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09/06/2017

Le futur qui nous est promis , selon Attali...

Attali : « La démocratie a échoué, maintenant ça suffit, on met de l'ordre ».

Jacques Attali, éminence grise du Pouvoir en France, porte-parole de la finance, conseiller de tous les présidents, parrain d’Emmanuel Macron, déclare sans ambage que la démocratie est un leurre, que l' Europe nous est imposée, que l'État d'urgence restera permanent et que l'Homme deviendra peu à peu un robot marchandisé !

Au moins c'est clair...

Petit montage vidéo de Vox Plebeia

08/06/2017

La mémoire de l'eau, ça avance... (De Benveniste à Montagnier)

Né en 1935 et mort en 2004, Jacques Benveniste, chercheur à l'Inserm, fut au centre d'une controverse mondiale dans les années 80 avec sa thèse sur la mémoire de l'eau.

Benveniste et son équipe avait démontré que l'eau pouvait conserver les propriétés d'une substance qui ne s'y trouvait plus.

Ce résultat pouvait être vu, entre autres, comme validant le principe de l'action de la dilution en homéopathie

Cette controverse fut probablement liée au fait qu'il était alors sous contrat avec les laboratoires Boiron (homéopathie)

 

Appliquant cette théorie à ses propres recherches, le prix Nobel de médecine Luc Montagnier a fait un constat surprenant qui confirme la thèse de Benveniste et provoquera peut-être une révolution en matière médicale (traitement par les fréquences/ondes, et au niveau quantique).

Emergence d'une biologie, médecine et physique de l'information pour pallier aux actions chimiques médicamenteuses à tout va.

Ce qui , évidemment se heurte aux lobbies de la chimie médicale et aux dogmes scientifiques de la causalité.

A suivre...  

 

 

 

07/06/2017

80 graphes pour douter

Hélas, pour garder l'esprit clair, il faut rester vigilant face aux manipulations permanentes des pouvoirs en place et ne pas accepter comme argent comptant les "arguments d'autorité".
Ces 80 graphiques scientifiques suggèrent que la thèse du réchauffement climatique anthropique pourrait être une imposture.

Il y a certes un réchauffement ponctuel de moins d'1 degré depuis 1950, mais sur une échelle de temps plus grande on constate que de telles variations en plus ou en moins ont lieu régulièrement.

Les 80 graphes

publiés depuis début 2017 dans le cadre strict d’articles scientifiques certifiés par des comités de lecture.

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Matthieu Lenoir:

"Ce qui est en question tout au long de ces articles scientifiques, ce n’est pas le léger réchauffement de 0,8 degrés Celsius enregistré depuis le milieu du XIXe siècle en contrepoint du Petit âge glaciaire du XVIIIe siècle.

Tous les spécialistes, climato-alarmistes ou sceptiques, s’accordent sur ce point.

Non, ce qui est en question, c’est ce supposé réchauffement global anthropique, terrifiant et sans précédent brandi par les médias dominants et leurs journalistes aux ordres, par les scientifiques avides de subventions, de chaires, de carrières, de collaborateurs et d’honneurs, par les politiciens démagogues et les militants verts de l’apocalypse.

Pour ces fauteurs de peur planétaire, des mesures d’urgences s’imposent, sous gouvernance mondialiste cela va de soi, avant que la calotte glaciaire ne fonde complètement, que les îles du Pacifique ne soient submergées et que tous les bébés ours ne finissent noyés. Or ce que démontrent tous ces articles c’est que la version alarmiste de ce « réchauffement global d’origine humaine » est une imposture.

 

 

Les auteurs de ces études sont des experts venus des quatre coins du monde : Chine, Russie, Canada, Etats-Unis, Italie… Chacun a observé de près les différents aspects du supposé « réchauffement global » dans des régions précises et sur différentes échelles temporelles. Et chacune de ces études, dûment contrôlée par des pairs, conclut qu’il n’existe aucune preuve alarmante : la fin du XXe siècle et le début du XXIe attestent d’un réchauffement qui n’est ni dramatique, ni exceptionnel, ni inquiétant."

