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16/03/2020

Le calme Raoult


Didier Raoult, né le 13 mars 1952 à Dakar au Sénégal, est un chercheur biologiste et professeur de microbiologie français, médecin de formation, spécialisé en maladies infectieuses.
Il a découvert avec son équipe plus de soixante nouveaux virus dont les mimivirus (ou virus géants).
Directeur de l’Institut Méditerranée Infection à Marseille. (Leurs vidéos.)


Dans le concert d'alarmisme qui augmente avec le pic de contagion, il reste une des voix posées du corps médical.Et non la moindre, bien qu'il n'ait pas été entièrement entendu, en tant que membre du conseil scientifique (de 11 experts) dédié au coronavirus.

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Même si je ne partage pas vraiment sa vision globale de la médecine (trop chimique à mon goût), je respecte et apprécie son recul et son pragmatisme, ça fait du bien.


Interview , source:Marianne

"Il ne faut pas jouer avec la peur"



Marianne : -Que vous inspire l'évolution de l’épidémie de coronavirus ?



Didier Raoult : -Je ne me laisse pas embarquer dans la terreur. Je ne sais pas deviner l'avenir et n'ai pas l'habitude de croire les plus excités qui se sont toujours trompés dans leurs modélisations. J'analyse au jour le jour, et l'évolution, aujourd'hui, c'est quelques 6.000 morts dans le monde, dont environ 3.500 en Chine où l'épidémie se termine, et 127 en France. Je m'étonne qu'on parle de cause très significative de mortalité, et même de crise sanitaire du siècle, alors qu' en 2017 la grippe et les autres infections respiratoires ont tué entre 14.000 et 20.000 personnes en France. Peut-être que les statistiques seront très différentes à la fin de l'épidémie, mais aujourd'hui je ne vois pas de problème majeur en termes de mortalité.

En scientifique, je m'intéresse à ce qui se fait dans le monde pour analyser les solutions associées aux meilleurs résultats. La plupart des pays n'avait pas pris le type de décision annoncée par la France, sauf l'Italie avec un succès pas vraiment remarquable. L'Allemagne n'a pas fait ce choix, la Corée du Sud non plus, bien qu'elle ait été frappée de plein fouet. En Chine, il n'y a que la région de Wuhan qui ait été mise en quarantaine, là où il y a eu 2.500 morts, alors que le virus a été partout ailleurs. Mais la mortalité ne s'est pas étendue. On prend des mesures qui n'ont rien à voir avec celles de pays qui ont contrôlé l'épidémie. Peut-être est-ce un trait de génie, ou pas. Il importe surtout de ramener les choses à leur proportion, car l'interprétation que l'on en donne fini par biaiser complètement la vision.

-Ce virus n'est-il pas particulièrement contagieux et dangereux ?

-La dangerosité, je ne sais pas ce que cela veut dire. Elle dépend de l'échantillon qu'on observe. On peut regarder en Corée du Sud où l'on a fait ce que je préconise depuis le début, à savoir détecter et traiter, ou dans la plus grande folie réalisée au Japon en coinçant des personnes âgées sur un bateau de croisière, un modèle expérimental équivalent à mettre ensemble vingt souris dont quatre infectées pour regarder combien seront contaminées. Dans ces deux cas, la mortalité a été relativement faible, et en Corée elle a été une des plus faibles au monde. Dans notre centre à Marseille, le seul cas mortel est arrivé après avoir erré d'hôpital en hôpital. Une dame de 89 ans qui était en réanimation depuis dix jours quand on l'a diagnostiquée. La mortalité sera évidemment plus importante pour des gens repérés en réanimation qu'avec une détection précoce. Elle va dépendre de la qualité de la prise en charge, et on ne peut tester cette mortalité que si l'on intègre des formes peu symptomatiques.

