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04/04/2020

La grande mystification continue

Je poste ici la "lettre de Neo Santé" dont je partage entièrement le point de vue sur la mystification en cours, et sur l'explication (plausible et probable) des cas italien et espagnol par des campagnes de vaccinations intenses dans les mois précédents (Novembre à Février pour l'Italie) en plus de la pollution.

Aucune surmortalité inquiétante par ailleurs (les chiffres des 3 premiers mois de 2020 le montrent clairement), si ce n'est localement pour des raisons diverses (dont le manque d'équipements de certains services et les réactions incohérentes des autorités). Ce qui confirme la mystification quasi planétaire.

Il est urgent de cultiver humour et optimisme.


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Covid-19 : 12 étoiles dans la nuit
newsletter 1 avril 2020

nouveauyves.jpg Ça va toujours ? Vous restez ancrés et centrés dans ce tourbillon de la mutation en cours ? Moi qui suis enclin à la claustrophobie et d’un tempérament nerveux, je vous avoue qu’il m’est difficile de garder mon calme. L’autre jour, dans une épicerie de mon quartier, j’ai été verbalement agressé par une parano gantée et masquée qui me reprochait d’être entré dans le magasin pendant qu’elle y était. Pas pu m’empêcher de lui répondre vertement. Avant-hier, j’ai appris qu’un jeune couple de mes connaissances était au bord de la rupture parce que l’homme reprochait à sa copine de ne pas se laver les mains assez souvent : la dispute a viré au conflit et la jeune fille est retournée vivre chez ses parents. Une connaissance française m’a raconté que sa belle-mère, cloîtrée dans sa maison de repos, souffrait depuis 10 jours d’une rage de dents et que toute visite d’un (ou chez) le dentiste était interdite. Vous avez dit « barbarie » ? Mais ce ne sont là que des péripéties en regard de la terrible tragédie qui a éclaté en Inde : dans ce pays « émergent », des millions de travailleurs journaliers se sont retrouvés sans gagne-pain du jour au lendemain à cause du confinement, et ils crèvent littéralement de faim. .Comme on pouvait s’en douter, les mesures drastiques adoptées contre le coronavirus vont faire bien plus de victimes que l’épidémie elle-même. Il serait grand temps, ne fût-ce que pour des raisons humanitaires, d’arrêter cette folie dictée par une virophobie psychopathique.

Malgré cette déraison pandémique à la fois hautement dangereuse et très contagieuse – exploit qui n’est pas à la portée de microbe (voir mes infolettres précédentes) – , il faut rester résolument optimiste. Comme toutes les flambées infectieuses, celle qui affole en ce moment la planète va refluer spontanément et disparaître comme par enchantement, quelles que soient les guerres qu’on aura entreprises contre elle. Dans un avenir proche, ce grand Corona-circus va replier son chapiteau et ses artistes grotesques vont devoir cesser leurs numéros de clowns tristes, d’illusionnistes manqués ou de dompteurs de virus féroces. Jusqu’à la prochaine représentation ? On verra bien mais je suis également confiant qu’une telle mystification mondiale n’arrivera plus jamais. Je suis convaincu que nous vivons des temps apocalyptiques (au sens étymologique de « dévoilement »), et qu’une succession de révélations vont rendre impossible la récidive d’une pareille tromperie universelle. Il y a onze ans, nous étions peu nombreux à dénoncer la fumisterie pharmafieuse de la grippe A/H1N1 et notre audience était dérisoire. Cette fois-ci, de multiples voix dissidentes se font entendre et le troupeau de moutons pasteurisés commence à s’égailler en prenant conscience que « le virus n’est rien, le terrain est tout ». Je pense que cette pseudo-crise sanitaire sera salutaire et qu’elle va accoucher d’une belle victoire pour les médecines naturelles, leurs fondements hippocratiques et leurs acteurs scientifiques ou thérapeutiques. Cette semaine, j’ai donc eu envie de regarder avec vous « douze étoiles » brillant dans la nuit, douze éléments encourageants qui sont autant de signes qu’un nouveau paradigme médical est en train d’éclore. J’avais d’abord couché sur papier une dizaine de« lueurs d’espoir » mais je me suis ravisé et j’ai changé de titre. En ce moment, cette expression est monopolisée par les sinistres personnages qui ont trucidé nos libertés et nous font à présent miroiter qu’ils vont les rétablir au compte-gouttes tout en nous prévenant qu’une « seconde vague » serait synonyme de retour à la case prison et paupérisation. J’ai donc préféré une métaphore céleste et j’ai opté pour le nombre douze en clin d’œil aux douze étoiles couronnant la vierge dans l’Apocalypse selon St-Jean et dont une Europe en pleine discorde ne semble plus capable de conserver la reproduction sur son drapeau jaune et bleu. N’y voyez rien de mystique ou d’ésotérique, c’est juste pour ajouter un peu de ludique à l’informatif.