 

 

02/06/2017

Trolls & Légendes 2017

Trolls & Légendes est un festival de fantasy se tenant tous les deux ans au Mons Expo de Mons en Belgique.

Créé en 2005  Trolls & Légendes est l'un des premiers festivals du genre dans le monde francophone, abordant tous les aspects de la fantasy, en s'adressant tant aux connaisseurs qu'au public familial.

L'événement propose un salon du livre, du jeu et de l'artisanat fantastique...

01/06/2017

Vahé Zartarian: la conscience créatrice

L'auteur

 

Le bouquin en question...

 

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Prologue

La question de l’origine titille l’humanité depuis … qui sait ? probablement depuis qu’elle se pense. Comme la réponse ne se trouve pas directement sous ses yeux ni dans son esprit agité, elle compense avec son imagination, s’inventant plein d’histoires qui racontent la naissance de l’homme et du cosmos. Histoires selon les cas dites révélées ou inspirées ou raisonnées, ou... Bref, les mythes des origines abondent, tous différents, quand ils ne se contredisent pas franchement.
La science n’a-t-elle pas mis fin à ces fantaisies ? N’est-il pas désormais acquis que l’univers est né d’une sorte d’explosion appelée Big-bang et que l’homme est l’aboutissement d’un long processus évolutif appelé néo-darwinisme qui a pour moteurs le hasard et la sélection naturelle ? C’est vrai que, envoûtés par leurs succès, les scientifiques n’ont pas hésité à étendre le champs d’application de leurs théories pour remonter aux origines. D’où ces histoires qui ont l’air beaucoup plus crédibles que celles d’avant. D’ailleurs, pour bien marquer la différence, personne n’appelle plus ça des histoires, des contes ou des mythes, mais des théories.
A-t-on raison de leur accorder tant de crédit au point que tous les vulgarisateurs les présentent comme des vérités établies ? Pour ma part je ne puis m’empêcher d’y voir autre chose que de nouvelles fantaisies, certes plus complexes que les précédentes, certes étayées par diverses observations, mais finalement guère plus sensées que les autres. Les raisons qui les décrédibilisent ne manquent pas. Nous en verrons quelques unes au fil des pages. Mais dès maintenant je voudrais en présenter deux de portée générale.
Il s’agit tout d’abord du simple constat qu’aucune de ces théories ne prend en compte la conscience, pourtant la seule chose dont chacun de nous puisse être certain.
Et puis il y a le fait que, en science comme ailleurs, succès est trop vite confondu avec vérité. Un exemple avec une théorie mise au rencart depuis des siècles, celle du système de Ptolémée modélisant le mouvement des planètes. À l’apogée de son développement au xvie siècle, en combinant les mouvements sur 55 cercles, elle produisait des prédictions sur la position des planètes à la limite de la précision accessible aux instruments de l’époque. Donc ça marchait, au point que pas grand monde ne voyait la nécessité de changer de modèle. Les raisons de son renversement ont été d’abord d’ordre philosophique, avant que la théorie de Newton n’entre en scène pour apporter un surcroît de précision. Aujourd’hui, plus personne ne croit que les mouvements dans le système solaire résultent d’une combinaison de cercles. Nul ne s’y fierait pour voyager dans l’espace. Pourtant une précision de un pour mille, ce n’est déjà pas si mal, beaucoup de théories modernes ne font pas mieux. Donc on ne saurait déduire de la qualité des prédictions d’une théorie qu’elle a quelque chose de sensé à dire à propos de la réalité. Et ne nous illusionnons pas, les théories modernes ne sont pas différentes. On voudrait bien qu’elles décrivent fidèlement la réalité quand elles ne sont aptes qu’à répondre à des questions du genre : « Si je fais ceci, j’observe cela. »

 

