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30/04/2020

Plantes et fleurs comestibles

Le site Ctendance a eu l'excellente idée de recenser une bonne partie des plantes et fleurs sauvages comestibles:

30 plantes comestibles sauvages facilement identifiables


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Les plantes et fleurs comestibles sont de plus en plus utilisées par certains grands chefs célèbres. Au cours de vos promenades, dans votre jardin ou potager bio, sur le bord des routes, certaines plantes sauvages peuvent agrémenter nos assiettes. Il faut cependant être absolument sûr des plantes que vous consommez et rester très prudent, car certaines d’entre elles peuvent être toxiques. Des stages sont organisés pour vous apprendre à les identifier avec certitude.

Voici une liste de 30 plantes facile à reconnaitre :


L’ortie


Ortie
© Sipa - Pixabay
L’ortie est la plus connue des plantes sauvages, c’est aussi la plus ancienne. Mais le saviez-vous ? Cette plante joue un rôle important puisqu’elle nettoie le sol ! C’est pour cela qu’elle est à l’aise partout et que vous pouvez la retrouver dans une décharge. Elle ne se ramasse pas n’importe où. Riche en calcium, en vitamines C et en fer, il est possible de consommer les têtes et les feuilles. Cuisinée avec des pommes de terre, une guiche, elle est délicieuse. Il est également possible de faire du pesto ou du beurre d’ortie et une fois les feuilles sèches, elle peut être dégustée en tisane.

Le trèfle


Le Trèfle
© Pinterest
Le trèfle on le connait tous, on le trouve un peu partout, mais si vous n’en avez jamais goûté, vous risquez d’être surpris. Cette plante est délicieuse, le goût est fin et elle peut parfaitement être mangée en salade pour accompagner des tomates ou une tarte salée. Il suffit d’essayer pour être convaincu.

Le plantain


Plantain
© Dr
Cette plante que l’on trouve un peu partout et souvent à proximité des orties fleurit entre mai et octobre. Elle se déguste en salade avec juste un peu d’huile d’olive au thym et un filet de balsamique. Elle possède diverses vertus, elle peut soulager les piqûres d’ortie et elle contribue à la biodiversité, car les oiseaux en particulier l’aiment beaucoup.

Le pissenlit


Pissenlit
© Mabel Amber
Le pissenlit est déjà très connu sur le plan culinaire. Cette plante produit des fleurs en abondance entre mars et novembre. Elle est d’autant plus intéressante qu’elle est riche en minéraux et vitamines. Ses fleurs sont utilisées pour faire de la confiture et du vin, tandis que les feuilles et les racines peuvent être cuisinées en salade, en soupes ou infusions.

La Pâquerette


Pâquerette
© Pixabay
Cette fleur n’est pas seulement jolie, elle est également riche en calcium. Elle apporte un petit goût original à vos salades et en plus une touche de gaieté et un petit air printanier. Le seul problème avec cette plante, c’est qu’elle a tendance à pousser n’importe où et même là où les traitements toxiques et pesticides ont été répandus. Et dans ce cas bien entendu, elles ne sont pas propres à la consommation. Il faut donc les cueillir dans les potagers ou les jardins bio pour ne prendre aucun risque.

Les ronces


Ronces
© Meg Learner
Elles n’ont pas très bonne réputation, car elles ont tendance à envahir les jardins. Elles fleurissent de juin à août et contrairement à ce que l’on pourrait croire, elles ont beaucoup d’intérêt : les papillons les aiment beaucoup, les mammifères s’y cachent et elles sont riches en vitamines C et en tanin. Les bourgeons se consomment et les baies, les mûres sauvages sont excellentes. Elles peuvent être consommées nature, mais il faut les cueillir en hauteur, car les animaux peuvent uriner sur les parties basses. Vous pouvez également en faire de la confiture.

Le lierre terrestre


Lierre Terrestre
© Pinterest
Le lierre terrestre a un réel intérêt au niveau gustatif, car il a un goût délicat et agréable, toutefois son principal défaut est d’être difficilement identifiable. Il faut donc parfaitement apprendre à le reconnaitre avant de se lancer. Il est très bon en salade et peut parfumer un taboulé. Une fois séché, il fait de délicieuses tisanes qui sont très bonnes pour la santé. Il fleurit entre mars et octobre et attire les abeilles et autres insectes pollinisateurs.

