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29/11/2016

Divers systèmes d'élections...

16/11/2016

Réchauffement climatique ou pas?

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"Le réchauffement climatique est un mythe"

Marcel Leroux, professeur en climatologie à l’université Jean Moulin de Lyon III et directeur depuis 1986 du Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement (CNRS), est l’auteur du premier livre de climatologie en français traduit en anglais, La Dynamique du temps et du climat (éditions Dunod, 1996). Après la parution de The Meteorology and Climate of tropical Africa, aux Editions Springer en 2001, il a achevé son troisième ouvrage, Global Warning, myth or reality, disponible depuis décembre 2006.

Pour ce climatologue iconoclaste, qui conteste la validité des modèles informatiques actuels, les variations climatiques s’expliquent tout naturellement, lorsque l’on prend en compte ce qu’il appelle les anticyclones mobiles polaires (AMP), vastes lentilles d’air glacial de 1500 mètres d’épaisseur et de 2.000 à 3.000 km de diamètre, générées quotidiennement par les pôles et se déplaçant vers l’équateur.

Un Entretien avec Marcel Leroux   en 2004.

Tout le monde s’accorde à dire que la planète se réchauffe.
Qu’en pensez-vous ?

En me parlant de réchauffement, vous voulez sûrement me faire peur, moi qui ai vécu 40 ans en Afrique ! Personnellement, je souhaite que la terre se réchauffe. C’est d’ailleurs la position de la Russie, qui considère qu’un réchauffement serait bénéfique. En effet, cela nous ferait faire d’immenses économies de chauffage, et donc de matières premières comme le pétrole. En outre, nous gagnerions de larges étendues de terres cultivables en direction des régions subpolaires, comme cela fut le cas dans les années 1930 à 60. A l’époque, les exploitations agricoles du nord du Canada et de la Scandinavie s’étaient en effet déplacées vers le nord. Dans les années 1970, lorsqu’il était plutôt à la mode de parler du retour du petit « âge de glace », elles ont rétrogradé vers le sud. La même chose s’est d’ailleurs produite en Afrique subsaharienne, où les éleveurs se sont d’abord déplacés vers le nord, puis sont redescendus vers le sud, lorsque la sécheresse a commencé dans les années 1970. Car lors de toute période chaude, à l’échelle paléoclimatique comme à l’échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n’est pas le cas.

Pourquoi parle-t-on alors de réchauffement climatique ?

Parce ce que tout le monde accorde foi à la courbe de température globale publiée tous les ans par l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale) et le GIEC (Groupe intergouvernemental sur le changement climatique). Or, cette courbe n’est autre qu’une moyenne des températures mesurées dans 7.000 stations de la planète, traitées à l’Université d’East Anglia, à Londres, sous la direction de Philipp Jones. L’augmentation serait de 0,6° de 1860 à nos jours, soit la différence de température qu’on observe à l’échelle moyenne annuelle entre Nice et Marseille. Quel extraordinaire bouleversement ! Une telle valeur, donnée avec une fourchette de précision de plus ou moins 0,2° sur un siècle et demi, est ridicule, car elle est de l’ordre de la précision de la mesure. Cette courbe n’est d’ailleurs pas validée par les mesures récentes effectuées par les capteurs de satellites qui, depuis 1978, ne montrent au contraire aucune évolution notoire, pas plus que les mesures issues de millions de radio-sondages.

En outre, comment parler de moyenne à l’échelle globale en mélangeant des températures marines, continentales, urbaines et surtout des températures de régions qui se refroidissent alors que d’autres se réchauffent ? Par exemple, l’Arctique occidental (au nord du Canada) se refroidit, alors que l’Arctique au nord de la mer de Norvège se réchauffe. Que fait-donc alors vraiment l’Arctique ? On ne peut pas du tout dire avec certitude que la terre se réchauffe.

Les modèles ne prévoient-ils pas pourtant une augmentation de la température de 2 à 6°C d’ici l’an 2100 ?