– Étoile n° 1 : Le suspect l’est plus que jamais

La semaine dernière, mon billet consistait à examiner la situation en Italie et à pointer un suspect identifié par Dominique Guillet : la vaccination ! Outre le vaccin antigrippal, le vaccin anti-méningite est sérieusement soupçonnable d’avoir perturbé l’écologie microbienne prévalant en Lombardie et d’avoir préparé le terrain au surgissement, dès l’automne 2019, de pneumonies atypiques affectant sévèrement les vieilles personnes affaiblies. De toute évidence et en supposant qu’il existe bel et bien, le coronavirus était déjà actif dans la péninsule avant de débouler à Wuhan et de déclencher l’hystérie planétaire. Certes, mon appel à l’interrogatoire du suspect a fait totalement chou blanc. Aucun média mainstream n’a suivi la piste et personne n’a moufté dans les instances académiques qui ont l’oreille des politiques : on ne touche pas à sa sainteté Louis Pasteur ! Mais la piste a gagné en crédibilité. D’abord, les autorités italiennes ont admis que malgré leurs intenses recherches, elles n’avaient toujours pas trouvé le patient zéro, celui qui aurait infecté tous les autres dans un même périmètre. Pareil en France, en Belgique et partout ailleurs. Or une épidémie sans patient 0, c’est un peu comme un œuf sans poule ou du lait sans vache : difficilement compréhensible. Ensuite, Dominique Guillet a trouvé que de grandes campagnes de vaccination avaient également eu lieu en Espagne en 2019, et notamment à Madrid comme en atteste cet article de journal. Est-ce un hasard si Madrid est l’épicentre de la flambée épidémique espagnole ? Quid de la France, où un nouveau vaccin recombinant contre les pneumocoques a été largement employé ? D’autres vaccinations ne seraient-elles pas impliquées ? Puisque la presse conventionnelle se couche et ne fait pas son travail, j’ai demandé à une de nos journalistes de mener l’enquête et de remonter la piste du « remplacement épidémique » à causalité vaccinale. Le résultat de ses investigations sera publié dans la revue Néosanté du mois de mai.

– Étoile n° 2 : le mystère italien s’épaissit

De plus en plus étrange : en Italie du Nord, certains villages sont durement frappés et ont perdu la moitié de leur population. Mais d’autres sont complètement épargnés et l’on n’y compte aucune victime ! C’est notamment le cas dans le bourg de Ferrera Erbognone. où aucune des 1000 âmes n’a rendu la sien e tient pas debout. Celui de la mutation de souches virales ne tient pas non plus la route quand la situation diffère de patelin à patelin. Il y a très certainement des facteurs épigénétiques – environnementaux ou liés au mode de vie – à débusquer et que les épidémiologistes vont devoir étudier. Le contexte électromagnétique ? Des expérimentations de la 5 G ? L’eau de distribution ? L’usage local de pesticides toxiques ? Une iatrogénie inégalement répartie ? Inutile de préciser que mes soupçons personnels se dirigent encore une fois vers la vaccination. Il faudrait d’urgence superposer la carte des campagnes vaccinales avec celle de la létalité attribuée à l’agent viral. Et si elles ne correspondent pas, reste encore l’hypothèse des lots de vaccins défectueux accentuant une morbidité très localisée. Région la plus touchée du monde, la Lombardie détient probablement les clés de la boîte noire. Encore faut-il vouloir l’ouvrir !

