30/07/2018
Le creux poplité
Le creux du genou, appelé en termes médicaux creux poplité (Fossa poplitea), est la zone creuse
située juste derrière les os formant l'articulation du genou.
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Alors?
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24/07/2018
Banlieue 1964
15:05 Publié dans Histoire, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jeunes de banlieue | Facebook
Sauter
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23/07/2018
Vaccinations: l'exemple chinois
CHINE :
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22/07/2018
Syrie: l'enquête quelques mois plus tard...
Article de publié sur Afrique Asie .fr le:
Syrie Un menteur nommé Macron
C’est devenu une habitude : le godelureau de l’Elysée fait le paon au château de Versailles. Brasseur d’air inusable, le freluquet fait des phrases, il pérore dans le vide. Comme un télévangéliste, il brandit de grands mots tout en agitant ses petits bras. Une presse servile l’a tellement encensé qu’il a sans doute fini par croire à son destin planétaire. “Macron sauve le monde”, titrait Challenges en mai 2017 au sujet d’un sommet européen que son insignifiance a condamné à l’oubli. Mais ce n’était que le hors d’œuvre. On eut droit, par la suite, à un véritable morceau d’anthologie. “Macron : naissance d’un chef de guerre”, osait Le Point à propos du bombardement punitif de l’armée syrienne perpétré par les forces aéronavales françaises le 14 avril 2018.
Cet audacieux hebdomadaire oubliait de préciser, au passage, que la moitié des missiles français avaient raté leur envol et que les autres avaient manqué leur cible. Quant au prétexte de cette agression militaire contre un Etat souverain, on sait désormais ce qu’il vaut. L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) vient de publier son premier rapport consacré à l’attaque chimique présumée contre la Ghouta orientale du 7 avril 2018. Résumant le résultat de plusieurs mois d’investigations, ce document constate “l’absence de gaz à effet innervant” et la “présence possible de chlorine” sur les sites concernés. Pas de gaz sarin, donc, et peut-être un peu de chlorine. Bref, la montagne a accouché d’une souris.
Ajouté aux 17 témoignages oculaires présentés par la diplomatie russe lors d’une conférence de presse boycottée par les pays bellicistes, ce rapport, implicitement, tord le cou aux accusations occidentales proférées contre Damas. A sa façon, il accrédite la thèse d’une grossière manipulation organisée par les White Helmets, ces petites mains si promptes à exécuter les basses besognes de l’ingérence occidentale. La chlorine est une substance que l’on peut trouver à peu près partout, et il a suffi d’en arroser les patients de l’hôpital de Douma pour faire croire à une monstrueuse “attaque chimique”. C’est cette supercherie que relatent, très précisément, ces nombreux témoins – syriens – que les dirigeants occidentaux n’ont pas voulu entendre.
Que les experts de l’OIAC eux-mêmes aient refusé de rencontrer ces témoins en dit long sur les efforts de leurs parrains occidentaux pour amener ces experts aux conclusions voulues. Mais on ne peut pas toujours nier les faits, et l’opération a fait chou blanc. Occulté par les médias aux ordres du monde libre, cet effondrement de la thèse occidentale sur les événements de la Ghouta est un événement capital. Les Français ont la mémoire courte, mais ils se souviennent d’un président qui affirmait détenir les preuves irréfutables d’une attaque chimique perpétrée par l’armée syrienne contre les civils de Douma. Alors, si ces preuves existent, où sont-elles ? Si l’OIAC – dûment chapitrée – n’a pas su les trouver, c’est qu’il n’y en a pas. M. Macron ayant affirmé qu’il avait de telles preuves en sa possession, il n’y a qu’une conclusion possible : M. Macron est un menteur.
En clair, la France de Macron a bombardé la Syrie en prétextant une attaque chimique fabriquée pour les besoins de la cause. Son gouvernement a sciemment violé le droit international. Il s’est rendu coupable d’un crime que même Hollande n’avait pas commis. A vouloir calquer la politique française sur l’agenda américain, le Young Leader élyséen a fait pire que son prédécesseur. Macron est une sorte de Bush au petit pied : il fait de gros mensonges pour justifier ses crimes. Satrape de l’empire, il est fier de recevoir les honneurs d’une presse larbinisée qui le proclame “chef de guerre”. Ce qu’on retiendra de ce vaniteux décidé à briller en faisant le malheur des autres ? Qu’il aura combattu deux peuples courageux – le peuple syrien et le peuple yéménite – au côté des criminels wahhabites, fourriers de l’impérialisme et banquiers du terrorisme.
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18/07/2018
Des rêves connectés au Futur
Article de Josselin Morrison dans l'Inexploré (et sur le site INREES) 16 Juillet 2018
Pouvons-nous influencer notre vie en utilisant les synchronicités, en les appelant, voire en les provoquant ? Oui, d’après les pratiques chamaniques venues du fond des âges mais aussi selon la physique moderne ! Et si le futur pouvait être connecté ?