En Chine, on rapporte des suicides de gens angoissés

Nous avons sans doute fait plus de tests du coronavirus que tous les autres laboratoires français réunis, avec aussi bien des formes modérées que graves. Le PACA est peut-être épargné avec un seul décès, mais ça prouverait que les généralisations sont fausses. Les écosystèmes sont différents entre Paris intra-muros, Wuhan, la région PACA, et il y a le risque non mesurable car chaotique des super-contaminateurs, difficilement compréhensibles. On sait tout de même maintenant mesurer les charges virales et on voit que des gens ont des quantités de virus un million de fois plus importantes que d'autres. Logiquement, cela peut jouer un rôle dans la contamination, avec d'autres choses comme le comportement. Reste qu'aujourd'hui la plupart de nos patients viennent pour des symptômes respiratoires dus à la vingtaine d'autres virus qui circulent, ou parce qu'ils ont rencontré quelqu'un qui avait le coronavirus. Ils sont affolés et veulent savoir s'ils n'ont pas un truc qui va les tuer. La peur est très contagieuse. En Chine, on rapporte des suicides de gens angoissés. Il ne faut pas jouer avec la peur.

-Pensez-vous qu'on s'emballe dangereusement ?

Oui. Quelles sont les données pratiques ? En 2019, il y a eu 2,6 millions de morts dans le monde par infection respiratoire aiguë. A votre avis, quelle influence aura là-dedans le coronavirus ? Avant de modifier sensiblement ces statistiques, il va falloir qu'il tue beaucoup... Et qui sait s'il ne s’arrêtera pas du jour au lendemain sans qu'on sache pourquoi comme le SRAS, ou si l'on en aura fini avec lui en mars, comme habituellement avec la grippe. Tout cela fait que je ne suis pas particulièrement ému, et pense surtout à détecter et à traiter.

-Vous menez un essai clinique sur un traitement par la chloroquine. Avez-vous des premiers résultats ?

Je les présenterai cette semaine, mais n'inventerai rien (voir ici) Le docteur Zhong Nanshan, qui a géré l'épidémie de coronavirus chinois avec succès, a montré que la chloroquine améliore le tableau clinique. En Arabie saoudite, pays où il y a eu le plus de coronavirus ces dernières années, Ziad Memish la recommande également comme traitement de base. Ces deux scientifiques sont les meilleurs au monde pour traiter les coronavirus, mais en France, peut-être parce que l'un est chinois et l'autre arabe, on ne les écoute pas. En Corée du sud, la chloroquine est aussi dans le protocole officiel, comme en Iran.

En France on réclame de fournir des résultats déjà trouvés ailleurs

Les coronavirus viennent de ces pays et ceux qui proposent ce produit les connaissent. Je transmets des choses que d'autres devraient aussi transmettre s'ils lisaient, suivaient ce qui se fait à l'étranger et avaient réalisé que les Chinois sont devenus les plus grands producteurs de science au monde. Je ne fais qu'une étude de confirmation au niveau de la charge virale, seul élément vraiment mesurable aujourd'hui, sauf à inclure des milliers de personnes pour des analyses qui arriveront dans plusieurs mois, sans résultat immédiat.

La charge virale est en revanche facile à regarder et elle répond à la question essentielle de la transmissibilité. Sa durée moyenne est de 12 à 14 jours, et le docteur Zhong a déjà montré que la chloroquine réduisait la persistance du virus à quatre jours. Parmi tous les produits testés, c'est le plus anodin au niveau des effets secondaires, le moins cher, et il a montré au moins partiellement son efficacité. Une bonne nouvelle à annoncer. Cela aura un effet, y compris dans une population où l'on peut redouter de mourir de quelque chose qu'on ne peut pas traiter. Je ne comprends pas qu'on ne s'en serve pas. C'est bizarre à une époque où l'on parle sans cesse de mondialisation. En France on réclame de fournir des résultats déjà trouvés ailleurs.

-On a parlé de "fake news" à propos de vos déclarations sur la chloroquine.

Fin février, j'ai fait une vidéo dans laquelle je présentais les résultats chinois. Elle a été postée et partagée sur Facebook, qui l'a qualifié de "fake news" après avis d'un décodeur du Monde. Le site du ministère de la Santé a alors affiché que je propageais une fake news, mais l'a vite retiré. Et deux semaines après, le ministère me demandait de rentrer dans le conseil scientifique dédié au coronavirus...

