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23/05/2021

Ingénierie sociale, manipulation et consentement (Réinfocovid)


Il vous faut des lunettes?

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Source: site Reinfocovid.fr le 2 avril 2021


Par : Julie Lioré, anthropologue, pour le collectif REINFOCOVID

L’ingénierie sociale est une méthodologie consistant à manipuler les foules au travers de stratagèmes habilement étudiés, issus de la psychologie et la psychosociologie, visant à imposer de nouvelles normes et, pour parvenir à ses fins, à influencer toute une population en contournant ses résistances aux changements à opérer.


« L’ingénierie sociale est, dans le contexte de la sécurité de l’information, une pratique de manipulation psychologique à des fins d’escroquerie. » (Wikipedia)

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L’ingénierie sociale, à laquelle il serait légitime d’ajouter, « et psychologique », est une méthodologie consistant à manipuler les foules au travers de stratagèmes habilement étudiés, issus de découvertes faites dans deux champs connexes, la psychologie et la psychosociologie. Ces disciplines cherchent à comprendre la manière dont les individus s’envisagent, sont en relation et s’influencent les uns avec les autres. Fort de ces connaissances en matière de mécanismes psychologiques de l’être humain et physiologiques de son cerveau, lorsqu’il est isolé ou en groupe, cette ingénierie vise à imposer de nouvelles normes et, pour parvenir à ses fins, à influencer toute une population en contournant ses résistances aux changements à opérer.

Parmi les « prérequis », l’ingénierie sociale et psychologique sait notamment que tout individu a fondamentalement besoin d’être en lien et d’appartenir à un groupe, le troisième besoin essentiel dans la pyramide de Maslow, après celui des besoins physiologiques pour survivre et de protection pour se sentir en sécurité. La mise au ban est proprement insupportable. Elle sait aussi qu’un individu, dans une foule, est amené à perdre son libre-arbitre (Gabriel Tarde, père de la psychologie sociale), par une sorte de « passivité imitative », et que le comportement d’une masse de personnes diffère de celui d’individus lors qu’ils sont isolés (Gustave Le Bon [1], anthropologue et psychosociologue). La foule est, en somme, une entité une et indivisible, soumise à une « âme collective » et ayant sa propre nature psychique, une entité distincte de l’addition des individus isolés qui la compose, une sorte de totum agissant bien mieux et plus fortement en synergie, plutôt que chacun dans son coin. Pour le meilleur ou pour le pire.

Tarde et Le Bon ont grandement influencé Edward Bernays [2], neveu de Freud et grand-oncle du co-fondateur et premier PDG de Netflix, pour qui la foule n’est pas une entité pensante, ne réagissant seulement qu’à ses émotions. Fort de ses connaissances en matière de processus mentaux inconscients, Bernays a, à son palmarès, un grand nombre manipulations du consentement. En 1917, il a orchestré, avec le gouvernement d’alors, une véritable métamorphose : la jeunesse américaine, alors pacifique, est devenue, en masse et en 1 an, guerrière, prête au combat. Dans les années 20, il a été chargé de rendre la cigarette populaire auprès des femmes pour le compte de l’industrie du tabac, en vue d’augmenter ses ventes et profits. Jusqu’alors, fumer était une pratique des femmes de mauvaise vie, l’objectif était donc de changer l’image de la cigarette. Il est aussi l’un des pères du consumérisme américain, en association avec Henry Ford. Bernays a mis au point une stratégie, élaborée à partir d’un arsenal mental, visant à forger l’opinion dans un sens donné et à façonner le consentement qui va avec. Or, pour que cela fonctionne, le mécanisme psychosocial doit rester imperceptible et la main, en train de fabriquer le consentement, invisible.

Des stratégies aujourd’hui dévoilées

L’influence et le contrôle des foules ne datent pas d’hier et jusqu’à peu, restaient couvertes d’un voile opaque dont il était bien difficile de voir au travers. Le cinéma, Hollywood à l’époque et Netflix aujourd’hui, dont le nombre d’abonnés a explosé ces derniers mois, véhicule toutes sortes de messages orientés, ainsi que diverses propositions de potentiels futurs [3]. La télévision n’est pas en reste. D’ailleurs, qu’en serait-il aujourd’hui de la Covid-19 de mars 2020 sans elle ? Probablement plus rien depuis des mois.

La première stratégie de manipulation à mettre en place, parmi les dix énoncés par Noam Chomsky, linguiste et penseur américain, est celle de la distraction. Dans l’Empire romain déjà, les puissants de l’époque contrôlaient les foules avec des jeux, dans les arènes, et du pain (une sorte de revenu universel antique). Plus près de nous, Zbigniew Brzezinski, politologue américain décédé en 2017, a donné naissance à la notion de tittytainment, qui signifie donner la tétée (titty) au peuple, composée de divertissements (entertainment), soit un mélange d’aliments physiques (malbouffe) et psychologiques (séries, émissions de télé-réalité, entre autres), très addictifs, ayant pour vocation d’endormir (au sein) les masses, afin d’en contrôler les frustrations et protestations potentielles, et d’en amoindrir l’esprit critique. Le tittytainment a manifestement servi à préparer ce qu’il se passe aujourd’hui.