Si les synchronicités ont un sens et que le temps est une illusion nécessaire à notre expérience dans la matière, alors il doit être possible de les utiliser à notre avantage, voire de les provoquer. Etonnamment (ou pas) on trouve cette approche à la fois dans les pratiques précivilisationnelles de certains courants du chamanisme et dans les réflexions de pointe de la physique contemporaine. Et pour cause, pourrait-on dire, car les deux s’appuient sur le même concept : la rétrocausalité. L’idée que le futur ait une certaine « solidité », sous forme de potentialité ou de réalité psychique, et soit capable d’agir sur le présent n’est en effet pas nouvelle et les chamanes ont toujours su en tirer profit, notamment par l’intermédiaire des rêves.
Le temps du rêve
Ainsi, dans la culture aborigène d’Australie, la notion de rêve est centrale et cette cinquième dimension a sa propre temporalité. L’anthropologue québécoise Sylvie Poirier explique que les Aborigènes vivent la continuité du « rêve ancestral », qui désigne le temps de la création, avec le rêve individuel : « Les rêves sont l’espace-temps privilégié de communication entre les humains et les Anciens, les humains et les esprits des morts. » Le rêve est un voyage de l’âme, il est actif et « représente une forme d’engagement », comme l’écrit de son côté Robert Moss, créateur du rêve actif : « On peut décider de l’endroit où on a envie d’aller et y aller consciemment. » Sylvie Poirier souligne que les Aborigènes distinguent les « rêves ombres », les moins importants et dont on se souvient à peine, et les rêves « porteurs d’un message », « ceux qui présagent d’un événement à venir ou confirment un événement déjà survenu. […] Les rêves peuvent aussi annoncer la visite d’un parent ou d’un étranger ; d’autres présagent d’un malheur prochain […] ; d’autres rêves avertissent d’événements déjà survenus dans une autre région mais dont la communauté du rêveur ne sera informée qu’après que le rêve se soit produit (1)…»
Le rêve oriente finalement les activités liées aux rencontres, à la chasse et à la cueillette, aux maladies, aux conflits, etc. Ce que l’Occidental nomme synchronicité est donc dans cette culture la marque de l’irruption constante du « temps du rêve » dans le temps ordinaire car, note Sylvie Poirier, « l’univers aborigène est un univers ‘‘où tout fait signe’’, ou pour reprendre l’expression de Foucault (1966), un univers où les signes font partie des choses ; les signes n’y sont donc pas des modes de représentation, ils sont des manifestations. Toute manifestation est potentiellement signifiante. »
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17/07/2018
Et oui, la science invalide la théorie du genre.
...ce que sait d'ailleurs tout parent objectif et attentif.
Les théories diverses utopistes et idéalistes ménent le plus souvent en enfer (qui, on le sait, est pavé de bonnes intentions)
Je ressors des tiroirs un article rédigé par Pierre-Olivier Arduin*, le 27 août 2011...
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La science invalide la théorie du gender
"L'imposition d'une théorie extra-scientifique dans un enseignement scientifique n'est pas le moindre des paradoxes de la controverse nationale née après l'introduction de la théorie du gender dans le programme officiel des lycées français en vigueur à la rentrée. Le plus étonnant dans cette affaire est que la science est en réalité bien moins démunie qu'on ne le pense pour démonter les présupposés idéologiques de ce courant de pensée.
Oui, garçons et filles sont différents. Ils ont des centres d'intérêt différents, des niveaux d'activité différents, des seuils sensoriels différents, des forces physiques différentes, des styles relationnels différents, des capacités de concentration différentes et des aptitudes intellectuelles différentes ! . Ce que tous les parents du monde savent d'expérience en vivant au quotidien avec leur progéniture, l'Américaine Lise Eliot, neurobiologiste aguerrie, l'écrit noir sur blanc dans un livre événement Cerveau rose, cerveau bleu. Les neurones ont-ils un sexe ? qui sort ces jours-ci en France[1]. Le Figaro Magazine y consacre un dossier passionnant et publie en exclusivité les meilleures feuilles d'un livre dont il faut reconnaître qu'il tombe à pic en pleine polémique sur l'introduction du gender dans les nouveaux programmes de sciences de la vie et de la terre (SVT) de 1ere [2].
Dissociation entre genre et sexe
L'idéologie du gender prétend en effet que les genres masculin et féminin seraient exclusivement le produit de préjugés socioculturels sans aucune relation avec la dimension sexuelle de la personne. Conséquence immédiate d'un tel raisonnement, l'identité sexuelle, déconnectée du corps biologique sexué, peut être librement construite par les individus. Quant aux différences observées entre les garçons et les filles, elles ne seraient que des stéréotypes de l'éducation qu'il s'agit désormais d'éradiquer. Les Suédois sont d'ailleurs passés à l'acte en créant cette année une école maternelle d'un nouveau genre – pardonnez-moi l'expression – d'où est banni tout savoir identitaire masculin ou féminin. Répondant au doux nom d'Egalia, cet établissement révolutionnaire va jusqu'à prôner la suppression des genres grammaticaux et des pronoms il ou elle : Les enfants sont appelés par une forme neutre du terme ami . Toute connotation masculin/féminin a été méthodiquement éradiquée du paysage. Plus de rose, plus de bleu, plus de livres de contes de fées, atrocement sexistes, il est vrai. Au coin bibliothèque, les enfants trouvent des histoires de couples homosexuels et de familles monoparentales [3]./..."
lire la suite ou pas...
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