Bas les masques
29/05/2020
Témoignage:
"Bonjour. En lisant le très intéressant article sur le port du masque, j'ai eu envie de vous faire part de ma petite expérience:
Au début des années 60, toute jeune infirmière nouvellement diplômée, j'ai travaillé plus de 3 ans dans un service de pneumologie. La grande majorité des patients étaient des tuberculeux en attente de partir en sana dans les Alpes, pratiquement tous contagieux bien évidemment. Les soins strictement infirmiers m'occupaient la matinée seulement.Le reste du temps, je le passais avec les malades car je considérais que leur moral devait quand même être maintenu “presque” au beau fixe. Je parlais beaucoup avec eux et je me souviens que je faisais aussi ...des parties de baby-foot. Pensez-vous que les poignées étaient désinfectées ? Pensez-vous que je me lavais les mains toutes les 5 minutes ou que je portais un masque ? Le bacille était considéré comme virulent pourtant. Je ne me souviens pas avoir vu un cas de contamination parmi les soignants. Je n'y pensais pas et je n'avais pas peur."
source Néosanté: sur le port du masque
Oui la contagion physique reste à prouver. La contagion mentale de la peur, elle, est manifeste.
Cette nouvelle lubie venue d'Asie et acceptée par une majorité en quelques semaines me hérisse le poil.
Pour éviter le pollen, de la sciure de bois ou des vapeurs toxiques, il me semble approprié, mais contre un virus, encore faut-il croire à la théorie pasteurienne et notamment à la contagion agressive par des agents extérieurs, sinon le port d'un masque est juste absurde.
Or même en admettant cela, encore faut-il penser que l'on n'est pas en mesure d'être confiant en sa propre santé (son immunité) pour régler la question de manière autonome.
Puisque 99,965% des gens survivent à cette épidémie en France (pourtant mal lotie), tout cela n'est-il pas outrageusement disproportionné?
La vision sanitaire qu'on nous impose (depuis les obligations vaccinales du siècle dernier) est clairement totalitaire. Mais aujourd'hui cela devient beaucoup plus prégnant encore, avec les projets délirants de traçage, puçage et autres. Avec des lois liberticides (confinement, distanciation sociale ) et infantilisantes.
Pire que le confinement est pour moi cette période dite de déconfinement où l'on compte bien trop nombreux encore les moutons se rêvant bienveillants et solidaires mais endormis et intoxiqués par la propagande pasteurienne.
Je ne pensais pas en voir autant.
Je suis sidéré.
Le récit mensonger des autorités et des médias laisse des traces, ou est gobé tout cru.
Benjamin Franklin: "Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux". (Sécurité fictive, qui plus est.)
Les masques ne servent à rien (cf étude scientifique).
Ils sont même plutôt toxiques.
(Article très relayé du Dr. Russell Blaylock, très documenté, mais en anglais.)
(Voir cet autre article à ce sujet.)
Compréhensibles, à la limite, dans les hôpitaux ou le métro pour rassurer les timorés,
ils sont strictement inutiles en plein air, si ce n'est pour polluer encore un peu plus.
Ils ne sont que la marque infamante de votre soumission au contrôle social sécuritaire qui cherche à s'imposer un peu partout.
"C'est insupportable.On a chaud, on a du mal à respirer et parfois mal à la tête. Tout ça pendant des heures d'affilée."
L'obligation de ce masque sur des marchés, en centre ville ou pour les serveurs , caissières et autres commerçants est une ignominie du même ordre que la censure ou la privation de liberté.
Nous sommes plus que jamais dans un système totalitaire même s'il se veut souriant, décontracté et bienveillant.
André Comte-Sponville, pour une fois pertinent:
"J'aime mieux attraper le Covid-19 dans un pays libre qu'y échapper dans un État totalitaire"
Note: Le Danemark déconseille les masques. 1
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