Le sens des maladies
13/03/2020
Donner du sens aux événements qui nous touchent, c'est ce que permet une vision spirituelle du monde.
-Les maladies individuelles ne sont pas des anomalies internes survenant par hasard ou des agressions arrivant de l'extérieur, c'est la manière dont notre corps s'adapte à une situation détériorée et essaie de nous montrer comment en sortir.
Nous ne devons pas voir cela comme un ennui ou un désagrément mais comme une occasion positive de nous réorienter.
C'est toujours un message qu'il nous envoie, et des informations sur notre situation.
Cela peut paraître paradoxal mais la maladie a toujours une intention positive à notre égard.
(cf Annick de Souzenelle "Le symbolisme du corps humain", Michel Odoul "Dis-moi où tu as mal", Dr Olivier Soulier 1, etc.)
La compréhension symbolique de la maladie suffit d'ailleurs parfois à ramener l'équilibre.
Dans une optique karmique des choses, cela reste valable (et probablement de manière encore plus profonde ) pour les maladies innées, génétiques, héréditaires.
Quand il s'agit d'épidémie, le message n'est plus individuel mais collectif, et en cas de pandémie, il s'adresse à toute la planète.
Chaque microbe ou virus représente potentiellement une épreuve que l'organisme (ou une population) peut un jour être amené à rencontrer. Ces virus vivent très longtemps au fil des siècles, sans causer aucun souci, et puis un jour, ils s'activent...
-L'astrologie (connaissance des cycles temporels) nous avait prévenu depuis longtemps : 2020 serait le moment d'une profonde crise mondiale liée à un changement de paradigme nécessaire (pour sortir du capitalisme ultralibéral ? commencer à sortir du matérialisme déterministe?)
Depuis la précédente crise financière de 2008, la plupart des économistes sérieux avaient rejoint cette thèse: une crise radicale devenait inévitable, 2008 n'ayant rien résolu. Le modèle économique capitaliste devait changer radicalement, ou s'effondrer comme le communisme soviétique en 89.
Il semble que cette épidémie ait servi de déclencheur pour permettre à la crise masquée (mais bien réelle) de parvenir enfin à s'exprimer, malgré tous les appareils d'état et institutions financières qui essayaient de la nier et de la camoufler.
Et cela d'une manière détournée assez surprenante.
(J'avais plutôt imaginé un virus informatique planétaire mettant à mal le système boursier, par ex, ou un désastre écologique.)
D'où ce décalage entre les faits (qui cependant s'accroissent au fil du temps, comme une prédiction autoréalisatrice) et les conséquences multiples (parfois incohérentes) auxquelles on assiste, mais qui pourraient par "effet dominos" amener à des résultats réclamés en vain depuis des mois par une partie des populations.
Le rôle de catalyseur ayant été joué par les médias* transformant à grand fracas et avant l'heure (dès Janvier) , un virus chinois en virus planétaire médiatique anxiogène (L'Europe devenant l'épicentre en Mars). 2
Un bug dans la matrice.
Apparemment il fallait ça, (une sorte d'électrochoc), pour que le système global prenne conscience qu'il va droit dans le mur.
Est-ce que cela suffira?
Ou bien d'autres crises en 2020, 2021 et 2022 devront-elles prendre la relève pour permettre l'émergence de ce nouveau paradigme devant succéder à cette ère matérialiste déterministe capitaliste?
Tout dépend a priori de la manière dont le monde et les élites au pouvoir, y réagiront, puisqu'ils ont la main sur les décisions cruciales. (Sortir de l'Euro est devenu nécessaire, par exemple.)
Mais, cela dépend aussi et surtout de chacun d'entre nous, selon qu'il cédera à la peur en se laissant infantiliser et déposséder de sa conscience ou selon qu'il gardera son esprit libre et critique.
Car il est question de conscience planétaire, au final.
Selon aussi qu'il prendra la mesure du changement nécessaire, ou une fois le "danger" éloigné, en reviendra à son schéma habituel lié à l'ancien monde.
En pratique, localement les mesures de confinement sont justifiables, évidemment.
On sait que c'est la méthode (et non les vaccinations, inefficaces) qui a mis fin à la variole, par exemple.
Mais les généraliser à des zones non atteintes est déja plus discutable.
Les incohérences et injonctions paradoxales se multiplient; le changement à venir semble prendre des chemins improbables.
Les voies de l'Esprit s'avèrent impénétrables quand il s'agit de sauver la planète.
Le message implicite en tous cas est clair: la mondialisation est une erreur et il faut changer de voie.
On sent déja qu'il y aura très probablement des inflexions en ce sens.
Plus globalement: le capitalisme ultralibéral a échoué, il a rendu notre environnement très toxique, l'air irrespirable (cf symboliquement ces affections pulmonaires). Il faut en tirer les conclusions au plus vite.
La notion d'urgence que suscite cette épidémie est amplifiée et "surjouée" (en toute bonne foi) à mon avis, mais elle trouve un réel écho (qui la valide rétroactivement) car c' est une parabole de l'urgence réelle de la situation planétaire écologique et économique, qui est, elle, relativisée ou tronquée.
Pour les détails, les semaines à venir vont nous éclairer.
Je l'avais déja indiqué deux fois: d'ici au 30 Mars, la tension devrait encore s'exacerber et le passage de Saturne en Verseau amorcer un changement de nature de la prise de conscience se traduisant par des faits spectaculaires.
Cette présentation des choses explique pourquoi je ne crois pas aux diverses thèses complotistes (bien que, sur le rôle de la 5G rien ne soit encore exclu concernant ses effets directs sur l'immunité) qui suggèrent que le système financier voulait lui même déclencher une crise mondiale pour masquer son effondrement.
* aidés en cela par les transports aériens...
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