30/04/2020
Plantes et fleurs comestibles
Le site Ctendance a eu l'excellente idée de recenser une bonne partie des plantes et fleurs sauvages comestibles:
30 plantes comestibles sauvages facilement identifiables
Les plantes et fleurs comestibles sont de plus en plus utilisées par certains grands chefs célèbres. Au cours de vos promenades, dans votre jardin ou potager bio, sur le bord des routes, certaines plantes sauvages peuvent agrémenter nos assiettes. Il faut cependant être absolument sûr des plantes que vous consommez et rester très prudent, car certaines d’entre elles peuvent être toxiques. Des stages sont organisés pour vous apprendre à les identifier avec certitude.
Voici une liste de 30 plantes facile à reconnaitre :
L’ortie
L’ortie est la plus connue des plantes sauvages, c’est aussi la plus ancienne. Mais le saviez-vous ? Cette plante joue un rôle important puisqu’elle nettoie le sol ! C’est pour cela qu’elle est à l’aise partout et que vous pouvez la retrouver dans une décharge. Elle ne se ramasse pas n’importe où. Riche en calcium, en vitamines C et en fer, il est possible de consommer les têtes et les feuilles. Cuisinée avec des pommes de terre, une guiche, elle est délicieuse. Il est également possible de faire du pesto ou du beurre d’ortie et une fois les feuilles sèches, elle peut être dégustée en tisane.
Le trèfle
Le trèfle on le connait tous, on le trouve un peu partout, mais si vous n’en avez jamais goûté, vous risquez d’être surpris. Cette plante est délicieuse, le goût est fin et elle peut parfaitement être mangée en salade pour accompagner des tomates ou une tarte salée. Il suffit d’essayer pour être convaincu.
Le plantain
Cette plante que l’on trouve un peu partout et souvent à proximité des orties fleurit entre mai et octobre. Elle se déguste en salade avec juste un peu d’huile d’olive au thym et un filet de balsamique. Elle possède diverses vertus, elle peut soulager les piqûres d’ortie et elle contribue à la biodiversité, car les oiseaux en particulier l’aiment beaucoup.
Le pissenlit
Le pissenlit est déjà très connu sur le plan culinaire. Cette plante produit des fleurs en abondance entre mars et novembre. Elle est d’autant plus intéressante qu’elle est riche en minéraux et vitamines. Ses fleurs sont utilisées pour faire de la confiture et du vin, tandis que les feuilles et les racines peuvent être cuisinées en salade, en soupes ou infusions.
La Pâquerette
Cette fleur n’est pas seulement jolie, elle est également riche en calcium. Elle apporte un petit goût original à vos salades et en plus une touche de gaieté et un petit air printanier. Le seul problème avec cette plante, c’est qu’elle a tendance à pousser n’importe où et même là où les traitements toxiques et pesticides ont été répandus. Et dans ce cas bien entendu, elles ne sont pas propres à la consommation. Il faut donc les cueillir dans les potagers ou les jardins bio pour ne prendre aucun risque.
Les ronces
Elles n’ont pas très bonne réputation, car elles ont tendance à envahir les jardins. Elles fleurissent de juin à août et contrairement à ce que l’on pourrait croire, elles ont beaucoup d’intérêt : les papillons les aiment beaucoup, les mammifères s’y cachent et elles sont riches en vitamines C et en tanin. Les bourgeons se consomment et les baies, les mûres sauvages sont excellentes. Elles peuvent être consommées nature, mais il faut les cueillir en hauteur, car les animaux peuvent uriner sur les parties basses. Vous pouvez également en faire de la confiture.
Le lierre terrestre
Le lierre terrestre a un réel intérêt au niveau gustatif, car il a un goût délicat et agréable, toutefois son principal défaut est d’être difficilement identifiable. Il faut donc parfaitement apprendre à le reconnaitre avant de se lancer. Il est très bon en salade et peut parfumer un taboulé. Une fois séché, il fait de délicieuses tisanes qui sont très bonnes pour la santé. Il fleurit entre mars et octobre et attire les abeilles et autres insectes pollinisateurs.