La noisette de terre


Noisette De Terre
© DR
La noisette de terre ou conopode fleurit entre mai et juillet, elle se consomme à partir de septembre et jusqu’à la floraison. Pour la récolter, il est nécessaire de gratter la terre et d’en extraire la racine. Le tubercule se mange avec plaisir, car il rappelle le goût de la noisette. En revanche, il faut apprendre à la reconnaitre parfaitement avant de se lancer, car elle ressemble étrangement à la grande cigüe qui est dangereuse et toxique et impropre à la consommation.

Le gaillet grateron


Gaillet Grateron
© Pinterest
Le gaillet grateron est facilement identifiable : ses feuilles qui présentent un aspect rugueux singulier s’accrochent aux vêtements et aux mains. Il est riche en vitamines C et il peut être dégusté en salade en ajoutant quelques feuilles seulement à une salade verte.

L’oseille sauvage


Oseille Sauvage
© Pinterest
Cette plante fleurit de mai à juillet, elle est également appelée rumex et elle permet d’aider à aérer les sols trop tassés. Elle peut être mangée en soupe, en salade, dans certains plats ou sauces qu’elle relève. De nombreuses recettes se servent de l’oseille sauvage depuis très longtemps.

La berce commune


Berce Commune
© Pinterest
La berce commune est particulièrement utilisée dans les cakes sans doute à cause de sa saveur qui rappelle la mandarine. Elle fleurit entre juin et septembre et il ne faut surtout pas la confondre avec la grande cigüe très toxique. Il est préférable de s’abstenir au moindre doute. Elle peut également servir d’aromate dans certains plats.

L’ail des ours


Ail Des Ours
© Annca
L’ail des ours est également appelé ail sauvage. La principale difficulté lors de la récolte tient au fait qu’il peut être confondu avec le muguet qui est toxique. Il pousse sur les sols humides et c’est ce qui les différencie. Il faut savoir que tout peut être consommé : les boutons, la tige et les fleurs. Il se déguste en consommé ou en pesto, son goût est proche de l’ail.

Les violettes


Violettes Fleurs

Tout le monde connait les violettes, ces petites fleurs qui apparaissent un peu partout : dans les forêts, les prairies, au soleil ou à l’ombre, mais ce que vous ne savez peut-être pas c’est qu’elles peuvent être consommées. Ses fleurs et ses feuilles sont comestibles. Les feuilles peuvent remplacer les épinards, elles se préparent de la même manière et sont délicieuses en tartine avec du fromage de chèvre. Les fleurs permettent d’aromatiser le sucre ou de faire de la confiture, elles décorent également une entrée ou un plat.

La grande mauve


Grande Mauve
© Pinterest
Elle est parfois appelée mauve des bois ou mauve sylvestre. Il est possible de manger ses pétales en les faisant simplement revenir ou en les cuisinant comme les épinards. Elle décore également vos plats en apportant une jolie couleur.

La Mélisse citronnée


Mélisse Citronnée
© DR
La mélisse citronnée parfume agréablement une salade de fruits ou une salade verte : pour cela il suffit d’en ajouter quelques feuilles. Si vous la faites sécher, vous pourrez ensuite l’utiliser en tisanes ou infusions. Il suffit pour cela de cueillir ses feuilles avant qu’elle ne fleurisse, c’est le moment où la mélisse a le plus de goût.

Le houblon


Houblon
© Ritae
Le houblon pousse la plupart du temps près des ronces et sur des sols humides. Il suffit de récolter les jeunes pousses et de les consommer comme les asperges pour se régaler. Le meilleur moment pour le récolter est la période de juin à septembre.

Le nombril-de-Vénus


Nombril De Vénus
© Pinterest
La fleur qui porte ce joli nom est pleine de vertus, en effet elle est riche en minéraux, en fer et en vitamines. On peut consommer ses tiges et ses fleurs en salade. Mais elle a aussi des propriétés anti-douleur. Il suffit de retirer la pellicule qui recouvre les feuilles et de frotter la petite plaie pour soulager la douleur d’une coupure.