Vient ensuite la stratégie du choc, en créant un problème en amont et en coulisse, pour le résoudre en aval et sur scène. L’insécurité est un bon exemple, celle-là même qui a permis d’instaurer un état de sécurité globale. Le choc de la « pandémie », dont le critère de mortalité a été supprimé en 2009 par l’OMS, a été la voie royale à l’état d’urgence sanitaire, prolongé depuis sans relâche. Saccager l’économie en est un autre : après avoir créé la pénurie de travail, le revenu universel pourrait être accueilli comme l’extrême-onction. Nous ignorons encore si ces chocs consécutifs permettront à la main d’imposer sa nouvelle norme. Nous voyons nettement, en revanche, comment cet état de sidération, devenu chronique, inhibe l’action.

Le choc est une bête noire pour chacun de nous, qui préférons la sécurité, la stabilité, voire un certain conservatisme. Or, la multiplication des dissonances cognitives (entre autres, confiner-déconfiner-reconfiner, masque au départ inutile devenu indispensable puis obligatoire pour tous et partout) génère des tensions venant déstructurer nos habitudes de fonctionnement, jusqu’à disloquer les groupes, en créant des pro-, des anti- ou bien celui des « rideaux baissés », qui ont fini par fermer boutique, tant les informations sont discordantes. Naomi Klein, dans son ouvrage La stratégie du choc (2007), explique combien cette prolifération d’informations contradictoires en arrive rapidement à désorienter une boussole, à faire perdre son libre arbitre et sa capacité à faire une analyse juste des faits. L’ingénierie sociale et psychologique sait que ces contradictions permettent de mieux soumettre.

Cette méthodologie procède par étapes, graduellement, insidieusement. La suivante est la stratégie de la dégradation progressive. Si nous avions eu à accepter, en une fois, confinement, distanciation sociale, couvre-feux, masque, vaccin, passeport, nous aurions tout rejeté en bloc. Nous renvoyons ici à la fenêtre d’Overton, selon qui l’opinion publique peut être progressivement modifiée, afin que des idées initialement considérées comme impensables finissent par être acceptées, voire légiférées, en passant par la caution scientifique et la création de besoins (masque, vaccin).

Vient ensuite la stratégie du différé. D’abord s’occuper de la pandémie, « quoi qu’il en coûte », nous règlerons la question économique plus tard. Notre cerveau est composé de neurones, qui établissent des connexions via des synapses. Tous les 21 jours, les chemins synaptiques changent, en retirant les connexions devenues obsolètes et ajoutant les plus récentes. Toutes les mesures sanitaires ont ainsi établi, au fil des mois, des connexions et des déconnections qui ont été, au fur et à mesure, à force de répétition, intégrées dans des représentations mentales.

Pour mener à bien cette reprogrammation, il s’agit de s’adresser au public comme à un enfant. L’ingénierie sociale a bien compris que, quand on cherche à tromper un individu, il suffit d’adopter un ton infantilisant pour s’adresser à lui, stratégie largement utilisée par le marketing et la publicité. Eric Berne [4] a compris qu’en chaque adulte, coexistent plusieurs personnalités : l’enfant, docile et/ou rebelle, le parent et l’adulte, l’une ou l’autre endossée en fonction des circonstances. En multipliant les messages infantilisants, le gouvernement, en bonne figure paternaliste en général et dans la toute-puissance en particulier, soumet ses sujets en les menaçant de couper le lien : agissez comme je dis (pas comme je fais…) et vous ne serez pas puni. Or, face à l’autorité et depuis la petite enfance, conditionné à la respecter, la plupart d’entre nous a tendance à régresser et face à cet « amour » conditionnel, à obéir, à porter un masque facial, à rester confiné, à se faire vacciner. Toutefois, en fonction de l’estime que l’on a de soi, on aura tendance à s’en remettre variablement au « père », à suivre ou pas ses consignes en toute confiance et à les remettre ou non en question.

En parallèle, il convient de s’adresser à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion. Les émotions sont innées, universelles et communicatives, elles sont surtout indispensables à la survie de l’homme et à la construction de son comportement. Pourtant, la plupart d’entre nous n’ont jamais appris à les gérer, mais plutôt à s’en méfier, à les réprimer, voire à les refouler.