La noisette de terre
La noisette de terre ou conopode fleurit entre mai et juillet, elle se consomme à partir de septembre et jusqu’à la floraison. Pour la récolter, il est nécessaire de gratter la terre et d’en extraire la racine. Le tubercule se mange avec plaisir, car il rappelle le goût de la noisette. En revanche, il faut apprendre à la reconnaitre parfaitement avant de se lancer, car elle ressemble étrangement à la grande cigüe qui est dangereuse et toxique et impropre à la consommation.
Le gaillet grateron
Le gaillet grateron est facilement identifiable : ses feuilles qui présentent un aspect rugueux singulier s’accrochent aux vêtements et aux mains. Il est riche en vitamines C et il peut être dégusté en salade en ajoutant quelques feuilles seulement à une salade verte.
L’oseille sauvage
Cette plante fleurit de mai à juillet, elle est également appelée rumex et elle permet d’aider à aérer les sols trop tassés. Elle peut être mangée en soupe, en salade, dans certains plats ou sauces qu’elle relève. De nombreuses recettes se servent de l’oseille sauvage depuis très longtemps.
La berce commune
La berce commune est particulièrement utilisée dans les cakes sans doute à cause de sa saveur qui rappelle la mandarine. Elle fleurit entre juin et septembre et il ne faut surtout pas la confondre avec la grande cigüe très toxique. Il est préférable de s’abstenir au moindre doute. Elle peut également servir d’aromate dans certains plats.
L’ail des ours
L’ail des ours est également appelé ail sauvage. La principale difficulté lors de la récolte tient au fait qu’il peut être confondu avec le muguet qui est toxique. Il pousse sur les sols humides et c’est ce qui les différencie. Il faut savoir que tout peut être consommé : les boutons, la tige et les fleurs. Il se déguste en consommé ou en pesto, son goût est proche de l’ail.
Les violettes
Tout le monde connait les violettes, ces petites fleurs qui apparaissent un peu partout : dans les forêts, les prairies, au soleil ou à l’ombre, mais ce que vous ne savez peut-être pas c’est qu’elles peuvent être consommées. Ses fleurs et ses feuilles sont comestibles. Les feuilles peuvent remplacer les épinards, elles se préparent de la même manière et sont délicieuses en tartine avec du fromage de chèvre. Les fleurs permettent d’aromatiser le sucre ou de faire de la confiture, elles décorent également une entrée ou un plat.
La grande mauve
Elle est parfois appelée mauve des bois ou mauve sylvestre. Il est possible de manger ses pétales en les faisant simplement revenir ou en les cuisinant comme les épinards. Elle décore également vos plats en apportant une jolie couleur.
La Mélisse citronnée
La mélisse citronnée parfume agréablement une salade de fruits ou une salade verte : pour cela il suffit d’en ajouter quelques feuilles. Si vous la faites sécher, vous pourrez ensuite l’utiliser en tisanes ou infusions. Il suffit pour cela de cueillir ses feuilles avant qu’elle ne fleurisse, c’est le moment où la mélisse a le plus de goût.
Le houblon
Le houblon pousse la plupart du temps près des ronces et sur des sols humides. Il suffit de récolter les jeunes pousses et de les consommer comme les asperges pour se régaler. Le meilleur moment pour le récolter est la période de juin à septembre.
Le nombril-de-Vénus
La fleur qui porte ce joli nom est pleine de vertus, en effet elle est riche en minéraux, en fer et en vitamines. On peut consommer ses tiges et ses fleurs en salade. Mais elle a aussi des propriétés anti-douleur. Il suffit de retirer la pellicule qui recouvre les feuilles et de frotter la petite plaie pour soulager la douleur d’une coupure.
Le sureau noir
Le sureau noir est aussi appelé la vanille du pauvre du fait de son parfum et parfaitement reconnaissable. Il fleurit au début de l’été et il faut attendre août pour que les fruits apparaissent. Fruits qui d’ailleurs peuvent donner lieu à des sirops, des gelées ou des confitures. Les fleurs sont plutôt utilisées en beignets, mais elles peuvent également permettre de faire du vin. Une fois la préparation faite, laissez-la vieillir, elle n’en sera que meilleure encore. Les baies du sureau ne se consomment que cuites, elles peuvent sinon être très dangereuses, car elles se transforment en cyanure durant la digestion. Attention aussi de ne pas le confondre avec la hièble qui est toxique.