Le sureau noir


Sureau Noir
© Capri23auto Pixabay
Le sureau noir est aussi appelé la vanille du pauvre du fait de son parfum et parfaitement reconnaissable. Il fleurit au début de l’été et il faut attendre août pour que les fruits apparaissent. Fruits qui d’ailleurs peuvent donner lieu à des sirops, des gelées ou des confitures. Les fleurs sont plutôt utilisées en beignets, mais elles peuvent également permettre de faire du vin. Une fois la préparation faite, laissez-la vieillir, elle n’en sera que meilleure encore. Les baies du sureau ne se consomment que cuites, elles peuvent sinon être très dangereuses, car elles se transforment en cyanure durant la digestion. Attention aussi de ne pas le confondre avec la hièble qui est toxique.

Le silène


Silène
© Dr
Le silène est une plante qui s’appelle également compagnon rouge. Les pousses apparaissent de mars à mai et ce sont elles qui peuvent être dégustées cuites ou crues en salade. Entre mai et octobre lors de la floraison, les fleurs sont consommables en salade.

Le chardon


Chardon
© Pixabay
Même si cela peut paraitre étonnant, le chardon peut être cuisiné, il suffit pour cela de le récolter au printemps. Une fois qu’il a bouilli dans l’eau, on peut le retirer et récupérer l’eau pour faire cuire du riz. Il sera ainsi parfumé agréablement grâce à cette plante.

Le plantain Lancéolé


Plantain Lancéolé
© Dr
Le plantain lancéolé pousse tous les ans dans les prairies entre avril et octobre. Ses feuilles se mangent en salade et sont délicieuses. Il faut les récolter dans des endroits non traités.

La bardane


Bardane
© Capri23auto
La bardane pousse souvent en forêt. Ses feuilles se mangent crues dans une salade. En les cuisant, vous ferez ressortir son petit goût rappelant l’artichaut. Quand elles viennent de sortir de terre, il est préférable de consommer ces jeunes pousses crues après les avoir pelées. Elles peuvent même être conservées dans du vinaigre. Les pétioles se dégustent indifféremment cuites ou crues.

L’hégodode


Hégodode
© Dr
L’hégodode est une plante que l’on trouve un peu partout. Et elle se mange facilement. Quand elle est jeune et tendre, vous pouvez la consommer dans la salade. Quand elle est plus ancienne et plus ferme, elle se mange dans des tartes, des soupes ou des guiches.

Le bouleau


Bouleau
© Babamu Pixabay
Le bouleau est un arbre qui offre plein de ressources, sa sève est comestible, elle est prélevée quand les feuilles commencent à pousser. Pour la récolter, il faut faire un trou à la base de l’arbre. Une fois prélevée, il faut en boire le matin pour purifier l’organisme. Si vous aimez les saveurs amères, vous pouvez consommer ses feuilles en les faisant sécher et en les mettant à frire dans un bain d’huile, vous obtenez des chips délicieuses.

L’aubépine


Aubépine
© Heidel Bergerin
Dans l’aubépine, les jeunes feuilles et les cenelles sont consommables. Les jeunes feuilles peuvent être dégustées crues. Les cenelles sont le plus souvent cuisinées crues ou cuites. Assez fades et farineux, ils peuvent être ajoutés à des sauces pour les épaissir ou manger tels quels. Ils peuvent également être séchés puis broyés pour en faire de la farine.

Le lamier


Lamier Pourpre
© Dr
Le lamier se trouve surtout dans les sous-bois ou les prairies. Il est préférable de récolter les jeunes feuilles et les jeunes pousses avant la floraison. Elles peuvent alors être dégustées en salade. Vous pouvez également les préparer comme des épinards surtout quand les feuilles sont plus vieilles. N’hésitez pas à les intégrer dans des soupes, des sauces ou des ragoûts.

La bette maritime


Bette Maritime
© Pinterest
La bette maritime se retrouve souvent sur les côtes françaises, elle serait l’ancêtre sauvage de la betterave. Elle se cuisine de la même manière que les épinards. Il est préférable de choisir les feuilles basales qui sont les plus fermes et les plus larges, il faut supprimer les grandes nervures avant de les mettre à cuire. Elle peut être consommée seule, être intégrée dans des crêpes, des guiches et des soupes.