– Étoile n° 3 : Un chœur de voix dissonantes

En 2009, pour la grippe A, nous n’étions qu’une poignée à nous indigner de la grande escroquerie pandémique qui a vu nos gouvernements acheter à la hâte des stocks d’antiviraux et de vaccins expérimentaux aux effets secondaires redoutables. Parmi les indignés, quelques médecins de terrain et fort peu d’experts, hormis le subversif et combatif Dr Marc Girard dont je vous recommande encore une fois le livre « Alertes grippales », ouvrage retraçant cette grande manipulation de l’opinion publique dont on nous sert aujourd’hui la resucée bien mieux scénarisée. En 2020, c’est très différent : j’ai arrêté de compter les grands spécialistes et experts internationaux qui sont sortis du bois et ont tenté de dédramatiser, rassurer et relativiser la gravité de l’épidémie Covid-19. La « star mondiale » Didier Raoult est un arbre cachant la forêt car il a été rejoint par beaucoup d’autres éminents scientifiques scandalisés par ce nouvel épisode de la série « Apocalypse virale ». La plupart figurent au générique d’une vidéo circulant sur le net et intitulée « Les chiffres sont faux ». Si vous ne l’avez avez pas encore regardée, cliquez ici pour la visionner car elle est assez exhaustive. Peut-être y manque-t-il Peter Götzche, célèbre médecin danois à l’origine de la Collaboration Cochrane, ce réseau de chercheurs indépendants de l’industrie pharmaceutique ? Je ne sais plus car je m’y perds un peu dans le foisonnement des voix dissonantes. S’il n’y est pas, prenez connaissance de son dernier article traduit et publié sur son site par… Marc Girard. Extrait du texte : 1) il n’existe aucune preuve que la situation sanitaire actuelle soit exceptionnellement grave ; 2) quand bien même elle le serait, les mesures prises n’auraient aucune chance de la contrôler, tandis qu’elles frappent par leur débilité intrinsèque et leur incohérence."

– Étoile n° 4 : Les devins se ridiculisent

Dans l’Antiquité, les empereurs romains consultaient les augures chargés de prédire l’avenir dans la morphologie des nuages ou les entrailles d’un oiseau. De nos jours, les dirigeants politiques établissent le désordre et massacrent l’économie réelle en se basant sur l’avis des scientifiques. Pas ceux que j’ai étoilés plus haut, bien sûr, mais les plus catastrophistes et alarmistes d’entre eux. En France, Didier Raoult était tellement peu écouté dans l’équipe des conseillers présidentiels qu’il a préféré démissionner. En Belgique, je n’ai repéré qu’un seul son de cloche en marge du carillon officiel : le Dr Eric Mertens, journaliste et éditeur qui observe depuis 30 ans l’évolution de la médecine et des soins de santé dans notre pays. Samedi, il a publié un article très instructif sur le site Medi Quality : en se basant sur le bulletin hebdomadaire des infections respiratoires, il note que le Covid-19 s’est effectivement substitué aux syndromes grippaux habituels au cours du mois de mars. Mais il met en exergue que le nombre de décès toutes causes confondues se situe dans une fourchette normale et qu’il n’y a donc aucun signe de surmortalité inquiétante. Cette absence de désastre, les devins de la cour parviennent de plus en plus difficilement à la camoufler. Chez nous, ça fait trois semaines qu’ils nous annoncent un tsunami dévastateur et que ça se résume à une vague d’hospitalisations dont le nombre d’issues fatales n’est guère étonnant en ce début de printemps hivernal. Dans quelque temps, on s’apercevra qu’ils nous ont trompés et qu’ils ont mélangé les pommes avec les poires, les prunes et les abricots, les scoubidous et un raton laveur. Évidemment, les pitoyables pythies auront beau jeu de dire que le pire a été évité grâce à elles. Les prophètes du malheur non survenu seront congratulés et sans doute décorés. Mais les chiffres, eux, ne mentiront pas : préparons le goudron et les plumes ! Mieux : venons en aide aux pâtissiers ruinés et commandons de quoi entarter ces pompeux cornichons.