Le silène
Le silène est une plante qui s’appelle également compagnon rouge. Les pousses apparaissent de mars à mai et ce sont elles qui peuvent être dégustées cuites ou crues en salade. Entre mai et octobre lors de la floraison, les fleurs sont consommables en salade.
Le chardon
Même si cela peut paraitre étonnant, le chardon peut être cuisiné, il suffit pour cela de le récolter au printemps. Une fois qu’il a bouilli dans l’eau, on peut le retirer et récupérer l’eau pour faire cuire du riz. Il sera ainsi parfumé agréablement grâce à cette plante.
Le plantain Lancéolé
Le plantain lancéolé pousse tous les ans dans les prairies entre avril et octobre. Ses feuilles se mangent en salade et sont délicieuses. Il faut les récolter dans des endroits non traités.
La bardane
La bardane pousse souvent en forêt. Ses feuilles se mangent crues dans une salade. En les cuisant, vous ferez ressortir son petit goût rappelant l’artichaut. Quand elles viennent de sortir de terre, il est préférable de consommer ces jeunes pousses crues après les avoir pelées. Elles peuvent même être conservées dans du vinaigre. Les pétioles se dégustent indifféremment cuites ou crues.
L’hégodode
L’hégodode est une plante que l’on trouve un peu partout. Et elle se mange facilement. Quand elle est jeune et tendre, vous pouvez la consommer dans la salade. Quand elle est plus ancienne et plus ferme, elle se mange dans des tartes, des soupes ou des guiches.
Le bouleau
Le bouleau est un arbre qui offre plein de ressources, sa sève est comestible, elle est prélevée quand les feuilles commencent à pousser. Pour la récolter, il faut faire un trou à la base de l’arbre. Une fois prélevée, il faut en boire le matin pour purifier l’organisme. Si vous aimez les saveurs amères, vous pouvez consommer ses feuilles en les faisant sécher et en les mettant à frire dans un bain d’huile, vous obtenez des chips délicieuses.
L’aubépine
Dans l’aubépine, les jeunes feuilles et les cenelles sont consommables. Les jeunes feuilles peuvent être dégustées crues. Les cenelles sont le plus souvent cuisinées crues ou cuites. Assez fades et farineux, ils peuvent être ajoutés à des sauces pour les épaissir ou manger tels quels. Ils peuvent également être séchés puis broyés pour en faire de la farine.
Le lamier
Le lamier se trouve surtout dans les sous-bois ou les prairies. Il est préférable de récolter les jeunes feuilles et les jeunes pousses avant la floraison. Elles peuvent alors être dégustées en salade. Vous pouvez également les préparer comme des épinards surtout quand les feuilles sont plus vieilles. N’hésitez pas à les intégrer dans des soupes, des sauces ou des ragoûts.
La bette maritime
La bette maritime se retrouve souvent sur les côtes françaises, elle serait l’ancêtre sauvage de la betterave. Elle se cuisine de la même manière que les épinards. Il est préférable de choisir les feuilles basales qui sont les plus fermes et les plus larges, il faut supprimer les grandes nervures avant de les mettre à cuire. Elle peut être consommée seule, être intégrée dans des crêpes, des guiches et des soupes.
L’arroche étalée
L’arroche étalée pousse un peu partout et même dans les endroits les plus improbables. On consomme de préférence les jeunes pousses peuvent être dégustées crues en salade ou ciselées comme les herbes aromatiques. Elles peuvent alors être ajoutées à une quiche ou une omelette. Les feuilles cuites se mangent comme les épinards. Elles peuvent être cuisinées braisées ou à la vapeur, en soupes ou en tartes. Les graines sont utilisées dans le pain, des muffins, des ragoûts ou des soupes.
L’asperge sauvage
Elle pousse de préférence dans les lieux rocailleux et arides et les terrains calcaires dans le bassin méditerranéen. Elle est riche en vitamines de toutes sortes et en minéraux. Les jeunes pousses sont délicieuses et très tendres, elles peuvent être cuites comme les asperges classiques et dégustées de la même manière. Les racines sont également comestibles.
