Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/04/2025

Ugly: the wheel

BOIRE DE L’EAU

BOIRE DE L’EAU, OUI, MAIS LAQUELLE ET QUAND ?

Jacques Collin, ingénieur, éminent spécialiste de l’eau depuis sa prise de conscience de ses bienfaits en 1989 et auteur de différents ouvrages*, nous livre dans une vidéo publiée en 2012 sur le blog ”Eau Séance iLive”, sa vision éclairée sur le sujet. En voici une transcription modérée.

Quelle eau boire ?

Par le passé, l’eau de consommation était une eau naturelle, directement prélevée dans les puits, sources ou fontaines, en dépit des premiers systèmes d’adduction d’eau qui remontent au moins à l’époque romaine mais aujourd’hui elle ne se résume qu’à :

l’eau du robinet
l’eau en bouteille.

L’eau du robinet.

Si l’eau du robinet est une eau potable, sûre car contrôlée régulièrement elle n’en est pas pour autant bonne pour notre santé. En effet, les traitements chimiques et le chlore en particulier y tuent toute forme de vie par aseptisation et cela ne suffit pas à lui donner des qualités bénéfiques pour notre santé. Il y a au moins trois raisons à cela :

Le chlore va provoquer une destruction microbienne, ce qui est une bonne chose, mais de nombreuses études ont démontré que la destruction des microbes provoque l’accumulation de détritus qui se reconstituent en virus! Le monde viral est un monde silencieux, souterrain, qui sur le long terme peut affecter notre organisme. En traitant chimiquement l’eau du robinet, on tue le microbe mais pas le virus.
La stérilisation de l’eau, quel qu’en soit le procédé, comme les rayons ultra-violets, va induire son oxydation. Boire une eau oxydée va saturer le corps électroniquement (au niveau moléculaire) impliquant une perte de vitalité et des réactions métaboliques préparant des terrains de dégénérescence.
La dureté de l’eau, c’est à dire sa teneur en calcium et en magnésium est aussi un danger pour notre organisme. En effet, le calcium contenu dans l’eau du robinet ne recalcifie pas le corps mais s’accumule dans notre organisme pouvant provoquer des désordres comme la maladie de Paget ou être une cause d’ostéoporose et d’artériosclérose par un durcissement des artères.

Ces trois facteurs entraînent notre corps sur un terrain de dégénérescence. Pour ces raisons l’eau sortant du robinet directement est déconseillée pour la consommation en eau de boisson. En effet, elle provoque l’accumulation de métabolites indésirables que le corps va chercher à éliminer par les urines, jusqu’à ce que atteignant saturation cela provoque une invasion de notre eau intérieure, qui ne peut plus se structurer ou se restructurer et toute l’information de notre corps va se geler. Nos cellules ne peuvent plus communiquer entre elles laissant apparaître des dégénérescences cellulaires.

Les eaux minérales.

Remplacer l’eau du robinet par des eaux minérales n’est pas anodin. Plus il y a de minéraux dans l’eau, plus le corps va avoir du mal à les absorber. De plus l’eau minérale prise à la source n’a rien à voir avec la même eau embouteillée. Dès l’embouteillage, les minéraux se désactivent et floculent et par voie de conséquence ne sont plus assimilables. Tous les minéraux dissous dans l’eau sont par définition des cailloux. Nous sommes des Êtres Humains, des mammifères, et donc nous ne pouvons pas assimiler les minéraux bruts de cette façon. Là encore, les minéraux sont accumulés par notre corps avec à terme la survenue de calculs, problèmes rénaux, etc.

Les eaux hyper minéralisées sont à déconseiller totalement en bouteille. Ce sont des poisons ! Quand on achète des eaux en bouteilles, il faut qu’elles soient les plus pures possible. La pureté s’exprime au niveau des quantités de résidus à sec, elles doivent être d’un niveau minimal. Le seuil tolérable est de 100/120 mg/l maximum. Certaines eaux peuvent atteindre des taux de 2000 à 4000 mg/l, ce sont des eaux lourdes à gérer au niveau de notre organisme, car contrairement aux végétaux notre corps n’assimile pas les minéraux. Les végétaux les captent, les digèrent et les végétalisent, donc pour couvrir notre besoin en minéraux, il ne faut pas boire d’eau minérale mais manger des végétaux qui sont remplis de minéraux organiques directement assimilables par notre corps.

Comment faire si ni l’eau du robinet, ni l’eau minérale ne sont bonnes pour le corps?

Il faut filtrer l’eau du robinet ou trouver des eaux minérales relativement pures en bouteille, idéalement avec un taux de minéralité inférieur à 100mg/l.

