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01/03/2018

A venir...

03:38 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sade |  Facebook

28/02/2018

Objectivité

La Syrie...

Enfin un point de vue qui semble respirer un peu l'objectivité, dans ce concert de propagande autiste qui règne dans les médias accrédités sur ce sujet précis (et sur tant d'autres).

Quand on connait bien la "réalité" dans un ou deux domaines particuliers (historique, médical, scientifique, etc..) et que l'on voit le traitement réservé par ces médias (au mieux partiel, partial , biaisé ou orienté et au pire mensonger), on en vient à douter de tout, dans des domaines où l'on faisait pourtant confiance à ce que l'on avait appris depuis l'enfance.

C'est le début du réveil? (On se croirait dans un roman classique de science-fiction).

L'objectivité devient tangible quand le mensonge règne en maître.Ce n'est pourtant pas si difficile d'être nuancé.

                                                                                       ***

Excellent article, donc,  de Caroline Galactéros sur son blog, étrangement relayé par le Point.27/02/2018

Et si des puissances régionales et occidentales avaient intérêt à faire durer l'interminable conflit qui sévit dans ce pays…
Analyse à rebrousse-poil.
 

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L'Occidental postmoderne goûte la lumière des évidences simples, la clarté des antagonismes légitimes. Il prend l'information pour de la connaissance, donne à fond dans la substitution de l'image au réel qui devient le quotidien de la politique et ne produit plus seulement une déformation du réel, mais une autre réalité. Et puis, la complexité le fatigue, le paradoxe le lasse, la mise en perspective l'égare. Il croit dans « le su parce que vu ». Il croit que les fake news tombent du ciel ou proviennent directement des enfers que seuls les bad guys et leurs hackers habitent. L'homme occidental a donc la conscience assoupie et les yeux bandés, mais sa sentimentalité exacerbée lui donne l'illusion d'avoir une conscience morale.

Aussi bien ne voit-il aucune indécence, aucun cynisme dans la façon dont les médias occidentaux décrivent et montrent la situation militaire et humanitaire dans la Ghouta orientale. Et pourtant… La terreur bien réelle vécue par les populations civiles de cette banlieue damascène gangrénée depuis des années par les groupes djihadistes, le calvaire des enfants morts-vivants, pris sous les décombres des bombardements de l'armée syrienne appuyés par la Russie en prélude à une probable offensive terrestre dans l'espoir de réduire ce foyer islamiste qui bombarde régulièrement les faubourgs de la capitale dans un silence occidental assourdissant, sont présentés comme la marque d'une cruauté insensée, délibérée et ciblée des « forces du régime » et de ses soutiens contre la population civile effectivement prise au piège de cet affrontement sans merci. Comme si ces malheureux civils étaient les cibles de ces bombardements et non les boucliers humains dont se servent impunément depuis des années les salafistes qui veulent faire tomber le président syrien et prendre le pouvoir à Damas pour le compte de leurs puissances mandataires. Des groupuscules ultraviolents qui le forcent ainsi à leur livrer son pays ou bien à faire la « guerre au milieu des populations » pour déclencher l'ire internationale et le diaboliser encore un peu plus…



On s'est habitués au martyre au long cours du peuple syrien

On a tellement voulu croire, et faire croire, que l'État islamique était le seul problème et qu'une fois sa réduction (relative) acquise, la guerre serait sans objet et s'étiolerait, que l'on a « oublié » qu'à côté des scories encore dangereuses de cette hydre spectaculaire se démènent toujours les groupes salafistes Al-Nosra et consorts qu'on laisse agir pour compromettre une victoire trop éclatante de l'axe Moscou-Téhéran-Ankara.

Alors, pour ne pas parler de ce qui pose vraiment problème et nourrit le conflit, on braque les projecteurs sur une offensive gouvernementale, comme si on redécouvrait subitement que la guerre fait toujours rage et est insupportable… Pourtant, notre « coalition internationale » la mène contre le gouvernement syrien depuis 7 ans. Et l'on doit endurer les sommets de cynisme de l'ambassadrice américaine aux Nations unies qui reconnaît que « à cause de la Russie » le Conseil de sécurité « a manqué à son devoir » vis-à-vis des malheureux civils syriens en tardant à signer une résolution demandant un cessez-le-feu d'un mois. Elle ne dit évidemment pas pourquoi ce retard ! Car Moscou a voulu faire apporter quelques substantielles modifications au projet initial en excluant du cessez-le-feu les zones où sévissent encore les groupes terroristes, notamment Al-Nosra.