Le macéron
Le macéron est une plante qui pousse sur le bord des routes, dans les bois, les haies d’arbres et qui est fortement odorante. On le récolte avant la floraison en coupant les tiges feuillues les plus proches du sol en privilégiant celles qui sont blanchies par la végétation. Il faut ôter les parties vertes et les faire cuire à la vapeur ou bouillir quelques minutes. L’odeur anisée disparait en cuisant, elle est ensuite consommée comme des asperges. Les jeunes feuilles peuvent être servies en salade ou dans des sauces.
source
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23/04/2020
Casasnovas 2eme partie (sur les ondes electro)
23:03 Publié dans Notes diverses | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
21/04/2020
Avenir
Cela n'a jamais été aussi vrai.
2020 constitue une sorte de porte temporelle
un chaos (le système est grippé)
changement de structure et de paradigme
l'avenir sera ce que nous en ferons par nos prises de consciences et comportements
durant les 6 prochains mois, principalement.
22:20 Publié dans Notes diverses | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
11/04/2020
Lepage
Juste un peu de bon sens sur l'absurdité de ce confinement punitif sans nuance (à partir de 22mn 30sec)
plus une mise en perspective des chiffres
et une analyse politique de la dominance ultra-sécuritaire technologique qui se déploie.
La blague de l'optimiste et du pessimiste est géniale.
Le texte de Lepage: COVID-19, l’ami des dominants
A mes yeux, cette accélération du processus de contrôle par le biais de " l'épidémie" permettant ce test global que dénonce Lepage, à juste titre, peut entrainer un rejet populaire instinctif. A court ou moyen terme.
Au lieu de se mettre en place progressivement par mithridatisation (principe de la grenouille dans la marmite), cette soudaine entrevue d'un avenir dystopique hypersécurisé et liberticide (vaccin obligatoire, puce, télétravail, suppression du cash et des petits commerces, traçage, etc...) peut faire plus peur que l'épouvantail corona, une fois l'urgence passée et le bon sens retrouvé.Avec le recul. C'est en tous cas ce que j'espère.
Le choc par contrecoup d'un sinistre avenir entrevu.
D'autant que les mensonges, les contradictions, la corruption et les scandales apparaissent de plus en plus sous les masques, décidément d'actualité.
C'est clair désormais ( la Chine le montrait depuis quelques années) : la technologie peut asservir et emprisonner plus qu'elle ne libère.
18:50 Publié dans Notes diverses, Nouvelles,poésies | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : franck lepage | Facebook
11/03/2020
Mindfuck
Non ce n'est pas une insulte...
Il y a grosso modo deux types de mindfuck
-Le premier type de Mindfuck désigne une œuvre littéraire ou cinématographique caractérisée par un retournement de situation inattendu qui fait voler en éclats ce que le spectateur avait cru comprendre de l'intrigue. Cela intervient généralement à la fin du film ou du bouquin.
Par ex, en bouquin policier: Le Meurtre de Roger Ackroyd d'Agatha Christie ou le meurtrier se révèle à la fin être le narrateur.
Cela concerne aussi beaucoup de films basés sur des scénarii recherchant un effet de surprise maximum par une révélation ou un retournement final voire plusieurs retournements successifs.
Par ex, à divers titres:
Usual suspects, Le Sixième sens, la Montagne sacrée, El topo, Blade runner, Brazil, Cube, Dans la peau de John Malkovich, L'armée des douze singes, Le portrait de Dorian Gray, Matrix, Le village, THX 1138, Rosemary's baby, Psychose, La planète des singes, les diaboliques, Fight club.
-Le second type de Mindfuck est visuel. C'est la version ludique et simplifiée , une sorte de casse tête qui a trouvé son terrain de prédilection sur le Net où l'on en découvre tous les jours de nouveaux.
Il s'agit généralement d'une image (trafiquée ou pas) dans laquelle on est sensé retrouver un détail anormal, parfois surnaturel, au milieu d'une image qui semble être anodine.