– Étoile n° 5 : Les grosses ficelles commencent à se voir

Dans le quotidien belge que je lis chaque matin, la manchette d’hier annonçait que « les hôpitaux sont proches de la saturation ». Faux : 47% des lits disponibles en soins intensifs étaient encore inoccupés. Qu’à cela ne tienne, l’éditorialiste se répand en éloges lyriques sur un médecin urgentiste qui raconte en pages intérieures sa lutte héroïque sur le front. Mais qu’apprend-on dans ce récit de l’horreur ? L’hôpital où le toubib travaille accueille les patients en difficulté respiratoire en leur laissant le choix d’entrer en réanimation… ou non. Le malade décide et les membres du corps médical exaucent son souhait ! On imagine aisément que ces personnes apeurées par leurs symptômes et paniquées par ce qu’elles lisent dans les journaux prennent l’option de l’oxygénation médicalement encadrée. Voilà comment on fabrique artificiellement une saturation des hôpitaux ! Exception surréaliste à la belge ? Certainement pas : mon collègue Xavier Bazin a attiré mon attention sur un tweet posté par une intensiviste new-yorkaise : « L'un des problèmes est le nombre de patients. Un autre est que nous intubons ces patients très tôt, car les données suggèrent une amélioration des résultats et aussi pour éviter les procédures d’aérosolisation afin de protéger le personnel." Les données sur les résultats améliorés, on demande à voir. Mais ce qui est patent, c’est que les procédures d’intubation sont mises en œuvre pour éviter des techniques plus légères mais à plus haut risque de contamination. Voilà comment on surcharge les services de soins intensifs, pour apaiser les craintes du personnel !


– Étoile n° 6 : C’est Hippocrate qui ressuscite

Si vous nous suivez depuis un moment, vous connaissez notre radicalité naturopathique : pas besoin de médecines douces ou dures si on assure son équilibre homéostasique par les facteurs naturels de santé (alimentation saine, pratique du jeûne, eau et air purs, soleil, exercices physiques et respiratoires, hygiène psycho-émotionnelle et relationnelle). Les compléments alimentaires et les remèdes à base de plantes ? Nous n’y sommes pas favorables non plus dans une quête d’autonomie et de sobriété thérapeutique. La quercétine abonde dans les pommes et les oignons. Le zinc, vous le trouverez en abondance dans les produits de la mer. La vitamine c est omniprésente dans les fruits et légumes biologiques. Si vous manquez d’ensoleillement, vous trouverez de la vitamine D dans le foie, les œufs ou les huiles de poissons gras. Cela étant dit, nous sommes ravis que les gens bien informés se soient rués sur les suppléments nutritionnels ou les huiles essentielles. Dans la boutique bio de ma rue, la vitamine C liposomale et les capsules d’origan sont hors-stock depuis un mois ! Le plus réjouissant, c’est que cette montée en force de la médecine naturelle est encouragée par des disciples d’Hippocrate dûment diplômés. Vous connaissez le Dr Marc Ménat ? Outre sa promotion opportune des micronutriments immunostimulants, j’ai beaucoup apprécié son coup de gueule envers le paracétamol et l’ibuprofène. Le célèbre adage « D’abord ne pas nuire » est occupé à regagner les faveurs de ceux qui font également le serment hippocratique d’utiliser « la force guérisseuse de la nature ». Parmi les interventions publiques de praticiens reconvertis à l’art de prévenir, j’ai particulièrement savouré la vidéo d’un médecin belge confiant avoir œuvré pour MSF lors de la mini-crise coronavirale du SRAS en 2003. Si même un vétéran de la médecine de guerre biocidaire prône désormais que « le terrain est tout » et que la pleine conscience est un puissant instrument de santé, tous les espoirs de métamorphose médicale sont permis !


……………………………………………


Arrivé à mi-chemin de ce parcours sidéral, je réalise que le voyage prend plus de temps que prévu. Or je dois plancher sur le prochain numéro de Néosanté et gérer l’afflux incroyable de dons, de nouveaux abonnements et de commandes de livres consécutif à mon appel de lundi. Vous avez été formidables et je peux déjà vous garantir la pérennité de notre petite maison d’édition ! Je vous donne donc rendez-vous mercredi prochain pour l’observation de 6 autres étoiles témoignant que le virus à couronne va certainement chambouler les mentalités. Du chaos naîtra une nouvelle conception de la santé et de la maladie ! En attendant le 8 avril, je vous adresse deux liens supplémentaires. Le premier mène à un nouvel article démystifiant de l’anthropologue Jean-Dominique Michel. Et le deuxième conduit au dernier article percutant de Dominique Guillet. Sa plume trempée dans le vitriol et son adhésion à un conspirationnisme assumé vont certainement en rebuter plus d’un. Mais je vous invite à ne retenir que les faits dénoncés et les références appuyant ses accusations. Comme lui, je pense qu’une révolte citoyenne sera peut-être nécessaire pour s’échapper du camp de concentration dans lequel on nous enferme depuis deux semaines.

