électroniquement (au niveau moléculaire) impliquant une perte de vitalité et des réactions métaboliques préparant des terrains de dégénérescence.
La dureté de l’eau, c’est à dire sa teneur en calcium et en magnésium est aussi un danger pour notre organisme. En effet, le calcium contenu dans l’eau du robinet ne recalcifie pas le corps mais s’accumule dans notre organisme pouvant provoquer des désordres comme la maladie de Paget ou être une cause d’ostéoporose et d’artériosclérose par un durcissement des artères.

Ces trois facteurs entraînent notre corps sur un terrain de dégénérescence. Pour ces raisons l’eau sortant du robinet directement est déconseillée pour la consommation en eau de boisson. En effet, elle provoque l’accumulation de métabolites indésirables que le corps va chercher à éliminer par les urines, jusqu’à ce que atteignant saturation cela provoque une invasion de notre eau intérieure, qui ne peut plus se structurer ou se restructurer et toute l’information de notre corps va se geler. Nos cellules ne peuvent plus communiquer entre elles laissant apparaître des dégénérescences cellulaires.

Les eaux minérales.

Remplacer l’eau du robinet par des eaux minérales n’est pas anodin. Plus il y a de minéraux dans l’eau, plus le corps va avoir du mal à les absorber. De plus l’eau minérale prise à la source n’a rien à voir avec la même eau embouteillée. Dès l’embouteillage, les minéraux se désactivent et floculent et par voie de conséquence ne sont plus assimilables. Tous les minéraux dissous dans l’eau sont par définition des cailloux. Nous sommes des Êtres Humains, des mammifères, et donc nous ne pouvons pas assimiler les minéraux bruts de cette façon. Là encore, les minéraux sont accumulés par notre corps avec à terme la survenue de calculs, problèmes rénaux, etc.

Les eaux hyper minéralisées sont à déconseiller totalement en bouteille. Ce sont des poisons ! Quand on achète des eaux en bouteilles, il faut qu’elles soient les plus pures possible. La pureté s’exprime au niveau des quantités de résidus à sec, elles doivent être d’un niveau minimal. Le seuil tolérable est de 100/120 mg/l maximum. Certaines eaux peuvent atteindre des taux de 2000 à 4000 mg/l, ce sont des eaux lourdes à gérer au niveau de notre organisme, car contrairement aux végétaux notre corps n’assimile pas les minéraux. Les végétaux les captent, les digèrent et les végétalisent, donc pour couvrir notre besoin en minéraux, il ne faut pas boire d’eau minérale mais manger des végétaux qui sont remplis de minéraux organiques directement assimilables par notre corps.

Comment faire si ni l’eau du robinet, ni l’eau minérale ne sont bonnes pour le corps?

Il faut filtrer l’eau du robinet ou trouver des eaux minérales relativement pures en bouteille, idéalement avec un taux de minéralité inférieur à 100mg/l.

L’eau peut être filtrée par un système de charbons actifs, comme les carafes ou colonnes filtrantes qui sont disponibles dans le commerce ou encore subir une filtration par osmose inverse qui redonne une eau pure avec un taux de résidu infinitésimal. Ce dernier système n’a pas l’agrément de tous les scientifiques spécialistes de l’eau qui parfois en déconseillent son usage exclusif comme eau de boisson.

Une fois filtrées, il n’en reste pas moins que ces eaux sont totalement déstructurées au niveau moléculaire, ce sont des eaux mortes. Pour les rendre propre à une consommation quotidienne et leur rendre tout leur pouvoir bénéfique pour le corps humain il faut les restructurer en utilisant soit le principe de l’onde pulsée mise au point par Marcel Violet dans les années 50, qui recrée le potentiel électronique de l’eau (équilibre photons/électrons), soit en utilisant des vortex qui sont des tourbillons (pour dynamiser l’eau de la même façon qu’un torrent le ferait naturellement). L’eau est maintenant purifiée et dynamisée, elle est devenue pleinement assimilable ! Internet regorge de systèmes de dynamisation de l’eau des plus simples et économiques aux plus sophistiqués et moins accessibles financièrement.