Cette crise nous a tous, ou presque, mis dans une tourmente émotionnelle extrêmement forte, si ce n’est sans précédent : peur de mourir, l’émotion la plus profonde et celle sur laquelle cette « pandémie » a pris appui, mais aussi la peur de tomber malade, de contaminer nos proches, de l’absence de lien, de perdre son travail, de payer une amende, etc. Avec une telle intensité, la peur a fait ressurgir bon nombre de vieilles blessures de l’enfance et sans avoir appris à gérer cette émotion comme les autres, lorsqu’elles surgissent et de façon aussi intense, l’analyse rationnelle est alors court-circuitée et le sens critique désactivé. Les émotions sont, en outre, de bien mauvaises conseillères. Enfin, en utilisant le registre émotionnel, il devient facile de faire ressurgir certains comportements inconscients et d’en implanter de nouveaux. C’est ainsi que l’on fabrique le consentement, lorsque l’ingénierie sociale abat ses cartes au bon moment.
« Armes silencieuses pour guerres tranquilles » (Noam Chomsky)

L’agnotologie désigne l’étude des moyens mis en œuvre pour produire, propager et préserver l’ignorance et, par extension, la « production culturelle de l’ignorance ». (Robert N. Proctor, historien des sciences à l’Université de Stanford)

La pédagogie, ces dernières décennies, a mis un point d’honneur à cloisonner et hyper-spécialiser le savoir, jusqu’à exceller dans un domaine bien précis, au point aujourd’hui de ne plus permettre aux individus de relier les choses les unes aux autres, de discerner ni d’anticiper, autrement dit, d’avoir une vision globale et à long terme. De surcroît et malgré la technologie sous la forme d’ « assistants », censés rendre nos existences matérielles débarrassées de leurs contraintes, le monde va de plus en plus vite, ne nous permettant plus de prendre le temps pour anticiper. La visibilité à court-terme, à l’image de la distance qui nous sépare de nos écrans, et l’immédiateté l’ont emporté.

Notre cerveau est fait de trois strates. La première est reptilienne, dont le comportement archaïque concentre toute son attention sur la survie (aujourd’hui pour beaucoup financière) et la territorialité au sens large (géographique, hiérarchique, idéologique, etc.). La deuxième est limbique, elle est responsable des émotions et du stress. Ces deux premières strates, archéo- et paléo-cortex, constituent le cerveau « mammalien », dont les caractéristiques sont l’automatisme et l’émotionnel. La troisième, la plus récente dans l’évolution de l’espèce humaine, est le néocortex, qui permet la réflexion, l’adaptation et l’anticipation, en somme, d’avoir une vision globale du monde qui nous entoure. Or, sans avoir appris à gérer ses émotions et en état de choc chronique, le néocortex est mis en échec, pris en otage, et ses capacités sont comme inhibées. Prenons l’exemple des restaurateurs, dont le commerce a été fermé et qui perçoivent, en contre-partie de cette fermeture, une aide financière de l’État. À court terme, leur cerveau reptilien dit : grâce à cette aide, je peux manger, aussi, j’obéis à cette main qui me nourrit et respecte les mesures imposées. Quid de ce qu’il en sera à plus long terme, de cet assistanat et de son prix à payer ? Il s’agit là d’un parfait exemple de raisonnement à court terme et de soumission librement consentie, comme sous hypnose.

Nous sommes donc tous devenus experts dans notre domaine de compétences, sans avoir pu, ni su, ni eu le temps d’aller farfouiller ailleurs, et peu d’entre nous ont véritablement plongé dans les entrailles de nos émotions pour en explorer les moindres méandres, tandis que l’élite gouvernante, elle, n’a cessé d’ajuster sa vision globale pour anticiper et avoir une très large avance sur nous, le peuple.

La société tend désormais à se complaire dans la médiocrité, plus que jamais encouragée à le faire. La médiocrité est ici sociale, celle des comportements sociaux, et non individuelle. La pensée complexe, au sens d’Edgar Morin et d’enchevêtrement de relations pour faire sens, n’est désormais plus promue, voire ouvertement dénigrée. L’hyper-cloisonnement des disciplines et l’expertise d’une manière générale l’ont emporté sur la systémie, ce champ interdisciplinaire relatif à l’étude d’objets dans leur complexité. Aujourd’hui, on n’apprend plus à l’école et encore moins, nous l’avons vu, dans les grandes écoles et universités, à relier les choses entre elles, mais au contraire à être hyper spécialisé dans son domaine, ainsi que, à grand renfort d’évaluation et de peur de l’échec qui va avec, à être « docile au protocole ». Nul besoin de relier ce qui est séparé, qui permettrait d’avoir une compréhension du monde, un état que l’ingénierie sociale s’attelle à maintenir, à l’aide d’une partie de l’information, elle aussi gagnée par la médiocrité. En effet, le niveau des arguments est, aujourd’hui, au plus bas dans les médias mainstream, tant pis pour l’éthique et la déontologie, tout en s’efforçant de ne surtout pas bouleverser l’ordre établi. Le trouble est suffisamment grand, aussi, une explication qui ne tient pas vaut toujours mieux que pas d’explication du tout. Et ça fonctionne, la main le sait.