L’arroche étalée


Arroche étalée
© Pinterest
L’arroche étalée pousse un peu partout et même dans les endroits les plus improbables. On consomme de préférence les jeunes pousses peuvent être dégustées crues en salade ou ciselées comme les herbes aromatiques. Elles peuvent alors être ajoutées à une quiche ou une omelette. Les feuilles cuites se mangent comme les épinards. Elles peuvent être cuisinées braisées ou à la vapeur, en soupes ou en tartes. Les graines sont utilisées dans le pain, des muffins, des ragoûts ou des soupes.

L’asperge sauvage


Asperge Sauvage
© Pinterest
Elle pousse de préférence dans les lieux rocailleux et arides et les terrains calcaires dans le bassin méditerranéen. Elle est riche en vitamines de toutes sortes et en minéraux. Les jeunes pousses sont délicieuses et très tendres, elles peuvent être cuites comme les asperges classiques et dégustées de la même manière. Les racines sont également comestibles.

Le macéron


Macéron
© Pinterest
Le macéron est une plante qui pousse sur le bord des routes, dans les bois, les haies d’arbres et qui est fortement odorante. On le récolte avant la floraison en coupant les tiges feuillues les plus proches du sol en privilégiant celles qui sont blanchies par la végétation. Il faut ôter les parties vertes et les faire cuire à la vapeur ou bouillir quelques minutes. L’odeur anisée disparait en cuisant, elle est ensuite consommée comme des asperges. Les jeunes feuilles peuvent être servies en salade ou dans des sauces.

source

OVNI ou PAN


Excellent documentaire de fin 2019 sur le phénomène OVNI, devenu affaire d'Etat.


Depuis, hier en fait , le Pentagone a reconnu et validé ces vidéos d'OVNI ou PAN (du début de la vidéo) filmées par l'armée de l'air.
En fait, depuis 3 ans , les USA semblent lâcher des infos nouvelles tous les 6 mois, comme pour habituer graduellement la population à l'idée d'une présence extra-terrestre
...ou extra-dimensionnelle ainsi que le suggèrent divers scientifiques à la fin.






Ces vaisseaux/capsules nous présentent une "technologie" très avancée (non gravitationnelle, méta-matériaux, accélérations, freinages et changements de trajectoire instantanés).
Ils pourraient surgirent d' une dimension parallèle (disparition instantanée)
Et semblent gouvernés autant par l'esprit que par une machinerie.

02:48 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ovni, pan |  Facebook

29/04/2020

Epidémie intrumentalisée ou pandémie fabriquée?

Au fil des semaines on découvre tellement d'informations étonnantes, de révélations décoiffantes et d'hypothèses troublantes qu'il est difficile de se faire une idée sur la réalité même de l'épidémie qu'on nous impose et
-qui aurait servi de prétexte ou
-qui se serait servi du contexte
...pour déclencher cette crise planétaire.

A moins qu'elle n'ait été entièrment fabriquée ?

Il faut bien reconnaître que cette hypothèse assez extrême (et donc perçue comme "complotiste") prend chaque jour un peu plus de poids au vu des témoignages, de l'évolution des choses, et des agissements (suspects, incohérents, criminels ou cyniques) des gouvernements, lobbies et autorités médicales. (Cf Itw de Lucien Cerise*)

Tout se passe en effet comme si...

Mais aucune version ne suffit à tout expliquer.

J'hésite donc encore entre ces diverses possibilités.
J'avais constaté l'efficacité du système dépistage/test + masques en Asie bien que je ne crois pas en l'efficacité ni des uns ni des autres. Sauf pour rassurer la population et enrayer le stress (qui ailleurs a amplifié la mortalité).
Mais la non fiabilité des tests m'a beaucoup fait réfléchir et explique une grande part des incohérences constatées.

Je vous livre ici la description de l'hypothèse d'une fabrication complète de cette pseudo-pandémie, issue d'un forum et attribuée à un soignant. source

Je n'y accordais qu' une faible probabilité encore il y a 1 mois (peut-être 10%) mais celle-ci est remontée vers 25% à 35% au fil des recherches et de l'actualité.

Cette hypothèse va un peu dans le même sens que Wolfang Wodarg pour qui tout cela se résume à une épidémie de tests.
Elle éclairerait aussi pourquoi les pays pauvres sans confinement possible (Afrique, Inde, Amérique du Sud, etc...) échappent relativement à ce psychodrame dans leur majorité (ce qui prend à rebrousse poil le récit officiel et mérite une explication).