On n’a pas besoin de modèle pour faire une telle prédiction. Le chimiste suédois Svante Arrhénius (1859-1927) avait déjà « prédit » exactement la même chose en 1903 ! Il avait appliqué une règle de trois entre le taux de CO2 de son époque, celui du futur et la température correspondante. C’est exactement ce que font les modèles informatiques en insistant sur l’effet de serre. Un modèle n’est qu’un super calculateur qui dépend entièrement des données qu’on lui fournit et de la démarche qu’on lui impose pour traiter ces données. Il ne faut pas prêter aux modèles des vertus « magiques », d’autant plus qu’ils ne donnent qu’une vision très incomplète et déformée de la réalité météorologique. En particulier, ils ne tiennent pas compte de la circulation générale de l’atmosphère, de son organisation et de son mouvement. Pour ces modèles, les discontinuités, pourtant présentes partout dans la nature, ne sont tout simplement pas prises en considération. Les modèles utilisés pour la prédiction climatique sont fondés sur les mêmes principes que ceux utilisés pour la prévision météorologique. Or, ces derniers se trompent constamment : ils n’ont pas été capables de prévoir les tempêtes de 1999, les inondations de Nîmes ou Vaison la Romaine, la canicule de 2003 et l’été pourri de 2004. Comment pourraient-ils être fiables à l’horizon de 2100 ? D’ailleurs, comme le rappelle l’océanographe Robert Stevenson, ces modèles prévoyaient une augmentation de la température de 1,5° pour l’an 2000 ; or, c’est six fois plus que ce que l’on a observé.

Pourtant, il y a unanimité chez les climatologues pour dire que le réchauffement est une réalité ...

Non, on insiste sur un prétendu consensus chez les climatologues, alors que celui-ci n’existe pas. Ensuite, il y a plusieurs sortes de « climatologues ». Prenons le GIEC, présenté comme l’autorité en la matière. En réalité, il s’agit d’un groupement intergouvernemental, c’est-à-dire que la nomination de ses membres est politique, et ne répond pas à des critères scientifiques. D’ailleurs, la grande majorité de ses membres ne sont pas climatologues, à l’instar de Michel Petit, ingénieur en télécommunications, ou bien Jean Jouzel, qui est un excellent chimiste glaciologue, mais dont les connaissances scientifiques sur le climat sont limitées. Depuis l’avènement de l’informatique, nombre de ceux qui s’autoproclament « climatologues » sont en réalité des informaticiens-modélisateurs, qui accordent de très loin la préférence à la statistique et aux téléconnexions, sans se préoccuper des liens physiques réels. Il existe toutefois des climatologues météorologues, comme le spécialiste suédois de l’élévation du niveau de la mer Nils-Axel Mörner, ou encore le météorologiste canadien Madhav Khandekar, qui en revanche se préoccupent en priorité de l’observation des phénomènes réels et des principes physiques qui les relient. C’est aussi, naturellement, le souci premier de notre laboratoire. Ces derniers sont loin d’être convaincus par les résultats des modèles. Même parmi les modélisateurs, certains, comme l’Américain Richard Lindzen, restent très sceptiques concernant l’hypothèse du réchauffement climatique. Le problème du GIEC, comme d’ailleurs de Météo France, c’est que depuis les années 1980, ces organismes sont dominés par les modélisateurs, vedettes des médias. Les climatologues réellement soucieux de l’analyse du temps se sont d’ailleurs regroupés en association, dont l’une particulièrement active est intitulée « climat sceptics ».

Le rôle nocif sur le climat des gaz à effet de serre est quand même une donnée objective ?