Le résultat en est que la majorité ne cherche plus à comprendre le monde dans lequel elle vit, ni ne remet en question ce qui est dit et montré, en boucle. Elle a baissé la garde et les armes, par peur inconsciente de perdre sa position, si le système venait à s’écrouler. Celles et ceux qui ont « baissé le rideau » sont entrés en passivité totale, comme d’autres, de plus en plus nombreux, entrent en résistance. Désormais convaincus qu’ils ne font pas le poids pour changer quoi que ce soit, ils accompagnent avec nonchalance le mouvement officiellement impulsé par le gouvernement, en bon père de famille, convaincus de ne plus être maîtres ni responsables de quoi que ce soit, de leurs pensées, leur liberté et leur destin.
Remplacer la révolte par la culpabilité

Nous ne reviendrons pas sur la déresponsabilisation qui fait rage et porter plus que jamais tout le poids de cette crise sur le dos des citoyens. Ainsi, au lieu de se révolter, ils s’auto-dévaluent et culpabilisent. Or, la culpabilité est une émotion faite de peur et de tristesse, assortie souvent d’un peu de honte, et tend à générer un état dépressif, dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Avec la sidération, la culpabilisation est un excellent moyen de tuer la révolte dans l’œuf. Ainsi submergée par ses émotions, la foule ne réagit plus à la raison. La main le sait aussi.

Les sciences de l’Homme (sociologie, psychologie, biologie humaine) n’ont plus de secret pour les détenteurs et exécutants de l’ingénierie sociale, qui ont une connaissance bien plus avancée et plus transversale de la nature humaine que les spécialistes de chacune des disciplines eux-mêmes. La main connaît mieux l’individu moyen qu’il ne se connaît lui-même et de fait, détient sur lui un pouvoir plus grand.

L’Humanité est aujourd’hui parvenue à une étape décisive de son évolution, celle de la vérité, de la responsabilité, de la liberté et de la souveraineté, ce qui ne signifie aucunement mettre celle de l’autre en danger. Cette crise est profondément salutaire, en ce sens qu’elle pourrait servir à chacun de nous, en procédant à une profonde introspection et en se posant une question essentielle : qu’est-ce que je veux, pour moi, pour les miens, pour la jeunesse, pour l’humanité ? Brader ma liberté pour 135€ et rester bâillonné en attendant de voir ce qui va se passer ou si quelqu’un d’autre va faire quelque chose à ma place ? Ou bien faire le choix de sortir de la prison de la pensée unique (#tousdesclones ? Non merci !), d’accueillir ses émotions, de les mettre au clair pour gagner en liberté, de retrouver confiance et estime de soi, de prendre du recul en remettant en question ce qui est dit et montré, en remplaçant la pensée unique par la pensée complexe, qui permet de croiser, de confronter, de réinterroger, afin de se forger son propre avis sur ce qui se passe et, en connaissance de cause, de résister à ce qui apparaîtrait clairement comme faux, injuste, absurde, pervers. Primo Levi, emprisonné en 1944 dans un camp de concentration et d’extermination, disait : « Un nazi, c’est quelqu’un qui a perdu son principe de résistance. » et J.-P. Sartre, qu’« on n’a jamais été aussi libre que pendant l’occupation ».

Personne n’a dit que cheminer dans ce sens n’était facile, à l’image d’une thérapie, ici sociétale [5] : c’est éprouvant, parfois douloureux, mais intense et le moyen d’ouvrir en grand le champ des possibles. Cette crise nous offre, et c’est une première historique, la possibilité de choisir, sachant que le retour en arrière n’est plus possible, n’en déplaise aux « comme-avantistes ». Le paradigme a désormais atteint son point de non-retour et la grande bascule amorcé son mouvement : sortir grandi de cette crise et souverain ou finir asservi et aliéné ? En somme, choisir entre le grand réveil ou le grand reset [6].

Bernays disait que, pour fonctionner, ces stratégies devaient rester invisibles. Or, ces derniers mois, elles sont devenues au contraire on ne peut plus observables, l’ingénierie sociale ne peut donc plus œuvrer dans l’ombre ni de manière aussi efficiente que prévu. Nous prendrons, pour finir, l’exemple de la mesure la plus « symptomatique » de cette manipulation, celle de la distanciation sociale. Cette mesure contraire à la vie, sans aucun fondement scientifique ni médical, cherche, en force, à retirer le lien dont les êtres humains sont faits, par conséquent, à envisager une société sans lien ni entraide, donc morte. Nous sommes des mammifères et en tant que tels, une espèce fondée sur le groupe et le contact. Pourtant, cette stratégie de distanciation sociale existait déjà partiellement, mais dans l’ombre de l’individualisme et du libéralisme. Elle est aujourd’hui devenue franchement ostensible, or, en se dévoilant, elle révèle un système en train de s’écrouler.