-Y êtes-vous entendu ?

J'y dis ce que je pense, mais ce n'est pas traduit en acte. On appelle cela, des conseils scientifiques, mais ils sont politiques. J'y suis comme un extra-terrestre.


13/03/2020

Le sens des maladies




Donner du sens aux événements qui nous touchent, c'est ce que permet une vision spirituelle du monde.

-Les maladies individuelles ne sont pas des anomalies internes survenant par hasard ou des agressions arrivant de l'extérieur, c'est la manière dont notre corps s'adapte à une situation détériorée et essaie de nous montrer comment en sortir.
Nous ne devons pas voir cela comme un ennui ou un désagrément mais comme une occasion positive de nous réorienter.
C'est toujours un message qu'il nous envoie, et des informations sur notre situation.
Cela peut paraître paradoxal mais la maladie a toujours une intention positive à notre égard.

(cf Annick de Souzenelle "Le symbolisme du corps humain", Michel Odoul "Dis-moi où tu as mal", Dr Olivier Soulier 1, etc.)
La compréhension symbolique de la maladie suffit d'ailleurs parfois à ramener l'équilibre.

Dans une optique karmique des choses, cela reste valable (et probablement de manière encore plus profonde ) pour les maladies innées, génétiques, héréditaires.

Quand il s'agit d'épidémie, le message n'est plus individuel mais collectif, et en cas de pandémie, il s'adresse à toute la planète.
Chaque microbe ou virus représente potentiellement une épreuve que l'organisme (ou une population) peut un jour être amené à rencontrer. Ces virus vivent très longtemps au fil des siècles, sans causer aucun souci, et puis un jour, ils s'activent...

-L'astrologie (connaissance des cycles temporels) nous avait prévenu depuis longtemps : 2020 serait le moment d'une profonde crise mondiale liée à un changement de paradigme nécessaire (pour sortir du capitalisme ultralibéral ? commencer à sortir du matérialisme déterministe?)
Depuis la précédente crise financière de 2008, la plupart des économistes sérieux avaient rejoint cette thèse: une crise radicale devenait inévitable, 2008 n'ayant rien résolu. Le modèle économique capitaliste devait changer radicalement, ou s'effondrer comme le communisme soviétique en 89.

Il semble que cette épidémie ait servi de déclencheur pour permettre à la crise masquée (mais bien réelle) de parvenir enfin à s'exprimer, malgré tous les appareils d'état et institutions financières qui essayaient de la nier et de la camoufler.
Et cela d'une manière détournée assez surprenante.
(J'avais plutôt imaginé un virus informatique planétaire mettant à mal le système boursier, par ex, ou un désastre écologique.)

D'où ce décalage entre les faits (qui cependant s'accroissent au fil du temps, comme une prédiction autoréalisatrice) et les conséquences multiples (parfois incohérentes) auxquelles on assiste, mais qui pourraient par "effet dominos" amener à des résultats réclamés en vain depuis des mois par une partie des populations.
Le rôle de catalyseur ayant été joué par les médias* transformant à grand fracas et avant l'heure (dès Janvier) , un virus chinois en virus planétaire médiatique anxiogène (L'Europe devenant l'épicentre en Mars). 2
Un bug dans la matrice.
Apparemment il fallait ça, (une sorte d'électrochoc), pour que le système global prenne conscience qu'il va droit dans le mur.
Est-ce que cela suffira?
Ou bien d'autres crises en 2020, 2021 et 2022 devront-elles prendre la relève pour permettre l'émergence de ce nouveau paradigme devant succéder à cette ère matérialiste déterministe capitaliste?

Tout dépend a priori de la manière dont le monde et les élites au pouvoir, y réagiront, puisqu'ils ont la main sur les décisions cruciales. (Sortir de l'Euro est devenu nécessaire, par exemple.)
Mais, cela dépend aussi et surtout de chacun d'entre nous, selon qu'il cédera à la peur en se laissant infantiliser et déposséder de sa conscience ou selon qu'il gardera son esprit libre et critique.
Car il est question de conscience planétaire, au final.