Il n’y a rien de moins objectif qu’une telle affirmation ! Mettre l’accent sur les gaz à effet de serre donne une vision très simpliste du climat, alors que d’autres facteurs sont beaucoup plus importants ; en particulier, ceux qui déterminent la dynamique de l’atmosphère, les transferts méridiens d’air et d’énergie, et pour faire simple, les transferts d’air froid et d’air chaud. Chacun est capable d’observer que la température est fonction de ces brusques changements, et qu’elle n’évolue pas de façon linéaire. L’important, c’est d’abord de savoir pourquoi et comment des masses d’air froid se forment et se déplacent ; pourquoi elles remplacent ou sont remplacées par de l’air chaud - autrement dit de préciser le mécanisme de la machine atmosphérique. Le temps dépend au jour le jour de ces changements de masses d’air ; en revanche, sur le long terme, la variation dépend de l’activité solaire (tâche, magnétisme, éruption et vent solaires), des projections volcaniques, de la turbidité de l’air, des paramètres astronomiques, etc... Comment voulez-vous que leur responsabilité dans le climat puisse être mise en évidence dans des modèles qui ne prennent tout simplement pas en compte l’ensemble de ces paramètres ? L’effet de serre est donc totalement marginal, sinon même insignifiant, d’autant plus que le principal effet de serre n’est pas réalisé par le CO2 ou le CH4, mais par la vapeur d’eau. Or, même la part réelle de la vapeur d’eau dans l’effet de serre n’est pas considérée à sa juste valeur dans les modèles.

Qu’observe-t-on alors à l’échelle globale ?

On n’observe rien, car il n’y a pas de « climat global ». En revanche, on connaît parfaitement l’évolution des climats régionaux qui suivent des évolutions fort dissemblables. D’ailleurs, il est très révélateur de constater que, de l’aveu même du GIEC, leurs modèles sont incapables de restituer ces variations régionales ! Dans son deuxième rapport de 1996, le GIEC écrit : « Les valeurs régionales des températures pourraient être sensiblement différentes de la moyenne globale, mais il n’est pas encore possible de déterminer avec précision ces fluctuations. » Cela signifie que les modèles du GIEC seraient capables de donner une valeur moyenne sans connaître les valeurs régionales qui permettent d’établir précisément cette moyenne ! Ce n’est pas très sérieux !

Dans l’Atlantique Nord, on observe un refroidissement de la façade ouest (Canada, Etats-Unis à l’est des Rocheuses), alors que l’Europe occidentale se réchauffe, notamment la Scandinavie. L’Europe centrale, elle, se refroidit, comme la Méditerranée orientale, ou comme la Chine. Ces différences de comportement résultent de la dynamique aérologique. Cela dépend en effet des trajectoires des anticyclones mobiles polaires (AMP). Ceux-ci sont de vastes lentilles d’air glacial de 1500 km de rayon, générées quotidiennement par les pôles. Ces lentilles glissent au ras du sol, sous les couches d’air chaud plus légères, contournant les reliefs pour se diriger vers l’équateur. Sur leurs faces avant, elles provoquent le retour vers leur pôle respectif de l’air réchauffé sous les tropiques. Les AMP représentent l’exemple même de discontinuité que les modèles informatiques refusent d’incorporer. En outre, ils pointent du doigt le comportement particulier et l’importance des régions polaires qui, contrairement aux prédictions des modèles, ne se réchauffent pas, mais au contraire se refroidissent.

Vous voulez dire qu’il n’y a pas de fonte des calottes glaciaires ?

C’est un fait incontestable ! Cependant, évitons de généraliser : dans le détail, la glace de mer fond au nord de la mer de Norvège ou dans la région des Aléoutiennes dans le Pacifique nord, où arrivent de l’eau marine et de l’air chauds. En revanche, la banquise ne varie pas au Nord du Canada. Comme l’écrit correctement M. Postel-Vinay, rédacteur de la revue La Recherche, « le gros de la calotte antarctique n’a pas fondu depuis sa formation, voici 60 millions d’années. » L’observation satellitale montre même qu’au cours de la période 1979-1999, qui est celle de la plus forte hausse supposée de la température, la surface de la banquise a globalement augmenté autour du continent antarctique. Au Groenland, certaines régions fondent, notamment sur les pourtours, mais la masse de glace augmente au centre de l’île, comme la masse de la plupart des glaciers scandinaves. Le refroidissement des pôles a atteint 4 à 5°C pendant la période 1940-90 - c’est-à-dire plus de la moitié, mais en négatif, de la valeur prévue pour 2100 ! C’est le démenti le plus flagrant apporté aux prévisions des modèles. Il est d’ailleurs surprenant que ceux-ci aient pu concevoir un tel réchauffement alors qu’il n’y a aucune raison physique qui puisse le justifier ! Est-ce seulement pour faire peur aux gens avec une prétendue montée des eaux qui en résulterait ?