Références

[1] La psychologie des foules, 1895
[2] Propaganda. Comment manipuler l’opinion en démocratie, 1928
[3] Film documentaire Out Of Shadows
[4] https://analysetransactionnelle.fr/p-Eric_Berne
[5] Propos emprunté à Philippe Bobola, physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste : https://emakrusi.com/gallerie-videos/video-category/comprendre-votre-cerveau/
[6] COVID-19 : La grande réinitialisation, Klaus Schwab et Thierry Malleret, septembre 2020
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16/05/2021

La tentation diabolique du transhumanisme...

D'accord avec Louis Fouché, le transhumanisme est symboliquement mais aussi au premier degré, une tentation du Diable (le matérialisme dévoyé)...

18/03/2021

Quelques clefs sur l'imposture sanitaire...



Pas d'accord avec tout mais cette analyse de la façon dont les études soi-disant scientifiques sont tronquées et détournées est bonne à connaître...
La tromperie est manifeste.


10/03/2021

La révolution d'un seul brin de paille ...



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Masanobu Fukuoka , né le 2 février 1913 à Iyo et mort le 16 août 2008, est un agriculteur japonais, connu pour son engagement en faveur de l'agriculture naturelle.
Microbiologiste de formation et spécialiste en phytopathologie, il travaille au Bureau des Douanes de Yokohama, à la Division de l'Inspection des Plantes. Rapidement, il commence à douter des progrès apportés par l'agriculture scientifique (dépendante du travail de la terre, des engrais et des pesticides chimiques), et démissionne de son poste. Il décide de retourner sur la ferme de son père, sur l'île de Shikoku.
Dès lors, il consacre sa vie à développer une agriculture plus conforme à ses convictions, qu'il qualifiera d'agriculture naturelle.

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"Masanobu Fukuoka a compris que nous ne pouvions pas isoler un aspect de la vie d’un autre. Quand nous changeons la manière de faire pousser notre nourriture, nous changeons notre nourriture, nous changeons la société, nous changeons nos valeurs. Ce célèbre agriculteur japonais a choisi la simplicité en imitant la nature et en repoussant la technologie. En partant du principe que l’homme ne connaît rien et ne peut pas créer plus belle oeuvre que la nature, il travaille en laissant agir et pas en voulant tout contrôler. Le but est de nous rappeler notre propre place dans l’ordre des choses."




Petit livre essentiel, très simple à lire, une bouffée d'air pur et de poésie. Une indication de la bonne direction dans la situation ubuesque et despotique actuelle.


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28/01/2021

Carré Taureau Verseau


La pleine lune en Lion de cette semaine (ce jeudi) devrait renforcer encore le coté contestataire potentiellement violent que symbolisent les divers carrés entre Taureau (Mars sur Uranus) et Verseau (Saturne, Soleil, Jupiter).

On peut déja constater des mouvements de révolte (Danemark, Pays-bas, Israël, Espagne, Liban, etc..) contre la dictature sanitaire délirante (qui n'en finit plus de se ridiculiser aux yeux de la postérité).

La presse alignée en témoigne
Ouest France : Covid-19. « Nous nous dirigeons vers une guerre civile » : en Europe, le ton monte contre le confinement.

Les Echos :Troisième nuit d'émeutes aux Pays-Bas pour protester contre le couvre-feu.

ainsi que les réseaux sociaux:
COVID19 : au Danemark , aux Pays-Bas ou en Espagne , le durcissement des restrictions fait monter la colère. Tweeter ici et là.

En Italie de nombreux restaurants ont rouverts de force ou clandestinement(Ici Ici )et le président a du donner sa démission.

Aux Etats Unis aussi ça chauffe... (Le point)

Episode quasi révolutionnaire encore, en Inde, pour d'autres raisons assez proches.
"Après 60 jours de siège de la capitale par près de 300 000 paysans (en soulèvement contre les lois agricoles qui liquideraient la petite propriété paysanne),ce sont près de 200 000 tracteurs et probablement plus de 1 million de paysans et leurs soutiens ouvriers et citoyens qui sont entrés dans la capitale le jour de la fête nationale indienne sous les applaudissements de la foule à Delhi." (cf)
Vidéo des émeutes qui ont suivi avant la prise du "Fort Rouge"...
Plus d'infos.

En France, si 83% approuvaient un premier confinement il y a un an, ce n'était plus que 67% en Novembre et ce serait 52% en ce début d' année (Elabe).
Francis Lalanne lance un appel à démettre Macron de ses fonctions. :o)
Le Pr Raoult s'en prend au conseil de l'ordre et au ministre qui n'est que de passage. (Ici) (ou)
De plus en plus de médecins et citoyens osent s'exprimer et contester. (Exemple)
Les gens en ont gros.