Il en existe diverses variations dont certaines vraiment sans intérêt.Cela va de l'illusion d'optique, au montage humoristique en passant par les devinettes genre "Où est passé Charlie?" (que l'on doit retrouver dans l'image).
Ma préférée:
Illusion géniale (car il n'y a pas de lac , bien sur, mais juste un muret au premier plan)
00:00 Publié dans Film, Notes diverses, Photos | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : illusion optique | Facebook
09/03/2020
Expérience de pensée
Expérience de pensée
Prenons l'épidémie de Coronavirus actuelle.
Imaginez qu'il n'y ait pas d'observateurs, pas de mesures.
Tous les effets de cette épidémie disparaitraient instantanément. Elle n'existerait tout simplement pas.
En effet, les morts provoqués par cette épidémie seraient simplement incorporés dans la mortalité habituelle des grippes ou infections pulmonaires, sans aucun effet notable 1.
-Officiellement 80 à 85% des sujets atteints (testés) ne présentent pas de symptômes, ou très légers. Ce qui sous-entend qu'
on ne sait pas vraiment qui est porteur et que l'on ignore le nombre des sujets touchés.Le taux de mortalité est donc forcément beaucoup plus faible que les 1 à 3 % annoncés et à peine plus élevé que la grippe classique (0,1%) .
Il est même possible que sans publicité cette épidémie eût provoqué moins de morts: le stress et l'inquiétude engendrés par les médias et les mesures de confinement, pouvant augmenter sensiblement la mortalité en endommageant l'immunité des plus faibles.
-Même si je comprends les vertus du confinement pour certaines épidémies très agressives et très contagieuses , ici on ne voit pas vraiment de différence entre les pays qui confinent et ceux qui ne confinent pas. (Même si c'est encore un peu tôt pour le confirmer.)
En réalité cette épidémie n'existe que par la psychose, qu'avec l'aide des médias, elle suscite et par les mutliples conséquences économiques que tout cela induit 2.
(A suivre pour savoir quoi en déduire. )
Note ultérieure:
Au niveau des chiffres , cela reste valable à la date du 18 Mars , après confinement généralisé.
En effet en France les chiffres de la mortalité restent inférieurs au pic saisonnier de grippes hivernales et troubles pulmonaires (2017 était bien au dessus).
Ce n'est en revanche pas le cas de l'Italie.Pour des raisons à déterminer (âge, pollution, confinement global ?)
Mais au delà du manque de recul des médias, de leur alarmisme, il y a évidemment un effet réel d'engorgement des services locaux près des quelques foyers de contagions qui peut rendre effrayante, cette épidémie ponctuellement.
Les médias tendent à ne montrer et amplifier que les événements spectaculaires et à dramatiser les situations.
21:21 Publié dans Notes diverses, Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
07/03/2020
5G et santé
Avec ce reportage suisse , on apprend que ce ne sont pas les antennes qui polluent le plus, car dès qu'on s'en éloigne la nocivité diminue en fonction du carré de la distance.
Le problème principal avec ces ondes c'est la proximité des objets connectés qui émettent fortement vers notre corps ou vers notre cerveau.
Et ce sera encore plus le cas avec la 5G , qui induira une multiplication des objets connectés.
Des études montrent que ces ondes dites "centimétriques" peuvent interagir avec le monde vivant même si les conséquences ne sont pas encore connues.
Bien qu' elles ne soient pas spectaculaires ou actuellement observables, cela ne veut pas dire qu'elle n'endommagent pas le patrimoine génétique et immunitaire.
Elles pourraient très bien participer avec l'ensemble des autres pollutions industrielles à la recrudescence des cancers et maladies modernes (neurodégénératives)
Avec la 5G, la transmission de données annoncée sera 100 fois plus rapide qu'avec la 4G actuelle, nous serons submergés de données, et donc d'ondes.
Avec une portée plus courte la 5G implique un besoin accru d'antennes de transmission. Des dizaines de milliers d'antennes supplémentaires! Et autant de satellites (42000)!
Cette prolifération d'antennes a déja provoqué une levée de boucliers de la part de nombreux scientifiques.
