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07/06/2017

80 graphes pour douter

Hélas, pour garder l'esprit clair, il faut rester vigilant face aux manipulations permanentes des pouvoirs en place et ne pas accepter comme argent comptant les "arguments d'autorité".
Ces 80 graphiques scientifiques suggèrent que la thèse du réchauffement climatique anthropique pourrait être une imposture.

Il y a certes un réchauffement ponctuel de moins d'1 degré depuis 1950, mais sur une échelle de temps plus grande on constate que de telles variations en plus ou en moins ont lieu régulièrement.

Les 80 graphes

publiés depuis début 2017 dans le cadre strict d’articles scientifiques certifiés par des comités de lecture.

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Matthieu Lenoir:

"Ce qui est en question tout au long de ces articles scientifiques, ce n’est pas le léger réchauffement de 0,8 degrés Celsius enregistré depuis le milieu du XIXe siècle en contrepoint du Petit âge glaciaire du XVIIIe siècle.

Tous les spécialistes, climato-alarmistes ou sceptiques, s’accordent sur ce point.

Non, ce qui est en question, c’est ce supposé réchauffement global anthropique, terrifiant et sans précédent brandi par les médias dominants et leurs journalistes aux ordres, par les scientifiques avides de subventions, de chaires, de carrières, de collaborateurs et d’honneurs, par les politiciens démagogues et les militants verts de l’apocalypse.

Pour ces fauteurs de peur planétaire, des mesures d’urgences s’imposent, sous gouvernance mondialiste cela va de soi, avant que la calotte glaciaire ne fonde complètement, que les îles du Pacifique ne soient submergées et que tous les bébés ours ne finissent noyés. Or ce que démontrent tous ces articles c’est que la version alarmiste de ce « réchauffement global d’origine humaine » est une imposture.

 

 

Les auteurs de ces études sont des experts venus des quatre coins du monde : Chine, Russie, Canada, Etats-Unis, Italie… Chacun a observé de près les différents aspects du supposé « réchauffement global » dans des régions précises et sur différentes échelles temporelles. Et chacune de ces études, dûment contrôlée par des pairs, conclut qu’il n’existe aucune preuve alarmante : la fin du XXe siècle et le début du XXIe attestent d’un réchauffement qui n’est ni dramatique, ni exceptionnel, ni inquiétant."