Quand la boire ?

Boire cette eau purifiée et dynamisée à jeun va lui permettre d’être diffusée rapidement au niveau cellulaire via le système digestif. La meilleure eau à boire, c’est le matin en se levant. Cette eau va être diffusée rapidement par la voie estomac, intestin et colon et va être immédiatement disponible au niveau cellulaire et du sang.

Il faut réactiver le sens de la soif le matin jusqu’à ce que boire à ce moment devienne un automatisme. Idéalement, il faut boire 30 minutes avant le petit déjeuner.

Ensuite, il faut boire tout au long de la journée, entre les repas et jamais pendant les repas. Il faut s’arrêter de boire 30 mn avant les repas, car l’eau bue en mangeant va contrarier la digestion pour plusieurs raisons :

L’eau bue au moment du repas lave le tractus digestif dans lequel se trouvent les diastases qui sont importantes pour la pré-digestion.
L’eau sera mélangée au bol alimentaire et y sera liée et ne pourra donc pas être utilisée par notre corps au niveau cellulaire et sera rejetée par le système intestinal. Il faut commencer à reboire 2 heures après les repas.

Il est par ailleurs très important de boire en fin d’après-midi car l’eau bue à ce moment va défatiguer l’organisme.

Ce n’est pas un verre d’eau qui va changer quelque chose, mais en suivant ces recommandations avec rigueur et opiniâtreté, on s’aperçoit que beaucoup de choses changent au niveau de notre corps. Cela ne se fait pas au premier jour et dépend aussi de notre charge de toxines. Et surtout, il faut supprimer de nos habitudes de consommation toutes les boissons industrielles.

L’eau est guérisseuse par définition, mais c’est surtout préventif tant que l’on n’a pas passé le seuil du non-retour dégénératif. L’eau agit dans tout le corps, particulièrement au niveau des articulations. Les gens qui ne boivent pas d’eau ont des articulations qui se dessèchent, les vertèbres qui se bloquent….

Boire de l’eau est une vigilance de chaque instant et quand vous l’aurez aquise, votre corps aura les bons automatismes et vous aurez soif tout le temps ! C’est votre corps qui va déterminer de lui-même la quantité[1] d’eau dont il a réellement besoin pour se garder dans la meilleure santé possible. Il ne vous reste qu’à l’éduquer en lui donnant une eau que vous aurez préalablement refabriquée.

* Bibliographie

L’insoutenable vérité de l’eau éditions Tredaniel
L’eau, le miracle oublié éditions Tredaniel
L’eau-delà de l’eau éditions Tredaniel



[1] volume de référence pour une hydratation optimale 30ml/kg/j (toutes boissons non alcoolisées comprises)

02/04/2025

La notion d'observateur

Beaucoup de physiciens n'aiment pas que l'on se serve du terme quantique en dehors du contexte pour le mettre à toutes les sauces. Et on peut les comprendre quand il s'agit de justifier des thérapies oiseuses dans un but mercantile.

Il s'agit pourtant d' un ensemble de concepts qui a été explicité et expérimenté progressivement par la physique (par quelques physiciens du début du XXième ) mais qui peut et doit constituer une source d'inspiration pour quiconque lui trouve une vertu explicative novatrice.
En bref, les principes quantiques n'appartiennent à personne et surtout pas aux physiciens. C'est un bien commun dans le domaine conceptuel, scientifique, mais aussi philosophique, psychologique, spirituel.
(Certains d'entre eux ne font d'ailleurs que préciser et valider expérimentalement des notions déja existantes dans certaines spiritualités.)


Il ne s'agit pas de s' y appuyer comme à un argument d'autorité pour justifier n'importe quel délire. Mais je crois utile en revanche de faire passer ici ou là l'idée que ce monde fonctionne encore sur des principes obsolètes alors que depuis 100 ans on sait que la nature de la réalité n'est pas du tout matérielle et déterministe.
C'est heureusement en train d'évoluer assez vite.