PS : Pour augmenter sa diffusion, le Néosanté Hebdo du 25 mars a été (très bien) traduit en anglais par une aimable lectrice. Vous pouvez le trouver et le partager en cliquant ici

(à suivre)

Lire aussi

Un des liens cités dans ce texte (controversé mais excellent, il résume tous les arguments qui devraient poser question aux alarmistes):

03/04/2020

Mystèrieux préraphaélisme

Le préraphaélisme est un mouvement artistique né au Royaume-Uni en 1848 .

Ce mouvement tient la peinture des maîtres italiens du XVe siècle, prédécesseurs de Raphaël, comme le modèle à imiter.

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"Fidèles jusqu'à la mort" signé Herbert Carmichael 

"Christianes ad Leones!" 


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Fernand Le Quesne
(1856-1932)
La Légende du Kerdeck
(1890)

La Légende de Kerdeck, de Jean-Louis Dubut de Laforest.

Dans ce poème, il adapte le célèbre mythe d'Hylas et les nymphes en lui apportant une coloration contemporaine et surtout bretonne. Yvon, roi des binious enivré de sa musique, se laisse attirer par un impressionnant cortège de nudités qui feignent l'amour pour mieux l'entraîner à sa perte en le noyant.


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Diane chasseresse par Gaston Casimir Saint-Pierre


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La Sultane par Gaston Casimir Saint-Pierre

Les énergies mesurables du corps




Les énergies mesurables du corps humain



Le terme énergie vient du grec « en ergos » qui signifie « en travail ».

Parmi les exemples d’énergie que l’on ne voit, que l’on n’explique pas bien et qui existe pourtant bel et bien : la pesanteur qui nous permet constamment de rester les deux pieds sur terre !


Voici quelques preuves objectives que notre corps physique est aussi un corps énergétique :

L’énergie des cellules: toutes nos cellules sont de mini piles électriques dont les parois ont des charges négatives d’un côté et des charges positives de l’autre. Cette différence de potentiel est due principalement à une différence de concentration en ions sodium et potassium entre le milieu intérieur et le milieu extérieur de la cellule. Elle est de l’ordre de 100 mV pour quelques dizaines de micron de surface (~ 100 000 v/cm²). Ainsi un fort champ électromagnétique est émis par chacune des cellules de notre corps.

L’influx nerveux : ce phénomène électrique résulte d’un changement de polarisation entre les charges situées à l’intérieur et à l’extérieur des cellules nerveuses pour commander, par exemple, la contraction d’un muscle (voir expérience de la pile électrique branchée sur le nerf d’une patte de grenouille).

Le rythme cardiaque : les décharges électriques du cœur sont mesurées par les électrocardiogrammes

Les impulsions électriques émises par le cerveau : ces décharges électriques sont enregistrées sur les électroencéphalogrammes. Pour certains troubles psychiatriques (dépressions sévères, schizophrénie, épilepsie,…) les médecins utilisent des électrochocs pour resynchroniser les ondes cérébrales.

Les ondes cérébrales alpha : le chercheur australien Lewis B. Hainsworth a mis en évidence la similarité entre les fréquences des ondes cérébrales alpha et les signaux rythmiques de la terre découverte par le physicien allemand W.O. Schumann dans les années 1950 (résonnance de Schumann).

Les cellules capteurs d’énergie solaire : les cellules de la peau captent l’énergie solaire ; cette énergie sert entre autres à synthétiser la vitamine D à partir du cholestérol. La lumière solaire sert également à régler notre rythme circadien (jour/nuit).

Les biophons : l’ADN de toutes les cellules du corps est capable d’émettre une énergie lumineuse de type photonique. Chaque cellule émet à son rythme selon son état et ses besoins. Dans les années 1980, le biochimiste allemand Fritz Albert Popp a mit au point un appareil capable de mesurer l’énergie biophotonique du corps humain. Il s’est aperçu que celui-ci dépendait des rythmes biologiques et que les anomalies de son émission permettaient de diagnostiquer certaines maladies.

Les méridiens : nombres de thérapies orientales comme l’acupuncture, le qi gong, .. sont basées sur la circulation des énergies au sein de l’organisme. Leur efficacité a été scientifiquement démontrée dans de nombreuses pathologies : des séances d’acupuncture antidouleur sont ainsi capables de déclencher la libération d’endorphines, hormones naturelles proches de la morphine, au niveau du cerveau. Il existe actuellement des détecteurs de points d’acupuncture : ces appareils permettent de repérer sur la peau les différences de potentiel électrique sur les points pathologiques. Une fois traité, le point n’est plus détectable.