La réduction militaire de l'abcès salafiste de la Ghouta devrait donc se poursuivre, les morts innocents se multiplier et nos inconscientes consciences, gargarisées de leur haute moralité abstraite et partiale, continuer de s'indigner. Quoi ? la guerre tue, est sale, injuste, laide, elle fait des victimes innocentes, surtout quand elle doit être menée au sein des populations civiles prises en otages ?

Une indignation à éclipses pourtant depuis sept ans, mis à part quelques séquences stigmatisées comme la reprise d'Alep – alors que celle de Mossoul nous a laissés plus placides, car il s'agissait de nos bombes. Car on s'est habitués au martyre au long cours du peuple syrien. Tant que c'est à bas bruit, que ce sont nos frappes lointaines qui tonnent, que les morts que l'on fait sont « du mauvais côté » et point trop spectaculaires, on ne lève pas le nez de notre assiette. Sauf pour donner, de temps à autre, quelques leçons de morale de plus en plus inaudibles sur « le boucher Assad ennemi de son peuple » et les gentils rebelles insurgés au grand cœur qui veulent la démocratie et le bien-être de leurs concitoyens.



De tragiques erreurs de jugement

Cet ahurissant et persistant biais dans l'interprétation des faits a une origine. Depuis 7 ans en effet, on présente le conflit comme une lutte entre deux légitimités équivalentes qui seraient en concurrence finalement « normale » pour régir le pays. On fait comme si la Syrie n'était pas un État stable et sûr en 2011, comme si elle n'avait jamais eu de gouvernement légitime, mais un « régime » illégitime et honni, comme si c'était un territoire sans unité, un simple espace à conquérir, comme s'il ne s'agissait pas d'un pays souverain ; entré en résistance forcenée et nécessairement meurtrière, contre une agression tous azimuts venue de l'extérieur bien plus qu'aux prises avec une guerre civile, quelles qu'aient été la réalité et la légitimité des revendications politiques, sociales et économiques à l'origine des premières manifestations de 2011.

Puis, de fil en aiguille, nous avons fini par nous convaincre de cette reconstruction des faits et par tomber dans un manichéisme dogmatique confondant, qui a déformé notre compréhension des choses et du coup a grandement affaibli notre capacité d'action. Nous avons cru que cette attitude néanmoins préserverait « nos intérêts ». Mais où en sommes-nous finalement de notre influence dans ce pays et même dans cette région dont nous nous préoccupons soi-disant tant ? Et quel poids nous accordent ceux qui dominent le jeu politique et militaire régional ?

L'honnêteté impose d'admettre que nous sommes toujours largement hors-jeu, car nous ne voulons pas admettre nos tragiques erreurs de jugement et préférons ressasser les vieilles antiennes anti-Assad au lieu de chercher pragmatiquement à reprendre pied et langue dans le pays et à faire basculer les alliances dans le sens de l'apaisement et du compromis… dont les populations civiles seraient évidemment les premières bénéficiaires. Nous sommes malheureusement encore très loin d'une telle réforme intellectuelle et pour le coup « morale ». Alors, nous observons.



Le trouble jeu américain

L'affrontement Moscou-Washington bat son plein, attisé par les va-t-en-guerre néoconservateurs américains qui « environnent » fermement le président Trump et ont fait de l'Iran le nouveau rogue state à abattre. Washington veut miner la consolidation du « croissant chiite » qui traduit la renaissance de l'influence iranienne dans cette région stratégique et pour commencer, il veut que l'Iran sorte de Syrie. Les slogans très « calibrés » des récentes manifestations populaires en Iran ont clairement fait le lien entre le mécontentement « spontané » du peuple des provinces et les dépenses du pouvoir mises au service de la guerre menée en appui du pouvoir syrien. Le président Rohani ne s'y est pas trompé, qui a rappelé qu'il n'était pas comptable des fonds alloués aux gardiens de la Révolution sous tutelle du guide suprême Ali Khamenei.

