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14/02/2019

LBD arme mutilante utilisée en France pour réprimer !

Le Parlement européen condamne l’usage des LBD par la police...

En plein mouvement des « gilets jaunes », les députés européens ont condamné l’usage « disproportionné » de la force par certains Etats membres.

source Le monde

 

La décision politique de faire intervenir les DAR , dispositif d'action rapide, (dont la BRI et la BAC  non formées au maintien de l'ordre) armés de LBD pour réprimer violemment  des manifestations populaires aurait du susciter une réprobation unanime. Plus de 9000 balles tirées en 3 mois.

Si cela n'a pas été le cas , on doit se poser la question du rôle inquiètant des médias importants , qui ont été dans le déni pendant presque 2 mois avant d'aborder mi Janvier seulement le sujet des nombreuses mutilations pour ensuite donner la parole en majorité et en priorité à ceux qui étaient pour l' utilisation de ces LBD (politiques et policiers).

A noter aussi la décision discutable du Conseil d'État qui a rejeté le vendredi 1er Février les demandes de suspension de l'usage du lanceur de balles de défense (LBD).

Note du 26 Mars 2019

La commissaire aux droits de l'Homme du Conseil de l'Europe appelle la France à revoir «au plus vite» la doctrine d'emploi des armes intermédiaires et demande la suspension de l'usage des lanceurs de balles de défense (LBD). D'autres sujets d'inquiétudes figurent dans un mémorandum publié mardi.

Mise en scène à Douma en 2018 (suite)

Il y a presque un an, début avril 2018, les puissances occidentales accusaient Bachar el-Assad d'avoir perpétré une attaque chimique à Douma. Une accusation ne s'appuyant sur aucune preuve concrète à ce jour, mais qui s'est largement fondée sur la diffusion d'une vidéo de scènes de panique dans un hôpital, reprise en boucle par tous les médias.

J'avais relayé tout cela sur ce blog et les arguments de ceux qui doutaient de la réalité de cette attaque.

En voici un de plus:

Le journaliste de la BBC Riam Dalati soutient désormais que ces images n'étaient que le fruit d'une «mise en scène».

«Après presque six mois d’enquêtes, je peux prouver sans aucun doute que la scène de l'hôpital de Douma a été mise en scène. Aucun décès n'est survenu à l'hôpital», explique-t-il dans une série de messages sur Twitter.

source

 

Note du 7 mars 2019:

Dans un rapport du 1er mars 2019, l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques atteste qu’il n’y a jamais eu de substance chimique prohibée à Douma (Syrie) lors de l’attaque du 7 avril 2018 ; le bombardement tripatite de représailles (États-Unis, France, Royaume-Uni) était donc injustifié.

Ce scandale est exactement identique à celui des pseudos armes de destruction massive iraquiennes.

Les principaux médias occidentaux alignés désinforment ouvertement.

En effet ces médias de propagande préfèrent présenter cela en titrant que l'OIAC a bien découvert du chlore !

(mais le rapport ne précise pas par qui*, et hélas, le chlore ne figure pas dans la liste de la convention d'interdiction des armes chimiques.)

puis en présentant l'essentiel en fin de paragraphe derrière un : "en revanche " l'OIAC indique ne pas avoir découvert de preuves d'une utilisation d'agents neurotoxiques." (ce qui est la seule vraie info contredisant les raisons avancées pour le bombardement occidental.)

  exemple

(C'est ce qu'on appelle de la mauvaise foi ou une présentation partiale.)

 * Or on sait que les rebelles/terroristes en possèdent et sont en mesure de propulser des barils d'un quartier à l'autre.

ML