Le débat fut longtemps de savoir si les notions quantiques qui existent au niveau microscopique des particules pouvaient se transposer dans notre monde macroscopique régi par la physique classique. On sait en effet qu'a priori le phénomène de décohérence intervient dès qu'on franchit un certain seuil où les états superposés, par exemple, disparaissent.

Des biologistes ont montré qu'il existe des phénomènes quantiques chez les être vivants au niveau moléculaire (orientation des oiseaux migrateurs, photosynthèse des plantes vertes avec la molécule ATP)
D'autres comme Roger Penrose et Stuart Hameroff pensent que les microtubules cellulaires des neurones pourraient abriter un état quantique superposé qui serait lié à la conscience. Très controversée au départ cette théorie (Orch or pour réduction objective orchestrée) trouve de plus en plus d'appuis inattendus.

***


On sait par exemple qu'une des notions les plus spectaculaires de la physique quantique a été de démontrer que l'intervention d'un observateur influait obligatoirement sur le phénomène observé.

Rien n'interdit d'extrapoler dans cette direction.

06/02/2025

Flash-back

J'ai retrouvé hier cette ancienne note astro perso écrite en fin d'été 2021.
3ans et demi plus tard, tout cela est confirmé (c'est lent malgré tout) mais aussi s'est transformé et a pris d'autres formes.
En 2025, Mars s'opposera à Pluton, Uranus entrera en Gémeaux mais surtout Saturne et Neptune entreront en Bélier pour s'y conjoindre, conclure un cycle et y entamer un nouveau (cycle lié à la Russie).

***

Les planètes lentes n'ont pas beaucoup bougé dans le ciel, (Saturne Jupiter et l'invisible Pluton étant en rétrogradation apparente), les énergies et vibrations correspondantes mijotaient en Capricorne, inspirant sur Terre les uns et les autres.

On assiste, en 2020/21, à la fin, voire au pourrissement ou à la désintégration d'une longue période matérialiste, au moins dans certains de ses aspects ayant trait au capitalisme, au monde scientifique, à la santé (Darwin ou Pasteur sont dépassés). C'est une sorte de schisme qui voit la naissance d'un mouvement de révolte contre les abus d'une vision purement matérielle et transhumaniste où l'Homme est vu un consommateur, son cerveau comme un ordinateur et son corps comme une machine, où la Nature est exploitée sans vergogne.
Place à l'Esprit, que ce soit de l'homme ou de la nature, voilà ce qui prend forme en cette période.


-Les uns, au pouvoir formatés par le système en place ont soudain laissé une bande de technocrates alarmistes et déconnectés décider pour eux et imposer leur vision pathologique de la vie...
Des médecins et chercheurs s'intéressant aux maladies et non à la santé, des nervis au service d'une industrie (fabricant des malades dépendants pour leur vendre des médicaments et ne cherchant évidemment pas à les guérir).
On a découvert à cette occasion que bon nombre d'instances sanitaires, les médias et le gouvernement étaient infiltrés par des médecins, politiques ou chercheurs corrompus au service de cette industrie pharmaceutique toxique.

Au fil des semaines malgré leurs erreurs les gouvernements , comité pseudoscientifique et autres instances (OMS CDC) ont persisté dans leurs mensonges, leurs décisions absurdes jusqu'à passer les bornes du rationnel et du scientifique pour imposer ce qui relève désormais du dogme, de l'escroquerie ou de la superstition (le confinement, l'HXC présentée comme toxique, les masques antibactériens inutiles puis obligatoires, même en plein air)

-Les autres choqués par ces décisions abusives ont pris conscience qu'il ne s'agissait pas d'une crise sanitaire ni d'une épidémie mais d'une ingénierie sociale qui en prenait prétexte.
Ils ont accumulés les preuves scientifiques démontrant les mensonges, les décisions criminelles (interdiction faite aux médecins de prescrire des produits pourtant efficace) et les abus manifestes. Ils ont dénoncé cette imposture qui apparait de plus en plus comme une véritable dérive totalitaire (avec l'obligation du masque en extérieur et dans les écoles, il n'y a plus de doute, c'est une mesure politique (d'ordre punitif et faite pour habituer à la soumission) qui n'a aucune justification sanitaire ou scientifique.
Même des journalistes mainstream commencent à dénoncer cette dérive hystérique du pouvoir, ça sent la panique, il n'y a plus que le gouvernement, les maires , les préfets et tous les idiots utiles soutenant cette version paranoïaque hygiéniste de la réalité.
Des gens qui ne comprennent rien à la santé et qui prennent en otage tous ceux qui s'y attachent dans leur quotidien par leur comportement et leur choix.