Alors, après l'échec de cette tentative de déstabilisation ou a minima de récupération d'une grogne populaire, pour pousser Moscou à lâcher son partenaire tactique iranien, l'Amérique remet une couche de sanctions. Et en Syrie même, afin de contrôler les zones pétrolières de l'Est syrien pour peser sur la reconstruction économique et politique du pays, Washington s'engage militairement durablement aux côtés des Forces démocratiques syriennes (FDS) dominées par les Kurdes syriens (YPG) que Moscou ne défend pas vraiment des assauts turcs. Il semble en effet probablement plus important au Kremlin d'enfoncer un coin dans l'Alliance atlantique en laissant se développer l'affrontement Washington-Ankara à propos de ces mêmes Kurdes. L'Amérique se sert en tout cas des YPG – ce qui n'empêche pas ces derniers de demander parfois, comme à Afrin, le soutien des milices syriennes pro-Assad contre l'aviation et l'artillerie turques, car leurs liens avec le régime et l'armée sont anciens et puissants – pour empêcher de fait un règlement politique global sur lequel elle n'aurait pas la main, sachant que la Turquie, qui parraine le processus d'Astana aux côtés de Moscou et de Téhéran, ne peut admettre leur participation à un règlement politique.



Cessons d'attiser les divisions intrasyriennes communautaires

Parallèlement, ainsi que vient de le révéler la fuite d'un document diplomatique du Foreign Office, tout est fait pour casser le processus d'Astana (et celui de Sotchi), compromettre le succès des zones de désescalade (d'où la reprise des affrontements dans la Ghouta comme à Idlib) et redonner une crédibilité à celui de Genève, moribond et sans représentativité. À la manœuvre depuis janvier dernier, un « petit groupe américain sur la Syrie » composé des USA, de la Grande-Bretagne, de la France, de l'Arabie saoudite et de la Jordanie… Et on s'étonne que la guerre ne finisse pas ! La guerre dont il est au demeurant toujours imprudent de clamer la fin.

Plutôt que de s'indigner stérilement de la recrudescence des combats, on ferait mieux de cesser d'attiser les divisions intrasyriennes communautaires et confessionnelles en espérant encore démembrer ce pays pour lui dicter son avenir, chacun espérant se tailler la part du lion des marchés de la reconstruction. Le sentiment national syrien n'est pas un vain mot. C'est une réalité plus vivante que jamais, fortifiée par l'épreuve de la guerre et la résilience d'un peuple multiple, mais un, qui a refusé l'atomisation qu'on lui promettait. C'est autour d'un mot d'ordre de « la Syrie unie » que l'on devrait aujourd'hui chercher à faire naître un embryon de convergence des positions des puissances intervenantes au service des intérêts véritables du peuple syrien dans toute sa diversité, et non plus des leurs.

Caroline Galactéros
                                  
                                                                             *****
 
En complément, sur le rôle des gouvernements  (Etats-Unis, Grande Bretagne, France, Arabie saoudite et  Jordanie) volontairement impliqués dans la désinformation sur ce sujet, lire:
Syrieleaks par Richard Labévière
 
.../Pourquoi ? Parce qu’elle révèle, par le menu, la « stratégie occidentale » concernant la guerre en Syrie : nourrir et multiplier les hostilités par tous les moyens pour empêcher une Pax Russiana ; poursuivre une intense campagne de communication sur les bombardements russes et syriens qui tuent des civils ; cadrer le représentant spécial des Nations unies pour la Syrie – Staffan de Mistura – par une feuille de route contraignante ; saboter la conférence de paix de Sotchi pour revenir à Genève dans un format tripartite : opposition syrienne, gouvernement syrien et Forces démocratiques syriennes (FDS – principalement constituées de supplétifs kurdes aux ordres du Pentagone)./...

19/02/2018

L'univers est-il une illusion?

16/02/2018

Deepak Chopra

Chopra, médecin endocrinologue de formation, est né en Inde mais s'est installé aux USA.

Il a fait partie du mouvement de la méditation transcendantale (de Maharishi) avant de s'en éloigner.

Très connu aux USA où il fréquente de nombreuses personnalités mais se fait aussi traiter de charlatan par d'autres pour la relation qu'il établit entre la mécanique quantique et les processus de guérison.

Avec 15 millions de dollars de bénéfices annuels, issus de ses ouvrages, séminaires et produits dérivés (new-age), il est appelé « le gourou de la santé » aux États-Unis

Malgré ce contexte pas très favorable, c'est un brillant conférencier sur les sujets de spiritualité, synchronicité, médecine alternative...

30/01/2018

Les paramètres de Milankovic

 

C' est le nom donné aux paramètres astronomiques terrestres qui ont un effet sur les changements climatiques.

