Le scandale de l'industrie pharmaceutique...
25/01/2017
Les Français figurent toujours sur la première marche du podium de la consommation pharmaceutique.
En moyenne : quatre comprimés avalés par jour pour l’ensemble de la population et une facture de 34 milliards d’euros en 2014, dont 20 milliards pris en charge par la Caisse nationale d’assurance maladie.
Cette surconsommation de médicaments est encouragée (c'est un euphémisme) par les labos.
C'est un fait.
1. Manipuler les normes en vigueur.
" L’industrie, puis les agences de santé et les médecins ont redéfini l’hypertension à 14, contre 16 auparavant. Alors que la tension moyenne de la population se situe aux alentours de 13."
"Cela veut dire quadrupler le marché des antihypertenseurs, parce qu’il y a quatre fois plus de gens qui ont une tension entre 14 et 16 ! "
2. Transformer des facteurs de risque en maladies.
Exemple classique : le cholestérol, « notre ennemi à tous ». Parmi les traitements phares, le Crestor, du laboratoire Astrazeneca. Il est la troisième référence pharmaceutique la plus commercialisée au monde. Cette pilule anticholestérol fait partie de la famille des statines, prescrites à outrance et souvent à vie.
3. Visiteurs médicaux
« Les lobbies sont omniprésents dans les couloirs des hôpitaux, affirme Jean-Sébastien Borde. Or, le médicament prescrit par le spécialiste aura tendance ensuite à être prescrit par le généraliste à la sortie de l’hôpital. »
4. Controler les études (et les consciences)
Sur les 2.000 médicaments commercialisés (10.000 au total avec les copies), seuls « 200 sont utiles », selon Philippe Even.
Un rapport de la Chambre des Communes anglaises sur l’industrie pharmaceutique concluait : « Elle est maintenant hors de tout contrôle. Ses tentacules s’infiltrent à tous les niveaux »
Conclusion:
La prévention c'est mieux: vie active et alimentation équilibrée.
Il existe des médecines douces, alternatives, spirituelles, (efficaces mais peu relayées car gratuites et à portée de main ).
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