Voici l'hypothèse de travail ou l'expérience de pensée (car ça fait au moins réfléchir sans a priori).
C'est aussi crédible que la "version officielle" (complétement discréditée par les faits, les mensonges et les incohérences).

"Je travaille dans le domaine de la santé.

Voici le problème : Nous testons les gens pour tous les types de souche de Coronavirus. Pas spécifiquement pour le COVID-19. Il n’existe pas de tests fiables pour un virus COVID-19 spécifique. Il n’y a pas d’agences ou de médias fiables pour rapporter le nombre de cas réels de virus COVID-19. Il faut avant tout s’attaquer à ce problème. Chaque action et réaction au COVID-19 est basée sur des données totalement erronées et nous ne pouvons tout simplement pas faire d’évaluations précises.

C’est pourquoi vous entendez dire que la plupart des personnes atteintes de COVID-19 ne présentent rien de plus que des symptômes semblables à ceux du rhume ou de la grippe. C’est parce que la plupart des souches de coronavirus ne présentent rien d’autre que des symptômes de type rhume/grippe. Les quelques nouveaux cas de Coronavirus ont une réponse respiratoire plus grave, mais ont un taux de guérison très prometteur, surtout pour ceux qui n’ont pas de problèmes antérieurs.

“L’étalon-or” des tests de COVID-19 est constitué de particules de coronavirus isolées/purifiées en laboratoire, exemptes de tout contaminant et de particules qui ressemblent à des virus mais qui n’en sont pas, dont il a été prouvé qu’elles sont à l’origine du syndrome connu sous le nom de COVID-19 et qui ont été obtenues en utilisant des méthodes d’isolation virale et des contrôles appropriés (et non la PCR actuellement utilisée ou les tests sérologiques/anticorps qui ne détectent pas le virus en tant que tel). La PCR consiste essentiellement à prélever un échantillon de vos cellules et à amplifier tout ADN pour rechercher des « séquences virales », c’est-à-dire des fragments d’ADN non humain qui semblent correspondre à des parties d’un génome viral connu.

Le problème est que le test est connu pour ne pas fonctionner.

Il utilise l' »amplification », c’est-à-dire qu’il prend une très, très petite quantité d’ADN et la fait croître de manière exponentielle jusqu’à ce qu’elle puisse être analysée. Il est évident que toute contamination minuscule dans l’échantillon sera également amplifiée, ce qui peut entraîner des erreurs de découverte grossières. En outre, il ne recherche que des séquences virales partielles, et non des génomes entiers, de sorte qu’il est pratiquement impossible d’identifier un seul agent pathogène, même si l’on ignore les autres problèmes.

Les kits de test Mickey Mouse envoyés aux hôpitaux, au mieux, indiquent aux analystes que vous avez un peu d’ADN viral dans vos cellules. Ce qui est le cas de la plupart d’entre nous, la plupart du temps. Cela peut vous indiquer que la séquence virale est liée à un type de virus spécifique – par exemple la grande famille des coronavirus. Mais c’est tout. L’idée que ces kits puissent isoler un virus spécifique comme le COVID-19 est absurde.

Et ça n’a encore rien à voir avec l’autre problème – la charge virale.

Si vous vous souvenez bien, la PCR fonctionne en amplifiant d’infimes quantités d’ADN. Elle est donc inutile pour vous dire quelle quantité de virus vous pouvez avoir. Et c’est la seule question qui compte vraiment lorsqu’il s’agit de diagnostiquer une maladie. Tout le monde aura quelques virus dans son système à tout moment, et la plupart ne causeront pas de maladie parce que leurs quantités sont trop faibles. Pour qu’un virus soit malade, il faut en avoir beaucoup, une quantité massive. Mais la PCR ne teste pas la charge virale et ne peut donc pas déterminer si une ostéogenèse est présente en quantité suffisante pour vous rendre malade.

Si vous vous sentez malade et que vous faites un test PCR, tout ADN viral aléatoire peut être identifié, même s’il n’est pas du tout impliqué dans votre maladie, ce qui conduit à un faux diagnostic. Et les coronavirus sont incroyablement courants. Un grand pourcentage de la population humaine mondiale aura de l’ADN covi en petite quantité même si elle est parfaitement bien portante ou malade d’un autre agent pathogène.