On parle aussi de cycles de Milanković. Ces paramètres sont l'excentricité, l'obliquité et la précession. La terminologie de « paramètres de Milankovitch » est surtout utilisée dans le cadre de la théorie astronomique des paléoclimats.

Joseph-Alphonse Adhémar, James Croll et Milutin Milanković sont les principaux scientifiques ayant avancé l'idée que ces trois paramètres interviennent dans les variations climatiques naturelles, en particulier sur Terre.

Cette hypothèse n'a été soutenue par des données expérimentales cohérentes qu'en 1976, avec l'article fondamental de Hays , John Imbrie et Shackleton.

Ces changements climatiques naturels ont pour principale conséquence les périodes glaciaires et interglaciaires.

19:11 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : milankovic |  Facebook

28/01/2018

Musique de rue...

 

03:43 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : carlos vamos |  Facebook

23/01/2018

Vaccination suite

 

Plainte pénale contre les 73 vaccins obligatoires :

Rejoignez les 1000 premiers plaignants !

 

Résistons !

 

 

Alors que rien ne le justifie, le gouvernement français actuel a décidé (ce fut même sa première mesure) d'imposer à nos enfants l'inoculation de nouveaux vaccins obligatoires, dès l'âge de six semaines et jusqu'à 18 mois !

 

Rien d'avouable ne peut justifier une telle décision : ni la recherche scientifique, ni le moindre risque épidémique et encore moins l'efficacité thérapeutique desdits vaccins !

 

Il y a une certitude, c'est qu'il ne faut pas croire la ministre de la santé, Agnès Buzyn, lorsqu'elle parle de la vaccination et de la prétendue absence de dangerosité des « 11 » vaccins !

 

En fait de « 11 », ce sont 73 vaccins qui vont être injectés dans les muscles (et sans doute dans les capillaires sanguins pour certains) des 800 000 nourrissons à naître en France en 2018 !

 

73 vaccins entre 6 ou 8 semaines et 18 mois, alors qu'aucun risque épidémique ne menace la France, et encore moins l'humanité, et que scientifiquement rien ne justifie une telle vaccination de masse !

 

73 vaccins avec leurs métaux lourds neurotoxiques, comme de l'aluminium et du mercure, ou avec leurs substances chimiques, comme le formol, aux effets parfois mortels.

  

Ils violent nos droits fondamentaux d'être humain !

 

Le « libre consentement éclairé », principe médical éthique universel reconnu en 1947 dans la foulée du deuxième procès de Nuremberg, qui jugea les médecins nazis pour leurs crimes expérimentaux sur des êtres humains, semble n'avoir aucune importance à leurs yeux.

 

Ce principe est jeté aux orties par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn et les partisans des « vaccins-à-tout-prix-et-quoi-qu'ils-contiennent ».

 

Rappelons qu'au Canada et que dans la plupart des Etats des USA, chaque citoyen peut s'opposer à la vaccination obligatoire au nom de sa liberté de conscience ou de sa religion !

 

Les vaccins seraient sûrs et sans danger…

 

Allez dire cela aux Philippins qui comptent depuis décembre 2017 les enfants morts après la vaccination massive contre le virus de la dengue avec les vaccins français du groupe Sanofi-Pasteur !

 

Rappelons-nous des discours « officiels » lors des affaires de l'amiante ou du Médiator®.

Les « scientifiques » en place, les « journalistes santé » les responsables politiques et les représentants du lobby de l'amiante ou du lobby pharmaceutique, nous chantaient à l'unissons, la main sur le cœur et la voix suave : « L'amiante ? Cela n'a jamais déclenché le moindre cancer (on attend encore plus de 100 000 morts dans les prochaines années) », « le Médiator® ? Jamais fait de mal à personne (les « experts » officiels prévoient 1800 morts) ».

