09/03/2018
Petite touche
04:13 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tim dup | Facebook
05/03/2018
Sade.
Helen Folasade Adu, alias Sade, (phonétiquement : Chadé Adou) est née le 16 janvier (Capricorne) 1959 à Ibadan au Nigeria d'un père Nigérian et de mère Britannique. Taille:1m70.
Elle est auteur-compositrice-interprète
Son nom Sade signifie « couronnée de Gloire ».
Elle a trois ans quand ses parents se séparent et que sa mère quitte le Nigeria avec ses deux enfants pour s'installer à Colchester (Essex), près de Londres.
Passionnée de dessin, d'art et de mode, elle quitte le cocon familial à 17 ans pour s'installer dans le quartier de Camden Town de Londres.
Sade Adu, Stuart Matthewman et Paul Denman (plus le joueur de clavier Andrew Hale) créent en 1983 le groupe Sade qui porte donc le prénom de la chanteuse.
À 24 ans, Sade imprime sa marque à son groupe avec ses propres compositions et un son novateur inspiré de la soul et du rhythm and blues.
>>>Le premier album du groupe en 1984, Diamond Life, entre dans le Top Ten britannique.
On y trouve Smooth Operator
ainsi que "Why Can't we live together"
>>>Le groupe sort ensuite en 1985 : Promise
(rechantée ici en 2009)
>>>Troisième album studio en 1988 : Stronger Than Pride
Avec ces trois albums, Sade devient la reine de la soul anglaise...
Et dès lors, elle se fait plus rare.
****
>>>Après quatre ans de silence, elle réapparaît en 1992 avec l'album Love Deluxe qui contient notamment
Cette fois c'est un break de 8 ans pour Sade Adu qui se retire en Espagne et en famille. C'est une terrienne, solide et enracinée.
>>>Survient Lovers rock en 2000 pour un retour sur le devant de la scène, avec concerts et tournées.
Elle n'aime pas les interviews , se couche tard, passe son temps avec ses amis, sa famille, son enfant, et se tient à l'écart du show-business.
«Mes amis me charrient en affirmant que je suis un homme piégé dans un corps de femme.»
«Jamais je n'ai brûlé de l'envie de chanter, répond-elle aux flatteurs. Moi, je me sens l'âme d'un conteur.»
«Je livre dans mes textes ce que je murmure parfois tout bas»
>>>Après 9 ans d'absence, elle revient en 2010, à 51 ans (elle vieillit bien), pour un sixième album studio Soldier of Love (directement en tête des ventes d'albums)
Entre joie et mélancolie, avec un timbre de voix doux et chaleureux, une élégance sensuelle et une prestance de panthère, Sade incarne un archétype de femme devenu rare.
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03/03/2018
Objectivité bis
Deuxième point de vue non-conforme (mais pourtant "objectif") sur la question syrienne, qui corrobore le précédent en se démarquant de tout ce qu'on peut lire ou entendre sans nuance sur les médias en vue, qui se discréditent chaque jour un peu plus...
Il s'agit d'une intervention de Claude El Khal, correspondant au Liban de la récente chaîne Média (proche des "Insoumis").
C'est pas difficile à comprendre.
Sur ce sujet syrien (et la propagande subie): blog les crises
21:56 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : el khal, syrie | Facebook
01/03/2018
A venir...
03:38 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sade | Facebook
28/02/2018
Objectivité
La Syrie...
Enfin un point de vue qui semble respirer un peu l'objectivité, dans ce concert de propagande autiste qui règne dans les médias accrédités sur ce sujet précis (et sur tant d'autres).
Quand on connait bien la "réalité" dans un ou deux domaines particuliers (historique, médical, scientifique, etc..) et que l'on voit le traitement réservé par ces médias (au mieux partiel, partial , biaisé ou orienté et au pire mensonger), on en vient à douter de tout, dans des domaines où l'on faisait pourtant confiance à ce que l'on avait appris depuis l'enfance.
C'est le début du réveil? (On se croirait dans un roman classique de science-fiction).