Quelques tribunaux européens jugent le confinement ou l'obligation du masque inconstitutionnels. (ici)

Contraint par une décision judiciaire, Facebook s'est même excusé aujourd'hui d'avoir censuré les publications mentionnant l'efficacité de l'HCQ.

En revanche les députés français de LREM viennent de dissoudre la commission d’enquête sur le Covid, sans honte.

Et les médias dans l'ensemble continuent de soutenir le récit fictif officiel et de maintenir l'idée fausse d'un danger toujours menaçant.
La succession des mesures stupides, inutiles (voire délétères) et liberticides, a entretenu et amplifié un lourd climat anxiogéne (qui était de toute façon pré visible sans cela dans la conjoncture astrologique) ce qui, en soit, provoque des morts.
(La peur tue à court terme les plus fragiles, c'est un fait peu relayé difficile à chiffrer précisément mais clairement établi.)
Elles ont probablement prolongé cette banale épidémie en l'exagérant artificiellement (chiffres bidonnés, critères modifiés, tests sans valeur fiable) ou mécaniquement (en interdisant ou dénigrant tous les traitements et soins existants pour privilégier une vaccination illusoire) (mutations favorisées possiblement par le remdesivir, ou le plasma, voire les vaccinations?).

Un des scandales les plus importants (nombreux en 2020) ayant consisté à attribuer au Covid des morts dues à de toutes autres causes par le biais des tests PCR manipulables à souhait.

D'ailleurs la légère surmortalité de 2020 semble due à la génération du baby-boom rentrant dans la classe d'age des +70 ans ( plus à risque) et non au Covid.




Mais cette situation abracadabrante et criminelle peut être interprétée positivement avec du recul comme la façon de faire évoluer les consciences, donc de changer le futur à moyen terme en prenant en compte le degré d'asservissement de la population hélas globalement consentante, devant l'évocation d'une "nécessité scientifique". Référence scientifique totalement factice, en réalité, puisque les meilleurs scientifiques ont été censurés et qu'on a laissé parler les plus corrompus ou les plus dociles, au service d'une idéologie "scientiste" dogmatique dépassée, et/ou des laboratoires.

« Toute crise majeure est une chance. Parce qu’elle brise un continuum. Et qu’elle ouvre une lucarne dans le mur circulaire de nos habitus cimentés à la résignation et au déni. Une lucarne qui peut vite devenir fenêtre, puis portes sur un futur à désincarcérer. »
Alain Damasio
(Texte entier.)

Le mois de Février est une fenêtre d'opportunité (astrologiquement propice) pour résister à ce qui est déja une semi dictature bien en place (sous couvert de provisoire sans cesse renouvelé), une ploutocratie gouvernée par diktats de milliardaires et d'experts technocrates autoproclamés, partageant une idéologie progressiste transhumaniste matérialiste qui va à l'encontre du sens de l'histoire et qui résiste donc au vrai changement par l'absurdité ou le délirium, (tout en nous en rapprochant peut-être indirectement par la bande).

Sinon il faudra tenir encore quelques mois, voire 2 ou 3 ans avant que tout cet édifice de mensonges ne s'écroule.

Ajout du 29:
- Poutine a levé les restrictions sanitaires et les russes reviennent à une vie normale.
- Contrairement aux déclarations officielles, le vaccin perd encore de sa crédibilité. Ainsi en Israël , avec le taux de vaccinations le plus élevé ( à plus de 30%) le nombre de morts a augmenté vers des records jamais atteints.Même chose au Portugal. Les risques du vaccin semblent se confirmer.
- Macron renonce au 3ième reconfinement (probablement devant la peur de l'insubordination montante). Castex n'annonce qu'un renforcement symbolique du couvre-feu et des contrôles aux frontières.
- Signée du professeur et épidémiologiste John Ionannidis (probablement le meilleur épidémiologiste mondial), une récente étude de Stanford souligne que le confinement et la fermeture des lieux culturels, bars et restaurants n’a été d’aucune utilité. Il n’aurait pas eu d’impacts sur le nombre de cas de contaminations et c’est même tout l’inverse. (Ici)

Ajout du 30:
La résolution 2361 adoptée le 28/1 par le Conseil de l’Europe stipule en articles 7.3.1 et 7.3.2 que la vaccination ne devra PAS être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres, pour se faire vacciner, si il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.
L’article 7.3.2 stipule que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.
Dommage que les décisions du conseil de l'Europe ne soient pas contraignantes.

24/12/2020

Grippe et Coronavirus...

La baisse de la mortalité par la Grippe cette année, le lien entre vaccination grippale et pics épidémiques du Corona, tout cela suscite des interrogations légitimes...