En revanche, ce qui est sûr, c’est que comme les pôles se refroidissent, la puissance et la fréquence des AMP augmentent, les contrastes de températures s’élèvent, les confrontations entre l’air froid et l’air chaud sont plus vigoureuses et le temps devient de plus en plus violent et de plus en plus contrasté dans nos latitudes. Il devient aussi toujours plus irrégulier, avec des périodes étendues de froid puis de chaud, des pluies abondantes et des sécheresses. Des records de chaleur comme de fraîcheur sont d’ailleurs constamment dépassés.

Par exemple, le Canada a subi la pire tempête de verglas de son histoire en 1998, et la Mongolie a connu deux hivers successifs tellement rigoureux que l’Etat a dû faire appel à l’aide internationale. Il serait donc plus judicieux de tenir compte de cette évolution réelle, plutôt que d’un hypothétique scénario à l’horizon 2100, pour assurer, par exemple, une meilleure gestion de l’eau, notamment dans le domaine agricole. La France n’est pas plus épargnée qu’une autre région du monde. Nous avons déjà eu des chutes de neige sur la forêt méditerranéenne, en 2002. La canicule de l’été 2003 est encore un autre exemple, bien qu’elle ait été présentée comme la preuve du réchauffement climatique par M. Besson, Président de Météo France. Cette erreur de jugement est à la base de la mise en place du plan anti-canicule pour l’été 2004, canicule qui n’a bien sûr pas eu lieu. J’avais pourtant adressé, en août 2003, une note rectificative aux principaux médias écrits et audiovisuels pour expliquer les causes de la canicule. Il s’agissait tout simplement d’une hausse de pression, elle-même conséquence d’une augmentation de fréquence des AMP, visibles sur les images satellitales, mais dont les modélisateurs ne veulent pas entendre parler !

Un article paru dans le quotidien Le Monde du 18 septembre explique que la violence du cyclone Ivan constitue précisément une preuve du réchauffement climatique.

C’est très ironique car Ivan a connu des prédécesseurs plus redoutables que lui, comme Hugo, ou Andrews. En outre, le GIEC, dans les années 1990, prétendait que les modèles sont incapables de prévoir l’évolution de la cyclogenèse, qui ne montre aucune tendance à la hausse sur l’Atlantique Nord depuis un siècle. Les modèles annonçaient alors que le réchauffement allait nous apporter une plus grande clémence climatique : « Les tempêtes aux latitudes moyennes (...) résultent de l’écart de température entre le pôle et l’équateur (...). Comme cet écart s’affaiblira avec le réchauffement (...), les tempêtes aux latitudes moyennes seront plus faibles », écrivait le GIEC en 1990. Mais aujourd’hui, puisque le temps n’est pas conforme aux prévisions, le même GIEC oublie ses propres dires et récupère la violence - plus médiatique - du temps, en annonçant qu’il est précisément dû au réchauffement.

Comment expliquez-vous une telle désinformation sur ce sujet ?

Prédire le temps a toujours été une passion. Or, prédire que rien d’alarmant ne va se produire n’est pas très intéressant. Au début du XXe siècle, les prédictions alarmistes étaient déjà très à la mode.