L’eau peut être filtrée par un système de charbons actifs, comme les carafes ou colonnes filtrantes qui sont disponibles dans le commerce ou encore subir une filtration par osmose inverse qui redonne une eau pure avec un taux de résidu infinitésimal. Ce dernier système n’a pas l’agrément de tous les scientifiques spécialistes de l’eau qui parfois en déconseillent son usage exclusif comme eau de boisson.

Une fois filtrées, il n’en reste pas moins que ces eaux sont totalement déstructurées au niveau moléculaire, ce sont des eaux mortes. Pour les rendre propre à une consommation quotidienne et leur rendre tout leur pouvoir bénéfique pour le corps humain il faut les restructurer en utilisant soit le principe de l’onde pulsée mise au point par Marcel Violet dans les années 50, qui recrée le potentiel électronique de l’eau (équilibre photons/électrons), soit en utilisant des vortex qui sont des tourbillons (pour dynamiser l’eau de la même façon qu’un torrent le ferait naturellement). L’eau est maintenant purifiée et dynamisée, elle est devenue pleinement assimilable ! Internet regorge de systèmes de dynamisation de l’eau des plus simples et économiques aux plus sophistiqués et moins accessibles financièrement.

Quand la boire ?

Boire cette eau purifiée et dynamisée à jeun va lui permettre d’être diffusée rapidement au niveau cellulaire via le système digestif. La meilleure eau à boire, c’est le matin en se levant. Cette eau va être diffusée rapidement par la voie estomac, intestin et colon et va être immédiatement disponible au niveau cellulaire et du sang.

Il faut réactiver le sens de la soif le matin jusqu’à ce que boire à ce moment devienne un automatisme. Idéalement, il faut boire 30 minutes avant le petit déjeuner.

Ensuite, il faut boire tout au long de la journée, entre les repas et jamais pendant les repas. Il faut s’arrêter de boire 30 mn avant les repas, car l’eau bue en mangeant va contrarier la digestion pour plusieurs raisons :

L’eau bue au moment du repas lave le tractus digestif dans lequel se trouvent les diastases qui sont importantes pour la pré-digestion.
L’eau sera mélangée au bol alimentaire et y sera liée et ne pourra donc pas être utilisée par notre corps au niveau cellulaire et sera rejetée par le système intestinal. Il faut commencer à reboire 2 heures après les repas.

Il est par ailleurs très important de boire en fin d’après-midi car l’eau bue à ce moment va défatiguer l’organisme.

Ce n’est pas un verre d’eau qui va changer quelque chose, mais en suivant ces recommandations avec rigueur et opiniâtreté, on s’aperçoit que beaucoup de choses changent au niveau de notre corps. Cela ne se fait pas au premier jour et dépend aussi de notre charge de toxines. Et surtout, il faut supprimer de nos habitudes de consommation toutes les boissons industrielles.

L’eau est guérisseuse par définition, mais c’est surtout préventif tant que l’on n’a pas passé le seuil du non-retour dégénératif. L’eau agit dans tout le corps, particulièrement au niveau des articulations. Les gens qui ne boivent pas d’eau ont des articulations qui se dessèchent, les vertèbres qui se bloquent….

Boire de l’eau est une vigilance de chaque instant et quand vous l’aurez aquise, votre corps aura les bons automatismes et vous aurez soif tout le temps ! C’est votre corps qui va déterminer de lui-même la quantité[1] d’eau dont il a réellement besoin pour se garder dans la meilleure santé possible. Il ne vous reste qu’à l’éduquer en lui donnant une eau que vous aurez préalablement refabriquée.

* Bibliographie

L’insoutenable vérité de l’eau éditions Tredaniel
L’eau, le miracle oublié éditions Tredaniel
L’eau-delà de l’eau éditions Tredaniel



[1] volume de référence pour une hydratation optimale 30ml/kg/j (toutes boissons non alcoolisées comprises)

22/04/2025

Le hasard ludique

20/04/2025

Samira Zopunyan

17:41 Publié dans Danse | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook

19/04/2025

La conjonction Saturne-Neptune ou l’alchimie du réel et du rêve

A lire, pour mieux apprécier le changement géopolitique (lié au cycle russe) qui va compléter le changement de paradigme en cours.
Je reprends un article de Natacha S, qui présente la conjonction Saturne Neptune (cycle de 36 ans) qui va avoir lieu dans les mois à venir.


Natacha S:
"Tous les 36 ans environ, Saturne, gardien austère du temps, rejoint Neptune, messager des brumes de l'âme. Leur conjonction est une porte entre les mondes de l’Incarnation et de l’Invisible, un carrefour où la rigueur s'unit à la magie, où la pierre accepte d'être sculptée par l'océan. En 2025 et 2026, ce rendez-vous cosmique entre Saturne et Neptune s'écrira sous le feu du Bélier, porteur d’aventures incandescentes et de conquêtes ardentes.