Voyez-vous où cela nous mène ? Si vous voulez créer une fausse panique à propos d’une pandémie totalement bidon, choisissez un coronavirus.

Ils sont incroyablement communs et il y en a des tonnes. Un pourcentage très élevé de personnes qui sont tombées malades par d’autres moyens (grippe, pneumonie bactérienne, n’importe quoi) auront un test PCR positif pour les covi même si vous les faites correctement et que vous excluez la contamination, simplement parce que les covi sont si fréquents. Il y a des centaines de milliers de victimes de la grippe et de la pneumonie dans les hôpitaux du monde entier à tout moment.

Il vous suffit de sélectionner les plus malades d’entre eux dans un seul endroit – disons à Wuhan – de leur administrer des tests PCR et de déclarer que toute personne présentant des séquences virales similaires à un coronavirus (qui seront inévitablement nombreuses) souffre d’une « nouvelle » maladie. Comme vous avez déjà sélectionné les cas de grippe les plus malades, une proportion assez élevée de votre échantillon va mourir.

Vous pouvez alors dire que ce « nouveau » virus a un CFR plus élevé que celui de la grippe et vous en servir pour susciter plus d’inquiétude et effectuer plus de tests, ce qui produira bien sûr plus de « cas », ce qui élargira les tests, ce qui produira encore plus de « cas », etc. Vous aurez bientôt votre “pandémie”, et tout ce que vous avez fait, c’est d’utiliser un simple kit de test pour convertir les pires cas de grippe et de pneumonie en quelque chose de nouveau qui n’existe pas vraiment.

Il ne vous reste plus qu’à lancer la même arnaque dans d’autres pays. Veillez à ce que le message de peur reste fort, afin que les gens se sentent paniqués et moins capables de réfléchir de manière critique. Votre seul problème sera que, comme il n’y a pas de nouvel agent pathogène mortel, mais seulement des malades ordinaires, le nombre de cas, et surtout de décès, sera bien trop faible pour une véritable pandémie de nouveau virus mortel.

Mais vous pouvez empêcher les gens de le signaler de plusieurs façons.

Vous pouvez prétendre que ce n’est que le début et que d’autres décès sont imminents. Utilisez cette excuse pour mettre tout le monde en quarantaine et prétendez ensuite que la quarantaine a empêché les millions de morts attendus.
Vous pouvez dire aux gens qu’il est irresponsable de « minimiser » les dangers et les pousser à ne pas parler de chiffres.

Vous pouvez dire des conneries sur des chiffres inventés dans l’espoir d’aveugler les gens avec de la pseudo-science.

Vous pouvez commencer à tester des personnes en bonne santé (qui, bien sûr, auront probablement aussi des fragments d’ADN de coronavirus) et ainsi gonfler vos « cas » avec des « porteurs asymptomatiques » (vous devrez bien sûr tourner cela pour que cela semble mortel, même si tout virologue sait que plus vous avez de cas sans symptômes, moins votre agent pathogène est mortel).

Suivez ces quatre étapes simples et vous pourrez avoir votre propre pandémie entièrement fabriquée et opérationnelle en quelques semaines.

Ils ne peuvent pas « confirmer » quelque chose pour lequel il n’existe pas de test précis."

***


Que cette pandémie soit délibérément fabriquée (à partir de la Chine, puis en Europe) ou qu'elle soit opportunément instrumentalisée à partir d'une banale épidémie de coronavirus, il n'en reste pas moins que l'on entend assez peu de remises en cause des tests PCR, alors que ceux-ci sont vraiment peu fiables si l'on y regarde de plus près : 20% au pire ce qui est ridicule, 65% au mieux ce qui n'est pas suffisant. Cela rend possible une manipulation des chiffres de la part des autorités sanitaires, que l'on sait grandement corrompues (OMS, ANSM, INSERM, INS, ARS, conseil de l'ordre des médecins (2) , comités scientifiques au service des labos).


*"En conclusion, soit ce virus est très dangereux et les mesures du gouvernement jusqu’à la mi-mars ont permis de l’installer en France, et de le cultiver depuis ; soit ce virus n’est pas si dangereux, et les mesures prises depuis la mi-mars sont excessives et comportent des risques supérieurs au virus lui-même".

Esthétique africaine


Plus précisémentl le génie architectural des femmes de Matobo dans la province du sud de Matabeleland au Zimbabwe.