Mi Septembre puis fin Septembre et début Octobre elles repartent doucement en sens direct, tandis que Mars rétrograde à son tour en Bélier.

08/07/2024

Espace, vide , réalité etc...



Le temps, la décohérence...





L'espace, le vide, etc...

01/06/2024

Le Tore

12/05/2024

Le totalitarisme sociétal



Le totalitarisme sociétal est un projet oligarchique (financé par des milliardaires) de déconstruction des structures sociales existantes. Mais quand le fossé entre le récit et la réalité est trop grand, l'imposture éclate par ses excès les plus flagrants qui provoquent des contradictions internes.








Comment vous êtes-vous retrouvées nez à nez avec l’idéologie transgenre durant votre parcours de féministes et quelles ont été les motivations qui vous ont poussées à écrire cet ouvrage en collaboration ?

Dora Moutot : Marguerite et moi-même évoluions dans les milieux féministes sans nous connaitre mutuellement. Pour ma part, après avoir quitté le monde du journalisme, j’ai créé un compte Instagram à succès promouvant une sexualité épanouie des femmes hétérosexuelles, que j’avais appelé @tasjoui. En 2019, des militants queers et transgenristes sont venus me reprocher de ne pas être suffisamment « inclusive » et m’ont enjoint de parler de « pénis de femme ».

Ne connaissant pas véritablement l’idéologie transgenre, j’ai initialement trouvé cette demande farfelue, mais drôle. J’ai refusé, revendiquant un fait simple : il existe deux sexes et être une femme, c’est biologique. À partir de là, mon monde s’est écroulé. Accusée d’être transphobe, j’ai subi un harcèlement lunaire de la part des fous furieux du transgenrisme, qui ont exigé des marques pour lesquelles je produisais du contenu à travers ce compte Instagram de résilier leur contrats partenaires avec moi. Je les ai perdus un à un. C’est par le biais de ces tribulations que j’ai rencontré l’idéologie transgenre.

Marguerite Stern : (...) Dora et moi-même étions les seules féministes bénéficiant d’une certaine exposition dans les médias et sur les réseaux sociaux à avoir osé prendre la parole contre l’idéologie transgenre. Harcelées, menacées, insultées quotidiennement, nous avons fini par nous rencontrer puis nous rapprocher l’une de l’autre, car nous subissions toutes les deux le même traitement.

(...) Et depuis sa publication, Transmania est effectivement la cible de violentes attaques. Notre campagne d’affichage a été censurée par l’afficheur privé JC Decaux, SOS homophobie a porté plainte contre nous et nous avons reçu des menaces de mort à plusieurs reprises.

Vous dénoncez une « esthétique de la violence » faisant partie intégrante du mouvement transgenre et allez même jusqu’à dénoncer des « pratiques fascistes ». Quelles sont les causes de cette violence ?

Marguerite Stern : La violence fait partie intégrante du mouvement transgenriste. Structurellement. On le voit par exemple aux mantras que ses activistes répètent inlassablement : « Kill the TERF » (acronyme de Trans-Exclusionary Radical Feminist : féministe radicale qui exclut les personnes trans), « Une TERF, une balle », « Sauve un trans, tue une TERF »... Cette esthétique de la violence s’observe également au travers de l’apologie de la défense armée. (...)

Aborder les causes à l’origine de cette violence nous conduit à un sujet tabou : la forte occurrence de comorbidités psychiatriques au sein de la population trans (troubles du spectre autistique, troubles de la personnalité borderline, dépression, anxiété...), qui se greffe à des logiques d’embrigadement sectaires.