Plus de 200 scientifiques et médecins ont demandé un moratoire sur la 5G.
Risques élevés de cancers, dommages génétiques et désordres neurologiques sont notamment mis en avant.
Nous sommes en effet utilisés comme des cobayes, étant donné que l'impact de la 5G n'a pas pu encore être mesuré et que celui-ci ne peut vraiment l'être qu'au bout de plusieurs années (mesure de l'augmentation des cancers dans un environnement 5G, par exemple).
A noter que devant l'inquiétude de la population pour la santé, le canton de Genève en Suisse vient d' instaurer en Février 2020 un moratoire de trois ans sur la 4G et la 5G.
Du fait de ce flou artistique, et de l'amoralisme des élites au pouvoir (qui ne reculent devant rien), il existe diverses théories "complotistes" qui circulent abondamment sur le Net..
La vidéo ci-dessous en présente un exemple très documenté qui relie "Coronavirus, vaccins et 5G" dans le projet de manipuler la population, de l'affaiblir et de la restreindre.
C'est assez parano certes, mais basées sur des intentions avérées et sur des faits ambigus.
Je ne crois pas à cette théorie , même s' il est impossible de l'exclure totalement, dans le contexte actuel.Mais il faut la connaître, car le transhumanisme que veulent les GAFA, nous mène vers un monde "doucement totalitaire" de ce type.
Elle exprime crûment le bon sens instinctif qui s'oppose viscéralement et intuitivement aux vaccins et à la 5G.
L'accumulation des peurs, ignorances, incompétences et rapacités financières dans un système matérialiste peuvent conduire à l'équivalent d'un tel complot sans qu'il y ait nécessairement un pilotage machiavélique.
On a déja vu beaucoup de scandales médicaux et pharmaceutiques ponctuels du même ordre dans l'histoire du XXiéme siècle.
Cette vidéo évoque notamment l 'électroporation (vers 8mn) une technique utilisant des impulsions électriques pour rendre provisoirement perméables les parois cellulaires et y introduire de l'ADN.
Certains pays s'en servent aussi déja pour soigner des cancers , ils améliorent par 100 ou 1000 les chimiothérapies (inefficaces à 95%, on le sait) en ciblant directement les cellules malades.
Mais ici (vers 12mn) il est affirmé que la 5G permet le mécanisme pulsé de l'électroporation.Or, on le sait Wuhan était une des zones d'expérimentation de la 5G en Chine (China Mobile a installé 100 relais 5G à Wuhan début 2019 mais 10.000 stations de base 5G étaient prévues pour Décembre 2019), et par ailleurs elle possède un laboratoire épidémiologique de haute sécurité P4 sur le modèle du labo français P4 Jean Mérieux-Inserm de Lyon.
Si la 5G peut avoir un effet sur la porosité de la membrane cellulaire, alors il est aussi probable qu'elle endommage l'immunité de la population. (à suivre donc)
La coïncidence de ces deux éléments a pu paraître suspecte à certains.
Un journaliste italien Paolo Liguori, soutient que ce virus a été créé en laboratoire.
Si une campagne de vaccination suit dans un proche avenir, vous êtes prévenu! Elle sera suspecte. Nous n'en avons aucun besoin. Notre immunité c'est notre affaire. Ce pourquoi il faut aussi impérativement refuser la 5G. (cf Israel)
A noter et à garder en mémoire: c'est un peu tôt pour en tirer conséquence mais les zones touchées en Italie semblent aussi coïncider avec celles où la 5G est déja opérationnelle (Lombardie , Milan) comme à Wuhan. Ceci va dans le sens de ceux qui suggèrent que les ondes électromagnétiques de la 5G pourraient affaiblir le système immunitaire des plus faibles (en rendant plus poreuses les parois cellulaires?).
21:53 Publié dans Notes diverses, Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : 5g, ondes électromagnétiques | Facebook
03/03/2020
Boire DE L’EAU
Article du site Gnoma
(transcrit depuis une vidéo)
BOIRE DE L’EAU, OUI, MAIS LAQUELLE ET QUAND ?