Saturne et Neptune m’évoquent respectivement le tonal et le nagual dans l’œuvre de Carlos Castaneda. Le tonal représente le monde du connu, l’ordre, la raison et tout ce qui peut être nommé ou structuré par l’esprit humain. Le nagual, à l’inverse, est l’inconnu, le mystère, l’énergie mystérieuse qui échappe aux classifications, un espace de potentialités où la conscience peut s’affranchir des limites du réel ordinaire. Ensemble, ils forment une dualité complémentaire : le tonal est la carte, le nagual est le territoire infini. Cela ressemble vraiment à la description de Saturne et de Neptune, n’est-ce pas ?

Saturne-Neptune à travers les âges : empreintes dans le sable du temps


Leur danse céleste s’inscrit dans une Histoire comme autant de jalons des périodes de bouleversements profonds. Au XXème siècle, il y eut trois conjonctions Saturne-Neptune :

1917 (en Lion) : la Révolution bolchevique bouleverse l’ordre mondial en détruisant la Russie impériale pour instaurer un nouvel ordre, témoignant ainsi du pouvoir de dissolution de Neptune appliqué aux structures saturniennes.
1952-1953 (en Balance) : Joseph Staline meurt le 5 mars 1953, ce qui met fin à d’innombrables crimes et oppressions commis par le régime soviétique. Les structures rigides et paranoïaques du stalinisme disparaissent. Khrouchtchev devient le premier secrétaire de l’Union soviétique et se lance dans une politique de déstalinisation.
1989 (en Capricorne) : le 9 novembre, le mur de Berlin tombe, un monde se réinvente. La pierre, sous l’action fluide de Neptune, s’effondre et cède la place à une ère nouvelle.

2025-2026 : Saturne et Neptune en Bélier, vers un renversement des structures ?


La conjonction exacte entre Saturne et Neptune en Bélier se produira le 20 février 2026, à 1° du Bélier. Cependant, son action se fera déjà sentir en 2025, car Saturne et Neptune entreront en Bélier, Saturne, le 25 mai, et Neptune, le 30 mars, et ils seront côte à côte de mai à septembre, de 0° à presque 2° du Bélier.

Avec le Bélier, l’initiative et le courage, mais aussi la témérité et la colère, prennent le devant de la scène. Dans le premier signe du zodiaque, un signe de Feu, la rigueur saturnienne rencontre la dissolution neptunienne dans un brasier de paradoxes : déconstruire pour bâtir, ou se noyer dans une vague d’actions audacieuses et de coups d’éclats.

Astrologie mondiale : l’aube d’une révolution sociale

Les structures établies pourraient vaciller sous l’assaut de nouvelles impulsions. Cette conjonction pourrait signer :

L’avènement de figures visionnaires, brûlées par l’ardeur de leurs idéaux.
Des soulèvements, où l’aspiration au renouveau se heurtera aux résistances du passé.
Un remodelage fulgurant des institutions, entre fulgurance créatrice et chaos.
L’émergence de leaders novateurs prônant un changement radical.
Des mouvements sociaux portés par une quête d’autonomie et de liberté.
Une restructuration rapide des institutions, possiblement marquée par des tensions.

Astrologie individuelle : le feu sacré du destin

Dans l’athanor personnel, cette période convie chacun à transmuter ses rêves en édifices tangibles. Cette énergie pourra se traduire, selon l’emplacement de la conjonction Saturne-Neptune dans votre thème astral, par :

Une irrésistible poussée vers l’accomplissement de soi, envers et contre tout.
Une nécessité impérieuse de faire coïncider son idéal intérieur avec la réalité concrète.
Une danse subtile entre vision et action, entre foi et pragmatisme.
Une volonté de briser les chaînes des limitations passées.
L’impulsion d’oser concrétiser un rêve enfoui.
Des défis liés à la confrontation entre réalisme et idéalisme.

Le Grand Oeuvre du ciel

La conjonction Saturne-Neptune en Bélier est une initiation, une épreuve où l’on est invité à oser, à briser les frontières du possible. Elle est un pacte entre la matière et l’invisible, un appel à bâtir un monde fidèle à nos âmes. Sommes-nous prêts à accueillir la flamme qui transmutera nos songes en réalités ?"

Re Lous and The Yak...




10/04/2025

Haïkoa





Cette fille n'est pas sauvage,
tu l'attrapes avec un chapeau.

Un papillon dans la lumière.
Un bouchon au fil de l'eau.











eric buzzati

09/04/2025

Mik et Tom