Enfants et jeunes adultes sont amenés à croire que leurs parents sont transphobes s’ils s’opposent à leur transition. S’isolant de leurs familles, ils rejoignent ensuite une communauté trans formant une sorte de bulle repliée sur elle-même et tournant en boucle toute la journée sur la haine d’un ennemi commun : les TERFs. La désignation d’un ennemi commun est un phénomène bien connu en psychologie, qui permet de créer une psychose collective. Par exemple, Dora et moi-même sommes accusées d’être responsables du « génocide trans » et d’avoir du sang sur les mains. Or, que fait-on lorsqu’on se croit en danger de mort ? On riposte.


[...]


Comment les idéologues transgenres sont-ils parvenus à imposer leur vision du monde dans toutes les strates de la société, que ce soit à l’école, dans les médias, ou encore dans les institutions ?

Dora Moutot : Le phénomène transgenre a connu une accélération notable à partir des années 2010 suite à des investissements financiers colossaux par des groupes de pression en soutien aux revendications de cette minorité. Aux États-Unis, en 2021, un rapport de LGBT Funders nous apprend que 36 millions de dollars ont été investis pour faire avancer ce programme idéologique par le biais d’une nébuleuse d’ONG pro-trans.

Notre travail s’est appuyé sur les recherches menées par la journaliste d’investigation Jennifer Bilek, première femme à s’être penchée sur les investissements massifs de certains milliardaires militant pour les « droits trans ». Parmi eux, on compte Jon Stryker, petit-fils de l’inventeur du lit d’hôpital. Héritier d’une entreprise américaine spécialisée dans la fabrication de matériel médical, qui, en 2022, a généré un chiffre d’affaires de plus de 18 milliards de dollars, il verse chaque année environ 30 millions de dollars à la fondation Arcus, dont il est le créateur, en vue d’œuvrer à la normalisation du transgenrisme.

Autre grand financier de la cause transgenre : Jennifer Pritzker, anciennement « James », héritier des hôtels Hyatt. Pour sa part, il oriente ses fonds vers les hôpitaux et universités. Deux millions de dollars ont par exemple été investis par ses soins pour créer la première chaire d’études sur le trangenrisme à l’université Victoria, en Colombie-Britannique. Parmi les autres « bienfaiteurs » de la cause transgenre figurent également George Soros, l’ex-femme de Jeff Bezos, Peter Buffett, fils de Warren Buffett, ou encore Roy P. et Sheri Disney, héritiers de Walt Disney.

Pour institutionnaliser le transgenrisme, ces individus fortunés créent en premier lieu des fondations, elles reversent ensuite des fonds à diverses ONG agissant au quotidien dans divers domaines tels que la politique, le juridique, le médiatique, etc. Par exemple, l’association américaine qui s’occupe du lobbying auprès des médias se nomme GLAAD (Gay & Lesbian Alliance Against Defamation). Financée en 2020 à hauteur de 17 millions de dollars, elle a mis au point, en association avec Associated Press, l’équivalent de l’Agence-France presse (AFP), un guide et un lexique visant à faire en sorte que les journalistes emploient la novlangue transgenre.

Sur le plan politique, l’entrée au gouvernement de Rachel Levine au poste de secrétaire adjoint à la Santé des États-Unis a été rendue possible grâce au travail de lobbying du LGBTQ+ Victory Institute, un institut qui a reçu 10 millions de dollars de l’Arcus Foundation pour former et faire élire des politiciens LGBT. Malgré les scandales sanitaires retentissants qui ont éclaté au sein la clinique du genre Tavistock en Grande-Bretagne ou de l’hôpital Karolinska en Suède, cet homme transféminin fait publiquement la promotion de la transition des enfants et des bloqueurs de puberté, soutenant par exemple en 2022 que « les soins d’affirmation du genre sont essentiels pour la jeunesse trans et peuvent sauver des vies ».