Jacques Collin, ingénieur, éminent spécialiste de l’eau depuis sa prise de conscience de ses bienfaits en 1989 et auteur de différents ouvrages*, nous livre dans une vidéo publiée en 2012 sur le blog ”Eau Séance iLive”, sa vision éclairée sur le sujet. En voici une transcription modérée.
Quelle eau boire ?
Par le passé, l’eau de consommation était une eau naturelle, directement prélevée dans les puits, sources ou fontaines, en dépit des premiers systèmes d’adduction d’eau qui remontent au moins à l’époque romaine mais aujourd’hui elle ne se résume qu’à :
-l’eau du robinet
- l’eau en bouteille.
L’eau du robinet.
Si l’eau du robinet est une eau potable, sûre car contrôlée régulièrement elle n’en est pas pour autant bonne pour notre santé. En effet, les traitements chimiques et le chlore en particulier y tuent toute forme de vie par aseptisation et cela ne suffit pas à lui donner des qualités bénéfiques pour notre santé. Il y a au moins trois raisons à cela :
Le chlore va provoquer une destruction microbienne, ce qui est une bonne chose, mais de nombreuses études ont démontré que la destruction des microbes provoque l’accumulation de détritus qui se reconstituent en virus! Le monde viral est un monde silencieux, souterrain, qui sur le long terme peut affecter notre organisme. En traitant chimiquement l’eau du robinet, on tue le microbe mais pas le virus.
La stérilisation de l’eau, quel qu’en soit le procédé, comme les rayons ultra-violets, va induire son oxydation. Boire une eau oxydée va saturer le corps électroniquement (au niveau moléculaire) impliquant une perte de vitalité et des réactions métaboliques préparant des terrains de dégénérescence.
La dureté de l’eau, c’est à dire sa teneur en calcium et en magnésium est aussi un danger pour notre organisme. En effet, le calcium contenu dans l’eau du robinet ne recalcifie pas le corps mais s’accumule dans notre organisme pouvant provoquer des désordres comme la maladie de Paget ou être une cause d’ostéoporose et d’artériosclérose par un durcissement des artères.
Ces trois facteurs entraînent notre corps sur un terrain de dégénérescence. Pour ces raisons l’eau sortant du robinet directement est déconseillée pour la consommation en eau de boisson. En effet, elle provoque l’accumulation de métabolites indésirables que le corps va chercher à éliminer par les urines, jusqu’à ce que atteignant saturation cela provoque une invasion de notre eau intérieure, qui ne peut plus se structurer ou se restructurer et toute l’information de notre corps va se geler. Nos cellules ne peuvent plus communiquer entre elles laissant apparaître des dégénérescences cellulaires.
Les eaux minérales.
Remplacer l’eau du robinet par des eaux minérales n’est pas anodin. Plus il y a de minéraux dans l’eau, plus le corps va avoir du mal à les absorber. De plus l’eau minérale prise à la source n’a rien à voir avec la même eau embouteillée. Dès l’embouteillage, les minéraux se désactivent et floculent et par voie de conséquence ne sont plus assimilables. Tous les minéraux dissous dans l’eau sont par définition des cailloux. Nous sommes des Êtres Humains, des mammifères, et donc nous ne pouvons pas assimiler les minéraux bruts de cette façon. Là encore, les minéraux sont accumulés par notre corps avec à terme la survenue de calculs, problèmes rénaux, etc.
Les eaux hyper minéralisées sont à déconseiller totalement en bouteille. Ce sont des poisons ! Quand on achète des eaux en bouteilles, il faut qu’elles soient les plus pures possible. La pureté s’exprime au niveau des quantités de résidus à sec, elles doivent être d’un niveau minimal. Le seuil tolérable est de 100/120 mg/l maximum. Certaines eaux peuvent atteindre des taux de 2000 à 4000 mg/l, ce sont des eaux lourdes à gérer au niveau de notre organisme, car contrairement aux végétaux notre corps n’assimile pas les minéraux. Les végétaux les captent, les digèrent et les végétalisent, donc pour couvrir notre besoin en minéraux, il ne faut pas boire d’eau minérale mais manger des végétaux qui sont remplis de minéraux organiques directement assimilables par notre corps.