Article de NéoSanté du 23 Décembre 2020

Où est passée la grippe saisonnière ? Le covid-19 a-t-il chassé cette année l’infection respiratoire à virus influenza ? Cette question, nous l’avons posée dès le printemps en remarquant que les signalements de maladie grippale, déjà peu nombreux en hiver, avaient piqué du nez juste avant que le fléau coronaviral n’entame son irrésistible ascension statistique. En France comme en Belgique, les instances sanitaires ont même cessé de surveiller les virus grippaux tant leur présence devenait anecdotique à mesure que le sars-cov-2 leur volait la vedette. Aujourd’hui, il appert que les deux particules n’ont pas circulé de concert et que l’une a largement supplanté l’autre. Selon Santé Publique France, la grippe annuelle a causé de janvier à décembre 3.680 décès dans l’Hexagone alors que son bilan macabre oscille généralement entre 10.000 et 15.000 morts. L’épidémie a été remarquablement plus courte et moins meurtrière que d’habitude. Parce que la coque vide a été remplie de grippes et pneumonies classiques confondues avec la « nouvelle maladie émergente » ? C’est une part de l’explication puisque ni la symptomatologie ni l’imagerie médicale ne permettent de les distinguer franchement. Un autre scénario acquiert toutefois de la consistance : les virus sont entrés en compétition et se sont disputés la même « niche écologique », le plus performant étant le plus récent. Vu que leurs modes de propagation sont similaires, il est improbable que les gestes barrières et la distanciation sociale aient pu favoriser l’un et désavantager l’autre. Selon toute vraisemblance, il s’est produit un phénomène d’interférence virale et de « remplacement épidémique ».

Coïncidence troublante


Après 5 années dominées par des Influenza plutôt faiblards, un Corona à protéine pointue aurait donc pris l’ascendant et fauché, malgré sa faible létalité, bon nombre de vies épargnées durant un lustre clément. Simple « rattrapage » naturel comme il s’en produit régulièrement. Le hic, c’est que les victimes 2020 sont, dans leur écrasante majorité, des personnes (très) âgées. Et ça, c’est tellement inhabituel que l’on peut soupçonner un facteur d’influence artificiel. Manipulation d’un virus en laboratoire ou répercussion post-vaccinale ? C’est la seconde hypothèse que nous avons privilégiée et soulevée dans notre newsletter du 25 mars avant de l’examiner dans le Néosanté du mois de mai. Dans ce numéro, nous évoquions notamment des campagnes antipneumocoques ayant précédé de peu les flambées épidémiques en Italie et en Espagne, ainsi qu’une étude américaine montrant que le vaccin antigrippe augmente de 36% le risque d’infection à coronavirus. Pour le Néosanté de septembre, c’est sur ce suspect en particulier que Pryska Ducœurjoly a enquêté, pointant que les pays les plus touchés par le covid sont aussi les pays dont les aînés sont le plus vaccinés contre la grippe. Si corrélation n’est pas causalité, la coïncidence est cependant troublante. En continuant à lire la littérature scientifique, notre journaliste a glané des indices supplémentaires qu’elle expose dans un nouveau dossier accablant pour le vaccin grippal, à lire dans notre numéro de janvier. Elle cite notamment une étude allemande, le travail d’un chercheur mexicain et l’analyse d’un consortium international de scientifiques spécialisés en toxicologie environnementale. Toutes ces publications arrivent à la conclusion qu’il y a de nettes relations entre le fait d’avoir été vacciné contre la grippe saisonnière et le risque de contracter le covid, d’en souffrir sévèrement et d’en mourir rapidement, indépendamment de l’âge et des comorbidités. Ces recherches démontrent surtout que le lien ne peut être le fruit du hasard. Soit la vaccination influenza fait le lit de l’infection à corona par mécanisme d’interférence, soit le vaccin lui-même entraine des effets physiopathologiques. De telles conséquences ont déjà été observées avec l’inoculation annuelle, entre autres des vascularites et des lésions pulmonaires comme celles attribuées au sars-cov-2.

Témoignages accablants

L’étau se resserre d’autant plus sur notre suspect que nous avons pu, cet automne, épier ses méfaits en temps réel : la prétendue « deuxième vague » de covid s’est produite dans la foulée de la campagne de vaccination automnale ! C’est l’épidémiologiste et chercheur émérite Michel de Lorgeril qui établit ce constat à l’aide des chiffres qu’il a rassemblés : le pic des hospitalisations en France est survenu quelques jours après le lancement officiel de la vaccination antigrippale. La concordance temporelle a peu de chances d’être fortuite car dans d’autres pays (Belgique, Suisse, Angleterre,…), la charge hospitalière a également culminé dans la semaine suivant les injections. Détail piquant, si l’on ose dire, la situation française s’est améliorée dès que le vaccin a été épuisé en pharmacie. En cliquant ici, vous pouvez accéder au blog du Dr de Lorgeril et à son article « concordance vaccination antigrippale et recrudescence covid-19 ». Histoire d’étayer nos soupçons, Pryska et moi avons lancé appel à témoignages sur les réseaux sociaux. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils ne plaident pas en faveur de l’accusé ! Les vaccinés attestent que ce vaccin les a déglingués et des proches de patients «covidés » témoignent que l’état de leurs parents s’est brutalement dégradé juste après l’acte médical. Encore une fois, ni ces récits ni les graphiques du Dr de Lorgeril n’apportent la preuve que le covid fatal est la rançon d’un préalable vaccinal. Mais quand un coupable présumé traîne sur toutes les scènes de crimes au moment où les meurtres sont commis, on peut raisonnablement suspecter son implication. Il revient à présent aux (ir)responsables de la politique sanitaire d’oser interroger le suspect !