Cependant, elles n’ont jamais réussi à s’imposer, car tous les faits les contredisaient. C’est seulement à partir des années 1985 que sont réapparus, lorsque la climatologie a été monopolisée par les informaticiens, les scénarios les plus catastrophistes. Oubliant tout simplement la météorologie, les modélistes ont appliqué des calculs en vérité extrêmement simplistes dans des modèles super sophistiqués pour imposer leurs concepts. Mais les hypothèses sur le réchauffement climatique n’ont jamais été vérifiées par l’observation, pas plus au début du XXe siècle qu’au début du XXIe. La fameuse courbe du GIEC n’est qu’un artefact, constamment démenti par les mesures et les observations satellitaires.

En réalité, le problème dit du climat est en permanence confondu avec celui de la pollution, deux domaines pourtant bien séparés, qui ne seront bien traités l’un et l’autre que lorsqu’ils seront dissociés. Il sert également de prétexte pour imposer une restriction à l’activité humaine, considérée à tort comme à l’origine du réchauffement climatique. La connexion d’intérêt qui s’est établie entre certains laboratoires, plusieurs institutions internationales et certains hommes politiques, a imposé la notion de réchauffement global. Suivre aveuglément les « recommandations pour décideurs » du GIEC fait passer à côté des phénomènes réels, dépenser vainement des sommes colossales pour des réunions par définition inutiles, et n’autorise pas des mesures de prévention efficaces contre les véritables aléas climatiques que nous allons connaître. A quoi sert de préparer l’économie d’un pays à un réchauffement, alors que tous ses thermomètres signalent un refroidissement ?

Finalement, le réchauffement climatique revêt de plus en plus un caractère de manipulation, qui ressemble vraiment à une imposture « scientifique », et dont les premières victimes sont les climatologues qui ne perçoivent de financements que lorsque leurs travaux vont dans le sens du GIEC.

 

source Agriculture et environnement

 

 

20/06/2016

Mécanique quantique...

Quelques éléments de réflexion sur les paradoxes et les mystères de la mécanique quantique.

 

Le billet écrit plus précis, sur le blog...

 

12/05/2016

Neurones miroirs

Les neurones miroirs (découverts en 1990) semblent constituer une découverte contemporaine majeure en neurosciences et ouvrent des pistes pour expliquer comment on entre en résonance avec l'autre...

ou comment on apprend...

 

Les neurones miroirs sont une catégorie de neurones du cerveau qui présentent une activité aussi bien lorsqu'un individu (humain ou animal) exécute une action que lorsqu'il observe un autre individu exécuter la même action, ou même lorsqu'il imagine une telle action( d'où le terme miroir).

Un sportif s'entraine déja concrétement quand il regarde un autre s'entrainer ou quand il se visualise en train de s'entrainer... Puisqu'il agit sur ses neurones moteurs qui constituent un élément clef de toute action.

Les neurones miroirs semblent jouer un rôle essentiel dans l'apprentissage par imitation, dans le désir (mimétique) mais aussi dans les processus affectifs  ou encore dans l'identification à des personnages, des sportifs, des acteurs etc...

Par exemple, la partie antérieure du lobe de l'insula, est active aussi bien quand la personne éprouve du dégoût que lorsqu'elle voit quelqu'un exprimant du dégoût. Cela éclaire d'un jour nouveau le phénomène connu de contagion émotionnelle et les effets de masse.

Concernant l'autisme ou l'empathie, l'implication des neurones miroirs est controversée (cf conférence de  Benoit Kullmann tout en bas)

 

article de clefs

 

Le point de vue critique de Benoit Kullmann relativisant la portée de cette découverte...( concernant l'implication des neurones-miroirs dans l'empathie plus particulièrement)

Narcisse, Echo, et le mythe des neurones miroirs.  (expérience des neurones vers 26 mn)

23/04/2016

Le projet "Conscience globale"

Le "Projet Conscience Globale" est une expérience parapsychologique débutée en 1998 à l'Université de Princeton dans le New Jersey.

Cette expérience cherche à mesurer d'éventuelles anomalies dans la génération de nombres aléatoires, qui seraient corrélées avec d'importantes émotions collectives lors d'événements mondiaux.