Ceci dit je me garderai de jeter le bébé avec l’eau du bain. La science reste un outil irremplaçable pour réfléchir sérieusement sur le monde et sur nous-mêmes. Il faut juste savoir la prendre avec doigté pour ne pas la forcer à dire ce qu’elle est inapte à concevoir. Bref, gardons de la science essentiellement cette méthode de confrontation entre idées et observations, et considérons le reste avec circonspection.
Par conséquent, qu’on ne s’attende pas à ce que mes critiques du darwinisme ou du Big-bang débouchent sur une remise au goût du jour de quelques vieilles absurdités :
– non, l’univers, la Terre, et toutes les espèces vivantes n’ont pas jailli achevés il y a 5947 ans et 186 jours d’un éclair de génie divin ;
– non, le monde n’est pas porté par quatre éléphants, eux-mêmes portés par une tortue géante, où tout se rejoue un nombre indéfini de fois en cycles temporels démesurés ;
– non, tout ne s’explique pas par la combinaison de quatre ou cinq éléments ;
– non, l’univers n’est pas conçu spécialement pour notre espèce, ni pour tel ou tel sous-groupe privilégié.

 

Qu’on ne se méprenne pas, le but de ce livre n’est pas de critiquer systématiquement mais de réorganiser les faits connus en une histoire sensée. Si j’évoque les grandes théories du moment, c’est qu’elles constituent un excellent point de départ. Je reste partisan de l’idée que la science est un outil d’acquisition de connaissances supérieur à beaucoup, quoique pas le seul. Son grand avantage sur d’autres méthodes tout aussi valables mais plus subjectives est de fournir des arguments facilement commu-nicables et consensuels. C’est pourquoi je compte m’appuyer sur de nombreuses observations scientifiques incontestables pour étayer rationnellement et communiquer verbalement mes intuitions quant à la nature de la vie et de son origine, du cosmos et de son origine. On verra ces idées émerger au fil des pages. On verra que cela raconte une histoire cohérente et plausible, plus que les histoires habituelles, allant des particules élémentaires aux galaxies en passant par les êtres vivants sur Terre et la biosphère, jusqu’à nous-mêmes capables de penser tout ça.

 

La première partie va traiter du monde vivant. L’on verra émerger l’importance et la nécessité de l’intention créatrice, ainsi qu’une nouvelle définition de la vie : l’intention informe la matière pour lui donner formes et mouvements.

 

La deuxième partie va nous faire voyager des particules élémentaires au cosmos tout entier. Nous verrons les idées de la première partie s’étendre à la matière, qui devient vivante à sa façon.

 

Dans la troisième partie, je proposerai une nouvelle cosmogonie. Nous verrons l’invention de cette apparence de réalité physique et l’invention du corps pour que se déploie le jeu de la vie.

 

Enfin, dans la quatrième partie, j’examinerai dans quelle mesure ces idées s’accordent avec les découvertes des neurosciences, c’est-à-dire comment notre cerveau fabrique nos expériences du monde et du corps.

 

Dans l’écriture, je suis en général plus adepte de l’ellipse que des longues digressions. Dans cet ouvrage plus encore que dans mes précédents j’ai voulu que les idées défilent à un rythme soutenu pour bien faire ressortir l’histoire que je veux raconter. La pédagogie perd ce qui est gagné en vision d’ensemble. Quelques uns pourraient avoir l’impression que cela va parfois trop vite. Surtout qu’ils ne s’inquiètent pas et n’interrompent pas leur lecture si des passages leur échappent. Qu’ils aillent au bout du livre d’une traite pour justement s’imprégner de cette vision d’ensemble, et qu’ils reprennent ensuite la lecture à leur rythme en s’attardant sur telle ou telle idée. Et puis qu’ils dorment dessus, et … pouf ! un matin, au réveil, ces idées seront là comme des évidences. C’est ainsi qu’est né ce livre, en dormant pour trouver les idées, en lisant pour trouver les exemples.

 

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