Les ONG transgenristes comptent également parmi leurs investisseurs des laboratoires pharmaceutiques, comme Gilead, désireux de booster les ventes de son médicament préventif contre le sida, le Truvada, auprès de la population transgenre. D’après Global Philanthropy, les hommes trans sont 49 fois plus susceptibles de contracter le VIH que les autres adultes... Il y a aussi le laboratoire AbbVie, fabriquant du Lupron, un bloqueur de puberté. AbbVie verse des dons, notamment au Trevor Project, qui soutient les jeunes LGBT, et au GenderCoolProject, association promouvant le transgenrisme chez les enfants.

Il faut savoir que certains des laboratoires produisant ces hormones de synthèse utilisées pour la transition, comme Endo Pharmaceuticals, sont les mêmes qui ont été condamnées en justice pour marketing trompeur lors de la crise des opioïdes, responsable du décès de plus de 500 000 personnes...

Le lobbying transgenriste a aussi produit ses effets au niveau du monde de l’entreprise. En France, dans certaines d’entre elles, il faut par exemple accepter de prononcer le pronom « iel ». Aux États-Unis, de plus en plus de sociétés font la promotion de leurs assurances remboursant les transitions sexuelles. Pourquoi ? Car leur niveau d’inclusivité est noté à travers le « système d’indice d’égalité des entreprises » (CEI), créé par la Human Rights Campaign (HRC), une association financée, entre autres, par la fondation Soros et le géant pharmaceutique Gilead.

Ce CEI entre dans le cadre du mouvement ESG (Environnemental, Social et de Gouvernance d’entreprise), que les fonds d’investissement comme BlackRock et Vanguard suivent de près pour savoir s’ils décident ou non d’accorder des investissements... Résultat, alors qu’en 2000, seulement 3 % des entreprises du classement Fortune 500 intégraient l’identité de genre dans leurs politiques de non-discrimination, elles étaient 83 % en 2024. On peut dire que la HRC a bien bossé.

source

Transmania_795x447.jpg

15/04/2024

Le destin est flexible et modifiable...

"Dans son livre Le grand virage de l'humanité, Philippe Guillemant, ingénieur physicien et spécialiste de l'intelligence artificielle, propose une théorie du temps selon laquelle notre futur est déjà réalisé, mais pas de façon définitive. Selon lui, le futur peut bouger et il existe une théorie du GPS quantique qui permet de l'expliquer."


L'astrologie occidentale (étudiée d'un point de vue épistémologique) m'avait aussi amené à la même conclusion, le destin ou karma est "écrit", par définition, (futur induit par l'hérédité, le passé & tous les conditionnements ) mais il est modifiable par la prise de conscience et le libre-arbitre (qui peuvent libérer du poids du passé).



"Le GPS quantique, une théorie pour comprendre le futur

Selon cette théorie, notre futur est comme un vaste territoire de possibilités, mais à tout moment, le tracé que nous allons traverser dans le futur est déjà écrit. Cependant, il subsiste la possibilité de changer la trajectoire du GPS de deux manières : soit en changeant la destination, soit en ne respectant pas le parcours. Pour l’univers, ce sera pareil. Il aura la possibilité de recalculer dès que nous exerçons véritablement notre libre arbitre.

Le libre arbitre, une notion clé

Cette théorie fait « tiquer » car elle implique que le futur existe déjà, ou en tout cas, est déjà réalisé. Cependant, elle vient du fait que nous avons ancré dans notre cerveau, dans notre éducation, cette conception du temps linéaire qui est fausse. En réalité, le présent n’existe pas. Les calculs et les travaux à partir des horloges atomiques ont montré que les équations qui justifient d’une certaine manière le voyage dans le temps sont justes.

Le futur peut influer sur le présent

La conséquence de cette théorie est que le futur peut influer sur le présent, ce qui a des conséquences très importantes, notamment dans le domaine du développement personnel ou transpersonnel. Selon Philippe Guillemant, cela explique les phénomènes de synchronicité, c’est-à-dire les coïncidences significatives qui semblent indiquer une connexion entre des événements apparemment sans lien."



26/11/2022

Eaux sacrées

Hernán Suárez & Dominique Zuniga