Il s’agit d’un réseau de générateurs numériques aléatoires qu'il a mis en place en divers endroits du globe (voir ci-dessous en rouge)  et qui sont connectés entre eux par Internet.

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Plusieurs personnes rassemblent continuellement des informations provenant de ce réseau mondial de générateurs de nombres aléatoires (GNA) situés sur 65 sites à travers le monde. Les archives contiennent plus de 10 années de mesures réalisées par des appareils synchronisés qui produisent 200 tirages aléatoires de nombres par seconde (soit un 1, soit un 0).

 

Roger D Nelson prétend avoir obtenu des résultats prometteurs lors d'événements, comme l'enterrement de la Princesse Diana et celui de Mère Teresa, ou encore l'accident du sous-marin russe Koursk.Mais l'exemple le plus caractéristique semble être celui du 11 septembre 2001, jour des attentats du World Trade Center de New York.

Sur l'ensemble du réseau, en effet, on note ce jour-là une sorte de signal de détresse à l'échelle planétaire...

conscience globale,nelson, gna

 

21/04/2016

Etudes scientifiques...

"L’analyse de nombreuses études publiées dans les grandes revues médicales et scientifiques le montre : elles sont souvent fausses. La majorité d’entre elles n’est pas réplicable. C’est flagrant en psychologie, en pharmacie et d’une manière générale dans les sciences humaines, mais le phénomène touche aussi une science dure comme la physique des particules. La proportion des études fiables régresse."

 

Un article de First Thing secoue le milieu des épistémologues américains. Son auteur, l’informaticien William A. Wilson, se fondant sur plusieurs études d’études et sur les travaux de John Ioannidis, professeur à l’école de médecine de l’université de Stanford, tire la sonnette d’alarme : selon lui, la science régresse et les études publiées par les revues scientifiques renommées telles Nature sont fausses en majorité. Plus, le phénomène n’est pas passager, il est structurel.

 

 

29/12/2015

Quelques anamorphoses de plus...

Encore quelques exemples d'anamorphoses (cylindriques)

Pour rappel : une anamorphose est la transformation réversible d'une image à l'aide d'un système optique (un miroir courbe le plus souvent, ici un cylindre)  ou par un procédé géométrique.

voir le premier sujet posté le 15/1/2009 ici

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Utilisée de manière créative dans l'art visuel, pictural, architectural, ce peut aussi être une manière de dissimuler un message ou une information (cryptologie) qui n'apparait que grâce au "cylindre révélateur".

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05/11/2015

Bien manger pour protéger sa santé...

Ce que vous mangez a un effet global sur votre santé.

Voici une liste d'aliments qui protègent particulièrement  la santé en éliminant les toxines, les cellules cancéreuses et les radicaux libres...

 

1. Haricots secs

Les haricots secs offrent de nombreux composés phytochimiques ainsi que des fibres. Les composés phytochimiques comme les saponines ont la propriété d’inhiber la reproduction des cellules cancéreuses; les inhibiteurs de protéase ralentissent la division de ces cellules, et l’acide phytique, lui aussi, ralentit la progression des tumeurs. Les haricots secs contiennent aussi des folates, une vitamine B qui réduit le risque de cancer du pancréas.

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2. Graine de nigelle / huile de nigelle

Aussi connue comme le cumin noir. Il y a à ce jour 656 études révisées par des pairs sur cet aliment incroyable. Cette graine a la vertu de stabiliser et renforcer le système immunitaire. Le Dr Hwyda Arafar MD, PhD, utilise la graine de nigelle dans le traitement des patients atteints de cancer du pancréas avec des résultats étonnants de 80% de mort cellulaire.

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3. Carottes

Les carottes sont riches en bêta carotène, un antioxydant dont les scientifiques pensent qu’il protège les membranes cellulaires contre les dommages dus aux toxines et il ralentit la croissance des cellules cancéreuses. Elles fournissent des antioxydants qui peuvent combattre le VPH. Les carottes peuvent se révéler bénéfiques dans le traitement de la leucémie.