 

Mais n'oublions pas que ce qui est en cause aujourd'hui, ce n'est pas le principe de la vaccination, ce sont :

les substances utilisées pour fabriquer ces « vaccins », potentiellement mortelles ou en tout cas susceptibles de provoquer de graves maladies neurologiques, en particulier les adjuvants à base d'aluminium, ou des substances chimiques comme le formol ;

la « pertinence » physiologique de vacciner des nourrissons dès six ou huit semaines ;

l'absence la plus élémentaire d'évaluation des risques pour chaque nourrisson, pris individuellement (les bébés ne sont pas des machines identiques au service des profits des laboratoires pharmaceutiques et de leurs obligés, qu'ils soient politiciens ou « journalistes santé ») ;

le remplacement du principe de précaution par celui du « bénéfice-risque » au service des laboratoires : augmentation maximum de leurs bénéfices et risque nul puisqu'en cas d'effet secondaire, y compris dramatiques, c'est l'Etat (Oniam), c'est-à-dire nos impôts et taxes, qui indemnise les victimes (si elles sont encore vivantes après des années de procédures !) ;

la vaccination de masse qui nie les particularités individuelles qui rendent certains nourrissons allergiques à toute vaccination.

 

Et, enfin, ce qui est en cause, ce sont nos droits de femmes et d'hommes libres d'être responsables de nos corps face à la dictature des laboratoires pharmaceutiques qui se met en place.

 

Et à ce jour, personne n'a pu nous expliquer pourquoi on rend obligatoire aujourd'hui l'extension de la vaccination, alors qu'en septembre 2014, les autorités médicales en recommandaient l'abandon pur et simple ?

 

Si vous partagez notre combat, si le sort des 800 000 bébés à naître en 2018 ne vous est pas indifférent, si vous n'acceptez pas la violation de nos droits fondamentaux d'être humain, rejoignez-nous, il y a urgence !

 

Maître Serge Lewisch va très prochainement transmettre au procureur de la République les 1000 premières plaintes pénales signées.

 

Nous vous proposons de nous rejoindre en signant à votre tour cette plainte pénale complétée des événements les plus récents (nous ne cesserons d'envoyer les nouvelles au procureur de la République).

 

Soyons, 5 000, soyons 10 000, soyons encore plus nombreux à nous opposer fermement à ce crime contre « l'immunité » pour reprendre l'expression d'Isabelle Adjani !

 

Pour résister avec nous, il vous suffit de :

  1. De télécharger, de lire la plainte pénale avec attention Cliquez ici pour la plainte pénale ;
  2. D'imprimer et de signer la dernière page de la plainte pénale ;
  3. De télécharger et d'imprimer et de le remplir (renseignements sur l'état civil, etc.) : Cliquez ici pour le formulaire ;
  4. De faire une copie de votre pièce d'identité ;
  5. De numériser ces trois documents ;
  6. De nous les renvoyer par email à l'adresse suivante :  " vaccination-plainte-penale1801@gcpww.org " ou par courrier à l'adresse suivante : Maître Serge Lewisch, 132, boulevard du Montparnasse - FR 75014 Paris.

 

  Bien à vous et très amicalement.

 

Sophie Guillot, porte-parole du collectif « Ensemble pour une Vaccination Libre » contact@epvl.eu

Pierre Lefevre, porte-parole du collectif « Libre consentement éclairé » lefevre@gcpww.org

 

Résistons !

 

 

Nous rappelons que notre petite équipe et totalement bénévole et que Maitre Serge Lewisch (sergelewischavocat@gmail.com) nous représente pro bono (gratuitement) jusqu'au dépôt des plaintes au Procureur.

 

Si d'autres procédures sont nécessaires par la suite, comme celle de faire nommer un juge d'instruction, chacun sera sollicité par avance pour son accord et jamais il ne vous sera demandé la moindre somme d'argent sans que vous en ayez donné formellement l'autorisation avant.

 

Résistons !

 

Rappel :


Notre action est soutenue par MEDECINE & PHARMACOPEE CHINOISES FRANCE qui se met bénévolement à notre service pour la gestion administrative de notre collectif.

Vous pouvez soutenir notre action en faisant un don, même pour 1 euro !

Par virement bancaire :

IBAN : FR76 1820 6002 5765 0396 8037 242 – BIC : AGRIFRPP882
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DOMICILIATION : PARIS ORDENER (00257)
TITULAIRE DU COMPTE : ASSOC. MÉDECINE ET PHARMACOPÉE CHINOISE FRANCE
Par chèque à l'ordre de : « ASSOC. MÉDECINE ET PHARMACOPÉE CHINOISE FRANCE »

Adressé à :

M&PCF
C/O Maître Serge Lewisch
132 bld du Montparnasse
75014 Paris

21/01/2018

Procédés humoristiques

 

Quelques images pour illustrer un procédé humoristique percutant , valable également en littérature:

la comparaison.

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hum13.jpg

 

humour1.jpg

 

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