Selon aussi qu'il prendra la mesure du changement nécessaire, ou une fois le "danger" éloigné, en reviendra à son schéma habituel lié à l'ancien monde.

En pratique, localement les mesures de confinement sont justifiables, évidemment.
On sait que c'est la méthode (et non les vaccinations, inefficaces) qui a mis fin à la variole, par exemple.
Mais les généraliser à des zones non atteintes est déja plus discutable.

Les incohérences et injonctions paradoxales se multiplient; le changement à venir semble prendre des chemins improbables.
Les voies de l'Esprit s'avèrent impénétrables quand il s'agit de sauver la planète.


Le message implicite en tous cas est clair: la mondialisation est une erreur et il faut changer de voie.
On sent déja qu'il y aura très probablement des inflexions en ce sens.
Plus globalement: le capitalisme ultralibéral a échoué, il a rendu notre environnement très toxique, l'air irrespirable (cf symboliquement ces affections pulmonaires). Il faut en tirer les conclusions au plus vite.

La notion d'urgence que suscite cette épidémie est amplifiée et "surjouée" (en toute bonne foi) à mon avis, mais elle trouve un réel écho (qui la valide rétroactivement) car c' est une parabole de l'urgence réelle de la situation planétaire écologique et économique, qui est, elle, relativisée ou tronquée.

Pour les détails, les semaines à venir vont nous éclairer.

Je l'avais déja indiqué deux fois: d'ici au 30 Mars, la tension devrait encore s'exacerber et le passage de Saturne en Verseau amorcer un changement de nature de la prise de conscience se traduisant par des faits spectaculaires.

Cette présentation des choses explique pourquoi je ne crois pas aux diverses thèses complotistes (bien que, sur le rôle de la 5G rien ne soit encore exclu concernant ses effets directs sur l'immunité) qui suggèrent que le système financier voulait lui même déclencher une crise mondiale pour masquer son effondrement.

* aidés en cela par les transports aériens...

16/12/2019

Obligation vaccinale ?

Le droit au refus de la vaccination

5 nov. 2017 Par Hélène ECOCHARD Blog : Le blog de Hélène ECOCHARD

Rappelons qu'il ne peut exister d'obligation légale de vaccination en France

La vaccination est un acte médical. Et cela a de multiple conséquences, notamment dans le cadre du droit.

Toute obligation vaccinale est contredite par le Code Civil qui reconnaît le "principe de respect de l'intégrité du corps humain".

Toute obligation vaccinale est en contradiction avec l'article 36 du Code de Déontologie Médicale qui précise que "tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes".

Toute obligation est contraire aux arrêts de la Cour du 25 février 1997 et 14 octobre 1997 expliquant l'information aux patients : "Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu'ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés".

Si le pédiatre de votre enfant vous impose une vaccination, demandez-lui la composition du vaccin (la composition à 100%). Vous serez très étonné de voir que lui-même est incapable de vous dire ce que contient le vaccin en totalité ! Par conséquent, vous êtes en droit de refuser l'injection.

Toute obligation serait d'office annulée par la loi du 4 mars 2002, n°2002-303 article 11, chapitre 1er, modifiant l'article L 1 111-4 du chapitre 1er du Titre du 1er du livre de la première partie du Code de la Santé Publique : "aucun acte médical, ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut-être retiré à tout moment".

Il appartient donc à chacun d'accepter ou de refuser, librement cet acte médical.

Toute obligation de vaccination induit, pour tout opposant, la notion de Résistance à l'Oppression, droit reconnu par la Constitution - et celle de la légitime défense - qui ne limite pas le choix des moyens utilisables.

Les politiques imposent au peuple la vaccination. Ils nous font croire que nous n'avons pas le choix, la liberté. Il n'en est rien. Et ils rajoutent même une dose de peur (si vous ne vous faites pas vacciner, vous allez mourir de telle ou telle maladie) ou en vous culpabilisant (si vous ne vous faites pas vacciner, vous allez contaminer des gens sains) !

Bref, ne nous laissons pas manipuler par de sombres individus au service des gros industriels de la chimie et de la pharmacie.