4. Légumes crucifères (choux)

Les légumes crucifères comme le chou chinois, le brocoli, le chou vert, le chou kale, le chou frisé, le chou-fleur contiennent du sulforaphane et des indole-3-carbinols (l3Cs). Ce sont deux anti-cancer puissants. Ils aident à détoxifier le corps et inhibent le développement des cellules précancéreuses en tumeurs malignes. Dans des études menées par le World Cancer Research Fund et l’American Institute for Cancer, le brocoli et d’autres légumes crucifères étaient particulièrement protecteurs contre les cancers de la bouche, de l’oesophage et de l’estomac. Vous pouvez également envisager de consommer des graines germées de brocoli pour une régénération nutritionnelle encore plus efficace.

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5. Ail

Les mêmes composés soufrés qui donnent à l’ail sa forte odeur peuvent empêcher les substances causant le cancer de se former dans votre corps, accélèrent la réparation de l’ADN et tuent les cellules cancéreuses. N’oubliez pas d’inclure d’autres aliments du groupe des alliacés, les oignons, les poireaux, les échalotes et la ciboulette. Le soufre présent dans ce groupe d’aliments facilite la mort des cellules du cancer de la prostate, du côlon, du sein et du poumon.

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6. Gingembre

Le gingembre a des propriétés anti-inflammatoires puissantes et peut ralentir la croissance du cancer. Cette racine épicée est également utile pour soulager les nausées, les migraines, les douleurs musculaires et l’arthrite. Le pouvoir anti-inflammatoire du gingembre tue les cellules cancéreuses de l’ovaire dans un tube à essais plus rapidement que la chimio, selon une étude effectuée au Centre du Cancer de l’Université du Michigan.

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7. Raisins et resvératrol

La recherche montre que le resvératrol offre de nombreux avantages en matière de santé y compris réduire l’inflammation et prévenir l’oxydation du cholestérol LDL. Il permet également de limiter la propagation des cellules cancéreuses et déclenche la mort de ces cellules. Si vous cherchez à augmenter votre consommation de resvératrol, envisagez de consommer du raisin, des myrtilles, des canneberges et des grenades, chacun d’entre eux offrant un large éventail d’antioxydants.

8. Thé vert

Riche en polyphénols et catéchines, notamment l’EGCG (gallate d’épigallocatéchine). L’EGCG est foudroyant sur les cellules cancéreuses. Ce puissant antioxydant aide à détoxifier le foie et retarde la croissance du cancer. Des études de laboratoire ont montré que les catéchines du thé peuvent réduire les tumeurs et réduire la croissance des cellules tumorales.

9. Grenade

Des études ont montré que le jus de grenade permettait de réduire le risque lié au cancer de la prostate et probablement celui lié au cancer du sein. Associé avec du brocoli, du curcuma et du thé vert, il a fait chuter de 63 % les niveaux de PSA des patients atteints du cancer de la prostate. Et cela en six mois.

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10. Algues

Les algues Kelp, Kombu, Hijiki, Nori et Arame sont des aliments puissants et riches en minéraux et vitamines que l’on peut facilement ajouter aux soupes, salades, quinoa ou autre. Les algues offrent une quantité d’avantages nutritionnels et curatifs.

  • Le Kelp aide à éliminer les particules radioactives et les métaux lourds de l’organisme.
  • Le Kombu contribue à abaisser la pression artérielle et est abondant en iode, carotènes, vitamines B, C, D et E; c’est également une algue riche en protéines et qui contient également du calcium, du magnésium, du potassium, de la silice, du fer et du zinc.
  • Le Hijiki stimule les cellules tueuses naturelles pour la protection contre les maladies.
  • Le Nori est riche en carotènes, calcium, fer, iode et phosphore.
  • L’Arame est l’une des sources les plus riches en iode. Les herboristes utilisent l’Arame pour aider à réduire les fibromes du sein et de l’utérus.

Les algues séchées se trouvent également en poudre à utiliser dans les bains détoxifiants.