L'objectivité devient tangible quand le mensonge règne en maître.Ce n'est pourtant pas si difficile d'être nuancé.
***
Excellent article, donc, de Caroline Galactéros sur son blog, étrangement relayé par le Point.27/02/2018
L'Occidental postmoderne goûte la lumière des évidences simples, la clarté des antagonismes légitimes. Il prend l'information pour de la connaissance, donne à fond dans la substitution de l'image au réel qui devient le quotidien de la politique et ne produit plus seulement une déformation du réel, mais une autre réalité. Et puis, la complexité le fatigue, le paradoxe le lasse, la mise en perspective l'égare. Il croit dans « le su parce que vu ». Il croit que les fake news tombent du ciel ou proviennent directement des enfers que seuls les bad guys et leurs hackers habitent. L'homme occidental a donc la conscience assoupie et les yeux bandés, mais sa sentimentalité exacerbée lui donne l'illusion d'avoir une conscience morale.
Aussi bien ne voit-il aucune indécence, aucun cynisme dans la façon dont les médias occidentaux décrivent et montrent la situation militaire et humanitaire dans la Ghouta orientale. Et pourtant… La terreur bien réelle vécue par les populations civiles de cette banlieue damascène gangrénée depuis des années par les groupes djihadistes, le calvaire des enfants morts-vivants, pris sous les décombres des bombardements de l'armée syrienne appuyés par la Russie en prélude à une probable offensive terrestre dans l'espoir de réduire ce foyer islamiste qui bombarde régulièrement les faubourgs de la capitale dans un silence occidental assourdissant, sont présentés comme la marque d'une cruauté insensée, délibérée et ciblée des « forces du régime » et de ses soutiens contre la population civile effectivement prise au piège de cet affrontement sans merci. Comme si ces malheureux civils étaient les cibles de ces bombardements et non les boucliers humains dont se servent impunément depuis des années les salafistes qui veulent faire tomber le président syrien et prendre le pouvoir à Damas pour le compte de leurs puissances mandataires. Des groupuscules ultraviolents qui le forcent ainsi à leur livrer son pays ou bien à faire la « guerre au milieu des populations » pour déclencher l'ire internationale et le diaboliser encore un peu plus…
On s'est habitués au martyre au long cours du peuple syrien
On a tellement voulu croire, et faire croire, que l'État islamique était le seul problème et qu'une fois sa réduction (relative) acquise, la guerre serait sans objet et s'étiolerait, que l'on a « oublié » qu'à côté des scories encore dangereuses de cette hydre spectaculaire se démènent toujours les groupes salafistes Al-Nosra et consorts qu'on laisse agir pour compromettre une victoire trop éclatante de l'axe Moscou-Téhéran-Ankara.
Alors, pour ne pas parler de ce qui pose vraiment problème et nourrit le conflit, on braque les projecteurs sur une offensive gouvernementale, comme si on redécouvrait subitement que la guerre fait toujours rage et est insupportable… Pourtant, notre « coalition internationale » la mène contre le gouvernement syrien depuis 7 ans. Et l'on doit endurer les sommets de cynisme de l'ambassadrice américaine aux Nations unies qui reconnaît que « à cause de la Russie » le Conseil de sécurité « a manqué à son devoir » vis-à-vis des malheureux civils syriens en tardant à signer une résolution demandant un cessez-le-feu d'un mois. Elle ne dit évidemment pas pourquoi ce retard ! Car Moscou a voulu faire apporter quelques substantielles modifications au projet initial en excluant du cessez-le-feu les zones où sévissent encore les groupes terroristes, notamment Al-Nosra.
La réduction militaire de l'abcès salafiste de la Ghouta devrait donc se poursuivre, les morts innocents se multiplier et nos inconscientes consciences, gargarisées de leur haute moralité abstraite et partiale, continuer de s'indigner. Quoi ? la guerre tue, est sale, injuste, laide, elle fait des victimes innocentes, surtout quand elle doit être menée au sein des populations civiles prises en otages ?
