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20/04/2020

Con fini, bactérie et coetera.


Pour quelles raisons nos gouvernants ont-ils pu préférer les projections délirantes de mathématiciens alarmistes déconnectés du réel à l'analyse plus calme et lucide de spécialistes compétents ?

Tout cela pour en arriver à la décision liberticide totalitaire d'un confinement répressif grotesque.

Si la mystification est aujourd'hui avérée, pas mal de questions restent posées.

La réalité démontre déja qu'il s'agissait bel et bien (au pire) d'une banale épidémie hivernale (avec les mêmes caractéristiques contagieuses et létales qu'une grippe) mais qui nécessitait cependant une gestion cohérente (cf Raoult, Allemagne, Suède ou Taiwan).
Par ailleurs les chiffres de mortalité ont été amplifiés par le biais des tests (assez peu fiables en réalité).
Beaucoup sont morts d'autres pathologies mais avec le Corona testé positif et non à cause du seul Corona. Ici
Une bonne part de la tromperie vient de là.

*


Les cellules de notre corps ne sont pas nos ennemies mais en cas de déséquilibre comportemental, émotionnel, énergétique, vibratoire (ou d'un environnement nocif) , elles peuvent le devenir en se coupant de leur programme (le champ morphogénétique) et en devenant incontrôlées, autonomes, toxiques, cancéreuses.


Pour les virus c'est un peu la même chose. Ils font partie de notre système immunitaire ( 30 000 milliards de cellules dans le corps humain mais bien plus encore de virus) et même de notre ADN (il comporte 8% de rétrovirus endogène mais seulement 1% d'ADN codant) , ils circulent en permanence dans l'environnement en se renouvelant et en propageant des informations adaptatives assimilables par tout individu en bonne santé.
Ils ont participé/participent activement à l'évolution de la vie (placenta des mammifères, émergence de la sexualité, etc...)
En revanche, si ces virus rencontrent des organismes trop affaiblis, ils peuvent déclencher diverses réactions, allant de la remise en ordre d'un déséquilibre par une maladie légère à aigüe (voire mortelle si ce déséquilibre est trop grave).
Les virus peuvent s'introduire dans des bactéries mais aussi dans d'autres virus.

Les virus ont la particularité de savoir déjouer toutes les critères qui les définissent scientifiquement.*
Ce qui est un signe de leur "intelligence".

Pour le covid19, assez bénin, il semble que sa mortalité soit surtout lié à la gestion déplorable des soins (équipements insuffisants, réglement sanitaire inadapté), aux mauvais diagnostics (dus à la diversité des symptômes et à un cadre scientifique trop étroit) et à des raisons iatrogènes.
Ce sont en effet trop souvent les traitements eux-mêmes qui semblent avoir tué (le respirateur artificiel n'est pas anodin), ou l'absence de traitement adapté.
Sous-entendu: avec le bon diagnostic, le bon traitement et des équipements nécessaires, la mortalité aurait été dérisoire.

*


Une des pistes possibles peu évoquée jusqu'ici mais que relaient pas mal de médecins de terrain :
source

Le virus n'agirait pas directement, mais par l'intermédiaire d'une bactérie intestinale qu'il infecterait: la Prevotella...
et c'est cette bactérie infectée qui, devenant "virulente", déclencherait l'hyper-réaction immunitaire qui délabre les poumons et tue le malade.


Ceci expliquerait :
- pourquoi le traitement du Dr. Raoult, utilisant un antibiotique (l'Azithromycine), ou encore celui du Dr Sabine Paliard-Franco, (une double antibiothérapie) semblent fonctionner
- pourquoi les enfants sont totalement épargnés et les personnes âgées plus touchées : Prevotella est quasiment absente de la flore intestinale enfantine, mais de plus en plus présente avec l'âge
- pourquoi les obèses et diabétiques sont beaucoup plus touchés : leur flore intestinale déséquilibrée contient beaucoup de Prevotella
- pourquoi les complications pulmonaires se déclenchent alors qu'on ne retrouve pratiquement plus de covid dans l'appareil respiratoire, la bactérie infectée (qu'on retrouve dans les selles, contenant de l'ARN du covid et parfois même des virus actifs) prenant le relai de leur action initiale (bénigne), de manière beaucoup plus dramatique, en déclenchant l'hyper-réaction immunitaire inflammatoire qui noie les poumons...
- pourquoi le virus peut réapparaître chez un patient guéri (avec alternance de positivité et de négativité des tests), car la bactérie, toujours présente dans la flore intestinale, en reste l'hôte et peut se réactiver.

Bref, cela expliquerait beaucoup des incohérences observées.

Cela confirmerait l'intérêt de l'azithromycine, comme thérapeutique curative, à prescrire dès le début de l'infection...
Cela suggère surtout de tabler sur le rétablissement d'une flore intestinale saine qui neutraliserait Prevotella.
Naturopathie, bonne alimentation et bonne immunité.

Il est clair que cette piste thérapeutique bon-marché rendrait alors caduque l'utilisation d'un vaccin ( ce qui ruinerait encore les espoirs lucratifs de Gilead et de ses lobbyistes, après l'échec patent de leurs antiviraux...)
Il est possible aussi que les médias aux ordres taisent cette découverte majeure en continuant de soutenir la mauvaise solution vaccinale.





-Un médecin dénonce la dépendance des médecins des organismes de santé par rapport à l'industrie pharmaceutique.



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