09/07/2020
Deux mois plus tard (comment entretenir un état sous-jacent de panique).
"Épidémie terminée, il n’y a plus de morts,
qu’à cela ne tienne, on invente des « cas » grâce aux tests bidons, un cluster par-ci par-là, une école fermée alors que les enfants ne transmettent jamais le virus."
"Faire l’amalgame entre morts, malades et « cas » (soit des testés positifs ne prouvant absolument rien) relève de la supercherie, mais alimente la peur, justifiant parfois des confinements bien utiles aux politiques."
D'autant que l'on sait le virus très affaibli, et beaucoup moins virulent (cf Raoult, ou déclaration de médecins italiens). S'il circule toujours il ne tue plus ou presque plus.
"On sonne à nouveau le tocsin anxiogène à la faveur d'une prétendue augmentation de nouveaux cas, alors que simplement, avec des mois de retard, la capacité de dépistage est enfin correcte et que l'on identifie par conséquence plus de cas qu'auparavant...
On passe conjointement sous silence le fait que l'augmentation prétendue de cas s'accompagne d'une décrue inchangée des cas graves et de la létalité due au Covid, comme le souligne le graphique supra montrant les statistiques de la Floride."JDM
Il s'agit toujours d'une épidémie de peur et/ou de tests, rien d'autre !
L'infantilisation de la population continue.
Il y a eu une surmortalité en France du 20 Mars au 20 Avril du même ordre que celle de 2017.(A vérifier fin 2020 si la mortalité de l'année en a été modifiée).
C'est tout.
Est-elle due au virus, à la façon (incroyable et inédite) d'interdire de le soigner, ou à la peur propagée (qui détruit très vite l'efficacité du système immunitaire) ?
Cette surmortalité a été très localisée (Grand Est, Ile de France), car certaines régions furent totalement épargnées.
Episode épidémique qui aurait pu probablement être amoindri si on avait suivi le protocole Raoult (au lieu de le dénigrer pour des raisons mercantiles) et autorisé les médecins de ville à soigner.
Tous les chiffres montrent que c'est bel et bien terminé en France
mais des tests (peu fiables) sont imposés pour relancer la panique, alors qu’il n’y a plus de morts à annoncer chaque soir à la télé.
A la place, les journalistes annoncent des clusters, c'est à dire du vent, quelques tests positifs sans mort et avec très peu de malades symptomatiques.
Ces médias criminels car alarmistes ( c'est la peur qui tue) focalisent comme des vautours sur la moindre info locale ambigüe et en font un implant psychique anxiogène supplémentaire distillé dans le subconscient des ahuris dociles qui continuent de regarder cette télévision de propagande mensongère.
Cet acharnement à diffuser en boucle un message toxique (à tous les niveaux) sous le prétexte indécent de protéger est ignoble.
Toute la vraie information rassurante ou qui dément le récit officiel est tue.
On entend peu parler de toutes les études un temps retenues qui valident les effets positifs de l'HCQ par exemple.
Et cette ingénierie sanitaire marche en partie:
-des trouillards en masque circulent encore ici ou là même en plein air, ils se frictionnent les mains à l'entrée des bars et boutiques c'est devenu banal et ne révolte plus grand monde.
-les obligations de porter un masque perdurent dans certains lieux publics (bibliothèque, etc)
La secte COVID19 est désormais partout présente, soutenue officiellement, avec un pouvoir pervers de culpabilisation.
On parle de 2iéme vague (quand la réalité montre l'inverse) et de rendre les masques obligatoires à la rentrée.
C'est du lavage de cerveau en live.
Car pour l'Etat profond, désormais sanitaire (Bigpharma, OMS, Gates, Parti Démocrate, et les "idiots utiles" de "médias aux ordres"), il faut à toute force entretenir le récit fictif d'un épouvantable danger épidémique, dont seul l'Etat peut vous sauver en vous imposant des régles d'hygiène (masques, interdiction de réunion, distanciation sociale, etc).
Danger très minime qui a été exagéré, instrumentalisé, fabriqué en partie criminellement (médecins interdits de soigner, malades invités à rester chez eux, Ephad isolés et délaissés ).
Il est vital de résister à cette opération totalitaire et de refuser en bloc: tests, masques, distanciation sociale, confinement et toutes ces conneries qui ne servent qu'à asservir sans aucune justification scientifique clairement établie, contrairement à ce qu'affirment indument les scientistes dogmatiques des comités officiels endoctrinés ou vendus aux laboratoires pharmaceutiques (ces marchands de mort). Il n'est pas question de nous protéger mais de nous asservir.
Normes d'obéissance insidieuses: aujourd'hui masque et distanciation, demain vaccin et puçage.
Il est crucial de résister. (Cf Mika Denissot)
"Nous avons là tous les symptômes d’une maladie qui a pour nom phobie microbienne, et nous ne voyons pas le ridicule de cette contagion irrationnelle, c’est bien la preuve que nous y avons perdu la raison."
>>>sources nombreuses et variées déja citées sur ce blog depuis Mars
(Nicole Delépine)(Jean-dominique Michel)( Laurent Mucchielli sur le remdesivir)
>>>>exemple de titre de petit article insidieux qui pourrissent le climat et travestissent la réalité:
"Coronavirus: le relâchement des Français fait craindre un rebond de l'épidémie"
Vous pouvez en trouver sur Franceinfo, Le monde, BFMTV, Yahoo, Libération, le Figaro et toute cette presse vendue à des intérêts privés délétères.
>>> Shiva Ayyadurai sur Bigpharma et les vaccins
23:56 Publié dans Notes diverses, Politique, Santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
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