Une indignation à éclipses pourtant depuis sept ans, mis à part quelques séquences stigmatisées comme la reprise d'Alep – alors que celle de Mossoul nous a laissés plus placides, car il s'agissait de nos bombes. Car on s'est habitués au martyre au long cours du peuple syrien. Tant que c'est à bas bruit, que ce sont nos frappes lointaines qui tonnent, que les morts que l'on fait sont « du mauvais côté » et point trop spectaculaires, on ne lève pas le nez de notre assiette. Sauf pour donner, de temps à autre, quelques leçons de morale de plus en plus inaudibles sur « le boucher Assad ennemi de son peuple » et les gentils rebelles insurgés au grand cœur qui veulent la démocratie et le bien-être de leurs concitoyens.
De tragiques erreurs de jugement
Cet ahurissant et persistant biais dans l'interprétation des faits a une origine. Depuis 7 ans en effet, on présente le conflit comme une lutte entre deux légitimités équivalentes qui seraient en concurrence finalement « normale » pour régir le pays. On fait comme si la Syrie n'était pas un État stable et sûr en 2011, comme si elle n'avait jamais eu de gouvernement légitime, mais un « régime » illégitime et honni, comme si c'était un territoire sans unité, un simple espace à conquérir, comme s'il ne s'agissait pas d'un pays souverain ; entré en résistance forcenée et nécessairement meurtrière, contre une agression tous azimuts venue de l'extérieur bien plus qu'aux prises avec une guerre civile, quelles qu'aient été la réalité et la légitimité des revendications politiques, sociales et économiques à l'origine des premières manifestations de 2011.
Puis, de fil en aiguille, nous avons fini par nous convaincre de cette reconstruction des faits et par tomber dans un manichéisme dogmatique confondant, qui a déformé notre compréhension des choses et du coup a grandement affaibli notre capacité d'action. Nous avons cru que cette attitude néanmoins préserverait « nos intérêts ». Mais où en sommes-nous finalement de notre influence dans ce pays et même dans cette région dont nous nous préoccupons soi-disant tant ? Et quel poids nous accordent ceux qui dominent le jeu politique et militaire régional ?
L'honnêteté impose d'admettre que nous sommes toujours largement hors-jeu, car nous ne voulons pas admettre nos tragiques erreurs de jugement et préférons ressasser les vieilles antiennes anti-Assad au lieu de chercher pragmatiquement à reprendre pied et langue dans le pays et à faire basculer les alliances dans le sens de l'apaisement et du compromis… dont les populations civiles seraient évidemment les premières bénéficiaires. Nous sommes malheureusement encore très loin d'une telle réforme intellectuelle et pour le coup « morale ». Alors, nous observons.
Le trouble jeu américain
L'affrontement Moscou-Washington bat son plein, attisé par les va-t-en-guerre néoconservateurs américains qui « environnent » fermement le président Trump et ont fait de l'Iran le nouveau rogue state à abattre. Washington veut miner la consolidation du « croissant chiite » qui traduit la renaissance de l'influence iranienne dans cette région stratégique et pour commencer, il veut que l'Iran sorte de Syrie. Les slogans très « calibrés » des récentes manifestations populaires en Iran ont clairement fait le lien entre le mécontentement « spontané » du peuple des provinces et les dépenses du pouvoir mises au service de la guerre menée en appui du pouvoir syrien. Le président Rohani ne s'y est pas trompé, qui a rappelé qu'il n'était pas comptable des fonds alloués aux gardiens de la Révolution sous tutelle du guide suprême Ali Khamenei.