Elles construisent et décorent leurs cabanes …

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28/04/2020

7 Milliards de suspects...

Reportage d'Arte sur le totalitarisme numérique.





Seule option de résistance à cette vision paranoïaque ultra-sécuritaire, inventer un autre futur.
Ce qui implique un éveil des consciences.

27/04/2020

Anatomie d'un désastre



A voir !
Excellent entretien avec l'anthropologue suisse Jean-Dominique Michel spécialiste de santé publique.
(26 Avril 2020)




Son blog.

Mise en perspective de la mortalité officielle. A suivre.

L'industrie pharmaceutique

Rapide vidéo de moins de 6mn
très parlante, à partager...



Base transparence santé.

Le futur a l'air con...



La crise en cours (plus totalitaire que sanitaire) nous a laissé entrevoir (par un effet grossissant et en accéléré) un futur sécuritaire administratif et technologique assez inhumain (dans le droit fil du transhumanisme des GAFA).
Mais en mettant ainsi "provisoirement" en scène ce futur dystopique ubuesque, en accélérant des processus despotiques déja en cours ou en révélant des projets plus ou moins cachés, cette crise pourrait et devrait produire un effet inverse de rejet devant ce qui ressemble à un cauchemar orwellien.

Ceci du fait d'une prise de conscience de ce qui nous attend si l'on ne change pas de direction.

*


Réflexions de Philippe Guillemant sur ce sujet et sur la façon dont certains humains se mettent au service d'un tel projet.
Il s'agit ici plus particulièrement du projet ID2020 de Bill Gates : "vaccination pour tous avec implants".
(cf puces RFID)

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"Avec une telle technologie, ce n'est pas seulement la localisation et l'analyse des comportements via la détection des mouvements que vous mettez entre les mains des ingénieurs, mais ce sera probablement aussi la détection des émotions et toutes sortes de choses intimes.

Comme je le disais dans "Le pic de l'esprit" page 274, si une puissance financière ici incarnée par Bill Gates en arrive à proposer ce genre de technologie inhumaine, ce n'est pas parce qu'elle est fondamentalement "méchante" (je suis sûr que Bill Gates a de bonnes intentions dans son système de croyances), mais c'est à cause de la manière dont se construit le futur.

Plutôt que de parler de dynamique du système extrêmement complexe que représente le futur en train de descendre vers le présent, j'ai préféré parler dans mon livre d'énergies descendant du futur incarnées par des entités ou relais d'informations. Il s'agit là de formes pensées qui lorsqu'elles sont répétées s'agglutinent en "égrégores" et qui lorsqu'elles sont vraiment très énergétiques finissent par acquérir une autonomie ou si vous préférez un indéterminisme qui attire de véritables entités.

Ces entités sont donc les énergies d'un futur qui cherche à s'installer dans le présent. Elles trouvent des relais chez toutes les personnes conditionnées (non reliées) qui ont le pouvoir de réaliser ce futur.
Elles agissent sur leur système de croyances exactement de la même façon qu'une addiction agit sur le cerveau de l'alcoolique qui ne peut s’empêcher de boire. Les catholiques appellent cela des "tentations".
Ces tentations, qu'elles soient addictives ou animées d'une volonté de contrôle de l'humanité, nourrissent toujours une autre volonté que celle de l'individu concerné s'il était toutefois resté lui-même.

C'est une loi de la physique de la conscience. Dès que vous n'êtes pas connecté à votre soi ou tout au moins centré ou aligné, vous risquez de servir de robot ou de nourriture à une influence extérieure. C'est ce qui est arrivé à Bill Gates.

Ce n'est donc pas de sa faute, c'est de la notre: nous avons pendant des décennies pensé que nous étions des machines et cela a formé dans notre futur des énergies qui veulent nous améliorer en tant que machines. Il faut aussi mentionner l'excitation de la peur et du besoin de sécurité, qui produit dans le futur les façons d'y répondre selon le même mécanisme et là ce sont tous les pouvoirs en général qui sont concernés par la manipulation.

Ce qui est génial dans ce confinement, c'est qu'il met au grand jour tous les plans de l'ancien futur vers lequel nous n'allons donc manifestement plus, sans quoi ils n'auraient pas été aussi facilement dévoilés.

L'ancien futur a vraiment l'air con, maintenant."

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