France-Soir dans la bagarre

Cet interrogatoire a évidemment peu de chances d’être effectué si Néosanté demeure le seul organe de presse à faire pression pour qu’il le soit. Mais justement, ce n’est plus le cas : nos excellents confrères de France Soir, média qui aura vraiment fait honneur à la profession en 2020, nous ont en effet rejoints dans cette croisade pour la vérité. Le 6 octobre dernier, le groupe de scientifiques bénévoles signant Le Collectif Citoyen avait déjà publié un article bien documenté s’interrogeant sur le lien entre les décès des aînés atteints de covid et la vaccination contre la grippe saisonnière. Ce texte se concluait par un appel à une réflexion urgente sur la « stratégie d’anticipation » concernant les personnes âgées. La semaine dernière, le 17 décembre exactement, c’est une tribune rédigée par un citoyen éclairé qui est apparue sur le site de France Soir. Son titre : La Vaccination antigrippale depuis le 13 octobre 2020 est-elle responsable de la surmortalité en France entre le 15 et le 30 novembre 2020 et dans le reste de l’Europe ? Loin de poser seulement la question et d’être une simple tribune d’opinion, cet article est une enquête fouillée qui recoupe et complète celle que nous allons divulguer dans nos pages en janvier. C’est un travail remarquable car il y a même quelques références scientifiques que Pryska Ducœurjoly n’a pas repérées en investiguant pourtant assidument. Non sans une pointe de jalousie, je constate une nouvelle fois que le journalisme collaboratif aura conquis ses lettres de noblesse cette année et que des amateurs font aussi bien, voire mieux que des pros de l’info ! Le « citoyen éclairé » anonyme est d’autant plus à féliciter qu’il apporte un éclairage encore plus aveuglant que le nôtre. Il souligne par exemple que dans des pays jusqu’ici peu touchés par le fléau (République Tchèque, Pologne, Slovénie, Hongrie, Roumanie…), il y a eu une flambée de décès automnaux imputés au covid. Ces pays font généralement partie de ceux qui vaccinent le moins contre la grippe. Or ils ont démarré une campagne de vaccination antigrippale sans précédent depuis le début de l’automne ! La corrélation entre la pseudo « deuxième vague » et le vaccin saisonnier passe ainsi du statut d’hypothèse à celui de quasi-certitude, aussi évidente qu’un nez au milieu d’une figure. Notre suspect l’est plus que jamais et l’opinion publique doit exiger qu’il soit interrogé sans délai !
Yves Rasir

17/12/2020

Saturne en Verseau




Ce jeudi matin du 17 Décembre, Saturne est revenu en Verseau (où il avait fait une première incursion de fin Mars à fin Juin).

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Le vieux monde peine à passer la main, répression punitive et mesures absurdes continuent (après plusieurs autres médecins, le Pr Perronne est licencié pour ses propos sur la crise), Macron positif (après un repas à 10 en plein couvre feu), des cyberattaques historiques contre les USA, Trump ne reconnait pas sa défaite...
La propagande des médias s'intensifie en faveur de vaccins très peu fiables alors même que de nombreux faits montrent leur nocivité (campagne suspendue en Australie, effets secondaires peu engageants).


Vidéo (Une jeune femme s'évanouit quelques minutes après la vaccination.)

Les médias alignés continuent le déni sur les traitements existants (HCQ, Ivermectine, Zinc, vitamines D et C, etc..) et persistent à défendre leur récit fictif (efficacité des masques, du confinement, du couvre-feu) quand bien même la réalité et toutes les études sérieuses montrent le contraire.
Ils présentent la réalité comme un choix unique entre confinement ou vaccin !

Souriez.

Dr Sucharit Bhakdi

Interview du 11 Novembre de l'excellent Dr. Sucharit Bhakdi, chercheur microbiologiste, qui a sorti un livre sur l'extravagance des mesures prises face au coronavirus...
Pour lui, toute cette agitation autour du covid n'a aucun fondement scientifique, le port du masque dans les lieux publics et le confinement sont des crimes et la vaccination est dangereuse et inutile.

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