Alors, après l'échec de cette tentative de déstabilisation ou a minima de récupération d'une grogne populaire, pour pousser Moscou à lâcher son partenaire tactique iranien, l'Amérique remet une couche de sanctions. Et en Syrie même, afin de contrôler les zones pétrolières de l'Est syrien pour peser sur la reconstruction économique et politique du pays, Washington s'engage militairement durablement aux côtés des Forces démocratiques syriennes (FDS) dominées par les Kurdes syriens (YPG) que Moscou ne défend pas vraiment des assauts turcs. Il semble en effet probablement plus important au Kremlin d'enfoncer un coin dans l'Alliance atlantique en laissant se développer l'affrontement Washington-Ankara à propos de ces mêmes Kurdes. L'Amérique se sert en tout cas des YPG – ce qui n'empêche pas ces derniers de demander parfois, comme à Afrin, le soutien des milices syriennes pro-Assad contre l'aviation et l'artillerie turques, car leurs liens avec le régime et l'armée sont anciens et puissants – pour empêcher de fait un règlement politique global sur lequel elle n'aurait pas la main, sachant que la Turquie, qui parraine le processus d'Astana aux côtés de Moscou et de Téhéran, ne peut admettre leur participation à un règlement politique.
Cessons d'attiser les divisions intrasyriennes communautaires
Parallèlement, ainsi que vient de le révéler la fuite d'un document diplomatique du Foreign Office, tout est fait pour casser le processus d'Astana (et celui de Sotchi), compromettre le succès des zones de désescalade (d'où la reprise des affrontements dans la Ghouta comme à Idlib) et redonner une crédibilité à celui de Genève, moribond et sans représentativité. À la manœuvre depuis janvier dernier, un « petit groupe américain sur la Syrie » composé des USA, de la Grande-Bretagne, de la France, de l'Arabie saoudite et de la Jordanie… Et on s'étonne que la guerre ne finisse pas ! La guerre dont il est au demeurant toujours imprudent de clamer la fin.
Plutôt que de s'indigner stérilement de la recrudescence des combats, on ferait mieux de cesser d'attiser les divisions intrasyriennes communautaires et confessionnelles en espérant encore démembrer ce pays pour lui dicter son avenir, chacun espérant se tailler la part du lion des marchés de la reconstruction. Le sentiment national syrien n'est pas un vain mot. C'est une réalité plus vivante que jamais, fortifiée par l'épreuve de la guerre et la résilience d'un peuple multiple, mais un, qui a refusé l'atomisation qu'on lui promettait. C'est autour d'un mot d'ordre de « la Syrie unie » que l'on devrait aujourd'hui chercher à faire naître un embryon de convergence des positions des puissances intervenantes au service des intérêts véritables du peuple syrien dans toute sa diversité, et non plus des leurs.
Caroline Galactéros
19:14 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : galactéros, syrie | Facebook
19/02/2018
L'univers est-il une illusion?
18:51 Publié dans Science, Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : david elbaz, illusion | Facebook
16/02/2018
Deepak Chopra
Chopra, médecin endocrinologue de formation, est né en Inde mais s'est installé aux USA.
Il a fait partie du mouvement de la méditation transcendantale (de Maharishi) avant de s'en éloigner.
Très connu aux USA où il fréquente de nombreuses personnalités mais se fait aussi traiter de charlatan par d'autres pour la relation qu'il établit entre la mécanique quantique et les processus de guérison.
Avec 15 millions de dollars de bénéfices annuels, issus de ses ouvrages, séminaires et produits dérivés (new-age), il est appelé « le gourou de la santé » aux États-Unis
Malgré ce contexte pas très favorable, c'est un brillant conférencier sur les sujets de spiritualité, synchronicité, médecine alternative...
06:11 Publié dans Science, Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
30/01/2018
Les paramètres de Milankovic
C' est le nom donné aux paramètres astronomiques terrestres qui ont un effet sur les changements climatiques.
On parle aussi de cycles de Milanković. Ces paramètres sont l'excentricité, l'obliquité et la précession. La terminologie de « paramètres de Milankovitch » est surtout utilisée dans le cadre de la théorie astronomique des paléoclimats.
Joseph-Alphonse Adhémar, James Croll et Milutin Milanković sont les principaux scientifiques ayant avancé l'idée que ces trois paramètres interviennent dans les variations climatiques naturelles, en particulier sur Terre.
Cette hypothèse n'a été soutenue par des données expérimentales cohérentes qu'en 1976, avec l'article fondamental de Hays , John Imbrie et Shackleton.
Ces changements climatiques naturels ont pour principale conséquence les périodes glaciaires et interglaciaires.
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