Comment faire si ni l’eau du robinet, ni l’eau minérale ne sont bonnes pour le corps?
Il faut filtrer l’eau du robinet ou trouver des eaux minérales relativement pures en bouteille, idéalement avec un taux de minéralité inférieur à 100mg/l.
L’eau peut être filtrée par un système de charbons actifs, comme les carafes ou colonnes filtrantes qui sont disponibles dans le commerce ou encore subir une filtration par osmose inverse qui redonne une eau pure avec un taux de résidu infinitésimal. Ce dernier système n’a pas l’agrément de tous les scientifiques spécialistes de l’eau qui parfois en déconseillent son usage exclusif comme eau de boisson.
Une fois filtrées, il n’en reste pas moins que ces eaux sont totalement déstructurées au niveau moléculaire, ce sont des eaux mortes. Pour les rendre propre à une consommation quotidienne et leur rendre tout leur pouvoir bénéfique pour le corps humain il faut les restructurer en utilisant soit le principe de l’onde pulsée mise au point par Marcel Violet dans les années 50, qui recrée le potentiel électronique de l’eau (équilibre photons/électrons), soit en utilisant des vortex qui sont des tourbillons (pour dynamiser l’eau de la même façon qu’un torrent le ferait naturellement). L’eau est maintenant purifiée et dynamisée, elle est devenue pleinement assimilable ! Internet regorge de systèmes de dynamisation de l’eau des plus simples et économiques aux plus sophistiqués et moins accessibles financièrement.
Quand la boire ?
Boire cette eau purifiée et dynamisée à jeun va lui permettre d’être diffusée rapidement au niveau cellulaire via le système digestif. La meilleure eau à boire, c’est le matin en se levant. Cette eau va être diffusée rapidement par la voie estomac, intestin et colon et va être immédiatement disponible au niveau cellulaire et du sang.
Il faut réactiver le sens de la soif le matin jusqu’à ce que boire à ce moment devienne un automatisme. Idéalement, il faut boire 30 minutes avant le petit déjeuner.
Ensuite, il faut boire tout au long de la journée, entre les repas et jamais pendant les repas. Il faut s’arrêter de boire 30 mn avant les repas, car l’eau bue en mangeant va contrarier la digestion pour plusieurs raisons :
L’eau bue au moment du repas lave le tractus digestif dans lequel se trouvent les diastases qui sont importantes pour la pré-digestion.
L’eau sera mélangée au bol alimentaire et y sera liée et ne pourra donc pas être utilisée par notre corps au niveau cellulaire et sera rejetée par le système intestinal. Il faut commencer à reboire 2 heures après les repas.
Il est par ailleurs très important de boire en fin d’après-midi car l’eau bue à ce moment va défatiguer l’organisme.
Ce n’est pas un verre d’eau qui va changer quelque chose, mais en suivant ces recommandations avec rigueur et opiniâtreté, on s’aperçoit que beaucoup de choses changent au niveau de notre corps. Cela ne se fait pas au premier jour et dépend aussi de notre charge de toxines. Et surtout, il faut supprimer de nos habitudes de consommation toutes les boissons industrielles.
L’eau est guérisseuse par définition, mais c’est surtout préventif tant que l’on n’a pas passé le seuil du non-retour dégénératif. L’eau agit dans tout le corps, particulièrement au niveau des articulations. Les gens qui ne boivent pas d’eau ont des articulations qui se dessèchent, les vertèbres qui se bloquent.
Boire de l’eau est une vigilance de chaque instant et quand vous l’aurez aquise, votre corps aura les bons automatismes et vous aurez soif tout le temps ! C’est votre corps qui va déterminer de lui-même la quantité d’eau dont il a réellement besoin pour se garder dans la meilleure santé possible. Il ne vous reste qu’à l’éduquer en lui donnant une eau que vous aurez préalablement refabriquée.
* Bibliographie
L’insoutenable vérité de l’eau éditions Tredaniel
L’eau, le miracle oublié éditions Tredaniel
L’eau-delà de l’eau éditions Tredaniel
05:37 Publié dans Notes diverses, Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eau, boire de l'eau, jacques collin | Facebook