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11. Epinards

Cet aliment vert polyvalent contient de la lutéine et de la zéaxanthine. Ces caroténoïdes suppriment des molécules instables et les radicaux libres de votre corps. Ils sont également présents dans d’autres légumes à feuilles vertes foncées. Une étude du NIH/AARP portant sur plus de 490 000 personnes a trouvé que celles qui mangeaient plus d’épinards étaient moins susceptibles de développer le cancer de l’oesophage. Certaines études suggèrent que les caroténoïdes des épinards et d’autres aliments réduisent le risque de cancer de l’ovaire, de l’endomètre, du poumon, et le cancer colorectal.

12. Fraises

Cette baie est riche en antioxydants comme la vitamine C et l’acide ellagique. L’acide ellagique présente des propriétés anti-cancéreuses qui suralimentent les enzymes pour ralentir la croissance des tumeurs. Toutes les baies contiennent de puissants antioxydants, ce qui signifie qu’elles arrêtent naturellement le processus qui crée des radicaux libres endommageant les cellules. D’autres baies riches en flavonoïdes comme les framboises, les myrtilles, les mûres, et les canneberges sont également de puissants antioxydants et sont considérées comme des aliments protecteurs. Les fruits et les baies ont le potentiel de réduire les risques de cancer du poumon, de la bouche, de l’estomac et de l’oesophage.

13. Tomates

Le lycopène est un antioxydant très concentré dans les tomates. De nombreuses études suggèrent qu’une alimentation riche en lycopène est liée à un risque plus faible de cancer de la prostate. Dans les tests de laboratoire, le lycopène stoppe le développement d’autres types de cellules cancéreuses, celles du sein, des poumons et de l’endomètre. D’autres aliments qui contiennent du lycopène incluent la pastèque, le pamplemousse rose et les poivrons rouges. Cependant, alors que la consommation régulière de tomates et de poivrons est associée à un moindre risque de plusieurs cancers, notamment le cancer de la prostate, elle a un inconvénient qui est la solanine. Si vous avez une inflammation, la solanine est susceptible d’empirer et d’aggraver la situation.

14. Curcuma

La curcumine est l’un des plus puissants antioxydants trouvés dans le curcuma et a de nombreux avantages pour la santé. Il a été largement étudié pour sa capacité à tuer de nombreuses lignées de cancers. James A. Duke, un ethnobotaniste, a publié des résumés complets de 700 études sur le curcuma.

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15. Vitamine D

Certes, la vitamine D n’est pas un aliment, mais il y a une infinité d’études qui montrent que cette vitamine joue un rôle dans la réduction du risque de cancer du sein et du côlon, ainsi que l’amélioration du taux de survie des personnes atteintes du cancer du poumon.

16. Le café

une étude menée par des chercheurs de la faculté de médecine de Harvard a montré que le fait de consommer 4 à 6 tasses de café par jour diminuait de façon importante le risque de rechute pour les cancers de la prostate. Une autre étude, publiée dans la revue Breast Cancer Research, suggère qu’une consommation moyenne de 5 tasses de café par jour réduirait le risque de développer un cancer du sein.

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17. L’œuf et le pain blanc ou aux céréales, qui sont des aliments indispensables dans une alimentation équilibrée pour la santé. A condition, s’agissant de l’œuf, que le patient n’ait pas de cholestérol.

18. Les petits poissons comme les sardines, les maquereaux, les anchois, ou les harengs.

Une sardine peut contenir de 20 à 30 fois plus d’oméga 3 qu’une sole ou une morue. Cependant, il apparaît que l’ingestion importante d’oméga 3 au travers de la consommation de saumon augmente le risque de cancer de la prostate. A limiter: les gros poissons (thon, espadon…) situés en haut de la chaîne alimentaire, qui sont les plus contaminés par les polluants organiques persistants.

19. Le vin rouge consommé avec modération a des vertus anticancéreuses grâce à sa teneur en resvératrol, un puissant antioxydant.

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