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Les champs électromagnétiques : le chercheur Georges Lakhovsky a démontré que toutes nos cellules sont de petits phénomènes oscillants produisant un champ électromagnétique et jouant le rôle d’un émetteur récepteur d’ondes. L’ADN entre ainsi en résonance avec les ondes électromagnétiques de l’environnement. Lorsqu’il y a dysharmonie des ondes reçues, l’ADN se déséquilibre, ce qui déstructure à son tour l’eau intra et extra cellulaire. L’équilibre du corps ne peut plus être assuré ce qui peut conduire à la maladie. Certains appareils sont capables de mesurer ces ondes électromagnétiques émises par le corps.


Toutes ces ondes électriques mesurables et objectives démontrent le caractère électrique et donc énergétique de l’être humain.
source

01/04/2020

Synchronicités de crise


Le point de vue toujours vivace et éclairant de Philippe Guillemant. Surtout pour ceux qui sont conscients qu'un changement de paradigme (et de futur) se joue actuellement .La peur nous ramène au passé, la conscience claire et optimiste consolide le changement en train d'avoir lieu.

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1er Avril 2020

<< Les synchronicités sont-elles des complots d'un nouveau futur pour nous attirer vers lui ? >>

"S'il y a complot de la part du futur, cela ne peut être que de la part d'un ancien futur, supposé plus mauvais que le nouveau qui serait celui auquel nous aspirons. Le mot "complot" renvoie en effet à une intention de nuire et si deux futurs sont en compétition, c'est forcément le plus mauvais qui complote.

Comment donc savoir si nous allons vers le futur auquel nous aspirons ou vers celui qui complote ?

La réponse est que si nous observons comme c'est le cas aujourd'hui des coïncidences de type "Loi de l'emmerdement maximum", c'est que le futur qui complote est en train de résister, ce qui veut dire qu'il n'est déjà plus le futur vers lequel nous allons. Il n'est déjà plus notre futur actuel !

Ce n'est que dans le cas où nous aurions peur de ces emmerdements (coronavirus, 5G, vaccinations obligatoires, crises économiques et financières etc. ) que nous risquerions de rebrancher l'ancien futur sur l'actuel. La peur nous conduirait en effet à nous soumettre à l'ancien ordre transhumaniste ou au contraire à lutter contre lui, ce qui reviendrait au même et risquerait même de le renforcer.

Faites vous partie au contraire de ceux qui comme moi, ressentent plutôt une grande joie devant tout ce qui arrive, suivie d'une quasi tendance à culpabiliser pour ne pas vouloir rentrer dans le jeu dramatique de la guerre annoncée ?

La prochaine arrivée de la 5G imposée par ordonnance la semaine dernière en même temps qu'a lieu le pic de l'affaire de la chloroquine, laquelle nous donne l'impression qu'un complot voulant imposer la vaccination est à l’œuvre au sein de notre gouvernement. Complot ou coïncidence ? Le fait que le coronavirus est parti de Wuhan à coté de labos spécialisés dans ce type de virus et dans la première ville entièrement équipée de 5G. Complot ou coïncidence ? Et je ne parle pas de la ministre qui interdit la vente libre de la chloroquine au moment où l'on va en avoir besoin. Et le coronavirus qui arrive juste au moment de la crise financière? Quelqu'un veut-il faire la liste de toutes les coïncidences bizarres ?

Il est clair qu'avec toutes ces coïncidences, les théories du complot deviennent presque crédibles. Vous avez donc le choix entre croire dans ces théories ou adopter celle que je vous propose.

Je vous propose d'oublier les complots, mais absolument pas toutes ces coïncidences qui nous donnent l'impression qu'un ordre transhumaniste est en train de vouloir s'imposer devant nous de force au niveau mondial, comme une tentative scélérate d'effraction qui ne se cache même plus.

Toutes ces coïncidences sont la démonstration du fait que l'ordre transhumaniste fait dorénavant partie de notre ancien futur!

Ce qui veut dire que nous allons actuellement vers notre nouveau futur et par conséquent, réjouissez vous.

A l'avenir il faudra inventer la fête du coronavirus, qui sera une fête où le monde se confinera avec bonheur à la maison. On aura alors le temps de choisir à l'avance les personnes avec qui on se confinera, et on invitera des pauvres ou des sans abris à se joindre à cette fête, oh pardon, à ce confinement..."

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